Humilié en jupe (3eme partie) Un Week-end entre amies par Anderailles

Résumé des épisodes précédents : Lors d’une soirée entre copains, j’ai
découvert parmi eux Adeline que je dois à présent appelé Maîtresse Mito ou
Maman suivant ma tenu. Elle a décidé, et je l’ai accepté, de refaire mon
éducation. Après avoir fait des achats de matériel utile à ma formation, je
devais nettoyer ses sanitaires…

Une fois le nettoyage de toilettes terminé, maman vient vérifier la qualité
et gare à moi si c’est mal fait.

– C’est bien propre. Tu auras une petite récompense lors du souper que tu va
aller de ce pas préparer ; les instructions sont dans la cuisine. Pour ton
1er repas, je vais te retirer ces menottes.

Elle joignit le geste à la parole. Je descendis vite dans la cuisine
préparer un lapin au citron.

– Je dois mettre un tablier ou non ?
– Tu as le choix. Soit tu gardes la tenue que tu portes soit tu mets le
tablier spécial qui est dans ma chambre mais tu seras nu dessous.

Je monte pour regarder le fameux tablier. Il s’agit d’un tablier tout blanc
avec des dentelles roses bonbon et sur lequel il y a écrit :  » Je cuisine
pour ma maîtresse « . Si ce n’était que cela, je le mettrai mais en fait, la
ficelle qui sert à le nouer dans son dos est triple puisqu’il fait string en
même temps et il y a deux énormes faux seins sur la poitrine. C’est pour
cela que j’ai décidé de garder ma tenue actuelle.

– Sache que c’est la dernière journée ou tu pourras encore choisir quelque
chose. A présent, retourne vite dans la cuisine. Et que ça saute. Quand le
dîner sera au four, tu remonteras ici.

Je suis donc aller préparer ce plat. C’était pas très évidant mais je me
suis forcer à soigner la présentation pour plaire à ma maîtresse et surtout
pour éviter une déconvenue fessière.

Je suis remonté la voir lorsqu’une douce odeur de lapin en train de cuire
remplissait la maison.

– Bon. Tu vas mettre le couvert avec des chandelles et l’argenterie mais
pour une personne uniquement. Toi, tu mangeras dans une gamelle que je te
donnerais. La récompense sera que tu pourras manger de la viande avec les os
que je te lancerai. Tu devras m’appeler quand le repas sera servi, tu
m’avanceras la chaise comme tu le ferais pour ta petite amie. Juste avant de
te m’appeler, tu devras te mettre en sous vêtement et c’est ainsi que tu
mangeras et que tu feras, bien évidemment, la vaisselle.

Quand elle descendit pour manger, je cru faiblir car elle était sublime,
magnifique dans un tenue de rêve. Une longue robe noire, fendue jusqu’à la
raie et un très grand décolleté. Elle était devenue plus grande que moi avec
l’aide de ses talons aiguilles. Je l’installais pour qu’elle puisse déguster
son repas. Elle m’attacha par la laisse à sa chaise. J’obéissais à tous ces
ordres comme un brave toutou. Je devais sucer les os avec le peu de chair
qu’il restait dessus. A la fin, elle m’obligea à lécher ses pieds et ce fut
mon dessert.

– Vas faire la vaisselle tout de suite !

Je me suis empressé de laver, à l’eau froide, tous les ustensiles utilisés
par ma maîtresse. Une fois terminé, je suis allé vers elle et elle me dit :

– Tu vas rentrer chez toi maintenant en n’oubliant pas de mettre ton string
tous les jours. Tu le laveras en arrivant Samedi matin car je te veux chez
moi tout le week-end. On va bien s’amuser ce week-end. Tu diras à tes
parents que tu vas chez une amie pour travailler sur un projet.

Samedi matin. Je sonne chez Adeline en pensant tout ce que j’allais subir
pendant ce repos de fin de semaine. Je rentre et j’aperçois soudain qu’elle
n’est pas seule.

