Je suis le plombier (en 3 versions et un final) par CharlieBrown

 

1) Je suis le plombier… (Vu par le plombier)

 

Putain ! L’ascenseur est en panne ! Et je vais devoir me taper six étages à pied. Je hais ces vieux immeubles parisiens dont les ascenseurs sont toujours en panne. En un mois, c’est déjà le cinquième. Ça ne fait rire que mon patron, ces histoires.

Mais je ne me suis pas présenté. Je m’appelle Abdoulaye, j’ai 20 ans, je suis d’origine malienne mais j’ai toujours vécu en France et j’ai terminé il y a peu mon contrat d’apprentissage de plomberie. Et depuis deux mois, mon patron qui me fait confiance, me laisse intervenir seul de temps en temps et aujourd’hui on m’a attribué une intervention dans ce vieil immeuble parisien.

Sûrement encore une mémère qui a bouché ses chiottes ! Les escaliers sont rudes et dès le troisième étage, je suis en sueur. C’est vrai qu’on est en août, que le soleil est hard ces derniers jours, et même si je n’ai que mon boxer CK et un débardeur sous ma combinaison bleue de plombier, j’ai chaud ! Heureusement que c’est ma dernière intervention de la journée. Je trouve l’appartement sur le palier qui en compte trois. Je sonne. Pas de réponse. Je sonne de nouveau. Toujours rien. Alors, je frappe à la porte. Là, j’entends du bruit. Quelqu’un vient ouvrir….

La porte s’ouvre et là, surprise: c’est une superbe blonde de trente ans maximum qui tient la poignée.

– Bonjour. Je viens pour le dépannage plomberie. J’ai sonné, mais personne ne répondait.
– Oui, excusez- moi, la sonnette ne marche plus. Mon mari doit la réparer.

Après cette présentation, je mate un peu plus la femme qui m’a ouvert. Elle est en short de sport avec un petit débardeur haut sans manches qui moule une paire de seins à faire damner un saint (elle est bonne, celle- là, non ?) et laisse entrevoir un ventre bien plat. Je sens ma bite frétiller dans mon boxer.

– Entrez, c’est par là, me dit- elle en me désignant la salle de bains.

Je la suis en regardant son petit cul bien rond dans son short. Ne bande pas, Abdoulaye ! Ça va se voir !

– Chéri ! Le plombier est arrivé !

Là, je débande aussitôt. Merde ! Son mec est là. Je le vois arriver, en tenue de sport également. La trentaine également, aussi blond que sa femme, sportif. Il me serre vigoureusement la main.

– Alors, qu’est- ce qui se passe ?
– Eh bien, depuis hier, les canalisations doivent être bouchées car je n’arrive pas à évacuer l’eau de ma baignoire et du lavabo, dit la femme.
– OK, je vais regarder ça. Sans vouloir vous déranger, je peux vous demander une boisson fraiche, s’il vous plaît ?
– Bien sûr.

Elle sort de la salle de bains et je commence à regarder ce qui peut se passer. Elle revient avec un coca.

– Merci, madame.
– On vous laisse, nous allons terminer notre jogging sur nos tapis de course, me dit- elle.

Je comprends mieux leur tenue.

Après avoir cherché dix minutes, je trouve enfin d’où ça vient. Je commence à démonter le tuyau concerné et là, bien évidemment, je fous de l’eau sur le haut de ma combinaison. Je peste comme un malade intérieurement. Mais bon, on est en été, c’est pas grave. Je défais le haut de la combinaison, la roule un peu et la fais descendre à la ceinture. Je prends encore dix minutes à répare, et quand tout est fini, je vais dans le salon pour prévenir mes clients. Je n’avais pas fait gaffe que j’avais gardé ma combinaison baissée. C’est donc en débardeur blanc, mouillé, moulant mes pecs, que j’entrai dans la pièce. La nana me reluqua en détail cinq secondes avant de dire :

– Vous avez fini ?
– Oui, m’dame.
– Vous voulez un autre coca ?
– C’est pas de refus.
– T’en veux un, chéri ?
– Non, vu que la douche est réparée, je vais aller en prendre une.

Elle descend de son tapis de course, va à la cuisine et revient avec deux verres. Lui va dans sa chambre chercher des fringues propres et va à la salle de bains réparée. On commence à entendre l’eau couler.

– Vous êtes jeune, dites- moi ?
– Oui, M’dame. J’ai 20 ans. J’ai eu mon CAP il y a deux mois.

Je vois qu’elle se rapproche lentement de moi.

– Et tu vas souvent dépanner des clientes comme moi ?

Je constate qu’elle est passée au tutoiement et que sa voix se fait charmeuse. Je sens mon zgeg pointer dans mon boxer.

– Ben… heu… Ça dépend des jours. C’est surtout des vieilles rombières en ce moment.
– Et tu trouves que je ressemble à une vieille rombière ? me dit-elle en se collant carrément à moi.

Je sens ses seins se coller à mon torse et sa main qui s’est posée sans que je la voie sur mon entrejambe. Je plonge mon regard dans son débardeur (elle fait 1,70 m et moi presque 1,90 m) et je lui dis en chuchotant :

– Pour ça, non. Vous en êtes même loin. Et vous devez sentir avec votre main que vous me feriez pas cet effet- là si vous étiez comme elles. Mais votre mari est là, M’dame…
– T’inquiète pas, il reste longtemps dans la salle de bains quand il se douche.

