Il était là… 3 – La chambre d’hôtel par Joy01

– Merci pour ce week-end, ma tendre ! Lui dit-il. C’était merveilleux comme
toujours !

– C’est vrai qu’on à passé de très bons moments et je peux t’assurer qu’il
en aura bien d’autres ! Lui susurra t’elle.

Ils se préparèrent tous les deux à passer une nuit reposante, couchés dans
les bras l’un de l’autre.

Mercredi matin, 9 h 30 il est à lire son courrier quand une missive attire
son attention. Il prend le temps de bien l’ouvrir avec son ouvre-papier pour
ne pas abîmer le mot.

 » Ce samedi, tu devras te rendre à l’hôtel Altitude vers 20h et demander la
clef de la suite 203  »

Que ces mots ! Il se doutait bien que ça devait venir de son épouse et un
petit sourire se fit voir sur son visage. Il ignorait pourtant tout de ce
qui devait ce passer ce soir là. Serait-elle seule ? Accompagnée? À quoi
pouvait-il s’attendre ? Il n’en savait rien et cela rajoutait au plaisir !
Il travailla toute la journée avec ce mot en tête en se faisant des idées
sur la soirée et se surprit à en bander alors sans hésiter, il se leva et
verrouilla la porte. Il se dirigea vers son canapé et s’étendit. Il ferma
les yeux et en se faisant une image de ce qu’il pouvait voir des scènes de
la soirée, il se masturba doucement. Il aimait imaginer sa femme lui faisant
l’amour de différentes façons dans diverses scènes. Quand il eut éjaculé, il
reprit ses sens et se prépara à retourner à la maison.

– Bonsoir chérie ! Dit-il en arrivant. Il s’approcha par derrière et lui
donna un tendre baiser dans le cou et lui demandant si elle avait passé une
bonne journée.

– Oui, merci, lui dit-elle avec un sourire. Mais j’avais encore quelques
petits trucs à terminer à l’ordinateur comme tu peux voir !

Elle portait une très courte jupe marine et un chemisier blanc. Elle
ressemblait à une écolière.

– Je peux te servir un verre ? Un apéro, du vin, c’est comme tu veux ma
chérie !

– Hum !!! Un verre de vin blanc en attendant le dîner serait le bien venu.
Ca mijote doucement on peu bien prendre le temps.

– Va pour le vin ! Dit-il. Je te reviens dans un instant.

Il se dirigea vers la cuisine et sortit deux coupes qu’il remplit d’un bon
vin fruité. Il les porta au bureau et prit place près de sa femme qu’il
aimait regarder travailler. Elle avait défait ses cheveux de ses pinces et
ils ondulaient sur ses épaules. Son chemisier n’était attaché que par deux
ou trois boutons et elle avait retiré ses bas. Elle était si séduisante et
sexy. Ils trinquèrent tous les deux à leur journée et prirent une gorgée de
ce bon vin. Il déposa sa coupe et doucement sans brusquer ses gestes il
s’accroupit sur le sol, devant elle, entre ses jambes. Un doux spectacle
s’offrit à ses yeux. Elle avait des jambes superbes et dans un geste
d’hypocrisie féminine, elle les étendit de chaque coté de lui pour s’étirer.
Il aperçut du coup la petite chatte dénudée de sa femme
– Hum, la coquine ! Pensa t-il, elle ne porte même pas de petite culotte

Il commença par la caresser le long de ses jambes. Elle émit un petit
gémissement. Elle essaya de travailler en faisant semblant de se concentrer.
Aucun mot n’était dit. Elle repris un peu de vin et se détendit aux caresses
de son mari. Il lui écarta doucement les jambes et déposa les pieds de son
épouse sur des bouquins qui traînaient sous le bureau. De cette façon il
pouvait très bien voir cette chatte déjà mouillée par le plaisir qu’il lui
procurait avec cette petite audace. Il avança l’index et entreprit d’en
faire dessiner le contour. Il pouvait entendre son épouse lui signifier par
de petits cris qu’elle adorait ce petit intermède. Elle se détendit encore
plus, déposa sa tête contre le dossier de sa chaise et se laissa faire avec
grand plaisir.

