Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 4 – Trio lesbien à l’hôtel par Maud-Anne Amaro

Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 4 – Trio lesbien à l’hôtel par Maud-Anne Amaro
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Mercredi 15 avril

Dorothée se dégotta un petit buisson du mûres, des bien grosses, noires et succulentes, cela lui ferait son repas du soir, quant à l’eau, il y avait une source dans le coin. Tout allait à peu près bien donc, sauf que Caribou ne rappelait pas.

Il y avait dans le coin une cabane de berger comme il y en a beaucoup dans le coin et elle décida d’y passer la nuit

Elle eut du mal à trouver le sommeil.

Le lendemain matin, les prisonniers de la grotte recommencèrent à se relayer afin d’agiter la banderole improvisée. Il y avait du vent ce matin, on la verrait mieux. Martinov, Beatrice et Solène affichaient des mines réjouies pour des raisons que l’on devinent aisément. Isabelle avait retrouvé la compagnie de Justin Verrier et ils se taquinaient gentiment. Un certain optimisme régnait, ils se disaient que dans la journée quelqu’un finirait par les apercevoir. Seul Rimaillon restait grognon. Il apostropha Martinov.

– Dites-donc vous, quand vous forniquez, vous ne pourriez pas être un peu plus discret ?
– Jaloux !

Dorothée se réveilla assez tard après sa mauvaise nuit, elle endossa son sac à dos et entreprit de commencer son long périple : d’abord le bourg de Glandville, puis Briançon, puis Paris probablement en plusieurs étapes. Pour rejoindre Glandville, elle devait passer par un endroit où l’ouverture de la grotte de l’Ours était visible.

– Putain, c’est quoi, ça ? Se demanda-t-elle en apercevant la drôle de bannière.

Elle se rapprocha et pu apercevoir que la bannière était maintenue par une femme.

– Mais quel salaud ce Rémy ! Il a dégringolé l’échafaudage alors qu’il y avait du monde dans la grotte ! Et Caribou ? Il était forcément au courant puisqu’il a pris des photos juste après. Je savais qu’ils étaient cons, mais là c’est pire, ce sont des assassins. Je vais bien m’occuper d’eux, je ne sais pas encore comment mais je trouverais bien. Bon, faisons les choses dans l’ordre.

Elle prit le chemin qui menait en bas de la grotte.

– Ohé ! Y’a quelqu’un ? Cria-t-elle bêtement.
– Oui, on est coincé ! Répondit Verrier.
– Je préviens les secours, soyez patients, faut que descende au bourg, il n’y a pas de réseau dans le coin.

Dans la grotte, c’est la fête, tout le monde s’embrasse et se congratule sauf Rimaillon.

– Dès qu’on sera tiré d’affaire je déposerai plainte pour mise en danger de la vie d’autrui. Déclare ce dernier avec suffisance.
– Pauvre type ! Répondit simplement Verrier.

A Glandville, Dorothée pu appeler la gendarmerie de haute montagne, ce n’est qu’en début d’après-midi qu’un hélicoptère après avoir reconnu les lieux, entreprit de treuiller les six occupants de la grotte, puis les conduisit à l’hôpital de Briançon.

– Mais on n’est pas malades ! protesta Rimaillon, on veut juste bouffer un peu, on a rien avalé depuis hier matin.
– Juste un petit contrôle de routine, c’est la procédure. On va vous faire porter des sandwichs.

Ensuite ce fût l’interrogatoire, avec ses surprises, il s’avéra que Justin Verrier avait fait poser l’échafaudage sans aucune autorisation, celui-ci s’énerva, jura sa bonne foi, ignorant qu’une autorisation fût nécessaire.

– C’est ça, persifla le gendarme, vous croyez que tout le monde a le droit de faire n’importe quoi dans la montagne ?
– Pff…
– Evidement vous recevrez une note à payer de la part du trésor public, l’intervention en hélicoptère, on ne va pas vous en faire cadeau…

Sur ce, Rimaillon réitéra son intention de porter plainte contre Verrier.

Du coup ce dernier se retrouva en garde à vue. Les autres furent libérés.

