Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 4 – Les amours de Valentine et de Jodie

Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 4 – Les amours de Valentine et de Jodie

– Et donc, son épouse ne vous a pas accompagné au restau ? Demande Jodie afin de réorienter la conversation.
– Ce n’est pas son épouse, mais son assistante, elle est bien plus jeune que lui, c’est une très jolie femme, j’aurais volontiers couché avec elle. Oh ! Qu’est-ce que je raconte… j’espère ne pas vous avoir choqué ?
– Pas du tout. Je suis moi-même assez sensible aux charmes féminins ! Répond Jodie en adoptant un air canaille
– Excusez ma curiosité, mais cette sensibilité s’étend jusqu’où ?
– Elle s’étend jusque dans le plumard ! Répond Jodie dans un grand éclat de rire.

Le rire est communicatif et les deux femmes rigolent comme des bossues. Façon comme une autre de briser définitivement la glace.

– Dommage que je suis sans doute trop vieille pour vous… Reprend Valentine.
– Mais pas du tout, j’adore votre visage.
– Alors que diriez-vous d’un moment de folie ?
– Que je suis partante.
– Je ne vous invite pas chez moi, je suis en travaux… Mais il y a un hôtel Ibis à 200 mètres, C’est moi qui paierai la chambre.
– Mais non, nous partagerons, bien sûr.

Dans la chambre d’hôtel, Jodie pensait que cette Valentine allait lui sauter dessus. Eh bien, non, après avoir indiqué qu’elle allait se déshabiller (ce qui est quand même la moindre des choses lorsqu’on veut s’envoyer en l’air) Elle se déshabille en silence dans son coin. Jodie ne cherche pas trop à comprendre et enlève, à son tour ses vêtements et sous-vêtements.

Valentine s’est déshabillé très vite, alors que Jodie n’a pas encore terminé

– Alors qu’est-ce que tu en dis ? Demande Valentine exposant sa nudité. Je n’ai plus 20 ans, on ne peut pas être et avoir été.
– Ne te plains pas, répond Jodie, tu es encore pas mal pour ton âge, tu pourrais en remontrer à des nanas plus jeunes que toi.

Valentine s’approche de Jodie qui est, elle aussi, maintenant nue.

– Caresse moi les seins j’aime bien.

C’est justement ce que se proposait de faire Jodie, elle les caresse doucement avant de pincer très légèrement les tétons.

– Pinces les plus fort !
– Comme ça ?
– Plus fort encore, n’ai pas peur de me faire mal.
– Comme ça ?
– Oui ! Aïe,.. non continue, Aïe… oh que c’est bon, embrasse-moi.

Les deux femmes s’embrassent sans que Jodie ne relâche la pression sur les bouts de seins de sa partenaire.

Celle-ci jette à son tour son dévolu sur les seins de sa vis-à-vis, mais en mode soft.

– Et toi, tu aimes qu’on te les pinces ?
– Juste un peu ! Mais toi tu ne serais un peu maso ?
– Maso et soumise, je peux être ta chienne, tu peux me faire tout ce que tu veux, j’accepte tout, enfin presque tout !

Jodie n’est pas vraiment habituée à ce genre de rapport. Avec le couple qu’elle forme avec son amie, les relations s’efforcent d’être égalitaire. Personne ne domine l’autre et s’il y a une réflexion qui l’agace au plus haut point, c’est ces crétins qui ne peuvent s’empêcher de demander d’un air entendu « c’est laquelle des deux qui fait l’homme ? »

Pourtant aujourd’hui la situation commence à l’exciter.

– Tourne-toi que je vois tes fesses !

Valentine fait ce qu’on lui demande et les mains de Jodie viennent lui malaxer le joufflu..

– Et si je te lui donnais la fessée à ce gros cul ?
– Oh, oui vas-y ! Et tu peux m’insulter, ça m’excite !

Et voilà que Jodie se met à taper comme une dingue, fessant et fessant encore jusqu’à ce que le cul de Valentine devienne rouge comme un coquelicot.

– T’as aimé ça, hein ma salope ?
– Oui, oui, J’aimerais bien te lécher le cul
– Je préférerais que tu me lèches la chatte, tu m’as fait mouiller avec tes conneries.