Un jour, en lui faisant l’amour, il lui avait demandé si elle voulait se
raser complètement et c’est cette chatte nue qu’il caressait en ce moment.
Il déposa son index sur l’ouverture grande ouverte des lèvres et fit
descendre doucement son doigt en le faisant glisser dans la chatte déjà très
mouillée. Il le fit descendre jusqu’à l’anus tout excité de son amante. Elle
s’écarta encore plus. Elle frissonnait et de petits tremblements secoua ses
jambes. Il remonta son doigt et le fit rentrer à l’intérieur de la petite
chatte si invitante. Elle se poussa sur ce doigt avec désir. Ses fesses sur
le bout de la chaise et découvrait ainsi encore plus son petit postérieur.
Il prit sa seconde main et avec le bout de son index caressa l’anus qui
s’offrit à lui tout en continuant à la pénétrer de l’autre. Elle ne pouvait
plus se retenir et laissa échapper un cri de plaisir. Il remonta son doigt
près de l’autre et le mouilla pour le redescendre et l’introduire doucement
en elle. Il faisait des gestes de va-et-vient des ses deux mains. Doucement,
sans se presser. Il avait amplement le temps de bien prendre soin d’elle.
D’une seule main, elle défit les quelques boutons de son chemisier et
caressa ses seins au travers du soutien-gorge. Elle avait les pointes de ses
mamelons très dures. Elle les pinçait, les tirait entre ses doigts. Sans
détacher son soutien-gorge, elle fit sortir ses seins et continua à les
caresser pendant que son mari la pénétrait de ses doigts. Quel spectacle lui
offrait-elle ! . Elle était si sensuelle et elle n’hésitait jamais à rentrer
dans ses fantasmes. Il retira ses mains d’elle et recommença à jouer du
doigt sur la chatte maintenant inondée. Il savait comment s’y prendre pour
la rendre dingue ! Elle lui crierait son impatience et il en sourirait. Il
dirigea son doigt sur son petit clito et en fit le tour en de petits cercles
précis. Il était gonflé et en redemandait. Il le savait gourmand de ses
caresses. Il sentit au plaisir de son épouse qu’il n’était pas très loin de
la faire jouir et arrêta son geste. Faire durer le plaisir ! Ne pas la faire
jouir trop rapidement ! Il refit glisser son doigt en elle et déposa un
baiser sur le clito déjà tout excité. Elle hurlait son plaisir tout en
étirant la langue pour goûter la pointe de ses seins. Elle voulait les
mordiller entre ses dents pour accentuer son désir et celui de son mari.
Elle le regardait droit dans les yeux pour lui faire comprendre qu’elle
adorait ce qu’elle faisait. Il était fou de ce qu’elle lui faisait subir
mais c’est à elle qu’il devait penser. Il se concentra donc sur cette petite
chatte en déposant sa bouche pour y faire jouer sa langue

– Délicieux ! Se dit-il.

Il la buvait goutte à goutte. Il en salivait et ne se gênait pas pour en
redemander. Il fit glisser de nouveau ses doigts en elle. La prendre de
partout tout en suçant le clitoris de ses lèvres. Des tremblements plus
intenses parcoururent tout le corps de la jeune femme. Il accéléra ses
doigts en des gestes précis. Il fit glisser trois de ses doigts dans la
chatte chaude, très chaude de la jeune femme et continua de la pénétrer
ainsi. Il fit tourner le bout de sa langue de plus en plus rapidement. Il
allait enfin la faire jouir. Il l’entendait aux gémissements de sa belle. Il
la délivra enfin d’une jouissance si désirée. Elle tremblait, elle était à
bout. Il lui donna un tendre baiser en faisant de nouveau glisser sa langue
entre les lèvres de cette chatte si nue. Un dernier soubresaut parcourut le
corps de la jeune femme. Elle se releva doucement et laissa son mari sortir
du dessous du bureau. Il l’embrassa tendrement pour lui faire goûter sa
mouille et elle s’en délecta. Ils reprirent du vin et se reposèrent
tranquillement tous les deux. Après quelques moments, toujours dans le
silence, il lui prit la main et ils se dirigèrent à la cuisine où un bon
repas les attendait.

– Je n’ai pas eu le temps de te demander si tu avais passé une bonne journée
toi ? Dit-elle avec un sourire coquin. Tu ne m’as pas laissé trop le temps à
la conversation !