– Je te paie le restau ? Proposa Rimaillon à Solène
– Tu rêves ! Vas-y tout seul.

Après avoir prévenu les secours à Glandville, Dorothée réussit à se faire prendre en stop par un type du coin qui l’emmena jusqu’à Briançon. Sur place elle se rendit à l’hôpital, attendit, puis se rendit compte qu’on accompagnait les gens à la gendarmerie, elle s’y rendit attendit qu’ils sortent mais préféra les laisser cheminer avant de les aborder…

Martinov se retrouve donc en compagnie des trois femmes, l’heureux homme !

– Bon on va bouffer parce que leur sandwich au gruyère rance, merci !
– Je connais un petit restau dit Solène, on peut aller au Clos du Prince »

C’est ainsi qu’ils se retrouvèrent autour d’une bonne raclette.

– Quand même ils exagèrent, se lamente Isabelle, foutre Justin en garde à vue ! C’est pas un assassin ni un voyou… Vous allez faire quoi, vous tous ?
– Je vais changer de coin, je ne me fais pas de soucis, il y a toujours du travail pour une fille comme moi ! Répondit Solène.
– Et vous professeur ?
– On ne se tutoie plus ?
– Et toi, professeur ?
– On va attendre que Verrier sorte de sa garde à vue, ne serait-ce que par correction, ensuite on verra bien. On va se prendre une chambre d’hôtel pour cette nuit… Verrier nous a avait réservé une, mais comme on ne sait pas où… D’accord Béatrice ?
– Mais bien sûr; mon petit professeur !

C’est en sortant de table que le petit groupe fût abordé par Dorothée

– Bonjour tout le monde ! Je ne sais pas si vous mes reconnaissez, c’est moi qui ai prévenu les secours, j’ai des trucs importants à vous dire, je voulais vous aborder à table, mais ces connards ne m’ont pas laisser entrer, c’est vrai que je fais un peu clocharde. Vous m’offrez un café. ?

Ils n’eurent qu’à traverser la rue et s’installer en terrasse.

– Voilà, j’ai des choses à vous apprendre, je n’ai rien dit aux gendarmes parce que ça ne les regarde pas, mais la chute de l’échafaudage ce n’est pas un accident, c’est un acte de sabotage et je connais les coupables.
– Quoi ? S’écrie Isabelle
– Je vivais dans une communauté avec un groupe d’écolos, quand on a vu l’échafaudage on a décidé de le détruire, mais les deux cons qui se sont occupés de ça l’ont fait en sachant pertinemment qu’il y avait du monde dans la grotte. vous avez eu une chance inouïe, il ne passe jamais personne par là, vous seriez sans doute morts de soif si je ne vous avais pas aperçu..
– On avait trouvé une source à l’intérieur ! Précise Béatrice.
– Alors vous seriez morts de faim, c’est un peu plus long, mais c’est pas terrible non plus.
– Mais pourquoi n’avoir rien dit aux gendarmes. ?
– Parce que je veux que ce soit MA vengeance !
– Ah ! Et tu comptes faire comment ? Demande Béatrice.
– Justement je ne sais pas trop. Mais si vous avez des idées, elles sont les bienvenues.
– Comment veut-tu qu’on ait des idées, on ne connait pas ces gens-là ! Intervient Solène.
– Je vous ai sauvé la vie ! Répète Dorothée. Vous me devez bien ça !
– Bon, on est là au moins jusqu’à demain, on peut y réfléchir, tu vas aller où toi, maintenant ?
– Je n’ai nulle part où aller, je vais retourner dans la foret, il y a des abris…
– Non on va faire autrement. Intervient Béatrice, je vais faire une bonne action, je vais te passer un peu de sous, tu vas t’acheter des fringues, quelque chose de simple, un peu sport, mais qui fasse féminin, si tu veux on ira ensemble…
– Mais je te demande rien…
– Laisse-moi finir, je vais te prendre une chambre pour la nuit et tu vas prendre une douche, tu en as grand besoin. D’ailleurs on va commencer par ça. Allez on y va parce qu’après je vais me faire une petite sieste.

