Jeux de pipi, jeux de vilains par Faustin

Jeux de pipi, jeux de vilains
par Faustin

Il est préférable pour vous que si vous lisez ces lignes, vous soyez, vous aussi, atteint par cette fascination qu’on certain pour le pipi. Si ce n’est pas le cas, il vous faudra faire preuve de beaucoup de tolérance et d’ouverture d’esprit.

Tout d’abord, comment attrape-t-on cet ignoble défaut ? Ben euh ! ! ! Je n’en sais rien, Freud aurait sûrement trouvé une explication mais c’était Freud. Tout ce que je sais, c’est que chacun d’entre nous, homme ou femme, traverse une période pipi-caca entre les âges de trois à six ans. Est-ce que cette période c’est moins bien passée pour certain que pour d’autre ? En tous cas, le tabou s’est mis en place. C’est sale et dégoûtant !

C’est sale et dégoûtant et pourtant, ça fait bander des hommes et sûrement mouiller des femmes. Qui sont ces hommes et ces femmes ? Vous ? Moi ? Ce monsieur à l’apparence très digne ? Cette mère poule bien comme il faut ? Comment savoir ? La morale interdit d’en parler sous peine de passer pour des vicieux. Pour un homme, ce n’est pas facile d’en parler avec sa femme mais au pire, il passera pour un vicieux (mais cela peut-être parfois une qualité n’est-ce pas mesdames). Cela doit être encore plus difficile pour une femme. Imaginez qu’elle essai d’en parler avec son ami ou mari et que celui-ci ne sois même pas effleuré par ce fantasme. Il la regarde comme si elle débarquait de la planète Mars. Ça peut briser un ménage. Alors elle enfouit son vice au fond d’une poche de son tablier et le recouvre de son mouchoir. Comme ce n’est pas écrit sur son front, elle entonnera les mêmes mots que son mari pour rejeter ces pratiques ne serait-ce que pour préserver son ménage.

Trèves de digressions. Comment le pipi participe à la montée du plaisir sexuel ? Si vous êtes adepte, le paragraphe qui suit est une évidence pour vous, vous avez sûrement commencé par-là et vous pratiquer encore très régulièrement.

Par exemple, on est seul, c’est le cas le plus facile, le plus fréquent et le plus simple. On peut alors se pisser dans la main, sans demander quoi que ce soit à qui que ce soit, sans avoir à avouer ses penchants condamnables. Ce n’est pas grand-chose mais c’est comme un doux massage de la main avec en prime, un délicieux frisson provoqué par le tabou que l’on transgresse. Autre variante, sous la douche ou dans la baignoire, bien savonné, une brusque envie d’uriner, pourquoi attendre et polluer le sexe que l’on vient juste de récurer. Il n’y a qu’à se soulager ! Cela apporte le soulagement de se vider la vessie et un bien être très agréable, il est facile pour les hommes, de se diriger le jet sur les jambes ou sur le ventre, les femmes se contenteront de la laisser couler le long des jambes, ou alors, au prix de contorsions acrobatiques, de pisser en l’air et de s’auto arroser. Cette pratique est délicieuse, la douce chaleur du pissou se distingue à peine de l’eau chaude de la douche mais encore une fois, c’est la transgression du tabou qui est excitant. L’avantage est que l’on peut se rincer dans la foulée et ni vu ni connu.

Autre exemple, faire son petit besoin dans son slip ou sa culotte, il semble que ce soit plutôt les femmes qui soient adeptes de cette façon de faire mais il n’y a pas d’exclusives. On peut faire ça seul chez soi ou alors en publique. Dans ce dernier cas, les adeptes de ce que l’on appelle l’ondinisme ont aussi une tendance plus ou moins marquée pour l’exhibitionnisme. Partagé entre la provocation et la crainte de se faire remarquer, le sentiment du danger ajoute une louche d’excitation.

Il existe certainement d’autres pratiques en solitaire mais ce n’est pas le but de ce texte de faire un catalogue. Passons à l’étape suivante.