– Comme tu peux le voir, il y aura quelqu’un avec nous au moins pour
aujourd’hui. Tu vas faire comme d’habitude c’est à dire te changer mais en
étudiante directement. Tes vêtements t’attendent dans la chambre. Tu
redescendras directement et je te ferai part de quelques éléments concernant
le week-end.

Je me suis donc exécuté. Je me suis donc habillé, pour la première fois, en
étudiante japonaise, car ma maîtresse est vietnamienne. C ‘est très curieux.

– Je ne te présente pas Sandrine car tu la connais déjà il me semble. Bien.
Tu vas lui dire bonjour en t’inclinant comme devant une princesse, lui faire
un baise main et lui embrasser les deux pieds. Ensuite, tu nous raconteras
ta journée d’hier et c’est elle qui décidera de ta punition. A présent,
exécute-toi.

J’ai donc embrassé Sandrine et raconté ma journée d’hier. Elle répondit ceci
:

– Tu n’as pas été très gentil avec les filles de la fac. Tu vas
donc recevoir vingt fessées sur la jupe à la main puis quinze autres sur ton
gros cul de salope. Ensuite, tu iras au coin avec ta jupe dans la bouche et
les mains menottées dans le dos pendant vingt minutes. Tu reviendras
t’excuser de ton comportement abject envers ses demoiselles et réclamer dix
coups de martinet cul nu. En dernier, tu auras droit aux coups de brosse à
cheveux. Dix sur chaque globe me paraît bien. Tu seras bien sur allongé sur
les genoux de ta fesseuse.
– Ce que je te propose ma chère, c’est que nous donnions la moitié de sa
punition chacune.
– Je suis entièrement d’accord avec toi. Il le mérite au vu de cette
journée.

Cette punition a été très dure mais j’ai réussi à passer outre.

– A présent, tes cours.

Là, se sont mes jambes et mon dos qui ont beaucoup pris avec la canne mais
les fesses n’ont pas été en reste avec la célèbre règle en bois. Elle me fut
d’ailleurs appliquée également sur les doigts. Enfin, j’ai du m’accroupir
sur la règle pendant trente minutes et, le tout, coiffé d’un bonnet d’âne.
D’autres photos furent prisent.

– Tu vas préparer le repas pour deux personnes uniquement. Tu ne mangeras
pas et tu feras le service. Tu seras, en outre, habillé uniquement du fameux
tablier. Après la vaisselle, tu viendras nous voir que l’on t’explique le
Week-end. Tu devras venir en fille. Et Sandrine, tu la nommeras Maîtresse
Metallina quand elle sera ici.

Pour le repas, elle avait trouvé un nouvel ustensile de torture. Je dis bien
ustensile car il s’agissait d’une cuillère en bois…

Je suis monter me changer rapidement car je les entendait s’impatienter dans
le salon.

– Me voilà Maman.
– Bien. Voilà en quoi va consister le week-end, enfin, surtout le samedi.
Nous avons décidé d’un commun accord que nous passerions l’après-midi à
jouer avec des gages. Tu seras le souffre-douleur, c’est à dire que c’est
toi qui recevras tout les gages. De plus, tu vas faire la connaissance avec
la cravache car elle fait de l’équitation ainsi que du gode ceinture.
Elle sortit tout cela d’un sac de sport.

– Le premier des duels sera le tennis de table. Match en deux sets de 21
points. La perdante, en fait toi Laïka, se fera fesser sur la table avec le
cul détroussé. Elle devra compter bien fort les coups et remercier la
vainqueur de la punir pour l’avoir battue. Le nombre de coups par fesse sera
déterminé par la différence de points de la perdante. Elle sera en outre
attachée aux pieds de la table ainsi qu’au filet pour qu’elle ne bouge pas.

Metallina remporte ce match en trois sets : 21-5, 20-22, 21-10 ce qui donne
16-2+11=25 coups par fesse.