Et le petit groupe se dirigea vers l’hôtel de la Rivière Dorée, il se séparèrent d’Isabelle qui avait loué ailleurs avec Justin Verrier, puis allèrent réserver des chambres.

– Quatre chambres séparées ?
– Non une pour moi et mademoiselle ! Dit Béatrice en désignant Solène, une pour Monsieur et une pour mademoiselle.

Le loufiat regarde bizarrement Dorothée.

– Notre établissement est tenu à un certain standing… Finit-il par dire en jouant les offusqués
– Oui, bon ça va, elle a eu des petits problèmes, elle va se doucher et se changer, on peut avoir les chambres ou on va voir ailleurs ?
– Je vais vous demander de payer d’avance.
– Ce n’est pas un soucis. Répond Béa.

On leur donne les clés magnétiques.

– Tu joues à quoi exactement ? Demande Solène à Béatrice.
– Elle n’est pas claire cette fille, je veux savoir ce qu’elle a dans le crâne, tu vas m’aider…
– T’aider comment ?
– En support psychologique !
– Je m’attend au pire ! Rigola la jolie métisse.
– Dans 90 % des cas quand on a baisé avec quelqu’un, « le quelqu’un » se laisse aller à des confidences.
– C’est ça ton plan ?
– En gros !
– Et moi, je fais quoi ?
– Tu regardes, tu me soutiens dans mes propos… on improvisera.

Une minute plus tard Béatrice et Solène tapaient à sa porte.

– On peut entrer on va discuter entre filles !
– Oui bien sûr !
– Tu ne prends pas de douche ?
– J’allais le faire, je la prendrais quand vous serez parties.
– Si on la prenait ensemble ?
– Ensemble ?
– Ben oui, entre filles !
– Vous au moins, vous êtes décontractées. Mais pourquoi pas, ce pourrait être sympa !

Solène vient chuchoter à l’oreille de Béa.

– Si tu veux m’entraîner dans une partouze, je ne suis pas d’accord.
– Tu la caresses juste un peu, et je m’occupe du reste.

Les trois filles se déshabillèrent et entrèrent dans le carré à douche, ça faisait un peu juste, mais ça allait. Béa se place devant Dorothée, Solène derrière

Béatrice ne perdit pas un instant :

– Tu veux que je te savonne ?
– Pourquoi ? T’aimes les filles ?
– J’aime tout le monde, j’ai un cœur d’artichaut.
– Alors tu peux y aller !

« Pas farouche la nana ! »

Les mains pleines de gel douche, Béatrice savonne la jolie poitrine de Dorothée, tandis que Solène lui caresse les fesses.

– Oh ! Qu’est-ce que vous me faites, toutes les deux ?
– T’aimes les caresses, on dirait ?
– Oui, oui !

Et sans autre préalable, Béatrice colle sa bouche sur celle de la petite marginale et lui roule un patin tandis que sa main droite vient lui tripoter la chatte.

– Humm c’est bon, tout ça ! Minaude Dorothée.

Mais voilà que sans crier gare, la petite rousse se retourne et fait face à Solène, laquelle ne s’attendait vraiment pas à ce littéral renversement de situation

Et quand Dorothée commence à lui caresser les seins, elle ne peut faire autrement que de se laisser faire.

– T’as pas trop l’habitude des filles, toi ? Lui balance Dorothée qui n’est quand même pas née de la dernière pluie.
– Non pas trop, mais…

Et elle en sait plus quoi dire.

– C’est dommage, t’es canon ! Lui répond-elle en portant ses mains sur les seins de la jolie blackette.
– Doucement !
– N’ai pas peur, je suis très douce.

Elle ferme les yeux, peste contre « cette salope de Béatrice » qui l’a entraîné dans la « perversion », mais elle se laisse faire.

Et bientôt ça n’arrête pas, on se caresse, on se tripote, on se lèche, et quand Dorothée sollicite la bouche de Solène, celle-ci ne se dérobe pas.

