L’épisode du chien
Bonjour, c’est moi James qui vient vous narrer une autre de mes aventures sexuelles. J’habite avec Isabelle, ma femme et Marie, ma mère dans une fermette à la campagne.
Ceux qui ont lu mes précédentes aventures savent que depuis son accident dont elle est actuellement remise, je baise avec ma mère, et j’en suis fort satisfait car c’est une excellente suceuse de bites.
Mon épouse n’est pas jalouse et ne dédaigne pas de lécher le minou de ma mère quand ça lui prend.
Et ce jour-là, Isabelle rentrait du village, un gros labrador qui aurait eu besoin d’un bon toilettage lui emboitait le pas d’un air débonnaire.
– T’as trouvé un chien ? M’étonnais-je
– Je ne sais pas d’où il sort : Il n’arrête pas de me suivre depuis tout à l’heure, à mon avis, il s’est perdu, il a bien un collier mais il n’y a aucune indication…
La bête avait faim et soif, Isabelle lui mit un steak haché cru dans une assiette, le chien l’avala en quatre bouchée avant de nous faire un bruit d’enfer en lapant toute l’eau que j’avais versé dans un saladier.
– C’est un mâle ? Demande ma mère.
– On dirait bien ! Répond ma femme en mettant sa main sur la quéquette du chien.
– Lâche-le, tu l’excites ! Intervint ma mère.
– Et alors c’est grave ?
– Non répondit Isabelle en continuant à tripoter la bite du chien.
Et alors contre toute attente, le chien se dégagea de l’étreinte de ma femme et s’en alla boire une gorgé d’eau dans son saladier que je venais de remplir à nouveau.
– Bon tant pis, Dit Isabelle, je voulais m’amuser un peu, mai s’il ne veut pas, je ne vais pas le forcer.
Et elle vint s’assoir à côté de ma mère sur la canapé.
– Et d’abord, belle-maman, tu es une grosse jalouse, on peut jouer à deux avec le chien !
– Parce que tu e figures que ça m’intéresse ?
– Bien sûr que ça t’intéresse, quand on est salope, on est salope.
– Si tu le dis…
Et les deus femmes se roulèrent un patin d’enfer en se pelotant comme des vielles goudous.
Mais voici que le chien revient en remuant de la queue, se mettant juste devant les deux femmes.
– Baisse ta culotte, il va peut-être nous lécher ! Suggère Isabelle à ma mère.
Les deux femmes font mieux que ça et se déshabillent compétemment, puis de nouveau elle s’embrassent tout en se caressant les nichons et le minou.
Isabelle attrape de nouveau la bite du chien, mais celui-ci semble inexorablement attiré par la chatte de ma mère et se met à lécher l’endroit avec délectation.
Ma mère met un peu de sa mouille sur la chatte d’Isabelle afin d’y attirer le chien, il la lèche un moment mais revient rapidement sur la pèche de ma mère, elle doit avoir un gout particulier.
Le léchage du chien semble ne vouloir jamais cesser, ma mère se contorsionne pour attraper la bite du chien et la sortir de son fourreau avant de la proposer à Isabelle qui se met à la sucer énergiquement avant de passer le relais à ma mère.
Les deux coquines se régalent. Je décide de me mettre à poil à mon tour et de me branler, j’aime bien être nu quand je me masturbe.
Je ne sais pas comment je me suis débrouillé mais ma bite est maintenant à quelques centimètres de celle du chien. Ma mère s’en aperçoit et délaisse le chien un moment pour me sucer ma propre bite, il faut bien varier les plaisirs. Ma mère alterne alors ses fellations, un coup moi, un coup le chien. Quelle excitation, à ce point que je jouis et envoie mon sperme sur la visage de ma mère qui récupère tout dans sa bouche.
On fait un petit break, le temps de boire un jus de fruit; puis c’est Isabelle qui maintenant se met à lécher la bite du chien, son visage dégoulinant du jus de bite de la bête. Au bout d’un moment, elle se met en levrette, le chien ne comprend pas, mais ma mère l’aide en imbibant de mouille le trou du cul de ma femme.
Du coup le chien s’élance et vient enculer ma femme avec une énergie qui faisait plaisir à voir.
Ma mère adopte ensuite la même position, mais le chien avait l’air de se trouver fort bien dans le cul d’Isabelle et n’entendait visiblement pas changer de partenaire.
– Viens James, viens enculer ta mère, après tout tu fais ça très bien !
– J’arrive !
fin de l’épisode
C’est beaucoup trop court, l’érotisme ne parvient pas à s’installer malgré le potentiel
Un chien n’est pas un objet
Et alors ? Où aurais-je maltraité ce chien dans mon récit ?
On le recueille, on lui donne à manger, on le caresse et il ne grogne même pas !
Marre du politiquement correct et de Brigitte Bardot !