Elle relève la tête pour aller poser ses lèvres sur les miennes. Elle insère alors sa langue dans ma bouche et me roule un super patin.

Je ne sais plus quoi faire. D’un côté, une meuf hyper bandante qui est en train de me draguer et je suis pas contre, de l’autre l’appréhension de se faire surprendre par son mec, qui est à 10 mètres de nous en train de se doucher. Comme j’entends encore l’eau couler, je me laisse embrasser. La meuf me caresse les pectoraux à travers mon débardeur mouillé et moi je m’occupe de son petit cul qui m’attire. Ça fait quinze jours que j’ai pas tiré un coup et j’ai la queue en feu. Elle arrête son baiser et commence à soulever mon haut pour enfin me l’enlever complètement.

– Tu es superbement baraqué. Quel est ton prénom ?
– Abdoulaye, je réponds.
– Tu as des pectoraux magnifiques, Abdoulaye. Et de fantastiques abdominaux.

En disant cela, ses mains courent sur ma peau noire et imberbe. Je commence à soulever son petit haut. Elle n’a rien dessous et ses seins sont superbes. Je les pétris comme un fou, embrassant son cou.

– Viens dans ma chambre. J’ai envie de toi.

Là, panique à bord. Le mari va sortir de sa douche dans moins de 10 minutes et elle veut baiser avec moi.

– Mais… Ton mari est là, à côté…
– T’inquiète pas et fais-moi confiance.

Elle me tire dans sa piaule. Un lit King Size comme j’en n’ai jamais vu, des miroirs au plafond et sur les murs. Elle me pousse sur le lit et descend le reste de ma combinaison. Elle continue à jouer avec moi en léchant mon sexe tendu dans mon boxer CK et mon bas- ventre. Je lui caresse les cheveux, le cœur battant à 200 à l’heure. Puis elle baisse mon sous-vêtement, libérant ma queue.

– Waooow… Quelle putain de bite tu as ! Elle fait combien ? dit- elle en la prenant en main.
– 22 centimètres de long et 6,5 de large.
– J’en n’ai jamais vu d’aussi belle ! dit- elle avant de commencer à l’enfourner dans sa bouche.

Moi, je commence à me décoincer. J’entends toujours l’eau couler et je commence à être excité un max. Autant les blanches fantasment sur les blacks, autant moi je fantasme sur les belles blondes comme elle. Et qu’est ce qu’elle suce bien…. La salope sait y faire. Mais j’ai pas trop de temps avec elle.

– Tu sais, elle sera encore meilleure dans ta petite chatte de blanche.

Elle arrête de me pomper et me sourit :

– J’aime qu’on me parle comme ça. Montre-moi ce que tu sais faire, Abdoulaye.

Je lui demande une capote qu’elle glisse délicatement sur mon pieu dressé. Je lui demande de se mettre à quatre pattes et je glisse ma queue dans l’entrée de sa chatte très humide. Ça coulisse à merveille et je n’ai pas de mal à y entrer. Lorsque mes couilles cognent ses belles fesses blanches, je commence lentement à effectuer des va-et-vient. Elle gémit comme un petit chiot sous mes premiers coups de boutoir, puis son souffle s’accélère quand je commence à mettre le turbo. Cette petite salope de blonde est un vrai garage à bites. D’habitude, ça coince très vite avec les meufs avec qui je baise. Mais là, je n’ai aucun souci pour la bourriner comme un malade. J’en suis même super excité et nos sueurs respectives se mêlent. Et voilà qu’elle commence à lancer des mots :

– Oh oui ! Encore plus profond dans ma chatte ! Je suis bouillante ! Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiiiiii.

Elle jouit une première fois, mais moi je ne peux plus m’arrêter. Je la retourne sur le dos et me penche vers elle. Nous nous embrassons comme des malades et je reprends mes coups de reins. Ses seins se baladent à droite et à gauche. Elle a les yeux fermés et la bouche ouverte. Notre baise est en train de se transformer en extra-baise. Jamais j’ai connu une meuf ouverte comme ça.

Soudain, alors que je redresse la tête, je vois dans les miroirs de la chambre son mec, debout dans l’encadrement de la porte, à poil, la bite raide et un caméscope numérique à la main. Je tourne la tête vers lui, les yeux grands ouverts. Il me fait signe de continuer. D’ailleurs, il s’approche de nous, se met à genoux à côté du lit et zoome sur nos sexes entrelacés…

 

2) Je suis le plombier…. (Vu par la femme)

 

C’est toujours quand on en a le plus besoin que la plomberie se met à déconner. Heureusement, j’ai appelé un plombier ce matin qui m’a dit qu’un de ses ouvriers devrait passer vers 17 h 30. Tiens ! On a frappé. Ça doit être lui. Alors que je m’attendais à un mec bedonnant de 50 balais, j’ouvre ma porte sur un jeune Africain d’une vingtaine d’années, très grand (il doit faire 1,90 m) et apparemment mignon.

– Bonjour. Je viens pour le dépannage plomberie. J’ai sonné, mais personne ne répondait.
– Oui, excusez- moi, la sonnette ne marche plus. Mon mari doit la réparer.

Je vois que le jeune black me reluque de bas en haut. C’est vrai qu’avec ma tenue de sport assez moulante, je dois bien l’exciter. Avec sa combinaison de travail, je n’arrive pas à voir s’il est aussi bien monté qu’on le prétend. J’ai jamais vu de bite de black « en vrai ».