Béatrice de son côté s’est baissée et ses mains s’aventurent sur les fesses de la petite rousse, qu’elle écarte afin que sa langue puisse accéder à son œillet brun. Elle adore lécher cet endroit, mais présentement, elle n’insiste pas, goutant assez peu les trous du cul parfumés au gel douche. Mais qu’à cela ne tienne, ses doigts, eux n’ont pas ces réticences et deux d’entre eux lui pénètrent l’anus et la pilonne.

– On pourrait s’installer mieux… finit par suggérer Dorothée.

Béatrice est d’accord, Solène, on ne sait pas, mais tout le monde se rince, sort sur carré et s’essuie.

Dorothée quitte la première la salle de bain, reste à poil et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, vient s’affaler sur le lit, les cuisses écartées… attendant la suite.

Bien plus excitée qu’elle ne veut le laisse paraître, Béatrice la rejoint et se positionne d’emblée, le visage contre son pubis avant d’entamer un cunnilingus en réglé.

Solène reste là debout à regarder sans savoir trop quoi faire, partagée entre l’excitation de la situation et sa réticence à continuer dans une voie qui ne lui est pas familière.

– Viens nous rejoindre ! Lui demande Solène, vient mes téter mes nichons.

Devant une telle proposition, il n’y a que deux possibilités, ou bien elle se dégonfle en invoquant un malaise diplomatique, ou bien elle y va !

Oh ! Il serait erroné d’écrire qu’elle n’a pas hésité, mais finalement c’est le petit démon qui l’incitait à rejoindre les deux autres filles qui a gagné la partie.

Et c’est avec une relative timidité qu’elle commence à lécher les jolis tétons roses de la petite rousse, puis elle s’enhardit et entre carrément dans le trip.

Sous les langues diaboliques des deux femelles en chaleur, Dorothée ne tarde pas à jouir comme une damnée.

– Vous êtes douées pour des bourgeoises !
– On n’est pas des bourgeoises, mais dis-donc, tu pourrais peut-être t’occuper un peu de nous.
– Pas de problème, mais on fait comment ?
– On improvise ! Répond Béatrice.
– Je vais vous regarder toutes les deux ! Propose Solène.
– D’accord lui répond Dorothée, mais laisse-moi te faire un bisou.

Mais Dorothée au lieu d’avancer sa bouche vers la sienne s’en va taquiner d’autre lèvres, un peu plus bas.

– Non, mais dis donc !
– Ben quoi, c’est un bisou !
– Arrête ! Ou alors juste un peu.

Béatrice pendant ce temps s’occupe des seins de Solène qui ne sait plus où elle en est, d’autant qu’un des doigts de Dorothée lui est entré dans le trou du cul sans en demander la permission.

– Non pas mon cul !
– Je le retire alors ?
– Non laisse-le, fait le bouger.
– Dommage qu’on ait pas de godes ! Se désole Beatrice.
– Mais j’en ai un dans mon sac à dos ! Se souvient brusquement Dorothée.

Du coup elle se lève pour aller le chercher et Béatrice prend sa place auprès de Solène.

– T’as vu comme il est beau, on dirait une vraie bite, il y a même la petite veine… Clame fièrement Dorothée son engin à la main.

– Hum, fait moi voir ça ! Demande Béatrice qui s’empare de l’objet et se met à le sucer comme elle le ferait d’un véritable queue en érection.
– T’aime bien les bites aussi ? Fait semblant de s’étonner Solène.
– Moi j’aime bien tout ce qui se suce, les chattes, les bites, les trous du culs, les esquimaux, Qu’est-ce qu’on fait, Dorothée avec ton gode, on lui enfonce dans le cul ?
– Oh oui, Oh, oui !
– Ça te dis, Solène ?
– Au point où j’en suis, vous pouvez me faire ce que vous voulez ?
– Faut jamais dire des choses pareilles, tu ne sais pas ce qui va t’arriver !
– Oh, Maman j’ai peur ! Se gausse-t-elle.

Etant donné que c’est Béatrice qui tient le gode, c’est elle qui s’apprête à officier.

– J’ai aussi des capotes et du gel ! Précise Dorothée.

Et l’instant d’après le gode allait et venait dans l’anus de la blackette tandis que Dorothée lui tétait la minouche.