– Je vais donc te donner vingt-cinq coups de raquette de ping-pong par
fesse. Si tu dis mal ta phrase, je recommence le coup donné.

Les coups commencèrent alors à tomber. J’avais vraiment très mal. Je fus
ensuite envoyé au coin.

– Avant de passer à la suite, nous allons statuer sur le gage final pour la
perdante qui aura le plus de défaites dans nos duels. Nous en ferons exprès
un nombre impair pour qu’il y ait automatiquement une vainqueur. As-tu une
idée ma chère ?
– Je pense que je pourrai essayer de me défendre en faisant un duel avec la
vainqueur de chaque rencontre. En effet, je pourrai faire le duel suivant
face au vainqueur et c’est celle qui a perdu qui prend ma place de
souffre-douleur. On comptera à la fin combien de victoire totalise chacune
des joueuses et c’est celle qui aura le plus de défaites qui sera puni !
– Dois je te rappeler que ce n’est pas toi qui commande ici ?
– Moi je pense que c’est une très bonne idée car nous avions pensé faire un
concours de couture au cour de laquelle la perdante devait juste servir le
thé dans le salon avec un bâillon sur la bouche et les mains menottées dans
le dos. Le plateau lui sera installe autours du cou. Elle aura droit à de
petites caresses sur son derrière.

Cela m’étonnait de la part de Sandrine de vouloir faire cela mais j’ai
répondu :

– Moi je vote pour.
– Je veux bien alors. Nous voulions réaliser, euh…, quoi déjà ?
– Nous voulions faire un masque pour les yeux. Donc je rappelle le gage pour
la perdante : Elle devra servir le thé dans le salon avec des menottes aux
mains, un bâillon dans la bouche, le plateau autour du cou et habillé avec
uniquement des sous-vêtements à l’envers, c’est à dire les bonnets du
soutien gorge dans le dos et la ficelle du string devant. Elle sera en outre
caressée gentiment.

J’ai évidemment perdu à plate couture, c’est le cas de le dire, car je ne
sais pas me servir d’une aiguille. Après l’exécution de son gage, Maîtresse
Mito a dit ceci :

– Je vais donc affronter Sandrine au Jokari. Je viens de décider du gage
final pour celle qui aura le moins de victoire. Elle devra  » resubir  » tous
les gages de cette après midi, elle devra se faire sodomiser par les deux
autres joueuses dans chacune des salles de jeu. Elle devra également les
servir toute la soirée en sous vêtements. C’était pour le gage final. Pour
le présent duel, la perdante sera attachée au poteau avec la fille du jokari
et la boule dans la bouche. Elle se prendra alors des coups de raquettes sur
les fesses.

Sandrine s’est encore imposée. Il va falloir que j’arrive à la battre une
fois ou elle ne sera jamais punie.

– Maintenant, cuisine ! Nous allons, Laïka et moi, confectionner des cookies
avec les deux recettes que voici. La perdante s’habillera en soubrette pour
servir les mets confectionnés. Elle aura, en outre, droit à des coups de
cuillère en bois sur les fesses. Elle devra ensuite lécher les plats et les
nettoyer.
Elle s’est encore un fois de plus imposée. Pauvre Maîtresse Mito. Elle n’a
pas eu de chance que Sandrine ait voulu que je participe aux duels. Une fois
la vaisselle propre, c’est à mon tour d’attendre la punition… L’attente ne
fut pas longue car Sandrine a encore laminé Maman. Elle dit soudain :

– Je pense que je vous ai toutes les deux bien gagné. Donc je vais décider
que les duels sont terminés et que vous aller toutes deux subir le gage
final. Toute fois, comme vous avez été plus que médiocre, je vous mettrai
vingt coups de cravache chacune… sur chaque fesse. Je vous réserve également
quelques surprises.

La soirée a été très longue mais je vous dirai la suite une autre fois.

A suivre…

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *