Folies douces… par Verdon

Folies douces… par Verdon

Un jour que ma Tatie me soignait les furoncles
J’ai vu dessous sa jupe aucune roubignolle.
 » Si j’en avais, petit, tu me dirais ‘mon Oncle’
Mais j’ai entre les jambes une douce pachole « .

Je la baisais plus tard, n’ayant plus de furoncles
Content de constater qu’elle n’était pas mon Oncle
Tandis que ce dernier étant devenu tante
A l’endroit préposé s’est pris ma queue bandante.

Et depuis ce jour-là, ils vont me recevoir
Car d’un côté ou l’autre j’ai toujours mes entrées.
Vu que dans ce beau monde, la chose est bien notoire,
Leurs idées sont si larges, qu’on peut y pénétrer.


Et pour changer la donne au cours de belles soirées
Ma Tante se retourne pour me faire dérider
Sa rondelle striée qu’elle a vraiment serrée.
Tandis que mon tonton, lui se met à bander
Oubliant tout à coup qu’il était un pédé.

C’est qui dans ce cas-là, qui en paye les frais ?
Inutile je le sens de vous le demander…
…………
Vu que vous êtes en train déjà de vous marrer
De me voir poliment me faire truander !

(27/09/2022)

Ce contenu a été publié dans Histoires, Poèmes, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Folies douces… par Verdon

  1. Harivel dit :

    A voile et à vapeur dans la joie ! J’adore !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *