L’envers du décor par Serge Virinoviev

L’envers du décor par Serge Virinoviev

L’envers du décor

Sans doute la position que chacun de nous préfère,
Le plaisir à l’envers visage collé contre des fesses,
Le soixante-neuf, l’idéal pour se dévorer le derrière,
Se lécher tous deux la raie du cul avec allégresse !

Allongé sur toi ma pine bien enfoncée en ta bouche
Tu suces mon gland et puis me palpe les couilles,
Concernant les actes charnels aucun ne t’effarouche,
J’aime tu sais que mon anus avec avidité tu fouilles.

Cramponné à tes reins tu veux que ta chatte j’excite,
Ma langue s’acharnant sur ton clitoris, ton bourgeon,
Personne aussi bien que toi ne sait masturber ma bite,
A l’unisson nos bas-ventres dénudés nous bougeons.

Tes douces et brûlantes cuisses j’évase au maximum,
Je bois ta cyprine, ma main vers ton cul s’aventure,
Ainsi cambrée je t’enfonce mon index dans le rectum,
A la pénétration anale tu n’opposes aucune censure.

Tu n’ignores point que j’adore aussi le toucher rectal
Aussi délaissant mes couilles toi aussi tu m’encules,
Ton doigt entrant et ressortant de mon fourreau anal
Tu joues avec ma pine ainsi qu’avec mes testicules.

Tu jouis enfin ma mie en tous sens tes jambes jetant,
Reins tendus agitée au point de perdre conscience,
Tandis que sur ta langue souveraine j’éjacule haletant
Cet élixir que tu dégustes et avales, ma semence !

A chacun ses préférences, nous nous copulons ainsi,
La position du missionnaire pour nous est trop fade,
Nos rapports sexuels sont croyez-le toujours réussis,
Le cul pour nous ressemble toujours à une tornade.

Serge Virinoviev

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