– Entrez, c’est par là, je lui dis en désignant la salle de bains.

– Chéri ! Le plombier est arrivé !

Marc arrive. Il lui serre la main.

– Alors, qu’est-ce qui se passe ? dit le plombier.
– Eh bien, depuis hier, les canalisations doivent être bouchées, car je n’arrive pas à évacuer l’eau de ma baignoire et du lavabo, je lui réponds.
– OK, je vais regarder ça. Sans vouloir vous déranger, je peux vous demander une boisson fraiche, s’il vous plaît ?
– Bien sûr.

Je vais chercher un coca dans la cuisine et lui ramène.

– Merci, madame.
– On vous laisse, nous allons terminer notre jogging sur nos tapis de course.

Je retourne avec Marc dans le salon et nous nous remettons à notre jogging.

– Comment tu le trouves, ce plombier ? Je demande à Marc.
– Il est mignon, non ?

Nous ne parlons pas trop fort pour qu’il ne nous entende pas.

– Toi, t’as une idée derrière la tête, Sylvie, me dit mon mari avec un sourire en coin.
– Ça fait quelques semaines qu’on n’est pas allés à notre cercle d’échangistes, n’est- ce pas ?

Marc sourit de nouveau.

– C’est vrai, et ça me manque un peu. Et puis, on s’est jamais fait un black. T’en as envie, hein ?

Je constate que Marc bande comme un malade dans son short de sport. Je pose ma main dessus.

– Toi aussi t’as l’air excité, hein ? Voilà ce que je te propose.

J’explique à Marc mon plan et il est d’accord. 10 minutes plus tard, notre jeune plombier revient dans le salon, la combinaison bleue descendue à la taille.

Il n’a qu’un débardeur blanc sans manches sur le haut du corps, et il est complètement mouillé. Cela lui moule formidablement bien ses pectoraux et ses abdominaux. De plus, il a de très beaux biceps. Je sens ma chatte qui commence à mouiller à la vue de cet Apollon proche de la nudité déjà dans mon esprit.

– Vous avez fini ?
– Oui, m’dame.
– Vous voulez un autre coca ?
– C’est pas de refus.
– T’en veux un, chéri ?
– Non, vu que la douche est réparée, je vais aller en prendre une.

Je descends de mon tapis de course, vais à la cuisine et reviens avec deux verres. Marc va dans la chambre chercher des fringues propres et le caméscope numérique (qu’il cache dans ses fringues) et va à la salle de bains réparée. On commence à entendre l’eau couler.

– Vous êtes jeune, dites- moi ?
– Oui, M’dame. J’ai 20 ans. J’ai eu mon CAP il y a deux mois.

Je me rapproche lentement de lui.

– Et tu vas souvent dépanner des clientes comme moi ?

Je sens un mélange d’odeurs, mêlant la sueur de mâle, l’eau de la salle de bains et cette odeur particulière des blacks quand j’arrive à en humer un dans le métro.

– Ben… heu… Ça dépend des jours. C’est surtout des vieilles rombières en ce moment.

Je me colle carrément à lui et je lui dis :

– Et tu trouves que je ressemble à une vieille rombière ?

Mes seins tendus se collent à son torse et je glisse ma main sur son entrejambe. Il bande comme un taureau, ce jeune mâle noir en rut ! Il plonge son regard dans mon débardeur (je ne fais que 1,70 m et lui presque 1,90 m) et il me dit en chuchotant :

– Pour ça, non. Vous en êtes même loin. Et vous devez sentir avec votre main que vous me feriez pas cet effet- là si vous étiez comme elles. Mais votre mari est là, M’dame…
– T’inquiète pas, il reste longtemps dans la salle de bains quand il se douche.

Je pose délicatement mes lèvres sur les siennes, charnues et attirantes. Et comme il se laisse faire, je lui roule un super patin.

Je caresse à travers son débardeur ses pecs. Ils sont durs et j’aime ça. Ses tétons se sont dressés sous mes caresses. Lui me pelote les fesses et il a l’air de les aimer. Je stoppe mon baiser et lui enlève son débardeur. Il a un corps de rêve, superbement musclé et sans un poil. Ça me change de Marc qui est très poilu. Il faut vraiment que je voie ce qu’il a dans le froc et que je me le fasse.

– Tu es superbement baraqué. Quel est ton prénom ?
– Abdoulaye, me répond- il.
– Tu as des pectoraux magnifiques, Abdoulaye. Et de fantastiques abdominaux.

Je caresse le tout d’une main délicate. Je le sens frissonner et moi je suis toute excitée. Ma chatte s’huile de plus en plus. Il soulève mon tee-shirt. Il découvre mes seins nus, tendus par le plaisir. Il les masse doucement et m’embrasse le cou. Je n’en peux plus. En plus, Marc doit se faire chier dans la douche, à faire couler l’eau pour rien, en attendant qu’on aille enfin dans la piaule.

– Viens dans ma chambre. J’ai envie de toi.
– Mais… Ton mari est là, à côté…
– T’inquiète pas et fais-moi confiance.

