L’amie de mon amie par PHM

Mon amie Nathalie me parle très souvent d’une fille avec qui elle a fait
connaissance au travail.
Apparemment, elle n’est pas restée pas insensible au charme d’Amélie.
Celle-ci vient de rejoindre récemment l’équipe d’hôtesses d’accueil de la
grande chaîne hôtelière où Nathalie travaille depuis plusieurs années.
Immédiatement, elle a fait sensation…

Comme toujours, le règlement du travail exige qu’une nouvelle arrivée soit
épaulée par une collègue expérimentée : d’abord pour l’aider à s’intégrer,
ensuite pour contrôler ce qu’elle fait et éviter des éventuelles erreurs ou
indélicatesses envers les clients.

Nathalie avait donc été chargée de  » chaperonner  » Amélie. Ce qui ne lui
semble pas du tout désagréable puisqu’elle me dit que le contact s’est
facilement établi entre les deux jeunes femmes et qu’elles ont immédiatement
sympathisé. Depuis plusieurs jours, Nathalie n’arrête donc pas de me
raconter en détails chaque soir ces activités avec sa nouvelle collègue et
amie.

 » Elle est très douée… Elle présente bien et a une classe folle…
Qu’est-ce qu’elle est douce et souriante avec les clients… Elle est
charmante… Elle est très jolie…  »

Nathalie ne tarit pas d’éloges sur cette Amélie que je deviens de plus en
plus curieux de rencontrer…

Il y a quelques jours, au moment de se coucher, Nathalie est encore occupée
à me vanter les innombrables mérites et qualités de cette mystérieuse beauté
lorsque, n’y tenant plus, je lui pose soudainement la question sous cette
forme :

 » Mais, dis – donc, tu es tombée amoureuse de ta copine ; ou quoi… Elle
est si formidable que cela ? !  »
 » Pierre, mon chéri… cette fille est fantastique, tu sais. Elle est
vraiment délicieuse et désirable… oui, j’avoue que j’ai très envie
d’elle… Voudrais-tu m’aider à la séduire ? On pourrait passer un excellent
moment tous les trois ! !  »
 » Bien – sûr, mon amour, avec tout ce que tu m’as déjà raconté sur cette
Amélie, j’ai maintenant très envie de voir à quoi elle ressemble et,
surtout, ce qu’elle vaut… Allez, on va organiser tout cela… si tu
l’invitais à manger un de ces soirs. Après le repas, on lui sortira le grand
jeu…  »

Je dois préciser que ma Nathalie est une maîtresse extraordinaire car elle
est toujours très sensuelle et disponible ! Qui plus est, elle aime autant
les femmes que les hommes ; ce qui, dans notre relation de couple libertin,
nous a déjà valu quelques mémorables parties à plusieurs… Parfois
cependant, lorsqu’elle ne parvient pas toute seule à conquérir une jolie
demoiselle sur laquelle est a flashé, je lui donne un petit coup de main
car, si la plupart sont bi, certaines restent néanmoins d’abord davantage
sensibles au charme d’un homme qu’à celui d’une femme…

Volontairement ou pas et alors que je l’ai pourtant pressée de mille
questions à son sujet, Nathalie s’est bien abstenue de me donner plus de
détails sur la plastique de son amie… elle a simplement souligné le  »
physique parfait  » d’Amélie… cela va donc être une (grande) surprise ! !

Nous avons organisé un petit dîner à la maison. Nous avons choisi un samedi
soir pour être tout à fait à l’aise. Nous avons la nuit devant nous… et
encore le lendemain dimanche s’il faut ! Nathalie a préparé une belle table,
je me suis chargé de choisir les mets les plus fins et les vins les plus
luxueux chez le meilleur traiteur de la ville… Pour créer une ambiance
propice à la sensualité, nous avons allumé un grand feu de bois dans
l’immense cheminée qui domine le salon (nous habitons une vielle bâtisse à
la campagne) et fait briller une multitude de bougies pour parfaire
l’ambiance romantique de la soirée.

Un seul problème subsiste : comment nous habiller ? Pour moi, c’était facile
: pantalon de flanelle noir et chemise de soie blanche, savamment ouverte
sur mon torse velu. Un peu macho mais souvent terriblement séduisant… Pour
Nathalie, le choix est plus difficile : que revêtir parmi sa gigantesque
garde-robes ? Pour ne pas laisser deviner d’emblée nos intentions à notre
invitée, nous choisissons une petite robe noire ras du cou et près du corps.
Assez courte (à mi-cuisse), elle est suffisamment suggestive que pour
révéler un peu des cuisses de Nathalie à chaque fois qu’elle s’assoira…
mais sans être trop aguichante pour ne pas effrayer Amélie… Il convient de
ne pas la faire fuir d’emblée… Si nous n’avons jamais violé personne,
certaines ont cependant été plus longues à convaincre de partager notre
couche… Bref, Nathalie doit s’habiller de manière à émoustiller gentiment
notre invitée sans pour autant se déguiser en prostituée et aguicher
vulgairement Amélie. Sa petite robe met ses jolies formes en valeur; sexy
juste ce qu’il faut !
De fins bas noires et une petite paire d’escarpins à talons plats pour
compléter l’ensemble…

 » Laisse-moi la surprise pour les dessous !  » Me supplie Nathalie.  » Ne
t’inquiète pas, ce sera parfait..  » s’empresse-t-elle d’ajouter.

Le grand soir arrive. Nous scrutons avec une folle impatience la grande
horloge murale, attendant qu’arrive enfin celle dont nous avions tous les
deux si envie… Vingt heures précises. Le carillon retentit enfin, Nathalie
se précipite vers la porte d’entrée pour l’accueillir.

Confortablement installé dans le canapé, j’entends mon cœur battre de grands
coups tandis que les voix se rapprochent : Nathalie entre aussitôt dans le
salon ; directement suivie de notre invitée…

 » Pierre, voici Amélie.  » dit-elle triomphalement.

Le choc est terrible… Amélie est enfin là, debout devant moi. Je ne sais
plus quoi dire ni quoi faire tant je suis subjugué par son éclatante
beauté… Jolie, elle l’est assurément… et plus encore que nous n’aurions
pu l’imaginer… Plutôt grande, elle a un joli minois de Lolita mangé par
une longuissime chevelure blond cendré. Parfaitement lisses, ses cheveux lui
tombent jusqu’aux reins en une magnifique cascade dorée. Nathalie pense tout
de suite à la débarrasser. D’un geste, elle retire le long imperméable qui
nous dissimule le reste : c’est une nouvelle étape de la révélation ! Amélie
a passé un simple chemisier blanc, particulièrement transparent, sous lequel
un petit soutien à balconnets n’hésite pas à se montrer ostensiblement.
Ainsi joliment mise en valeur, sa poitrine – pas très volumineuse mais en
apparences très bien accrochées – est un véritable appel aux caresses les
plus hasardeuses… Le chemisier, discrètement déboutonné sur le dessus,
laisse d’ailleurs entrevoir son cou sur lequel un joli collier de perles
nacrées est délicatement posé. Amélie semble d’autant plus désirable qu’elle
porte aussi une micro – jupe de daim noir ; si courte qu ‘elle découvre déjà
la lisière de ses bas rehaussés d’une couture à l’arrière de la jambe…
Ainsi hissée sur de hauts talons  » aiguilles « , elle nous toise de toute sa
hauteur ; tout à fait à l’aise et visiblement très sûre d’elle.

Toujours sous le charme, je me lève d’un bond et lui tends la main en disant
:

 » Bonjour Amélie, très heureux de vous recevoir chez nous  »

Elle a un petit sourire narquois et me répond simplement :

 » Je pense qu’au vu de nos futures relations, il serait plus intime de se
faire directement la bise ; tu ne crois pas, Pierre ? ! »

Un peu confus de ma maladresse, je la sens se rapprocher très doucement de
moi. Et de joindre le geste à la parole, elle dépose sur ma joue un baiser à
la fois parfaitement chaste et pourtant déjà très sensuel dans la mesure où
elle accompagne celui-ci d’une discrète caresse sur mon épaule et mon
bras… Le ton de la soirée est donné.

Nous passons à table. Comme à mon habitude, mon premier geste est de laisser
tomber ma serviette afin de pouvoir me baisser pour la ramasser et avoir
tout loisir de jeter un furtif coup d’œil sous la table. Amélie, assise à
mes côtés, garde les jambes bien fermées et les genoux parfaitement serrés.
Une tenue tout à fait discrète et correcte ; comme il se doit. Nathalie,
plus relax, s’est déjà déchaussée et se caresse discrètement d’un pied
l’autre jambe… Cette attitude marque les prémices de jeux moins sages…
je ne vais pas tarder à le constater. Les plats se succèdent sans encombre
et nous goûtons avec grand plaisir aux excellents vins que le traiteur a
sélectionnés pour nous…

Au départ, la conversation n’est pas particulièrement orientée sur l’un ou
l’autre sujet. On parle de tout et de rien, Nathalie et Amélie évoquent leur
travail, leurs contacts avec les clients, la coquinerie de certains, la
muflerie d’autres, la nécessité d’être toujours souriantes, disponibles et
aimables… Puis, petit à petit, au fur et à mesure que nous nous laissons
gagner par la douce ivresse de divins breuvages que nous buvons, le ton
change peu à peu. Nullement gênée par la tournure que prennent les choses,
Amélie donne même l’impression d’être de plus en plus concernée par les
sujets  » osés  » de notre conversation. On devient alors d’avantage grivois
(mais sans jamais être grossier ni vulgaire), on fait référence à des
domaines où, l’air de rien, il y a toujours un petit caractère coquin ;
voire des allusions plus franchement sexuelles… Amélie, de plus en plus à
l’aise, semble se détendre : un mystérieux éclat de bonheur commence à
briller dans ses yeux.

C’est à ce moment que je sens un pied venir me frôler la jambe… Lentement,
je le sens remonter plus haut avec une totale assurance. La position de
Nathalie qui vient de rapprocher sa chaise de la table et se laisser quelque
peu glisser (je comprends que c’est pour m’atteindre avec plus d’aisance…)
ne me laisse plus le moindre doute quant à la suite qu’elle souhaite
réserver dès ce moment aux événements de la soirée…

Tout à coup, alors que les orteils de Nathalie me massent toujours aussi
délicieusement sous la table (et que, sous l’effet de ce délicieux
traitement, un début d’érection, je dois bien l’avouer, commence à se
manifester dans mon pantalon… !), Les choses deviennent vraiment sérieuses
au moment où nous nous mettons à discuter de lingerie féminine. Nous venons
de terminer notre repas lorsque Nathalie me demande à brûle-pourpoint :

 » Toi, Pierre, je sais que tu adores les petits strings en dentelle
transparente ; pas vrai ? !  »
 » Tout à fait, Nathalie ma chérie… J’avoue que cela me fait beaucoup
d’effet que d’imaginer un joli derrière nu sous une jupe ; avec une simple
petite ficelle qui se cache impudiquement entre les fesses… Mais avoue
que, coquine comme tu es, cela t’émoustille aussi de porter ce genre de
choses ! Et pourtant, si je ne m’abuse, ce n’est pas ce que tu préfères…  »

Amélie ne perd pas une miette de notre discours et je la sens de plus en
plus sensibilisée par sujet abordé.

 » C’est tout à fait vrai ! « , précise Nathalie.  » Moi, ce qui m’excite le
plus, ce sont les culottes ouvertes ! ! J’adore porter des sous-vêtements
largement fendus à l’entrejambe… dans certaines circonstances, quand on
est vraiment pressés, c’est plus pratique aussi ! Savez-vous que j’en ai sur
moi en ce moment – même ? !  »

Simultanément, nos regards chargés tant d’interrogation que de stupéfaction,
se tournent alors vers Amélie. Que va-t-elle bien pouvoir nous répondre ? !
La réponse ne se fait pas attendre. Avec beau coup de délicatesse, elle
recule sa chaise, se lève de la table et nous déclare sans la moindre pudeur
:

 » Moi, je suis d’accord avec chacun d’entre vous mais j’ai une vision des
choses encore bien plus libertaire que cela… En réalité, pour mon confort,
ma facilité et aussi parce que je suis une vraie salope, je ne porte jamais
de culotte ! ! ! D’ailleurs, regardez…  »

Ces mains viennent d’agripper le bas de sa jupe qu’elle remonte sans la
moindre hésitation jusqu’aux hanches ; dévoilant ainsi son intimité tant
convoitée ! !