A ce régime elle ne tarda pas à faire éclater sa jouissance et cette fois nul besoin d’essayer d’être discrète et tant pis pour les occupants des chambres voisines.

– On la lèche à deux ? Proposa Dorothée à Solène en investissant de ses doigts l’intimité de Béatrice.

Mais Solène n’eut même pas le temps de s’approcher, Béa étant tellement excitée qu’elle jouit en quelques instants.

Moment de détente, les trois femmes restent allongées sur le lit, Dorothée est au milieu.

– Vous jouez à quoi, exactement toutes les deux ? Demanda Dorothée.
– A rien, c’était complètement improvisé, on s’est bien amusé, non .
– Vous êtes des bourgeoises gouines, c’est ça ?
– C’est l’un de tes trucs, ça, de coller des étiquettes à tout le monde ?
– C’est vrai ou pas ?
– Peu importe, tu veux qu’on t’aide, peut-être qu’on te donnera un coup de main, mais avant faut que tu nous racontes tout ce que tu sais !
– Je vous l’ai dit…
– Non, on veut toute l’histoire et dans l’ordre, avec tous les détails. Lui demande Béatrice.
– Ben c’est simple, quand Caribou a vu l’échafaudage, il a dit qu’il allait le détruire, on était tous d’accord. Comme ce n’est pas le genre à se salir les mains, il a demandé à Remy de faire le boulot. Remy c’est une espèce d’ermite un peu neuneu qui habite tout seul dans une cabane. Seulement Remy il ne voulait pas faire ça gratuitement, on ne pouvait pas lui proposer d’argent, on avait pas assez, alors Caribou a suggéré que ce soit moi sa récompense.
– Comment ça ? Demande Solène qui s’en doutait tout de même un peu.
– Ben je devais me l’envoyer ! Moi ça ne me dérangeais pas, d’ailleurs, je l’ai allumé, mais quand il a fallu le remercier pour de vrai et que j’ai vu l’état du bonhomme, je n’ai pas pu. Remy s’est mis à crier comme un dingue, Caribou est arrivé, a levé la main sur moi, il y a eu un moment de confusion et je lui ai foutu un coup de pelle sur la tronche. Du coup j’ai pris mes affaires en vitesse et je me suis barré !
– Tu l’as blessé ?
– Oui, mais je ne me suis pas bien rendue compte, après j’ai regretté ce que j’ai fait, je me suis dit que j’aurais pu agir autrement, et puis je me suis figurée que Caribou allait me pardonner, mais évidemment, il ne m’a pas jamais rappelé, finalement j’ai réussi à le joindre, et il m’a injurié. Alors j’ai décidé de prendre la route et de remonter à Paris.
– Et bin…
– Mais ce n’est pas tout ça le plus grave, c’est en passant devant la grotte que j’ai vu votre banderole. J’ai compris alors que ce con de Caribou n’avait pas demandé à Remy de vérifier si la grotte était vide avant de balancer l’échafaudage, quant à Remy qui est encore plus con que lui, il n’a pas pensé à regarder, il aurait pourtant dû voir vos bagnoles… Bref ça ne va plus du tout, Moi je veux bien qu’on détruise des saloperies qui n’ont rien à faire dans la montagne, mais là c’est de l’assassinat pur et simple. Si je n’étais pas passée par là personne ne vous aurait secouru ! Personne.
– Et donc…
– Et donc j’en veux à mort de m’être laissé entrainer par un salopard, je respectais sa cause, j’y adhérais mais je ne savais pas qu’il n’avait aucun scrupule et qu’il se foutait de la vie des gens.

Beatrice et Solène restent stupéfaites.

A suivre

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2 réponses à Martinov 23 – La grotte de l’Ours – 4 – Trio lesbien à l’hôtel par Maud-Anne Amaro

  1. Mathilda Stenberg dit :

    Comme cela est délicieusement raconté ! J’adore !
    Bisous Maud-Anne

  2. Darrigade dit :

    J’adoré quand Maud-Anne nous décrit des scènes lesbos, c’est beaucoup de douceur et de tendresse, et il n’est pas bien difficile de deviner qu’elle sait parfaitement de quoi elle parle.

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