– Oui, oui chérie, très bonne merci et rentrer à la maison en t’infligeant
quelques doux sévices, me comble encore plus ! Ricana t-il. Beaucoup de
courrier comme d’habitude et une réunion d’affaire, mais rien de bien
différent des autres journées. En tout cas rien pour me tracasser l’esprit !
Espèce de petite vicieuse ! Pensa t-il en se remémorant le message de ce
matin.

Ils continuèrent cette conversation pendant tout le repas. Ils aimaient bien
se retrouver l’un avec l’autre à la fin de leur journée. Ils étaient si
bien, au chaud, dans leur petit nid. Au cours de la conversation elle dit
qu’elle sortirait avec Marie ce samedi suivant. Il souriait en se demandant
ce qu’elle pourrait bien inventer pour lui dire qu’elle passerait la soirée
à l’extérieur. Elle savait aussi qu’ils jouaient un autre jeu mais elle
inventerait quand même quelque chose que pour la forme.

– Oui, nous allons passer une soirée entre copines chez Marie donc ne
m’attend pas trop tôt mon chéri. On sait quand ça commence mais jamais quand
ça fini ce genre de soirée ! Ricana t-elle.

– Hum !!! Oui, oui et je sais surtout ce que vous pouvez y faire ! Dit-il,
dans un soupire de mec qui en veut encore.

– On fait quoi penses-tu ? On ne fait que discuter voyons et comme des pies
en plus !

Ils éclatèrent tous les deux dans un rire qui en disait long sur leur
connivence. Ils débarrassèrent la table et firent la vaisselle dans une joie
commune. Ils passèrent la soirée à regarder la télé et lire les quelques
revues qu’ils avaient à leur disposition. Ils ne reparlèrent pas de la
soirée de samedi. Vers 23h, ils partirent prendre leur douche et allèrent
droit au lit. Elle avait maintenant le goût de lui. Il était sur le dos et
elle parcourait son corps de baisers en jouant de sa langue aux endroits
sensibles de son époux. Il jouait dans les cheveux de sa femme en lui disant
des mots tendres. Il l’aimait à la folie et il la désirait toujours et
encore plus qu’aux premiers moments. Elle s’attardait partout où elle en
avait envie et avec un réel plaisir. Elle se fit glisser sur la jambe droite
de son mari pour lui faire sentir sa petite chatte. Elle se masturbait
ainsi, très doucement pendant qu’elle l’engloutit en elle. Elle se
masturbait sur sa jambe tout en dégustant sa bite d’une bouche avide d’elle.
Il était dur, avait envie d’elle comme un fou mais se laissait ainsi
prendre. Sa bouche était si savante sur lui. Ses lèvres d’une tendresse
infinie, sa bouche chaude et bien serrée sur sa queue. Elle le dévorait avec
goût. Le gland entre ses lèvres, elle léchait les quelques gouttes qui en
sortaient. Elle fit glisser sa bouche et sa langue sur cette queue et
continuait encore à se frotter à lui. Il avait prit possession de ses seins
et les caressait entre ses doigts. Il fermait les yeux de plaisir. Elle se
releva doucement et se fit glisser sur cette queue toute tendue. Elle lui
faisait dos et se coucha ainsi prise sur lui. Elle prit les mains de son
mari dans les siennes et caressa son corps avec leurs quatre mains. Il
faisait une douce pénétration en la masturbant de leurs doigts entremêlés.
Il la mordait doucement dans son cou tout en lui laissant entendre ses
gémissements. Ils éjaculèrent tous les deux au rythme de leurs cris. Il
l’entoura de ses bras en lui murmurant des mots d’amour.

Ils dormirent tous les deux d’un sommeil réparateur. La semaine se passa
presque sans histoires et la journée fatidique du samedi arriva enfin.

Il était déjà excité, à son lever, de ce qu’il l’attendait. La journée se
passa avec une infinie lenteur. On aurait dit un jour sans fin. Il errait
dans la maison comme un lion en cage. Elle souriait de son impatience. Vers
la fin de la journée, elle lui dit qu’elle allait le quitter pour sa soirée.
Bon dieu qu’il avait hâte d’y être aussi. Il ne savait plus cacher son
impatience. Elle lui donna un baiser tout en lui souhaitant de passer une
bonne soirée tout en sachant que la sienne serait excellente. En
n’était-elle pas l’instigatrice ? L’heure arriva enfin pour lui. Il pris une
douche et s’habilla à la hâte. Il monta dans la voiture et se dirigea vers
l’hôtel. A la réception il demanda la clef et on la lui remis avec une
petite note.