Et Jodie se couche sur le lit, jambes bien écartées. Valentine se précipite et lui lèche son bon jus.

– C’est bon, ma mouille, hein ? Tout à l’heure je te ferais boire ma pisse !
– Chic alors ! Répond Valentine entre deux coups de langue.

Jodie commence à haleter, sa partenaire lui donne le coup de grâce en enroulant le bout de sa langue sur son clitoris. Jodie jouit comme une malade. Les deux femmes s’étreignent.

– Maintenant je peux te lécher le trou du cul ?
– Ma parole, c’est une obsession ! Vas-y, lèche, mais s’il n’est pas bien propre ce sera tant pis pour toi !

Ben oui, un anus en pleine après-midi a perdu la fraicheur de la douche matinale, c’est la nature, non ? Toujours est-il que Valentine lui pratique cette feuille de rose avec passion et gourmandise, n’ayons pas peur des mots)

– Ah ! Ton anus a un goût exquis !
– J’en suis fort aise !
– Tu dois me trouver un peu givrée ?
– Pas du tout ! J’admets beaucoup de choses, du moment que ça ne fait de mal à personne !
– Je peux te mettre un doigt dans le trou ?
– Vas-y, j’aime bien !
– Moi aussi… On peut se mettre en soixante-neuf comme ça on va se doigter en même temps.

Proposition adoptée, bien sûr d’autant que cette position permet le léchage réciproque. Et du coup c’est le déchainement, Jodie ne tarde pas à gueuler sa jouissance, rejointe une minute plus tard par Valentine.

Les deux femmes s’embrassent et se pelotent.

– Quand tu fais la soumise, tu fais quoi exactement ! Demande Jodie soudain curieuse.
– Oh, la la, on m’en a fait faire des trucs… si tu savais…
– Tu ne veux pas me raconter !
– Une fois une copine m’a emmené dans un club, elle m’a passé un collier de chien autour du cou et m’a promené en laisse, puis elle a sélectionné sept bonhommes, on a été en cabine, une grande cabine. ils m’ont tous baisé par tous les trous et à la fin il y en a qui m’ont pissé dessus !
– Et comment t’a vécu ça ?
– Arrête, j’étais excitée comme une puce. Sinon, j’ai aussi fait la soumise dans de soirées sado-maso, on m’a attaché, fouetté, tout ça, je supporte bien, ça fait mal mais j’aime bien. Et puis des trucs pire encore que je ne te raconte pas .
– Ben si raconte.
– Je ne voudrais pas te choquer.
– Promis, je ne me choquerai pas !
– C’est à tes risques et périls, c’est des trucs un peu extrêmes.
– De la scato ?
– Bien sûr, ça ne me gêne pas tant que ça, mais aussi de la zoo.
– Raconte !
– Ben on m’a fait lécher la bite d’un chien, et après il m’a grimpé dessus.
– Wāh, ça doit être dingue ?
– Pourquoi, ça te tente ?
– Je sais pas trop pour moi, mais j’ai vu des photo sur Internet, ça m’a fait mouiller grave !
– Et si l’occasion se présentait ?
– On ne peut pas dire d’avance.

La conversation n’a pas laissé la chatte de Jodie intacte, elle moulle comme une éponge.

– Viens entre mes cuisses, viens me lécher l’abricot, ma salope !

En bonne soumise, Valentine ne se le fait pas dire deux fois et vient laper le jus d’amour de sa partenaire laquelle ne tarde pas à jouir de nouveau.

– Reste là ! Lui dit Jodie et ouvre bien ta bouche
– Oh, oui donne-moi ta pisse !

Gloup !

– Ah, au fait, ça t’embêterais de m’envoyer la photo de ce vitrail ?
– Mais non, avec plaisir

C’est ainsi que les coordonnées des deux femmes furent échangées, mais aucune des deux ne manifesta le désir de se rencontrer de nouveau.

A suivre

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2 réponses à Martinov 30 – L’église de Sainte Pétassouille – 4 – Les amours de Valentine et de Jodie

  1. Kriss Baxter dit :

    C’est si bon de lécher une bonne chatte juteuse !

  2. Fleur02 dit :

    C’est toujours un vrai plaisir de lire les aventures lesbiennes des personages inventé par Maud-Anne

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