L’âne dans le pré par Mathilda Stenberg

L’âne dans le pré par Mathilda Stenberg

Je m’appelle Maryse, j’ai 51 ans et je vis seule, mais n’allez pas vous imaginer que je suis une vielle fille.

Je suis brune, j’ai quelques kilos de trop, je suis brune aux cheveux courts et il paraît que j’ai une belle poitrine. J’aime les plaisirs de la vie, les steaks bien saignants et les bites juteuses.

Cette histoire se déroula pendant mes vacances dans un coin perdu de la Corrèze. J’avais décidé ce jour-là de faire une grande promenade. Je m’étais vêtue d’une jolie robe imprimée à manches courtes, décolletée et descendant à mi- cuisses. Je me suis retrouvée dans un endroit partiellement boisé Je me suis dis que je trouverais peut-être des cèpes, à moins que je rencontre un jeune homme, ou même un moins jeune qui voudra passer un petit moment avec moi, après tout je suis encore tout à fait consommable !

Il me prend soudain une grosse envie de pisser je baise ma culotte, m’accroupis et libère ma vessie, mais voici qu’une autre envie apparaît, plus consistante, je pousse et libère un joli boudin.

Pas grand-chose pour m’essuyer et le kleenex se déchire, je me fous plein de merde sur les doigts, pas grave, je lèche, je connais bien ce goût, il n’est pas si mauvais.

Et voilà que j’arrive dans une clairière et dans la clarière devinez quoi qu’il y a ?

Un âne ! Une gentille bestiole toute grise.

– Qu’est-ce que tu fais là mon beau ? Tu broute ? Tu ne t’ennuie pas tout seul ?

Je le caresse, il se laisse faire, ma main passe sur le flanc et descend peut-être un peu trop bas, car voilà que s’offre à mes yeux subjugués une longue queue qui pend et une très grosse paire de couilles !

– Ben dis donc l’âne ! C’est moi qui te fais cet effet ? Qu’est-ce que tu bandes !

Je ne sais pas ce qui m’a pris mais tout d’un coup j’ai eu une envie folle de le sucer, je me suis baissée et le caressant d’abord sur le ventre, j’ai passé ma main sous lui et j’ai enserré sa pine .

Quelle formidable sensation ! J’ai senti ma culotte qui s’humidifiait ! Je me suis agenouillé sous lui doucement et sans prononcer un mot, j’ai commencé des va-et-vient très sensuels au niveau de sa pine. Je ne me reconnaissais pas, je n’avais jamais fait ça !

La bite de l’âne a immédiatement gonflé, s’est allongée et est devenue très dure, elle mesurait au moins 80 centimètres, c’était chaud et tiède une fantastique sensation !

Je me suis déshabillée complétement et j’ai frotté l’extrémité de sa bite contre mon pubis, puis j’ai approché ma bouche et j’ai passé ma langue sur ce fascinant tuyau. Je me sentais salope de lécher ainsi la bite d’un animal.

Tout à coup une quantité important de liquide blanc très clair au goût de rouille m’a inondé le visage et le menton coulant sur mon corps ! Je m’en badigeonnais les nichons dont les pointes avaient durcis sous l’excitation.

J’ai continué à le sucer en essayant de mettre tout ce que je pouvais dans ma bouche le plus profondément possible

Je suis allé carrément sous son ventre tout en gardant sa pine dans ma bouche c’était inouï !

Puis j’ai voulu tenter quelque chose, j’ai saisi le bout de sa pine, puis me retournant, je l’ai mis en contact avec mon anus. Le liquide clair qui continuait à dégouliner de son sexe m’a lubrifié l’endroit et sa pine a pu entrer de quelques centimètres.

Je me faisait enculer par un âne et j’étais bien…

– Vous faites quoi ? Vous êtes malade ?

Je n’ai jamais su d’où venait cette voix rocailleuse, très vite je me suis emparé de ma robe et de mes chaussures et me suis faufilé dans les fourrés. Le type continuait à maugréer sans que je comprenne ce qu’il disait.

J’ai laissé là-bas ma culotte et mon soutien-gorge ! Pas grave, ça se rachète !

Quand même quand je pense à ce con, il ne pouvait me laisser tranquille, non ? Après tout je ne faisait de mal à personne !

Fin

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3 réponses à L’âne dans le pré par Mathilda Stenberg

  1. Grenouille dit :

    Un peu court dirais-je

  2. Elsa dit :

    Comme j’aimerais être aussi salope que cette Maryse !
    Mais allez trouver un âne ou un cheval à Paris, vous ?

  3. Lucia dit :

    Elle a oublié d’être triste la Maryse
    Ça va un peu vite, mais ça fonctionne et la conclusion est amusante

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