Chanette 33 – L’escroc de Bourges 2 – Les ardeurs de Max le dur

L’avocat arrivé, je peux m’entretenir avec lui après qu’il ait consulté le maigre dossier. Je n’apprends pas grand-chose de plus, sauf qu’un voisin intrigué par l’activité de l’entreprise de débarras a cru bon de relever le numéro de plaque minéralogique de mon véhicule. Ce qui explique, je pense le mystérieux coup de fil de cette personne se réclamant du cadastre…
– Donc, nous résume la fliquette, cet acte notarié est un faux grossier, la clerc de notaire était en fait complice de Paturel. Nous allons vous présenter devant le juge d’instruction. Selon toute vraisemblance vous allez être inculpée de vandalisme, de violation de domicile et j’en passe…
– Mais enfin, ma cliente est de bonne foi ! Rétorque l’avocat !
– Bien sûr que non ! Il y a trop d’éléments farfelus dans cette affaire, vous auriez posé les bonnes questions, vous vous seriez aperçue qu’on était en pleine escroquerie… mais je suppose que ça vous arrangeait de jouer les autruches. Vous avez plus ou moins senti l’arnaque mais pas le fait qu’elle était dirigée contre vous !
Je rêve !
– Remettez moi cette pute en cellule, je vais demander au juge d’instruction à quelle heure il sera libre.
Le juge est un vieux binoclard aux joues creuses, mal peigné et puant la sueur.
– On voit de tout dans ce métier ! Soupire-t-il ! Je viens de parcourir le dossier ! Est-ce que vous vous rendez compte du préjudice que vous avez causé à cette modeste famille ?
– On m’avait affirmé que la petite famille était décédée dans un accident de voiture.
– Et vous avez gobé ça ?
– J’ai eu cette faiblesse !
– Et où êtes-vous allé chercher que l’on pouvait faire du nettoyage par le vide dans une maison dont vous n’étiez pas encore propriétaire ?
– Je n’ai pas fait d’étude de droit, monsieur le juge !.
– Pff ! Qu’est-ce que je vais bien faire de vous ? Si je comprends bien, vous avez d’ores et déjà perdu 32 500 euros, vous ne les récupérez jamais, c’est déjà pas mal comme punition. Par ailleurs il me paraît évident que la famille va vous attaquer au civil et demander des dommages et intérêts… vous n’y couperez pas ! Donc on ne va pas charger la barque, elle est déjà assez lourde comme ça ! Vous allez donc sortir libre mais vous serez témoin assistée dans le dossier Paturel. Allez affaire suivante… aurevoir madame !
Et chères lectrices, chers lecteurs, pensez-vous que je sois du genre à m’assoir sur 32 500 euros et sur un paquet de dommages et intérêt ?
Dès ma sortie de chez le juge d’instruction, je m’asseyais à la terrasse d’un bistrot, commandait un bon chocolat chaud et deux tartines beurrées et sollicitait par téléphone le concours de Max le dur, l’homme de main d’une vieille connaissance (voir les épisodes précédents)
Et le soir, il était chez moi ! Et je lui expliquais toute l’affaire.
– T’as vraiment le chic pour te foutre dans des pétrins pas possible !
– Je ne le fais pas exprès !
– Je sais bien !
– La police va enquêter, ce que je peux faire, la police le fera aussi, la différence c’est qu’ils ont beaucoup de moyens, moi je suis tout seul ! L’autre différence c’est que si la police coince ce Paturel avant moi, tu pourras dire adieu à ton fric. Donc comme ça, sur le papier, le chalenge parait impossible.
– On laisse tomber, alors ?
– Non, faut que je réfléchisse ! J’ai pas bouffé, je te paye le restau ou on se fait un bouffe ici ?
– Je peux commander des pizzas ?
– Super ! Mais l’huile de pizza, ça a tendance à m’exciter !
– On fera avec.
Et comme prévu, une fois les pizzas avalées et la bouteille de rosée descendue, Max devint entreprenant… Je me laissais faire, faire l’amour avec Max n’a jamais été une corvée.
– Bon, Max, je vous en prie arrêtez donc de jouer au Don Juan ! Vous avez envie de me baiser ! Je ne suis pas contre !
– Je ne voulais pas être aussi direct !
– Et bien tant pis, on va dans ma chambre, vous connaissez le chemin.
On se déshabille chacun de notre côté. Il flashe sur mes seins. Il les connait par cœur depuis le temps qu’on s’envoie en l’air tous le deux, mais non, il ne s’en lasse pas.
– Quelle belle poitrine !
– Tu me dis ça à chaque fois (Ben oui Max parfois je le tutoie, parfois je le vouvoie)
– Je ne peux pas m’en empêcher !
Elle n’est pas mal ma poitrine, (95 D) je ne m’en plains pas, il y a mieux, il y a pire.
– Et bien caresse-là, tu en meurs d’envie.
Ce n’était pas la peine de lui proposer, il l’aurait fait de toute façon, il me titille mes tétons avant de les gober ou plutôt de les envelopper de sa langue. Ils dardent sous la caresse…
Mais on ne va pas rester debout alors que mon plumard est si confortable, je l’entraîne et m’y étale les jambes écartées, la chatte offerte.
Il aurait sans doute préféré un autre préliminaire, mais il ne souffle mot. Max est un gentlemen et puis d’abord, il n’est pas chez lui.
Le voilà donc en train de me lécher l’abricot, et comme je mouille déjà, il se régale ce cochon !
J’ai envie de jouir, je me demande ce qu’il attend pour s’attaquer à mon clito qui n’en peut plus…
Ah, ça y est, mes mains s’accrochent au dessus-de-lit, mon plaisir monte inexorablement, je me cambre, essaie de me retenir de gueuler, mais impossible, je jouis comme une damnée.
– Eh ben dis donc, tu es partie au quart de tour ! M’indique Max.
– Il y a des jours comme ça ! Allez, amène ta bite que je la fourre dans ma bouche.
Ben oui ! Vous en connaissez des hommes qui refuseraient une telle invitation ?
Elle est belle sa bite, de taille et d’allure « normale », elle n’a rien de particulier, mais je la trouve attendrissante. Pourtant des bites j’en vois tous les jours de la semaine, mais ce n’est pas pareil, j’arrive à faire le distinguo entre les bites de mes clients et celles de ma vie privée (du moins j’essaie !)
Il bande bien, j’esquisse quelques mouvements de masturbation afin de bien dégager le gland que je balaie d’un coup de langue avant de le serrer entre mes lèvres, puis je fais tout pénétrer dans ma bouche et commence une série de va-et-vient.
– Oh, t’es une bonne suceuse ! Me félicite Max.
On me l’a souvent dit, mais un compliment ça fait toujours plaisir. « Être une bonne suceuse de bites », n’est-ce pas l’un des plus beau compliment que l’on puisse faire à une femme ? (si des féministes me lisent, elles vont me maudire !)
Je sors la bite de ma bouche, mais c’est pour mieux la pourlécher de haut en bas et de bas en haut. Je lui gobe un peu les couilles. Tandis que mon doigt passe derrière et s’introduit dans son anus.
– T’aimes ça ? Mon doigt dans ton cul ?
– Eh oui !
– T’es un petit enculé !
– Oui mais j’assume !
Eh oui, depuis quelques temps, Max est comme on dit « à voile et à vapeur »
Mon intention n’est pas de le faire jouir en le suçant. Je sais qu’il adore me sodomiser. Je m’en voudrais de le priver de ce plaisir.
Aussi, je lâche sa bite et me positionne en levrette; le croupion relevé, les cuisses légèrement écartées, tous mes trésors exhibés…
– Vas-y Max, encule-moi ! Les capotes et le gel sont dans le tiroir de droite.
Il me flatte les fesses, me lèche le trou de balle avec gourmandise, s’amuse à y fourrer un doigt et même un deuxième. J’aime bien…
Et maintenant c’est parti ! J’ai la bite de Max dans mon cul, elle va, elle vient. Comme souvent chez moi le plaisir ne vient pas tout de suite, il faut que l’anus « accepte » cette présence imprévue… puis viennent les premiers spasmes. Je vais jouir du cul. Je sens que ça vient, je gueule. Max ne s’arrête pas, non au contraire il accélère. Je n’en peux plus, je vais défaillir, je ne sais plus où j’en suis. Max finit par jouir, il décule, retire la capote, sa bite est gluante de sperme. Il cherche un kleenex.
– Viens là,, je vais m’occuper du nettoyage !
Ben oui quand ou veut se la jouer « salope » autant le faire jusqu’au bout !
A suivre
Chanette et Max se déchainent… pour notre plus grand plaisir