Je l’emmène dans notre chambre et je le pousse sur le lit. Il est couché, comme un animal sans défense. Je descends le reste de sa combinaison. Il porte un boxer rouge CK, qui contraste formidablement avec sa belle peau noire. En plein milieu de son sous- vêtement, une barre qui me parait immense tend le tissu. Je m’accroupis entre ses jambes et je lèche ce morceau de chair à travers le slip. Plus je remonte dessus, moins j’en vois la fin ! Ma langue remonte jusqu’à ses abdominaux, tendus par le stress, sans un poil et elle se glisse doucement dans son nombril. Il me caresse les cheveux doucement. Puis je baisse son sous-vêtement, libérant sa queue. Je n’ai jamais vu une bite comme cella là. C’est vrai qu’à notre club d’échangistes, on est les plus jeunes et qu’il n’y a que des blancs. Celle de Marc fait dans les 17 centimètres et c’est un de ceux qui sont les mieux dotés par la Nature. Mais là, ce jeune black a une matraque entre les cuisses : très longue, épaisse, circoncise avec un gland énorme. Et quelles burnes il a !

– Waooow… Quelle putain de bite tu as ! Elle fait combien ? Dis-je en la prenant en main.
– 22 centimètres de long et 6,5 de large.
– J’en n’ai jamais vu d’aussi belle ! Et je commence à la prendre en bouche.

Même si c’est la fin de la journée, sa queue n’a aucune odeur malfaisante. Elle est propre et il me semble avoir un énorme bâton de réglisse dans la bouche. Je suis sûre qu’il doit fantasmer autant sur les blondes que moi sur ce genre de mâle basané. Je m’applique à le sucer du mieux que je peux. On m’a souvent dit que je suçais divinement et je ne veux pas rater cette occasion. L’eau coule toujours, Marc doit commencer à s’impatienter.

– Tu sais, elle sera encore meilleure dans ta petite chatte de blanche, me dit- il.
– J’aime qu’on me parle comme ça. Montre- moi ce que tu sais faire, Abdoulaye.

Tu parles que j’ai envie de me la prendre dans la chatte, sa grosse bite. Il me demande une capote que je glisse délicatement sur son pieu dressé. Il me fait mettre à quatre pattes et il glisse sa queue à l’entrée de ma chatte très humide. J’ai un peu peur de sa taille, mais je me suis déjà mis des godes aussi gros lors de nos jeux amoureux avec Marc. Ça coulisse à merveille et il n’a aucun mal à y entrer. Mon vagin s’élargit pour le laisser entrer. Je n’ai jamais connu une aussi bonne sensation.

Il me pénètre doucement centimètre après centimètre. Je sens ses mains tenir ma taille et s’enfoncer peu à peu. Lorsque ses belles couilles cognent mes fesses, il commence lentement à effectuer des va-et-vient. Malgré son jeune âge, Abdoulaye sait s’y prendre. Sa queue entre et sort d’abord lentement, frottant mon clitoris à chaque passage. Mes muscles l’enserrent à chaque pénétration. Je gémis tel un petit chiot sous ses premiers coups de boutoir, puis mon souffle s’accélère quand il commence à mettre le turbo. Il me tient bien pour faire glisser son pénis noir dans la chatte. Ce petit salaud est un très bon niqueur. Je me surprends moi-même à penser de tels mots crus. Mais il me baise tellement bien que j’en oublie toute bienséance.

Le jeune black commence à me bourriner un peu plus sauvagement, tout en sachant ce qu’il fait. La sueur coule sur mon dos et je sens la sienne se mêler à la mienne. Je n’en peux plus. Ce jeune mec est un dieu de la baise.

– Oh oui ! Encore plus profond dans ma chatte ! Je suis bouillante ! Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiiiiii.

Je jouis comme une folle une première fois, mais cela ne l’arrête pas. Il me fait me retourner sur le dos. Son corps est recouvert de sueur, rendant sa peau noire encore plus luisante. Chacun de ses muscles est encore plus beau. Il se penche vers moi. Nous nous embrassons comme des malades et pendant ce temps, il recommence à me baiser. Je vois mes seins se balader à droite et à gauche et ses abdominaux se contracter à chaque coup de reins. Je suis aux anges ! Je ferme les yeux pour mieux en profiter, la bouche grande ouverte, car j’ai du mal à reprendre ma respiration. Je ne pense plus à rien. J’oublie Marc dans notre salle de bains et lui aussi semble prendre son pied.

Sa grosse queue sombre me fait découvrir des zones érogènes que je n’avais jamais imaginées. Elle frotte chaque millimètre carré de mon vagin, pénétrant de plus en plus loin en moi. Je ne suis plus en train de « baiser, je suis en train de faire l’Amour. Nos corps se mettent en phase pour nous trouver mieux. J’agrippe ses épaules et plante mes ongles dedans. Je sens que je vais jouir une deuxième fois en peu de minutes. Oui, c’est trop bon ! Quelle extase ! Quel pied ! Quelle expérience…

 

3) Je suis le plombier…. (Vu par l’homme)

 

Merde ! En plein mois d’août, alors qu’on crève de chaud ! C’est toujours à ce moment-là que votre plomberie vous lâche. Depuis hier soir, on n’a plus de douche et plus de toilettes. Heureusement, Sylvie est arrivée à trouver un plombier pour cette fin d’après-midi. Tiens ! On a frappé. Ça doit être lui. Sylvie va ouvrir la porte. Je continue mon jogging sur mon tapis de course et je les entends discuter sur le pas de la porte.

– Chéri ! Le plombier est arrivé !

Je descends de mon tapis et me rends dans la salle de bains. J’y trouve un jeune black, vingt ans environ, en combinaison bleue de travail. À la lueur dans les yeux de Sylvie, je sens bien qu’il lui a tapé dans l’œil. Non seulement il va nous réparer les tuyaux, mais j’ai comme l’idée qu’on va s’amuser avec le sien de tuyau. Il a l’air assez baraqué et si le mythe se vérifie, il doit avoir un slip bien rempli. Je lui serre la main.

– Alors, qu’est-ce qui se passe ? dit- il.
– Eh bien, depuis hier, les canalisations doivent être bouchées car je n’arrive pas à évacuer l’eau de ma baignoire et du lavabo, répond Sylvie.
– OK, je vais regarder ça. Sans vouloir vous déranger, je peux vous demander une boisson fraiche, s’il vous plaît ?
– Bien sûr.

Ma femme va lui chercher un coca dans la cuisine pendant que je détaille sans trop me faire remarquer le gabarit du bestiau en face de moi. Je sens vraiment qu’on va s’amuser un peu. Sylvie lui ramène son coca.

– Merci, madame.
– On vous laisse, nous allons terminer notre jogging sur nos tapis de cours.

Nous retournons dans le salon et nous nous remettons à notre jogging.

– Comment tu le trouves, ce plombier ? Me demande- t- elle.
– Il est mignon, non ?

Nous ne parlons pas trop fort pour qu’il ne nous entende pas.

– Toi, t’as une idée derrière la tête, Sylvie, je lui dis avec un sourire en coin.
– Ça fait quelques semaines qu’on n’est pas allés à notre cercle d’échangistes, n’est- ce pas ?

Je souris de nouveau.

– C’est vrai, et ça me manque un peu. Et puis, on s’est jamais fait un black.
– T’en as envie, hein !

Je bande comme un malade dans mon short depuis tout à l’heure et elle le voit. Elle pose ma main dessus.

– Toi aussi t’as l’air excité, hein ? Voilà ce que je te propose.

Sylvie m’explique son plan : Je vais faire semblant d’aller me doucher, laisser l’eau couler pour le lui faire croire et elle va le draguer de façon à ce qu’il se retrouve dans notre lit. J’attendrai qu’ils aient commencé à baiser avant d’arriver avec mon caméscope numérique et je filmerai la scène pour la projeter aux vieux croulants qui composent notre groupe d’échangistes. Et plus si affinités… Je suis d’accord.

10 minutes plus tard, notre jeune plombier revient dans le salon, la combinaison bleue descendue à la taille. Il n’a qu’un débardeur blanc sans manches sur le haut du corps, et il est complètement mouillé. Cela lui moule formidablement bien ses pectoraux et ses abdominaux. De plus, il a de très beaux biceps. Je vois bien que Sylvie est tout excitée à la vue de ce beau mâle noir.

– Vous avez fini ?
– Oui, m’dame.
– Vous voulez un autre coca ?
– C’est pas de refus.
– T’en veux un, chéri ?
– Non, vu que la douche est réparée, je vais aller en prendre une.

Sylvie descend de son tapis de course, va à la cuisine et revient avec deux verres. Je vais alors dans notre chambre, la queue raide dans le cycliste que je porte sous mon short. Je prends un slip propre, un tee-shirt et cache le caméscope au milieu de la serviette de bain pour qu’il ne le voit pas. Puis je me rends à la salle de bains, les laissant tous les deux seuls. Je commence à faire couler l’eau. Et j’entrouvre la porte. Il est de dos par rapport à moi et ne me voit pas. Sylvie est tellement concentrée qu’elle ne me voit pas non plus.

– Vous êtes jeune, dites-moi ?
– Oui, M’dame. J’ai 20 ans. J’ai eu mon CAP il y a deux mois.
Je la vois se rapprocher lentement de lui.
– Et tu vas souvent dépanner des clientes comme moi ?

Moi, je n’en peux plus de bander. Je descends mon short, mon cycliste et vire mon tee-shirt humide de sueur.

– Ben… heu… Ça dépend des jours. C’est surtout des vieilles rombières en ce moment.

Elle se colle carrément à lui et lui dit :

– Et tu trouves que je ressemble à une vieille rombière ?

Ses seins sont collés au torse du jeune black et elle glisse sa main sur son entrejambe. Moi, je commence à me caresser doucement, une main sur ma bite de 17 centimètres et l’autre fouinant dans les poils épais qui recouvrent mon torse. Je suis sûr que lui aussi bande comme un taureau ! Je connais ma femme, elle sait y faire pour ça. Il plonge son regard dans son débardeur (Sylvie ne fait que 1,70 m et lui presque 1,90 m) et il lui dit en chuchotant :

– Pour ça, non. Vous en êtes même loin. Et vous devez sentir avec votre main que vous me feriez pas cet effet-là si vous étiez comme elles. Mais votre mari est là, M’dame…
– T’inquiète pas, il reste longtemps dans la salle de bains quand il se douche.

S’il savait pourquoi ! Elle pose délicatement ses lèvres sur les siennes, charnues et attirantes. Et comme il se laisse faire, elle lui roule un super patin.

Je la vois lui caresser les pecs à travers son débardeur. Lui, il lui pelote les fesses et il a l’air de les aimer. Elle stoppe son baiser et lui enlève son débardeur. Je ne le vois que de dos, mais quel mâle ! Magnifiquement taillé en V, des muscles saillants aux épaules ! J’en bande encore plus. Ma main a lâché ma queue et je la passe entre mes cuisses, caressant mes poils si sensibles à cet endroit-là, ainsi que mes bourses. L’eau continue de couler, pour rien…

– Tu es superbement baraqué. Quel est ton prénom ?
– Abdoulaye, répond- il.
– Tu as des pectoraux magnifiques, Abdoulaye. Et de fantastiques abdominaux.

J’ai hâte de les voir aussi, car si Sylvie dit ça, c’est qu’il doit être absolument merveilleux, cet Abdoulaye. Elle caresse le tout d’une main délicate. Il soulève le tee-shirt de Sylvie, découvrant ses seins nus, tendus par le plaisir. Il les masse doucement et l’embrasse le cou.

– Viens dans ma chambre. J’ai envie de toi.
– Mais… Ton mari est là, à côté…
– T’inquiète pas et fais-moi confiance.

Je la vois l’emmener dans notre chambre. Putain ! Je suis chaud comme la braise. Mon corps frissonne de jalousie de voir ma femme profiter la première de ce jeune mec. Je me regarde maintenant dans le miroir de la salle de bains puisqu’il n’y a plus rien à voir dans le salon. Je suis un peu narcissique et beaucoup bisexuel… Ce genre de mâle attirant, viril, mieux foutu que moi (et pourtant, je m’entretiens tous les jours et je fais pâlir d’envie bien des mecs en salle de sport) me mettent dans tous mes émois. Je me mets dans la douche et m’astique le manche à toute vitesse. J’imagine déjà Sylvie découvrir la belle queue noire qu’il cache sous sa combinaison. Je glisse un doigt dans mon anus et fais monter la mayonnaise. Ça ne tarde pas d’ailleurs. Je lâche un énorme jet de sperme le long de la paroi carrelée. J’en profite pour me laver vraiment, de la tête aux pieds, en passant par les endroits les plus intimes.

Maintenant, le film. Je vérifie que la batterie est chargée et j’espère ne pas trembler. Je sors de la salle de bains, à poil, la queue ballottante et encore à moitié raide. Je reste à côté de la porte, essayant de saisir leur conversation.

– Waooow… Quelle putain de bite tu as ! Elle fait combien ? dit Sylvie.
– 22 centimètres de long et 6,5 de large.
– J’en n’ai jamais vu d’aussi belle !

Putain ! J’en rebande d’un coup ! Jamais nous n’avons vu une bite pareille dans tous nos jeux érotiques ! Je suis de plus en plus excité. Je n’entends maintenant plus que les succions de la bouche de ma femme sur cette hampe qui doit être magnifique.

– Tu sais, elle sera encore meilleure dans ta petite chatte de blanche, dit- il.
– J’aime qu’on me parle comme ça. Montre-moi ce que tu sais faire, Abdoulaye.

Tu vas voir ce qu’elle sait faire aussi, je pense en même temps. Ma femme est une vraie bête quand on la baise bien.

Au bout de quelques minutes, je l’entends gémir tel un petit chiot puis son souffle s’accélère. J’imagine le jeune black la prendre sauvagement et je pense qu’il la prend bien, car je reconnais les petits cris de Sylvie quand elle commence à monter au septième ciel. Ma queue est tendue contre mon bas- ventre.

– Oh oui ! Encore plus profond dans ma chatte ! Je suis bouillante ! Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiiiiii.

Je suis aussi excité qu’elle. Il faut vraiment que je voie ça. J’allume le caméscope et pousse doucement la porte pour ne pas faire de bruit. Sylvie est sur le dos, les cuisses écartées, les yeux fermés. Ma première vision du jeune africain nu est son cul bien bombé, totalement noir, avec deux globes fantastiques sans un poil. Ses deux muscles se tendent et se détendent au fur et à mesure qu’il pénètre ma femme.

Son corps est luisant de sueur. Il la prend comme un fou, faisant entrer et sortir à un rythme incroyable sa grosse queue sombre de la chatte de Sylvie. Les miroirs de la chambre ne sont pas là pour rien. Je peux voir chaque détail de leurs deux corps emmêlés. Je filme la scène, excité comme une puce. Soudain, il redresse la tête et me voit. Je lui fais signe de continuer et me rapproche d’eux, zoomant sur leurs sexes mêlés…

 

4) Je suis le plombier…. (La fin, vue de l’extérieur)

Abdoulaye s’est trouvé surpris par l’apparition de Marc. Surtout avec un caméscope à la main ! Mais ce dernier lui fait signe de continuer et Sylvie n’a rien vu. Il s’approche du couple en action et s’asseoit en tailleur à côté du lit. L’énorme bite du jeune black s’active de plus en plus. La présence du mari, qui l’a d’abord effrayé, le motive de plus en plus. Il est sûrement tombé sur un couple bisexuel, ayant l’habitude de jeux érotiques un peu particuliers. Alors qu’il ne voulait pas trop faire de bruit, il se lâche enfin :

– Alors, elle te plaît ma grosse queue ?

Sylvie a toujours les yeux fermés.

– Oui, Abdoulaye ! Elle est superbe ! Prends-moi plus loin ! Enfonce-toi en moi ! Continue ! Continue !

Les deux amants sont trempés, facilitant la pénétration.

Marc se lève, tournant autour du lit, filmant chaque détail. Il se rend compte que ce mâle est superbe. Ses abdominaux et ses pectoraux sont saillants, ses biceps roulent sous les coups de l’effort. Sa femme semble grimper aux rideaux avec ce mec. Et il a envie aussi d’en profiter. Sylvie s’agite sous Abdoulaye, sentant monter en elle une troisième jouissance. Du coup, ses muscles se contractent sur la bite de l’Africain, qui lui aussi a du mal à respirer. Ils poussent tous les deux des cris de bêtes qui excitent Marc. Et comme par magie, ils jouissent tous les deux en même temps. Abdoulaye ralentit ses coups de queue jusqu’à s’arrêter complètement. Il garde les bras tendus afin de ne pas s’effondrer sur celle qui vient de le faire jouir comme cela ne lui était pas arrivé auparavant.

Marc continue de filmer, malgré son excitation. Du sperme pointe au bout de son gland, montrant ainsi qu’il a aussi faillir jouir avec eux sans se toucher. Puis le jeune noir sort sa queue de la chatte de la blonde pulpeuse. Et s’allonge à côté d’elle, épuisé et en sueur. Marc peut alors apprécier tranquillement la taille de l’engin qui vient de faire décoller sa femme. C’est vrai que c’est une bite comme il n’en n’a jamais vue ! Il s’en lèche les babines. Sylvie revient doucement à elle et sourit en voyant son mari, raide devant elle.

– J’en peux plus, Marc. Ce jeune homme est un sacré baiseur.

Abdoulaye sourit à son tour et dit :

– Merci. Mais je dois avouer que l’élasticité et la longueur de votre vagin m’ont permis aussi de jouir comme un malade.

Marc se couche à côté de sa femme et l’embrasse à pleine bouche. Puis après ce baiser fougueux, il se penche par dessus elle et va embrasser le sexe encore raide du black.

Il sursaute un peu, mais se laisse faire. Après tout, c’est un couple un peu particulier. Et s’il a d’abord été surpris de voir arriver Marc à l’improviste, il a compris qu’il ne lui ferait aucun mal. Et qu’a priori, tout comme lui, il aime la voile et la vapeur, même s’il préfère une chatte de meuf à une « chatte » de mec. Marc se positionne alors entre sa femme et Abdoulaye. Il commence à sucer la grosse queue noire du jeune homme, encore couverte de sperme. Il n’a pas la bouche de sa femme et il a du mal à en engloutir la moitié. « Il a vraiment une bite de cheval, ce mec ! » pense- t- il. Le black se laisse faire, la main derrière la tête. Marc caresse les pectoraux et les abdominaux en sueur du jeune homme. Il sent sa femme attraper sa queue qui n’a pas encore vidé son jus et elle s’empresse de le pomper.

Le plaisir est intense. Sa femme sait y faire et il sent bien qu’il va lâcher avant d’avoir pu profiter de la queue noire. Alors, il accélère le rythme, soupesant les lourdes burnes imberbes du jeune homme, humidifiant sa queue avec sa salive. Il sent que ça monte. Et Abdoulaye, encore sensible, sent bien lui aussi qu’il va cracher dans quelques instants. Les deux jets sortent en même temps, un flot de la semence du black emplissant sa bouche et un autre emplissant celle de sa femme. Mais Marc en veut plus. Il dit à Abdoulaye :

– Ça a pas l’air de te gêner que ce soit une fille ou un garçon qui te baise, hein ?
– Non, pas vraiment. Je dois avouer que ta femme m’a donné beaucoup de plaisir. Mais comme vous avez l’air d’être assez ouverts, sans jeu de mots, je ne dis pas non à ton trou du cul, mec !
– Appelle-moi Marc, d’accord ?
– Pas de problème. Moi, c’est Abdoulaye.

Marc descend alors du lit et se met à quatre pattes, face au grand miroir mural.

– Fais- moi monter au septième ciel comme Sylvie, Abdoulaye. Et commence par me lécher la rondelle, j’adore ça. T’inquiètes, j’ai tout bien lavé. J’espère que les poils ne te gênent pas ?

C’est vrai que Marc est très poilu. Ses poils sont blonds comme les blés, mais tellement touffus qu’on les voit bien, et ce de la tête aux pieds.

– Non. J’ai un pote rebeu, Yacine, qui lui aussi est très velu. On a eu nos premières baises ensemble.

Le jeune noir se positionne derrière Marc, tandis que Sylvie prend en main le caméscope et commence à filmer. Il écarte les deux globes doucement et fait glisser sa langue le long de la raie toute propre de Marc. Les poils blonds sont soyeux et cette partie du corps sensible à en croire les petits gémissements de l’homme.

Abdoulaye n’est plus pressé et prend son temps. Il descend sous les bourses, remonte vers l’anus, caresse les fesses musclées de Marc. Sa salive rend l’opération de plus en plus simple et la rondelle palpite sous les coups de langue. La queue de Marc a repris de la vigueur. Celle du jeune black aussi. Il approche au fur et à mesure de l’entrée du cul. Y glisse sa langue légèrement râpeuse. Marc sursaute de plaisir. Abdoulaye commence alors à le pénétrer en raidissant sa langue. Il sait qu’il est expert en ça, car il arrive à sortir 10 centimètres de langue à chaque fois qu’il broute un cul ou une chatte. Marc gémit de plus en plus, ne s’attendant pas à se faire pénétrer aussi loin par cet organe. Il a l’impression d’avoir une petite bite qui l’encule, mais une petite bite qui sait fouiller aux bons endroits pour prendre son pied.

Sylvie n’en perd pas une miette et met ses doigts dans sa chatte en tenant l’appareil numérique de l’autre main. Elle est heureuse d’être tombée sur ce jeune mâle décidément très expert pour son âge. Son mari frétille du cul de bonheur. Pendant 10 bonnes minutes, Abdoulaye joue avec les sens de Marc, revenant des caresses à la pénétration linguale et vice-versa. Quand il sent que l’homme est prêt, il demande à Sylvie une nouvelle capote. Elle s’empresse de la lui mettre. Le jeune black présente alors sa grosse queue à l’arrière du cul de Marc. Il le pénètre doucement et lui arrache un petit cri de douleur. Passés les cinq premiers centimètres, Abdoulaye sent que cela glisse mieux. Marc est à court de souffle. Jamais un engin pareil ne l’a pénétré : il est large, il est long et il est très dur !

Puis, la bite noire arrive à la moitié de sa taille. Puis aux trois quarts. Marc a déjà plus de 15 centimètres dans le cul et ça n’est pas fini ! Lorsqu’enfin la grosse matraque est toute entière en lui, Marc respire. Abdoulaye se penche sur lui, presque tête contre tête :

– Est- ce que tu es prêt pour l’assaut final, Marc ? lui souffle le jeune homme.
– Putain, oui ! T’es pas monté comme un âne, t’es monté comme un taureau !

Uniquement en faisant jouer son bassin, le jeune africain commence à ramoner l’arrière- train du mari. Sylvie n’en peut plus. Elle laisse de côté temporairement le film et glisse ses deux mains dans sa chatte bouillante. Surtout qu’Abdoulaye accélère le rythme, faisant claquer ses grosses burnes contre les fesses velues de Marc. Mais Sylvie jouit rapidement et reprend l’appareil. Elle filme ces ébats érotiques sous toutes les coutures : devant Marc, montrant son visage grimaçant sous les coups de boutoir et les muscles d’Abdoulaye qui se tendent à chaque fois, derrière Abdoulaye pour bien montrer les muscles de ses fesses en sueur, qui poussent à chaque pénétration, par-dessous les deux, zoomant sur la grosse queue qui pilonne l’arrière-train de son mari.

Marc est en train de prendre un pied immense. Et le grand black n’est pas en reste : après avoir rempli une capote en baisant la femme, le voici prêt de nouveau à éjaculer dans le cul de l’homme. L’assaut est intense. La sueur coule sur les deux corps masculins. Abdoulaye se redresse légèrement et s’enfonce encore plus dans Marc. Ce dernier est essoufflé. Les parois de son anus frottent sans arrêt sur le plastique de la capote. La bite du jeune homme est de plus en plus dure, il va de plus en plus vite et Marc gémit de plus en plus fort. Sylvie sent bien que le final est en cours. Abdoulaye s’agite comme un fou et soudain, alors que Marc éjacule contre le miroir, le jeune noir, dans un cri de bête, lâche une troisième fois sa semence dans sa capote.

Fatigués, les deux hommes restent encastrés l’un dans l’autre, jusqu’à ce que la bite noire ramollisse et puisse sortir du trou de l’homme blond. Épuisés, les deux hommes s’écroulent sur la moquette. Sylvie en profite pour terminer de leur nettoyer la queue à coups de langue. Lorsque les deux mâles se reprennent, le couple s’embrasse tendrement sous les yeux du jeune plombier. Ils lui expliquent à quoi va servir le film et lui laissent leur numéro de téléphone, car ils aimeraient bien recommencer, avec son pote rebeu poilu, Yacine.

Abdoulaye leur dit que ça devrait être OK, renfile son boxer CK rouge, sa combinaison, refusant la douche proposée par le couple. Il va avoir de quoi raconter à son pote Yacine.

 

Fin

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9 réponses à Je suis le plombier (en 3 versions et un final) par CharlieBrown

  1. Deroin dit :

    commentaire supprimé

  2. Rouleau dit :

    J’irais un peu dans le sens de ce que a écrit Marly :
    L’idée de départ était bonne mais le résultat est loin d’être à la hauteur !
    1) Les protagonistes ne sont que des sexes à pattes sans psychologie sans personnalisation
    2) quand les auteurs de récits érotiques comprendront que personne ne se promène avec une règle plate pour mesurer la longueur de leur bite
    3) et puis on s’en tape de la marque du cache-bite du dépanneur
    Merci d’avoir essayé

  3. Marly dit :

    Il faut encourager les textes originaux et celui-là en est un, c’est même un exercice de style, mais il est selon moi raté
    1) Les personnages sont des marionnettes sans aucune psychologie
    2) Les personnages parlent tous de la même façon alors qu’ils sont différent
    3) On s’en fout un peu des mensurations des bites

  4. Muller dit :

    – Waooow… Quelle putain de bite tu as ! Elle fait combien ? dit- elle en la prenant en main.
    – 22 centimètres de long et 6,5 de large.
    C’est quoi ces dialogues ???????

  5. Darrigade dit :

    Décrire 4 point de vue différents est une bonne idée, le soucis c’est que c’est du direct à la soupe, sans aucune psychologie, et puis les clichés dimensionnels, ça finit par craindre

  6. Nathalie dit :

    Le gang des étalonneurs de bites a encore frappé !

  7. pommaris dit :

    Purée comme j’aurais aimé être à la place de Marc…..

  8. Dudule dit :

    Hyper cliché mais forme originale, sauf que j’ai trouvé dommage de lire mot pour mot les mêmes phrases dans la bouche de 3 personnes différentes. Du coup, ça fait plus exercice de style qu’autre chose.

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