Elle a dit vraie la coquine : elle est nue sous sa jupe ! ! Le haut de ses
cuisses est barré par les élastiques à dentelle de ses bas autoportants
mais, plus haut, c’est en toute impudeur que nous apparaît son pubis à peine
recouvert d’un soyeux duvet de fins poils blonds ; sa toison impeccablement
taillée formant un triangle parfait ! Elle tourne maintenant lentement sur
elle-même pour nous dévoiler par la même occasion ses magnifiques fesses
d’une blancheur laiteuse et immaculée… Puis, faisant redescendre sa jupe
pour dissimuler à nouveau son sexe, elle reprend doucement la parole en
s’approchant de Nathalie :

 » Allez, petite cochonne, montre-nous un peu la fameuse culotte ouverte que
tu affirmes porter ce soir…  »

Sans lui laisser la moindre seconde pour réagir, Amélie se précipite sur
Nathalie qui vient, elle aussi de se lever, et lui relève la robe pour nous
révéler son intimité… Nathalie ne nous a pas menti non plus: une
magnifique culotte de dentelle rose ne dissimule absolument rien de son
sexe… Généreusement offert à nos yeux ébahis, il est révélé par une large
fente dans le tissus qui traverse tout l’entrejambe depuis le milieu du
pubis jusqu’au haut des fesses ! ! Contrairement à Amélie qui est blonde
comme les blés, Nathalie possède une toison pubienne d’un noir très intense,
tout comme ses cheveux. De longs poils noirs envahissent ce triangle magique
; certains s’étendant même jusqu’à la base du nombril alors que d’autres
s’échappent par les côtés du sous-vêtement vers l’intérieur des cuisses ! !
C’est vrai qu’elle aurait quand même pu se raser un peu… Mais Amélie
semble apprécier :

 » C’est un véritable buisson ; quelle femme sauvage !  » s’exclame-t-elle
émerveillée par une pilosité si luxuriante…

Comme hypnotisée par ce qu’elle découvre, Amélie se met soudain à genoux
devant mon amie et enfuit sans plus attendre son visage dans le bas-ventre
de ma compagne… Après l’avoir longuement respirée, elle se retire un
instant, lève les yeux vers Nathalie et lui susurre :

 » Tu avais raison, tout à l’heure : c’est plus pratique aussi, comme
culotte… Allez, écarte bien les jambes, ma chérie ; je vais te manger le
minou !  »

Nathalie n’en croit pas ses oreilles… Nous découvrons une Amélie bien plus
délurée que nous ne l’avions imaginée… La voici qui se replonge à nouveau
entre les cuisses de Nathalie. Pour faciliter l’accès de ses trésors à notre
saphique compagne, elle s’assied maintenant sur le bord de la table et ouvre
les cuisses au maximum : le spectacle est magnifique… Le sexe abondamment
poilu de Nathalie apparaît de la manière la plus impudique qui soit : notre
invitée y a déjà enfoncé deux doigts pour en écarter les grandes lèvres…

 » Petite cochonne, je vais te lécher et te doigter la chatte… tu vas
adorer ça !  » souffle Amélie visiblement plus désireuse que jamais.

Bientôt, je n’entends plus que deux sortes de bruits bien distincts : les
mouvements de la langue d’Amélie et le joyeux clapotis dans le coquillage
trempé de Nathalie ; les premiers gémissements de plaisir de celle qui subit
ces délicieux attouchements… Il faut bien dire que ce spectacle de deux
gouines en chaleur est particulièrement ravissant et aussi très excitant
pour l’homme que je suis. Je sens mon sexe qui prend de respectables mais
inquiétantes proportions dans mon pantalon et me dis qu’il serait bien plus
agréable de le libérer pour qu’il puisse grandir encore… Toujours assis à
table, c’est donc sans la moindre gêne que je sors mon engin et commence à
le caresser délicatement pour lui faire prendre de la vigueur… Cela n’a
pas échappé à Amélie qui s’écrie aussitôt :

 » Oh, la belle bête… Viens, Nathalie, nous allons aider Pierre à se
masturber convenablement…  »
 » Oui, oui, on va tout de suite le branler toutes les deux, il va adorer
cela !  » lui répond l’autre coquine.

Pour être plus à l’aise, je propose à mes deux conquêtes de s’installer sur
le canapé, face à la grande cheminée. Je quitte en toute hâte mes vêtements
et me retrouve bientôt nu comme un ver. Nathalie se dévêtit tout aussi vite
et, complètement nue elle- aussi, vient se coller contre moi dans le canapé
; sa main droite agrippe mon vit et se met à le masser de plus en plus
vigoureusement… Amélie retire d’abord sa jupe (son mignon petit sexe nous
apparaît à nouveau…), déboutonne son chemisier et dégrafe son soutien qui
s’ouvre sur le devant : petit spectacle de strip-tease improvisé du meilleur
effet… Elle garde pourtant ses bas et ces tallons aiguilles et vient
s’agenouiller devant moi.

 » Arrête de le branler, on va le sucer à deux, ton petit Pierre Chéri…  »
Impose-t-elle à Nathalie qui ne se fait pas prier et vient rejoindre son
amie entre mes jambes…

Quelles sensations les amis… Nathalie a l’habitude de me faire de
délicieuses fellations (à chaque fois que nous faisons l’amour…) et
j’apprécie tout particulièrement la douceur avec laquelle elle fait courir
le bout de sa langue sur toute la longueur de ma hampe fièrement dressée…
J’ai longtemps cru avoir atteint le summum de la satisfaction en ce qui
concerne les gâteries buccales. Mais je suis finalement loin du compte
lorsque notre invitée entre en action. Amélie est plus sensuelle, plus
délicate et plus perverse encore : elle saisit avec sa bouche chacun de mes
testicules et les gobe délicatement… Mes attributs masculins dans sa
bouche, je peux sentir qu’elle les griffe du bout des dents avec une infinie
douceur. Lorsqu’elle les relâche, c’est pour laisser vagabonder sa langue
plus loin entre mes jambes ; en direction de mon anus ! ! Je suis aux anges
car cette inénarrable fellation dure plus d’un quart d’heure ! ! Tour à
tour, elles me prennent l’une puis l’autre dans la bouche ou laissent leur
langue s’enrouler tels deux serpents autour de ma colonne de chair : ces
deux femelles en chaleur s’en donnent à cœur joie et s’embrassent comme deux
folles sur mon gland… Je ne sais comment résister à pareil régime et
n’hésite d’ailleurs pas à exprimer ma pleine satisfaction :

 » Oh oui belles salopes, oh oui, petites vicieuses, sucez-moi bien à fond…
 »

Une main posée sur la tête de chacune, je suis leur mouvement de va-et-vient
sur mon vit et effectue d’amples mouvements du bassin pour mimer une
pénétration :

 » Allez-y, prenez-moi pour que je vous lime la bouche avec ma queue ! !  » ne
puis-je m’empêcher d’ajouter.

De puissantes et très goulues sucions ont maintenant pris le pas sur les
doux et tendres baisers… Aussitôt, ce sont quatre mains féminines décidées
qui s’occupent avec conviction de mon gros bâton… Celui-ci est désormais
tendu au maximum ; atteignant des dimensions rarement atteintes jusque là !
! Ce sont deux véritables spécialistes  » es-pipes  » car elles sont à la fois
si douces et si toniques que je ne tarde à être au bord de l’extase. Voulant
sans doute me faire éclater au plus vite, Amélie me titille maintenant
l’anus d’un doigt inquisiteur alors que Nathalie s’acharne désormais à sucer
consciencieusement mon gland… Cette double vénération de mon intimité a
pour effet que, dans un moment de faiblesse, je me laisse lamentablement
aller et, sans prévenir, éjacule avec une incroyable intensité… Trois,
quatre longues saccades de liquide séminal chaud et bouillonnant giclent
soudainement de mon braquemart !

 » Tenez, c’est pour vous !  » leur dis-je, enfin soulagé.

Elles se précipitent pour en saisir les dernières gouttes… leurs mains en
sont d’ailleurs toutes barbouillées ! !

 » Suce-moi les doigts, Amélie chérie, ils doivent avoir le goût de la queue
de mon homme !  » affirme Nathalie pleine de fougue.
 » Oui, donne-les moi vite que je savoure encore cette explosion de sperme.
J’adore le goût de ton copain  » lui répond l’autre.

Les donzelles recommencent à s’embrasser et se caresser…

 » Viens ma chérie, je vais m’occuper de toi pendant que notre ami se remet
de ses émotions ; je crois qu’il aura bien besoin de quelques minutes pour
se retaper  » précise-t-elle encore.

