La basketteuse furieuse par TSM

La basketteuse furieuse
par TSM

Lorsqu’il pénètre dans le salon le lundi 17 mai 2010, à la mine furieuse de sa femme Jean sent immédiatement qu’il va y avoir le feu. Après 20 ans de mariage, il y a des choses que l’on comprend sans même qu’un mot ne soit échangé.

– Qu’est-ce qu’il se passe ma puce ?
– J’hésite entre demander le divorce ou te massacrer ou les deux !

Informaticienne passionnée mais aussi basketteuse semi-professionnelle, avec son mètre quatre-vingt-douze et sa forme physique, si Marize décidait de se battre avec son mari, ce dernier ne ferait pas le poids. Il est mince, mesure un mètre soixante-cinq et ne pratique aucun sport. S’ils se sont trouvés des affinités il y a 22 ans, leur différence de taille attire les regards mais il s’en moque, ce qu’il aime par-dessus-tout c’est qu’elle le domine sexuellement. Entre ses mains, il réalise partiellement quelques fantasmes de soumission sexuelle quand ils font l’amour. Maryse a toujours refusé de donner dans le SM, hormis le bousculer ou au pire le fesser, elle n’entre pas dans ses délires même si elle se plait à le bousculer un peu sous la couette. Le jeu de la cage de chasteté dans lequel il l’a entrainée il y a deux ans, ne l’a amusée qu’un temps.

– Qui est cette fille que tu appelles nurse Helena et à qui tu files du fric ? D’ailleurs, qu’est-ce c’est que ce compte bancaire caché ? Depuis quand mènes-tu une double vie ? Hurle Marize en bondissant de son fauteuil pour se précipiter vers son mari. Tu me fais cocue depuis quand ? Lui-dit-elle en l’attrapant par le col de sa chemise.
– Je ne t’ai jamais trompée, calme-toi ! Crie Jean malmené et sur la pointe des pieds, presque soulevé par sa femme déchainée. Je vais t’expliquer.
– Et puis c’est quoi ces histoires que tu inventes que tu publies sur www.fessestivites.com où je te forcerais à porter des couches ? Tu es malade ou quoi ? Assume tes fantasmes, dit que tu aimes porter des couches c’est plus honnête. Depuis quand en portes-tu ? Tu fais ça quand ?
– Pendant tes entrainements ou tes matchs. Répond Jean très gêné.

Jeté dans le canapé par sa femme furieuse et déchaînée, Jean n’en mène pas large. Il lui demande de s’asseoir et de se calmer, il va tout lui avouer. Les mains jointes presque comme au confessionnal, il commence par jurer qu’il ne l’a jamais trompée puis entreprend de dévoiler ses plaisirs et délires ABDL. Maryse pose 1000 questions en tournant autour de lui sans parfois même lui laisser le temps de répondre. La dispute est sévère, oui, il a payé une femme pour qu’elle lui mette des couches, qu’elle le change et lui donner des fessées. Oui, elle l’a fait dormir entravé et en couche mais jamais au grand jamais ils n’ont eu de rapport sexuel et ne se sont embrassés. Ce n’est pas de l’amour ou du sexe, c’est du nursing lui permettant de réaliser ses fantasmes.
La dispute dure tard dans la nuit, le fait qu’il ait ouvert un compte bancaire sur internet et détourné de l’argent du ménage pour payer une femme ne passe pas plus que le fait qu’il aille voir une autre femme pour réaliser ses fantasmes. Dans sa rage, elle l’obligé à lui faire voir où il cache ses couches et découvre des tenues de bébé adulte, des culottes en plastiques, des menottes. Pendant des années, elle est passée dans le garage devant la grosse cantine près de l’établit sans jamais retirer les outils posés dessus pour voir ce qu’il y a à l’intérieur.

Vers deux heures du matin, Marize va prendre une douche et se couche en envoyant son mari dormir sur le canapé. Le lendemain, la colère fait encore rage, les portes claquent, les mots grossiers fusent, le verbe est très haut. En quittant la maison, elle lui indique qu’elle ne sait pas encore ce qu’elle va faire. Pour essayer de se faire pardonner, toute la journée il lui envoie des mots d’amour par texto, puis des excuses et tentatives d’explications par emails, ses messages restent tous sans réponse.

Au bureau, les pensées de Marize s’entrechoquent, elle passe de la colère au doute, puis à l’incompréhension. Elle sent bien que les mots d’amour de son mari sont sincères et qu’il est malheureux. « A-t-il fait ça parce que je ne le domine pas comme il voudrait ou est-ce parce qu’il compense psychologiquement ma stérilité en jouant au bébé » ? Cette question la mine et sauvera leur couple, mais cela ne sera pas sans conséquences.

48 heures plus tard
Lorsqu’il pénètre dans la maison, à la mine de sa femme Jean sent immédiatement qu’il va se passer quelque chose de grave. Sur la table basse du salon, bien en évidence sont posés sa cage de chasteté, ses couches et ses tenues. Elle lui ordonne d’aller s’asseoir et d’attendre qu’elle arrive. Les yeux battus la mine triste et les joues blêmes, Jean s’exécute comme un condamné au tribunal en étant convaincu qu’elle va soit le virer lui et ses jouets, soit lui demander de tout bruler.

– J’ai pris ma journée pour réfléchi, craquer tous les codes minables des dossiers cachés sur ton ordi que j’ai pris le temps de fouiller et je vais te proposer deux choix. Soit nous divorçons mais avec un divorce où tu prends tous les torts, de toute façon il y a assez de preuves pour convaincre un juge que tu es dépravés et que tu me trompes, soit tu mets ta cage de chasteté et tu deviens réellement mon soumis. Dans ce cas, tu feras tout ce que JE veux, tu ME donneras les codes de ton compte bancaire que JE vais fermer et tu me donneras ta carte bleue. Tu as une minute pour décider.

Tout cela est dit d’une voix chargée de rage avec un doigt inquisiteur pointé sur lui. Si la cage de chasteté et la soumission masculine comptaient des fantasmes de Jean, l’être réellement en permanence ne l’amuse pas. Ses yeux mouillent puis se mettent à couler mais cela n’apitoie pas sa femme. Convaincu que s’il accepte elle lui fera payer ses erreurs mais que cela ne durera pas, Jean lui indique qu’il l’aime, qu’il ne peut se passer d’elle, que ce serait terrible pour lui qu’ils divorcent mais que les conditions qu’elles lui imposent sont draconiennes.

– Il te reste 10 secondes. Est la seule réponse de Marize.
– J’accepte ma chérie pour te prouver que je t’aime comme un fou. Crois-moi, je ne t’ai jamais trompée.
– Tu as juste trompé ma confiance, tu m’as juste menti, nous n’avons pas la même vision de l’amour. Met-toi nu et mets ta cage de chasteté.

Jean est blême, à la limite d’exploser de rage mais pour sauver son couple il va abdiquer et se soumettre à la femme qu’il découvre malgré leurs 20 ans de mariage. Se mettre nu devant sa femme en temps normal ne lui pose aucun problème, présentement, la démarche est différente, il est très gêné mais s’exécute. Si en d’autre temps, mettre sa cage de chasteté générait en lui une sourde excitation, cette fois, il n’y a pas d’urgence, sa verge restera basse et mole.

– Bien, donne-moi la clé et met-toi en couche puis une de tes tenues devant moi que je vois à quel point tu es ridicule en bébé.

Mort de honte avec les yeux embués de larmes, Jean abdique encore une fois. Ses gestes pourtant réalisés mainte et mainte fois sont gauches, pour mettre sa couche il doit s’y reprendre à deux fois. La mort dans l’âme, il enfile une culotte en plastique puis le body rose pour lequel il a en d’autres temps tant fantasmé puis éprouvé du plaisir à le mettre quand elle partait le week-end pour des matchs de basket. Inébranlable Marize ne bouge pas d’un cil en prenant plaisir à voir Jean qu’elle tyrannise totalement déconcerté.

– Maintenant donne-moi les codes d’accès à ta banque et va faire à manger !
– Nous pourrions peut-être parler un peu, boire un verre, ….
– Non ! Dit Marize en le coupant net. Arrête tes mièvreries donne-moi les codes des sites et de la banque immédiatement et va faire à bouffer.

Marize n’est pas prête à disconvenir sur quoi que ce soit. Sa rage intérieure ne le lui permet pas alors que dans ses habitudes et sa façon d’être, elle prêche volontiers la discussion et les compromis.

Jean lui indique ses codes et tourne les talons et dans un élan de colère bien visible, s’enfuit à la cuisine avec des pensées qui ne sont pas sans quelques oppositions avec le statut qu’il vient d’accepter. De son côté, Marize est aussi étonnée de voir son mari céder que de ses propres actes. Elle n’aurait jamais pensé avoir le courage d’aller jusqu’au bout. En le voyant s’enfuit à la cuisine, un étrange sentiment de puissance la submerge. Elle en bondit presque du canapé pour foncer à l’ordinateur de son mari. En informaticienne douée, virer les fonds sur leur compte commun ne prend que quelques minutes tout comme imprimer le document à envoyer en recommandé pour fermer le compte bancaire. Dans sa lancé, prise par le sentiment de puissance gagnant en intensité, elle met un code à son ordinateur pour l’empêcher d’y accéder sans son accord. Elle se rend ensuite en jubilant à la cuisine pour martyriser son mari quelle aime toujours malgré ses découvertes ahurissantes et révoltantes.

– Tu es beau comme ça en gros bébé ! Lui dit-elle en se lovant contre lui pour masser l’entrejambe protégé par la couche. Pourquoi as-tu pris ce body de couleur rose ? Les garçons, c’est en bleu.
– Il n’y avait pas de bleu. Répond Jean totalement dépassé par les évènements et en totale perdition psychologique au contact des mains de sa femme sur sa couche.

Le repas du soir de chez Vivagel, est consommé sans trop d’échanges, l’heure n’est pas propice aux dialogues. Pendant l’émission de variété, Jean tente un rapprochement physique de son épouse en venant se coucher contre elle dans le canapé. Hormis le contact physique qui en d’autres temps si ce n’était la tenue de Jean, ferait penser à un couple d’amoureux, il ne se passe rien. Ils sont aussi gênés l’un que l’autre. Au moment d’aller se coucher, alors qu’il s’apprête à entrer aux toilettes, elle le coupe dans son élan en lui indiquant qu’il n’a pas l’âge d’aller à cet endroit. Si la boutade était humoristique, elle ne le laisse pas pour autant faire son pipi du soir et l’oblige à se coucher immédiatement. A peine ont-ils éteint la lumière, que Marize l’enlace et passe sa jambe par-dessus les siennes. Si l’idée de Jean était de se relever pour aller faire ses besoins lorsqu’elle dormirait, présentement, si elle ne bouge pas d’elle-même il sait qu’il ne pourra pas s’esquiver.

Marize est tombée follement amoureuse de Jean très rapidement lorsqu’ils se sont rencontrés. Sa douceur, sa gentillesse, son humour l’ont comblée. Si son plus gros regret est de ne pas pouvoir avoir d’enfant, Jean ne le lui a jamais reproché même les fois où ils se sont disputés. Hormis cette histoire de sexualité dépravée et le fait que pour la vivre il ait détourné un peu d’argent du ménage en arrêtant discrètement le sport en salle, il a toujours été adorable et attentif. Marize se remet secrètement en cause, peut-être a-t-elle une part de tord elle aussi, car elle n’a pas vraiment répondu aux désirs de son mari contrairement à lui, qui la gâte plus que de raison. Le sommeil ne venant pas pour l’un et l’autre, ils se mettent à parler. Maryse veut savoir, comprendre ce que recherche Jean dans ses jeux, les raisons et plaisirs de a couche en lui demandant si c’est parce qu’il n’a jamais eu le fils qu’il rêvait d’avoir.
Devant la douleur et les regrets éprouvés par Marize à cause de sa stérilité, Jean décide de parler sans pudeur de ses fantasmes et délires pour qu’elle ne culpabilise pas à tort. Les discussions durent jusque tard dans la nuit, et pour lui faire plaisir, elle joue avec la couche et le caresse à travers les épaisseurs ouatées. Dans la cage de chasteté, le Popaul de Jean en pleine crise d’affection est compressé, il la caresse et l’embrasse tendrement en lui demandant pardon. Le sommeil finit par cueillir les tourtereaux enlacés.

Vers deux heures du matin, Jean ne tient plus, son envie d’uriner est trop pressante, Marize tirée du sommeil et donc de mauvaise humeur, le bloque aussitôt et lui interdit de se rendre aux toilettes. Ce sera pour Jean très gêné un premier pipi au lit d’adulte à côté de sa femme et pour elle un grand moment de jouissance psychologique que de se venger en utilisant les fantasmes de son mari. Si l’adage dit que la nuit porte conseil, ce sont de drôles de conseils pour Marize qui se remémore certains passages des textes rédigés par son mari où il l’a décrit comme une Maîtresse sévère abusant de son soumis amoureux. Les changements vont être notables !

Depuis le mardi 18 mai Jean va travailler sans couche mais en gardant sa cage de chasteté dont elle garde la clé comme ils l’ont fait par le passé quand ils jouaient un peu. Le soir, pendant qu’elle surfe sur l’ordinateur familial, il doit faire le repas ce qui est nouveau pour lui. Tous les soirs, elle l’oblige à mettre une couche et son body avant de se coucher. L’effet cage de chasteté se fait sentir, cela fait maintenant quatre jours qu’il la porte en permanence. Son sexe, devient chaque jour, chaque nuit davantage, le siège de désirs impérieux.

Changements Psychologiques
Les dispositifs de chasteté rendent les hommes amoureux, tendres et câlins. Ces changements ne sont pas volontaires ni des tentatives de manipulation affective pour essayer d’obtenir une libération mais par effet ricochet sur le plan psychologique. L’absence d’éjaculation n’est pas la seule clé de voute de ces changements, le fait d’avoir en permanence le sexe prisonnier et de laisser l’autre gérer son sexe affecte lourdement les sentiments en les décuplant tout autant que les envies de contacts.

De fait, Jean devient follement amoureux de sa femme qu’il câline, papouille sans même qu’elle ne lui demande. Ses étreintes câlines sont aussi fortes que celles du début de leur vie de couple.

Marize n’attribue pas ses élans affectifs de plus en plus généreux à la cage de chasteté mais aux couches et tenues ABDL qu’elle lui impose chaque soir. Elle est intimement convaincue que sa stérilité est une des causes de ses déviances sexuelles et qu’il a besoin à la fois d’une femme mais aussi d’une mère puisqu’il se complait à porter des couches et autres tenues comme les bébés.

En même temps, ne pas avoir d’enfant la travaille, elle n’a jamais fait son deuil de ne pouvoir procréer. Le fait de sentir son gros bébé ultra câlin contre-allée la nuit la profondément perturbée en réactivant les regrets. Quelques symptômes de dépression l’affectent, elle porte en elle un sentiment de culpabilité, vis-à-vis de son mari.

Si lui accorder la possibilité de vivre ses fantasmes d’infantilisation peut le rendre heureux, je me dois de l’aider à les vivre, plutôt que de lui faire des scènes de ménage, pense Marize.

Entre deux emails professionnels, un massage attire l’attention de Jean.

De : Maryse@xxx.fr]
Envoyé : vendredi 21 mai 2010 12:48
À : jean.marcy@free.fr’
Objet : l’amour

Mon amour,

Depuis ma découverte, je suis passée de la déception à la rage en passant par la haine mais j’avais bien tort et je te prie de m’en excuser. Ces derniers jours j’ai pris conscience de certaines choses, de tes envies, de tes fantasmes et des troubles qui te minent. Je sais que tu m’aimes et je ne pense pas que tu m’ais trompée au sens propre du terme même si tu as quand même mis un coup de canif dans le contrat. Je sais maintenant pourquoi tu as fait ça et je te promets de tout faire pour te rendre heureux.
J’arriverai un peu plus tard ce soir à la maison, ne te fais pas de souci et prépares-nous un bon dîné, j’ai une surprise pour toi

Je t’aime.

Cet email perturbe les neurones embrumés de Jean profitant d’être seul au bureau pour surfer sur http://www.abkingdom.com/. Son sexe encagé compressé suite à la vision d’images érotiques ne lui permet pas de s’interroger sur ce changement soudain d’attitude. A fond dans ses fantasmes, il lui répond aussitôt qu’il l’aime comme il ne l’a jamais aimé et signe « ton bébé d’amour » ce qui conforte aussitôt Marize dans ses pensées déprimantes.

A la sortie de son travail, Marize se rend dans un magasin de puériculture pour faire quelques achats puis passe à la pharmacie pour acheter de grosses couches pour personne incontinente. En arrivant à la maison, elle dépose discrètement ses surprises dans le garage avant de rejoindre son mari aux fourneaux. De tendres baisers d’amour sont échangés, les étreintes ressemblent à celles d’adolescents follement amoureux qui se retrouvent. A la fin du repas, Marize aide Jean à débarrasser avant de le conduire à la salle de bain. Elle fait couler un bain et lui retire ses vêtements avec douceur. Jean en manque affiche aussitôt une érection digne de ce nom mais son sexe encagé ne peut déployer toute sa vigueur et tire douloureusement sur ses testicules. Lorsqu’il la voit prendre à son cou la clé de sa cage de chasteté, le gros bébé est submergé par des envies d’adultes……

Troublée par l’effet qu’elle génère, Marize s’imagine que son mari son mari est excité parce qu’il est lavé comme un bébé ce qui la conforte dans sa culpabilité. Bien décidée à se faire pardonner en compensant sa stérilité elle va lui offrir un week-end de rêve. Jean enveloppé d’un drap de bain est conduit à la chambre où il doit s’étendre sur le lit et attendre sans bouger. Deux minutes plus tard, Marize vêtue d’une blouse blanche entre avec ses paquets à la main troublant son bébé particulièrement surpris. La nurse lui fait voir qu’elle a pensé à lui et passe du lait de bébé autour du sexe bandé à rompre pour finir la toilette. Elle déchire plus qu’elle ne l’ouvre le paquet de grosses couches pour en extraire une qu’elle pose sous les fesses de Jean troublé et rouge comme une écrevisse. Après l’avoir talqué, elle essaye de remettre la cage de chasteté mais loger la verge gorgée de désir ne le permet pas. Une lutte acharnée viendra à bout du Priape frustré au bout de quelques minutes.

Lorsque la couche est fermée et une culotte en plastique enfilée Marize plonge sa main dans un gros sac pour en extraire un paquet cadeau qu’elle tend à Jean surpris de tant de changements. Il s’empare du paquet qu’il déchire aussitôt pour découvrir une grenouillère. Ses yeux mouillent de joie plus pour le geste que le cadeau, il l’attrape sa femme prestement pour l’étreindre et l’embrasser comme un fou. Les moments de tendres émotions passés, il enfile la grenouillère, Marize remonte la fermeture éclair dans le dos du vêtement puis se jette sur son bébé pour le manger de bisous.

La perte de contrôle de son corps, dans ses fonctions les plus intimes, font perdre de vue à Jean la réalité de la possession dont il devient la victime. Il est monstrueusement amoureux et heureux que son épouse partage ses délires ABDL. Ils ne regardent pas la télévision et passent la soirée à se papouiller, à se câliner. Marize cède aux envies de sexe de son mari et se laisse à son tour manger de bisous d’amour jusque dans son intimité. La fougue de Jean ne laisse pas son épouse de marbre, elle feule, se cambre, s’offre à la langue de virtuose titillant sa perle sanguine exposant sa volonté d’être lutinée. Marize feule de plus en plus fort en tortillant son corps puis exhale un incroyable soupir cisaillant presque le cou de son mari lorsque sa jouissance arrive.

Cette titanesque série de contractions la surprend, la pousse presque à hurler son plaisir. Rompue et repue, elle s’écroule sur le lit. Elle du mal à respirer tant la jouissance avait été longue et forte. Jean lui caresse le dos, les épaules, la nuque, les cheveux en déposant des baisers sur chaque parcelle de son visage. Cette torride soirée, les réactions de son corps et de cette de son mari la confortent dans ses décisions : elle se doit de dominer son bébé pour qu’ils soient heureux.

Tendrement enlacés, ils échangent quelques mots après avoir éteint la lumière. Lorsqu’il lui explique que sa frustration physique lui fait vivre des sensations méconnues d’une puissance rare, Marize déjà perturbée par l’analyse des évènements et de sa si forte jouissance interprète ses propos comme une volonté d’être son bébé chaste pour la vie et qu’elle est dans la bonne voie pour rendre son mari heureux.

Au petit matin, bien décidé à poursuivre l’action entreprise pour combler son mari, Maryse se lève avant Jean pour lui préparer un biberon de café. Tiré du sommeil par des caresses et mots doux, il se blottit contre son épouse qui l’attire sur elle. Lorsqu’il sent quelque chose sur ses lèvres, il ouvre les yeux et découvre le biberon. Mi-amusé, mi-gêné, il joue le jeu et le prend en bouche pour téter. Si les jeux avec les couches et la cage de chasteté comptent de ses fantasmes, être totalement infantilisé ne l’amuse pas vraiment mais il ne dit rien.

Marize ne lui accorde pas le droit de se lever et lui impose de rester couché. Jean essaye bien de se rebeller un peu puis explique à son épouse qu’il a envie d’aller aux toilettes. Elle refuse catégoriquement et lui rappelle qu’il a une couche pour ça. Un rapport de force s’installe, elle ne cédera pas et veut lui offrir un week-end ABDL. Si pour Jean, boire un biberon était acceptable, déféquer dans une couche ne l’est pas. En nurse autoritaire, Marize le menace en lui promettant une fessée s’il continue ses caprices et de l’attacher si besoin est pour l’obliger à vivre ses délires de bébé jusqu’au bout. Pour asseoir ses propos, la basketteuse semi-professionnelle couvre aussitôt son mari d’un mètre quatre-vingt-douze de femme décidée et en pleine forme physique. La lutte est inégale, Jean avec son corps mince et son mètre soixante-cinq ne fait pas le poids quand en prime elle entreprend de lui faire des chatouilles.

Comme deux enfants jouant dans un lit ils s’affrontent entre deux bisous et crises de rire. Bien décidée à le faire plier, Maryse entreprend d’entraver les mains de son bébé avec la ceinture de son peignoir. Couché sur le ventre et écrasé par le poids de sa femme, Jean poignets liés dans le dos ne peut que râler pour la forme parce qu’en même temps, cette domination l’excite monstrueusement.

Marize perçoit clairement au son de la voix de son mari qu’il n’est pas vraiment fâché. Le corps à corps et les évènements l’excitent bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé. Décidant plus pour « voir » que pour pousser sa domination elle ordonne à son mari de lui faire une « gâterie ». Pris dans le jeu des rapports de domination soumission et avec la verge si bandée qu’elle malmène la cage de chasteté et ses précieuses, Jean abdique aussitôt et passe tan bien que mal sous la couette. Cette soumission passionnelle est grisante pour Marize tout émue de voir son époux heureux. Lorsqu’il pose ses lèvres sur son intimité, Marize frisonne de plaisir, le premier coup de langue lui fait l’effet d’un électrochoc. Pourquoi avoir attendu si longtemps pour le dominer et être passé à côté à côté de tant de plaisir est la question qu’elle se pose.

Pleinement investi dans sa mission, Jean fond, craque, la cage de chasteté masculine lui apporte, à travers l’épreuve du temps et l’attitude de sa maîtresse d’amour un « voyage » mental extrême et des réactions physiques proches de l’orgasme sexuel. Il se frotte sur le lit en même temps qu’il lui titille le clitoris comme pour apaiser le feu de son excitation. Le voir agir comme une chatte en chaleur trouble Marize de plus ne plus, sa tête est en ébullition, son ventre est traversé de spasmes de plus en plus intenses. Ses muqueuses semblent incandescentes. Prise dans le tourbillon d’un plaisir nouveau, elle attrape Jean par les cheveux et force sa tête entre ses cuisses comme si elle voulait l’y faire entrer dans un sentiment de fusion extrême jusqu’à une jouissance paroxystique qui la dépasse. Jamais au grand jamais avec cette épreuve, elle n’avait atteint de pareil sommet.

Repue de luxure, épuisée, elle serre les jambes pour qu’il ne bouge plus et se laisse aller à une douce somnolence. Jean étouffe un peu sous la couette, mais il n’ose bouger. Faire pipi et déféquer dans ma couche quelle honte se dit-il mais cette honte est trop délicieuse pour résister. Il se laisse aller à uriner et à laisser s’échapper un peu de matière fécale avant de se reprendre et de serrer les fesses comme un fou. Tout honteux, il essaye de se soustraire des jambes de Maryse qui l’y bloque aussitôt.

– J’étouffe ! Crie Jean

Marize le libère aussitôt mais l’attire à lui pour l’embrasser à pleine bouche et lui dire combien elle l’aime. Entre deux baisers fougueux Jean demande à se rendre aux toilettes mais la tortionnaire de son cœur le lui refuse à nouveau. En colère, il menace de tout faire dans sa couche si elle ne le libère pas aussitôt.

– Et alors, c’est fait pour ça non ? Lui répond Marize insensible à sa gêne.
– C’est dégueulasse !
– On s’en fiche mon bébé, maman s’occupera de toi après, fait dodo.

Ce n’est que vers 11 heures que Maryse émerge pour constater que Jean n’est plus avec elle. Furieuse, elle se lève aussitôt pour le trouver dans la cuisine en train d’essayer de couper la ceinture de son peignoir avec un couteau.

– Tu es fou, tu risques de te blesser. Vient, je vais te libérer.

Jean se tourne aussitôt pour lui donner le couteau. Elle se bagarre avec la ceinture un moment parce qu’en forçant sur le nœud il s’est serrée. Lorsqu’elle parvient à le libérer, elle se rend aux toilettes dans lesquels elle s’enferme à clé. Jean trépigne d’impatience devant la porte en la suppliant de se presser mais Marize n’en a que faire, elle ne sortira que lorsqu’elle aura terminé son mot croisé.

Il peste, rage, supplie mais en vain, cuisses et fesses serrées, il attend devant les toilettes quand soudain elle lui crie à travers la porte qu’il n’y a plus de papier WC. Et là, trop heureux de pouvoir se venger un peu, Jean se moque en lui disant que maintenant, c’est elle qui est dans la merde et qu’elle va devoir le supplier pour qu’il aille en chercher. La porte s’ouvre soudain, le mètre quatre-vingt-douze et la musculature de la basketteuse au visage amusé bloque le passage.

Alors comme ça, tu te moquais, ah nous deux ! Lui dit Marize en lui jetant un rouleau de papier toilette neuf qu’il attrape à la volé. Elle se jette sur lui avant même qu’il ait le temps de réagir pour l’attraper à bras le corps et le soulever. Les jambes de Jean dans le vide battent l’air, il crie « non s’il te plait » mais en vain, elle le porte jusqu’à leur chambre pour le jeter sur le lit. Elle réalise un plaquage digne d’un rugbyman puis lui fait des chatouilles. La lutte fait rage, mais lorsque l’on rigole et se bagarre, on force …… Le gros bébé se lâche puis se répand dans sa couche en criant « stop ». Prise par le jeu, Marize continue un moment malgré mes cris de plus en plus colériques. Quand ces derniers commencent à devenir méchants, elle lui clos la bouche d’un gros baiser fougueux.

– Je t’aime !
– Je te déteste ! Lui répond Jean essoufflé, gêné mais calmé.
– J’ai envie de toi, va vite te changer puis te laver et vient me faire l’amour.

Trop heureux Jean fonce aux toilettes, il en a de partout et râle. La douche lui fait un bien fou mais il ne s’éternise pas trop heureux de pouvoir enfin jouir.

Libéré de sa cage, il est happé par sa femme à peine est-il sur le lit pour être dévoré. Marize lui interdit de jouir lorsqu’elle le sent « monter » mais ne se prive pas de plaisir en le chevauchant comme une folle. Assise sur lui, elle savoure sans bouger les dernières contractions puis s’allonge pour l’embrasser goulument, comblée et heureuse. Le Popaul au garde-à-vous prêt à partir en manœuvre, Jean attend la suite avec impatience.

– Hum, tu étais gros, dur, c’était bon…… Maintenant, tu vas remettre ta cage et une couche, on va au resto.
– Et moi ?
– Toi, tu vas être en permanence mon bébé chaste, puisque tels étaient tes envies, qui finalement m’amusent beaucoup. Je ne te libérerai que quand j’aurai envie de toi.

Ce n’était pas tout à fait ce qu’attendait Jean car le « en permanence » lui fait peur mais malgré tout, il est heureux. Ses rêves et fantasmes se réalisent, sa femme devenue sa Maîtresse et nounou l’aime, que demander de mieux ?

TSM

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Une réponse à La basketteuse furieuse par TSM

  1. Kiroukou dit :

    Ça commence très bien (c’est bien écrit et bien amené) et puis l’auteur passe de suite aux choses sérieuses : Ah ! C’est ça ton fantasme ? Ah bien je vais te prendre au jeu… Et on y va ! A la limite pourquoi pas mais encore faut-il que le fantasme nous titille ou au moins éveille en nous une certaine curiosité. Moi le Adult Baby (puisque c’est de ça qu’il s’agit) me laisse froid, reste la curiosité… mais force est de constater que l’auteur a fond dans son fantasme n’a pas su le faire partager.

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