– Tu dois te rendre à la chambre, ouvrir la porte, rentrer sans dire mot et
regarder ce qui se passe. Tu ne peux intervenir que lorsqu’on te le fera
savoir.

Mon dieu !!! Il pouvait s’attendre à n’importe quoi. Il se dirigea vers les
escaliers et les monta le plus vite qu’il le pût. Il arriva enfin devant la
porte de la chambre et pris le temps de reprendre son souffle avant
d’entrer. Après quelques secondes, il ouvrit et se faufila à l’intérieur.
Son cœur faillit ne faire qu’un bond. Le spectacle qui s’offrit à lui, lui
coupa le souffle. En plein milieu de la pièce, attachée, par les poignets
entourés de bracelets de cuir à des chaînes reliées au plafond et par les
chevilles, jambes écartées au maximum, une jeune femme était là. Elle avait
la tête recouverte d’une cagoule sans ouvertures mais munie d’une fermeture
éclair pour la bouche. Un collier de cuir entourait son cou et une chaîne y
était reliée. Elle avait le corps entrecoupé de chaînes et de cuir et des
bottes aux talons si haut, qu’il se demandait s’il elle tiendrait debout
longtemps. Elle avait les cheveux blonds et très long sur le dos. Il la
contemplait. Il ne pouvait dériver ses yeux de ce spectacle qui s’offrait à
lui. Après quelques moments, il regarda vers le lit pour apercevoir une
autre femme, la sienne, tout aussi attachée et tout aussi enclin à subir le
même sort que la blonde. C ‘est alors qu’il se dit que la jeune femme
attachée ne pouvait être là que par consentement car sa femme n’aurait
jamais accepté d’y être autrement, elle devait être une de ses amies
d’ailleurs. Il était si bandé qu’il en avait mal à la retenir dans son
pantalon. Il fit mine de faire quelques pas, quand d’une autre pièce, un
homme se dirigea vers la blonde. Un homme musclé, noir, grand, vêtu de cuir
aussi. Il avait la tête rasée, d’ailleurs tout le corps l’était aussi. De la
sueur perlait sur son corps, ce qui laissait peut-être deviner, qu’ils
avaient pu commencer sans lui, ou qu’il avait peut-être pris son pied en les
regardant toutes les deux et en se masturbant devant elles. Elles étaient
ses esclaves et il laissa deviner au mari qu’il en ferait ce qu’il voudrait.
C’est incroyable comme cette vue lui donnait le goût d’une érection
violente. Le bourreau s’approcha de lui et lui dit à l’oreille :

– Tu en as le goût ? Elles sont belles non ? De belles petites putes en
chaleur ! De belles petites putes rien que pour nous ! Dit-il en lui mettant
la main sur sa queue. Hum ! Tu sembles apprécier ce que tu vois. Tu veux
jouir ? Tu veux jouir avec elles ? Tu veux que je te masturbe un peu ? Je
crois deviner que tu as le goût de bien des choses… A ces mots, le maître
se pencha, défi le pantalon, et sortit la queue toute tendue qu’il
s’empressa d’engloutir. L’époux avait toujours fantasmé sur la fellation
faite par un homme et il en était drôlement servi. L’homme y allait avec
tellement de vigueur qu’il éjacula en moins de temps qu’il en aurait eu de
dire ouffff.

Il était incapable de dire mot. Il en avait le souffle coupé.

Le bourreau se dirigea ensuite vers la blonde au milieu de la pièce. Il prit
la chaîne reliée au collier de cuir et lui fit reculer la tête en lui
demandant qui il était.

– Tu es notre maître ! Dit-elle. Et je suis ta salope ! Répondit-elle de
nouveau dans un souffle caché par la cagoule.

Bien, mais je crois quand même que tu te fous de moi !

A ces mots, il tira de plus bel sur la chaîne et elle cria qu’il lui faisait
mal. Aux cris de la belle il tira d’avantage, elle avait maintenant la tête
complètement renversée. Elle s’agrippait du mieux qu’elle pouvait sur les
chaînes de ses poignets. Elle chancelait sur ses talons. Il passa une main
gantée sur le bout d’un de ses seins et tira la pointe sans ménagement. Il
rigolait aux cris de douleurs étouffés qu’il entendait. Il continuait à
retenir la tête de la fille tout en passant devant elle. Il ouvrit la bouche
et mordit la pointe de ses seins. Il tira, mordit à la faire hurler.

– Sale petite pute, tu vas savoir que je suis ton maître ! Et la mordit
encore plus. Il tirait maintenant sur sa tête pour la faire reculer
d’avantage en maintenant ses seins entre ses dents. Il ouvrit la fermeture
quelques instants pour l’entendre crier. Il jouissait. Il regarda l’homme
assis au fond de la pièce et lui fit un sourire.

– Tu aimes ? Elle est belle non quand elle hurle ?

– Oui, très belle ! Lui répondit-il en se masturbant violemment.

– Tu veux l’autre pour toi ? Tu veux l’autre petite chienne pour toi tout
seul ?

C’est alors qu’il compris que sa femme lui était destinée. Putain !!! Bien
sûr qu’il la voulait. Il ne voulait que ça d’ailleurs. Il comprit que sa
femme venait de lui rendre l’occasion de faire d’elle ce qu’elle avait fait
de lui, la nuit où il l’avait choisi sur le trottoir. Il éjacula à cette
idée. Il voyait sa femme sur le lit, attendre, la chatte bien mouillée. Il
était certain qu’elle jouissait d’entendre l’autre fille hurler des sévices
du bourreau. Le mari se leva et se dirigea vers la jeune femme attachée dans
le lit. Il prit le fouet et la caressa avec les fines lanières. Elle eut un
frisson instantané et feignit de protester. Elle avait confiance en lui mais
avait une petite peur qui la rendait très vulnérable. Elle savait aussi
qu’il apprécierait de se venger doucement. Il continua à la caresser avec
les lanières en lui demandant si elle avait peur.

– Non, je n’ai pas peur de toi.

– C’est comme ça !!! Bien tu vas voir ce que tu vas voir sale petite garce !

– Tu n’es rien d’autre qu’un opportuniste ! Lui dit-elle.

A ces mots il devint menaçant et d’un seul coup de fouet bien placé lui
infligea son premier coup. Le cri resta au fond de sa gorge et il continua
de lui en infliger de plus en plus précis. Il atteignit sa poitrine qui se
souleva suite aux coups.

– Alors petite pute tu me dis ce que je veux entendre ou je continue ?

– Tu es mon maître ! Dit-elle la voix éteinte par des sanglots.

Il continua à la caresser avec le fouet et d’une main lui pinça les seins.
Il tournait les pointes entre ses doigts et les tira. Il avait une grande
envie d’éjaculer sur sa petite femme et ouvrit la fermeture éclair. Il se
mit à quatre pattes sur sa poitrine et lui força la bouche pour se faire
entrer en elle. L’excitation était à son extrême, il divaguait de se voir
disparaître à l’intérieur de sa bouche sans voir le reste de son visage.
Très peu de temps pris à la jeune femme pour le faire jouir. Le sperme coula
en elle qu’elle s’empressa d’avaler. Il se releva et recommença à la
frapper.

– Tu m’as fait jouir trop vite, garce ! Lui dit-il. Tu ne mérites rien
d’autre que d’être puni. !

Elle cria sa douleur et il en était excité. Il arrêta et se tourna vers les
autres participants de la pièce et ce qu’il vit lui infligea une sacré
érection. Le bourreau était là, derrière elle, et enfonçait le manche du
fouet dans l’anus de la belle. Elle était à bout de force et avait la tête
penchée vers l’avant. Elle grondait, toujours cachée sous ce casque de cuir.
Il n’y allait pas de mains mortes. Il l’enfonçait encore plus à chaque
poussée. Il la retenait d’une main pour pouvoir la garder en place. On
pouvait la voir mouiller de ce qu’il lui infligeait. Il fit glisser sa main
sur la chatte de la femme et lui masturba le clitoris presque avec violence
tout en la pénétrant encore plus profondément. Elle hurlait de plaisir mais
ses cris étaient toujours étouffés. Elle ne tenait plus sur ses jambes. A ce
spectacle, le mari se leva et alla vers eux. Il se mit devant elle et mordit
à pleine bouche la pointe si dure de ses seins. Les deux hommes
s’acharnaient maintenant sur elle. Le mari prit la chaîne reliée au collier
et la tira par derrière en lui disant qu’elle avait de la chance d’être
tombée sur eux. Il redescendit sur sa poitrine et la mordit de plus bel. Il
délivra la bouche de la jeune femme en ouvrant la fermeture. Le bourreau
étendit la main vers la queue dure du mari et entreprit de le masturber tout
en ne laissant aucune chance à la jeune femme de reprendre son souffle. Il
fut surpris de ce geste mais ne recula pas. Il était concentré sur elle et
ne bougea pas. Le bourreau tira sur la queue doucement pour l’approcher du
clito de la jeune femme et la poussa sur ce dernier. Il retira le fouet du
cul de la belle, détacha les chevilles de la blonde et planta en elle sa
propre queue tout en la poussant sur celle du mari. Il lui releva les jambes
pour pouvoir permettre au mari de s’enfoncer dans son vagin trempé par leurs
gestes. Il plaça ses mains sur les hanches de l’esclave et lui fit faire un
va-et-vient presque brusque. Il demanda au mari de ne pas cesser de la
mordre. Elle haletait, elle jouissait d’eux. Ils la balancèrent sur eux
jusqu’à éjaculation. Ils jouirent, tous les trois avec violence. Elle était
parcourue de spasmes et de tremblements incontrôlables. La sueur perlait sur
leurs corps. Ils étaient épuisés. Ils détachèrent la belle et elle tomba sur
le sol. Ils la laissaient ainsi reprendre ses sens et se retournèrent vers
la tendre épouse.

Elle aussi, les jambes écartées, mouillait abondamment et ils admiraient le
spectacle. Le bourreau avec l’aide du mari, souleva la femme et se glissa
sous elle. Il la pénétra sans avertissement directement dans son petit cul..
Il fit signe à son mari de la prendre par-devant, ce qu’il fit sans hésiter.
Il poussa de toutes ses forces pour la prendre aussi profondément que ce fut
possible. Elle était si mouillée, si chaude, que se ne fut pas si difficile
que cela. Elle le serait en lui et il sentait la queue de l’autre sur la
sienne. Le bourreau lui tenait les mains, donnait des mouvements forts et
brusques. Il donna l’ordre à la jeune femme étendue sur le sol de venir les
rejoindre. Il l’a fit asseoir sur l’ouverture de la cagoule pour que la
langue de la jeune femme puisse la lécher. Le mari s’attarda sur les seins
de la jeune femme à chaque poussée. On pouvait les entendre crier de
plaisir. Le bourreau donnait la cadence. Il mordait le cou de la jeune
épouse pour la faire crier sur la chatte de la jeune femme assise sur sa
bouche.

– Vous êtes deux petites déesses de sexe !

Dans un cri commun, ils éjaculèrent tous ensemble et s’étendirent pour
reprendre leurs forces. Après quelques minutes à reprendre leurs esprits ils
détachèrent la jeune femme encore prisonnière de ses liens et retirèrent les
deux cagoules qui couvraient encore la tête des deux jeunes femmes.

– Marie ?? Cria l’époux ! Encore toi? Merde quel con je fais, comment ai-je
pu ne pas te reconnaître?

Les deux jeunes femmes pouffèrent de rire.

– Je t’avais bien dit que je passais la soirée avec Marie non ? Tu ne veux
jamais me croire ! On a plus jouis que jacassé comme des pies mais bon ? Tu
ne t’en plains pas trop comme je peux voir! Lui dit-elle avec le rire plein
la gorge.

Ils prirent une douche réparatrice et sortirent tous les trois.

– A quand la prochaine surprise ? Et elle viendra de qui cette fois ci ?
Demanda l’époux a ses deux complices.

Hum ! On prend l’ascenseur ou l’escalier? J’ai jamais fais dans l’ascenseur
dit Marie et toi ? Demande-t-elle à sa copine. C’est alors encore une fois
qu’ils rigolèrent tous en cœur de leur sacré gourmandise.

Joy
missjoy65@hotmail.com

Copyright © 2001
Première publication sur Vassilia, le 24/06/2001
Ce récit a eu l’honneur d’obtenir le 1er prix du concours des histoires
érotiques décerné par Revebebe pour Juin 2001

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2 réponses à Il était là… 3 – La chambre d’hôtel par Joy01

  1. Stablinski dit :

    Pas mal du tout, à lire sans se presser

  2. Claire dit :

    Franchement pas mal (et mieux que le numéro 2) mais on est quand même loin , très loin du choc de la lecture de l’épisode n°1

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