En simple spectateur, j’assiste, désormais passif, au début de nouveaux
ébats saphiques… Les deux filles viennent de se glisser mollement sur le
canapé. Immédiatement, elles s’inversent pour prendre chacune possession de
l’entrejambe de l’autre. Le spectacle est splendide. Bientôt, je ne
distingue plus les deux visages profondément enfouis dans l’intimité de leur
partenaire… Ma Nathalie souffle déjà très fort et écarte les jambes de
manière particulièrement odieuse… Amélie, semble plus heureuse que jamais
: je vois qu’elle en veut encore davantage.

 » J’adore me faire manger la chatte !  » déclare Amélie décidément de plus en
plus excitée…  » Mais ce que je préfère encore, c’est me la faire bourrer
par une grosse queue… t’as rien à me mettre pendant que ton copain se
remet en forme ? !  »

Nathalie sait maintenant que nous avons invité une belle coquine, une grosse
cochonne ; une véritable salope…

 » Attends-moi deux minutes ici, je reviens de suite avec de quoi te
satisfaire…  » Annonce Nathalie à notre invitée en se dirigeant déjà vers
notre chambre.

Laissée seule un instant, celle-ci se tortille de plaisir en continuant à se
doigter généreusement la fente et en gémissant bruyamment… en voilà une
qui a vraiment le feu au cul ! ! Moi, j’ai une idée précise de ce que
Nathalie est partie chercher. De mon côté, j’ai recommencé à me masturber et
présente, à nouveau, une belle érection qui annonce de solides
pénétrations… Nathalie revient aussitôt avec un splendide gode (pas moins
de 30 centimètres de long pour une circonférence plus que respectable !)
…elle le brandit en l’agitant fièrement et claironne :

 » Regarde ce que j’apporte pour toi Amélie… tu vas déguster ! !  »

On dirait qu’à la vue de ce terrible engin (il faut préciser que j’ai ramené
cet olisbos en latex d’un voyage d’affaires en Asie où on trouve, il est
vrai, des accessoires de taille tout à fait inimaginable chez nous ! !)
Amélie a visiblement très envie de se faire embrocher par le volumineux
joujou de plastique car la voilà déjà qui bondit du sofa pour s’allonger sur
l’épaisse moquette de laine ; devant le feu ouvert. Immédiatement, elle se
met à quatre pattes – telle une chienne en attente -, écarte généreusement
les cuisses et relève fièrement la croupe en disant :

 » Viens vite me le mettre au plus profond du con ; j’ai besoin de me faire
défoncer la chatte ! !  »

Comme dans une figure de style qui aurait été répétée cent fois, Nathalie
s’installe derrière Amélie et présente le gode à l’entrée de la caverne
d’amour de notre amie pour la prendre en levrette.

 » Tu es déjà complètement trempée, çà va rentrer comme dans du beurre !  »
lui suggère Nathalie ; comme pour la rassurer.

Cela n’a, effectivement, pas l’air d’inquiéter Amélie qui grogne de plus en
plus de plaisir au fur et à mesure que l’effrayant mandrin s’enfonce au plus
profond de ses chairs intimes… Je suis moi-même assez stupéfait de
découvrir à quel point elle est large et peut accueillir d’aussi gros
ustensiles… mais je n’ai pas le temps de laisser mon imagination
vagabonder d’avantage que je me rends compte avec effarement que le gode est
maintenant introduit jusqu’à la garde entre les jambes d’Amélie… alors que
Nathalie, elle, n’était jamais parvenue à se le rentrer plus qu’à moitié ! !

Amélie remue le postérieur comme une vraie possédée… Elle pousse
maintenant de forts grognements qui annoncent une jouissance prochaine.
D’autant plus que Nathalie ne se prive pas pour manipuler en tous sens la
diabolique bite de caoutchouc… Définitivement emportée par les sensations
érotiques qui lui vrillent les entrailles et la font se démener de
l’arrière-train, Amélie se tord de plaisir sous les délicieuses
manipulations de Nathalie. Celle-ci, voyant que je suis à nouveau
complètement opérationnel m’invite à venir la rejoindre :

 » A toi, Pierre chéri… son con est bien bourré mais il lui reste un trou
de libre ! !  »

De fait, je prends sans plus attendre la place qu’occupait Nathalie jusqu’à
présent. Bien placé derrière Amélie, je dirige mon vit parfaitement tendu
vers son entrejambe dont l’entrée est totalement distendue par
l’intromission du gode…

 » Pierre, Pierre, vas-y, mets-moi la tienne aussi… Oh oui, viens Pierre ;
bourre-moi le cul ! !  » Gémit-elle tout à fait submergée par le plaisir que
lui procurent nos efforts.