Bien qu’ils soient très agréables, les jeux en solitaires n’apportent pourtant pas autant de plaisir et de satisfaction que les jeux en groupes. Les jeux de pipi y sont particulièrement bien adaptés. Douche dorée, bain d’urine sont des temps forts dans les orgies sans tabou. La difficulté est de rencontrer des gens qui ont les mêmes goûts que vous. Vous pouvez bien sur participer à des soirées échangistes à thème ou faire « un plan uro » avec des gens rencontrés dans des endroits spécialisés mais il n’est pas sûr que vous ayez des affinités et les mêmes limites.

Par choix, je me limiterais à décrire des activités que l’on pratique à deux. Un homme, une femme.

On peut bien sur reprendre les mêmes jeux que les jeux en solitaire décrits plus haut. Se faire pisser dessus par sa partenaire et quand même bien plus excitant que de le faire seul sauf que trouver cette partenaire relève de la gageure.

On peut, par exemple, sous la douche, pendant que l’un des partenaires à genoux, lave les pieds de l’autre, ce dernier pour le remercier, lui pisse dessus, il y a là un côté SM bien excitant ! C’est facile et le flot de la douche permet d’effacer les traces au fur et à mesure.

Dans la baignoire, le pipi se mélange à l’eau du bain, si l’arroseur ne participe que pour faire plaisir à l’arrosé, cela peut réfréner son ardeur. Pour pallier à cet inconvénient, si c’est monsieur qui se fait arroser, madame peut mettre une planche en travers de la baignoire, s’asseoir dessus et pisser sur son partenaire, monsieur à moins de difficultés, il lui suffit de diriger son jet. Si les deux apprécient ces jeux, il suffit que l’un se lève pour arroser l’autre ou alors, ils peuvent aussi s’arroser mutuellement.

Une autre technique, dont on parle beaucoup moins, est de se soulager à l’intérieur de sa partenaire. Pour cela il faut quand réunir un certain nombre de conditions. D’abord, il faut bien sûr que cette dernière accepte cette pratique, ensuite, il faut pouvoir pisser en érection et enfin, il vaut mieux avoir pris ses précautions, mettre une alaise si l’on fait ça dans un lit. En effet, comment empêcher les débordements ? Dans le cas contraire et sauf si l’on est partisan du crade, la partie de jambes en l’air risque de finir en eau de boudin. Autre inconvénient, il y a un côté « je te pisse à la raie » qui peut être interprété comme du mépris. Dernier inconvénient, le rôle du donneur est plutôt réservé aux hommes, même si dans des jeux SM, la dominante peut introduire sa production dans les intestins du soumis à l’aide d’une poire mais on se trouve là, dans un autre schéma.

Il y a certainement d’autres possibilités mais je voudrais aborder le chapitre le plus fort du phantasme. Attention, ceux qui ont lu ce texte jusque-là par simple curiosité, il est encore temps de vous arrêter, la suite peut vous sembler crade, dégoûtante, révoltante. En effet je veux parler de L’ABSORPTION.

Avaler de l’urine ! Boire du pipi ! Il faut être dingue, c’est dégoûtant, répugnant. Cela est peut-être vrai mais c’est de cela dont je veux vous parler. Qu’est-ce qui pousse certain à faire ou à souhaiter faire cet acte ignoble ? A part bien entendu, s’il s’agit d’un acte de survie.

C’est sale, c’est dégoûtant et c’est vrai que ce n’est pas bon. Liquide tiède, c’est-à-dire ni chaud ni froid comme ce que l’on boit habituellement. Sans goût bien défini, fade, goût éventuellement de bière éventée et tiède, certain trouve que c’est salé ? Plutôt fort le matin, il peut être presque sans goût si le donneur s’est donné la peine de boire beaucoup d’eau et qu’il se soit soulagé plusieurs fois avant de vous l’offrir. Il vaut quand même mieux l’absorber immédiatement parce que l’urine fermente vite.

Si ce n’est que par curiosité, je ne vous conseille pas de boire de la pisse, éventuellement se lécher la main sur laquelle on a pissé. Mais si vous fantasmer dessus, que votre bite se dresse dès que cette pensée vous effleure, si vous vous réveillez la nuit, en sueur, la queue tendue à mort, la gorge sèche, alors oui, vous pouvez essayer. Faite pipi dans un verre et buvez en une gorgée. Ce ne sera toujours pas bon. Normal, ce n’est pas sur le liquide lui-même que vous fantasmez, c’est la manière d’accomplir cet acte qui vous met dans cet état. Pourtant, même si ce n’est pas bon, quelles branlettes !…

Après coup, on se rend compte que l’épreuve n’est pas si terrible. Il y a pire par exemple, avaler du sperme, fantasme ouvertement revendiqué par les donneurs, cette matière infâme, glaireuse dans laquelle grouille des microscopiques petites bébêtes. Autre exemple répugnant, le baiser sur la bouche, symbole du romantisme selon Hollywood. Beurk, même si on s’est lavé les dents le matin, aspergé du déodorisant dans la gorge, rien n’empêche l’odeur d’aliments avalés trop rapidement de remonter. La preuve, c’est que les prostitués, qui pratiquent la fellation, n’embrasse pas, c’est tout dire.

Malgré tout, même s’il y a pire, gustativement, l’urine ce n’est pas le top. Pourtant, certain se damneraient pour la boire.

Pourquoi ? Où est l’astuce ?

(Dans la suite de ce texte, je prendrais les exemples ou l’homme est receveur et la femme donneuse, ceux qui ont des goûts différents peuvent l’adapter à leurs préférences.)

En réalité, ce qui vous fait fantasmer, ce n’est pas votre pipi, mais celui d’une partenaire. La manière de procéder, la complicité que cela implique, les battements de cœur provoqué par le fait d’outrepasser ce tabou à deux, ce terrible secret que vous partagerez.

Une partenaire ! Les difficultés commencent. En effet, comment trouver une partenaire qui accepte vos turpitudes.

Sur les sites spécialisés, on voit plein de petites annonces dans lesquelles des hommes recherchent des femmes qui voudront bien les honorer de leur champagne, ils se proposent de servir de pot de chambre, de pissotières, de WC. Ils sont prêts à tout pour pouvoir lécher une chatte encore humide, jusqu’à accepter de torcher avec leur langue un derrière pas très net. Malheureusement je le suppose, sans beaucoup de résultat.

Les rares filles qui passent des annonces recherchent elles aussi des femmes. Pourtant il est probable qu’il y a autant de femmes que d’hommes qui fantasment sur le pipi, mais c’est à croire que c’est encore plus difficile pour une femme d’avouer d’être atteinte de cette « déviance ». Et pour celles qui osent, elles n’ont que l’embarras du choix.

Il est vrai, que jusqu’à des années récentes, personne, même dans les sex-shops, ne parlait, ni même n’évoquait l’uro. Associé à la scatologie, c’était la perversité totale, les plus bas instincts des bas-fonds de notre société. Les malheureux atteint de cette maladie se cachaient, honteux (c’est toujours vrai). Heureusement ceux qui voyageaient hors de France savaient qu’ils n’étaient pas des tordus et que ces jeux qui provoquent encore maintenant, une réprobation quasi générale, ne sont pas si méchants que ça. Après tout, personne n’est obligé.

Heureusement aussi que l’on pouvait trouver des bouquins dont le thème principal était le sadomasochisme et dans lesquelles les dominantes abreuvaient les esclaves de leur urine. Les maîtresses étaient sensé faire ça pour humilier leur soumis. On s’étonne que certains aiment être humiliés ! Et de cette façon, l’esclave pouvait avoir la conscience tranquille, il avait bu ce liquide répugnant contraint et forcé, même si cet acte l’avait fait bander comme un âne.

Mais revenons à nos moutons. Vous auriez bien aimé pratiquer mais ne savez pas comment faire pour trouver une partenaire. Chacun ses problèmes comme dirait l’autre ! Je ne peux vous donner que mon opinion.

Dans votre entourage ? C’est quasiment mission impossible sauf si vous êtes très très intimes. Avouer des penchants aussi crades à ses amis c’est risquer de les perdre ou de voir leur estime envers vous descendre au niveau du caniveau.

Passer des annonces sur internet ou ailleurs ? Possible, mais il y a un gros risque d’être déçu, Les femmes ont tellement le choix. Pourquoi prendrait elle le risque de tomber sur des dépravés et autres individus pas très net. De plus, il y a un élément que personne ne semble prendre en compte. Le donneur donne pour participer mais ce n’est pas très jouissif s’il n’y a pas communion, juste un peu rigolo, c’est le receveur qui est excité et qui bande, c’est lui qui accompli l’acte qui transgresse les tabous ! Si une femme répond à une annonce comme donneuse, c’est qu’elle espère quelque chose de plus.

Faut-il désespérer ? La réponse est non. Si vous n’avez pas de compagne compréhensive, vous pouvez toujours aller voir des professionnelles. En expliquant franchement vos attentes, vous avez des chances d’arriver à vos fins. De plus, vous pouvez choisir votre partenaire, il est quand même plus agréable de déguster la production d’une jeune et jolie femme. Certain me rétorquerons que cela risque de faire cher le litre de pipi. N’oubliez pas quand même pas qu’il s’agit de cuvées spéciales !

Vous avez une partenaire et elle est compréhensive ! Dans ce cas, vous lisez ces lignes en souriant. Mais en général, elles sont rarement compréhensive, alors il faut ruser. D’abord, ne jamais l’attaquer de front sur ce sujet. Ensuite, soyez hypocrite, et soyez d’accord avec elle lorsqu’elle dit que c’est répugnant, quitte ensuite à modérer ses propos tout en banalisant la chose. Vous allez me dire « mais comment aborder la chose ? ». Il faut profiter de n’importe quel prétexte, Les faits divers, internet, les déviances sexuelles etc.… Attention, il ne s’agit pas de la harceler, cela peut prendre des mois voire des années, l’objectif étant que le fait d’en parler ne soit plus tabou.

Le sujet n’est plus tabou. On peut alors passer à l’étape suivante. Une des circonstances des plus favorable est lorsqu’on se trouve sur la plage, il n’est pas exceptionnelle d’être pris d’une petite envie (vous pouvez vous débrouiller pour que cela arrive) et ce n’est pas toujours pratique, vous pouvez alors, suggérer à votre compagne d’aller se soulager dans l’eau, tout le monde l’a déjà fait et dans la mer, « les poissons baisent dedans ». Amusée par cette initiative elle suit votre conseil, vous l’accompagnez pour qu’elle se sente plus en sécurité et au moment où enfin elle se lâche, glissez votre main dans son entrecuisse. C’est sûr, elle vous traitera de cochon mais culpabilisée par son acte elle le fera en souriant. Malheureusement, on n’est pas tous les jours sur la plage. Une variante est de provoquer ces circonstances, par exemple, lui faire boire beaucoup d’eau et de lui proposer ensuite de prendre une douche ensemble, il faut surtout éviter qu’elle aille se soulager avant. Supposons que vous avez réussi, par jeu, vous lui appuyez sur la vessie, réaction, « arrête, j’ai envie de faire pipi ». Il ne vous reste plus qu’à la persuader de faire.

Je laisse la place à votre imagination pour provoquer ces moments favorables, l’essentiel et de l’amener doucement, sans brusquerie, sans violer sa conscience et en minimisant l’impact de ces actes.

Vous avez passé l’étape précédente mais n’avez pas encore atteint votre but, c’est-à-dire, déguster le nectar. Pour y arriver, une solution parmi d’autres. Un soir, à l’heure où vous aller normalement vous coucher, proposez un petit crack crack à votre cher et tendre. A cette heure-là, elle va d’habitude se soulager avant d’aller dormir. Dès qu’elle arrive sur le lieu de vos ébats, jetez-vous comme un affamé sur son minou. A peine aura-t-elle commencé à se sentir bien que vous vous relevez en annonçant, « comme c’est dommage que tu te sois essuyer la chatte, j’aurai bien aimé lécher la dernière goutte » et de replonger entre ses cuisse pour terminer le travail.

Il est probable qu’après quelques jours de ce traitement, vous aurez la joie et le bonheur enfin de lécher les dernières gouttes sur ses petites lèvres. Il ne vous reste plus qu’à suivre le chemin tout tracé pour pouvoir, quelques temps plus tard, sentir sur votre palais et au fond de votre gorge, la pression du jet que votre compagne ne manquera pas de vous offrir.

Techniquement, il existe plusieurs façons de recueillir directement ce merveilleux liquide. Je ne parlerai que de la méthode directe mais si vous préférez la méthode du récipient intermédiaire pourquoi pas, tout est bon pourvu que l’on atteigne l’ivresse.

Première méthode, tenir votre bouche ouverte à une distance d’environ 10 à 30 cm du sexe adoré. Très photogénique mais difficile d’application. Pour votre partenaire, il s’agit de viser correctement sans en mettre partout, pour vous, de déglutir la bouche ouverte. Tout est une question d’entraînement. Pour madame, il suffit de faire ça dans un lieu qui ne craint pas. Pour vous, apprendre à boire avec une outre comme les touaregs dans le désert, ou avec un jéroboam de chianti comme dans les pubs des années cinquante. Il suffit de s’entraîner à ne respirer qu’avec le nez et se décontracter pour que le liquide suive la loi de la gravité sans lui faire opposition.

Deuxième méthode, Collez votre bouche grande ouverte à son abricot et attendez les grandes eaux. C’est une méthode merveilleuse, vous ne faite plus qu’un avec votre partenaire, le pipi est transvasé d’un corps vers l’autre, comme un trait d’union, l’impression de fusion est totale. La pression du jet est comme un massage divin du palais. Le goût est aphrodisiaque à en pleurer de bonheur. Dans ces moments exceptionnels, vous êtes en apesanteur, aucune boisson ne peut rivaliser avec la pisse sublime dont vous êtes l’heureux bénéficiaire. Vous dialoguez avec votre donatrice par l’intermédiaire de vos lèvres qui suce son sexe pendant que vous déglutissez. Votre compagne sait exactement ou vous en êtes et attend que vous ouvriez de nouveau la bouche en grand pour vous servir la gorgée suivante. Vous n’avez qu’une crainte, c’est que la source se tarisse. Ce qui arrive immanquablement, mais à la place, vous bandez comme un étalon et faîtes ce qu’il faut pour amener votre chérie à une extase comparable.

Vous avez réussi et votre partenaire est devenue complice de vos jeux répugnants. Quelle bandaison papa quand, langoureusement assise dans son fauteuil, elle vous interpelle,  » Chéri, sert moi l’apéritif… et vient prendre le tien entre mes cuisses… Ouvre bien grand la bouche, j’ai une très grosse envie de pisser ».

Vous avez suivi mes conseils et ça ne marche pas ? Votre femme vous traite toujours de dégénéré, de dépravé, de vicieux et tout autre adjectif aussi peu agréable et aussi peu vrai ? Bienvenue au club, il ne reste plus qu’à faire comme moi, écrire vos fantasmes et éventuellement les faire partager.

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3 réponses à Jeux de pipi, jeux de vilains par Faustin

  1. Claire dit :

    L’urine c’est comme le bon vin, il faut apprendre a en aimer le goût délicat, et au bout d’un moment on trouve ça délicieux.
    Il en est de même pour la merde, si on franchit le tabou, par exemple en se suçant le doigt qui vient de sortir de votre petit cul pas très propre, cous allez vous rendre compte que ça n’a rien a voir avec le goût abominable que vous imaginiez, la seconde fois vous apprécierez mieux, et peut-être la fois suivante vous régalerez vous en léchant un cul pas bien essuyé.

    • lesignac dit :

      Claire, t’es une cochonne.
      Pas facile de trouver une partenaire qui accepte gracieusement ces délires scato… mais bon avec le temps on finit par y arriver.

  2. Benoît dit :

    Un message de Benoît
    Une idée toute simple pour boire l’urine ! Méalngez avec de l’eau gazeuse dans une proportion de 50/50 – Evitez les eaux trop salées (Badwa c’est bien)

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