Sans me faire prier d’avantage, je laisse glisser mon gland plus haut,
parcours sa raie fessière et, arrivé à hauteur de son anus, laisse ma bite
en arrêt un court instant à l’entrée de son étroit couloir arrière pour
soudainement, sans le moindre avertissement, forcer l’entrée de son petit
orifice froncé et m’introduire au plus profond de son cul ! Quel délice ! !
Je sens, à travers la fine membrane qui sépare ses conduits, les nervures du
gros calibre de plastique qui lui obstrue le con. Par de longs et voluptueux
coups de boutoirs, je me mets à la pistonner de plus belle ! Le résultat est
immédiat et fulgurant : je la sens tressaillir de plaisir ; donnant de
grands mouvements de bassin et de fesses en ma direction ; comme pour mieux
recevoir les deux sexes qui la défoncent… Amélie va bientôt s’abandonner à
son plaisir et se laisser aller à un incroyable orgasme ; Nathalie l’a bien
compris en venant se glisser sous le corps de notre invitée… Ainsi,
Nathalie est à même le tapis, dos contre le sol, présentant son sexe béant à
Amélie qui y enfuit tout son visage… Celle-ci, toujours à quatre pattes,
bénéficie de la bouche gourmande de mon amie qui lui lèche abondamment le
sexe encombré du gode et pousse même le bout de sa langue à la rencontre de
ma trique chaque fois que celle-ci sort un tant soit peu du fondement
d’Amélie.

Notre invitée ne peut alors résister plus longtemps à un aussi excellent
traitement : dans un dernier soubresaut, elle se tend comme pour un ultime
effort et se laisse aller à jouir puissamment, interminablement. Criant de
toutes ses forces :

 » Quels salauds ! Qu’est-ce qu’ils m’ont mis ! Qu’est-ce qu’ils me font
mouiller… Pierre, Nathalie, vous êtes fantastiques tous les deux… Quel
pied, mes amis !  »

Elle se répand en se soulageant d’une impressionnante coulée de cyprine qui
semble sourdre du gode pour suinter de son sexe et dégouliner abondamment à
l’intérieur de ses cuisses. Nathalie se précipite pour recueillir et se
délecter des sécrétions de notre invitée. A la vue de pareil spectacle, je
me laisse moi aussi aller et déverse avec grand plaisir une vague de sperme
écumant tout au fond d’Amélie…cette belle garce en a vraiment plein le cul !
!

Tous les trois, nous restons quelques longues minutes, immobiles et
enchevêtrés tels des marionnettes désarticulées… La nuit ne s’arrête
pourtant pas là ; Amélie est la première à sortir de la douce torpeur qui
succède à la jouissance et s’arrache au sommeil presque comateux dans lequel
nous allions bientôt nous enfoncer…

 » J’aimerais qu’on recommence tout de suite, c’était vraiment trop bon !
J’ai encore très envie de me faire baiser par tous les deux ! On y va ? !  »
Dit-elle avec son petit air à la fois coquin et particulièrement vicieux.

Faisant un grand  » oui  » de la tête, Nathalie, toujours entièrement nue, se
dirige vers la salle de bains où elle nous fait signe de la rejoindre
aussitôt afin de  » se faire de gros câlins sous la douche  » comme elle se
plaît à l’annoncer avec beaucoup de sensualité.

Quelques minutes plus tard, je rejoins les deux excitées alors qu’elles sont
à nouveau occupées à se caresser partout à grands coups d’eau savonneuse. Je
sais alors que la nuit sera longue…

Franchement, Nathalie n’avait pas exagéré : elle est vrai super, l’amie de
mon amie…

Janvier 1999
PHM – phm@mail.be

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à L’amie de mon amie par PHM

  1. Baruchel dit :

    C’est plus du Dorcel que du Vassilia

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *