Dialogues scato par Libellule

– Et bien monsieur De Beauvais, c’est vous le seul homme de la soirée, à vous de nous servir le champagne ! Pissez donc dans ces verres.
– Volontiers. Je vous présente la baronne Sophie de la Marche.
– Enchantée Chère Baronne.
– Je suis très heureuse de vous connaitre Madame la comtesse. Monsieur Philibert de Beauvais m’a indiqué que vous étiez une femme unique et… et….
– Et… quoi, Sophie ?
– Et bien que vous aviez des goûts spéciaux. J’aimerai les partager, je l’avoue.
– Je… me trompe peut-être comtesse mais… Je sens une drôle d’odeur dans votre salon.
– Mouhahahahah !
– Allez… Trinquons.
– A nous, à nous. Merci. Votre pisse est fort gouteuse, Monsieur Philippe, mais ne faites pas l’innocent,.. Vous savez très bien que… ça pue la merde chez moi… Délicieusement la merde…
– Ah mais j’me disais aussi qu’y avait une odeur qui me rappelait quelque chose.
– N’est-ce pas ! Vous aimez sentir l’odeur de vos excréments, Sophie ?
– Ça m’a toujours troublé, même excitée. Mais le faire à plusieurs… Mais vous savez, je chie toujours aux cabinets.
– Et dans vos cabinets… quand votre merde sort de votre cul, c’est à ce moment que vous avez des envies bizarres ? Que vous avez des troubles ? Vous êtes-vous torché le cul ce matin ?….
– Je savais que je venais chez vous, alors je me suis abstenue
– Vous permettez….
– Snif snif’ Mmmhhh…. Vous sentez… Votre cul sent la bonne merde, Sophie.
– Et bien je sens que ça va être chaud ce soir !
– Permettez que vous lèche, je vais me faire une joie de gouter à ces impertinentes taches brunes qui ornent le pourtour de votre anus.
– Faite donc, je vous en prie !
– Oh, ce petit gout de noisette est divin, il en reste un peu, cela vous tente Monsieur Philippe ?
– Bien sûr, mais je peux faire mieux, offrez-moi votre cul, comtesse que je vous encule.
– Oh oui, c’est trop bon une bonne bite dans le cul.
– Voilà je ressors, ma bite en pleine de merde, régalez-vous gentes dames !
– Une bite à la merde, c’est un régal que l’on sert
– Il faut maintenant que je chie, Sophie, me prêterez-vous votre bouche.
– Assurément, Madame la comtesse !
Au lecteur d’imaginer la suite…
Ah ! Lécher un beeu boudin qui vient juste de sorti d’un joli Petit cul !
Ça a quel goût, la merde ? Ça doit être dégueu !
Si tu veux vraiment le savoir, procède comme suit
1) tu t’introduis ton préalablement mouillé dans le cul
2) tu l’agites pendant une bonne minuteµ
3) tu le ressors et tu le lèches.
Si tu ne te sens pas capable de faire cette expérience ta question n’a aucun intérêt
Ces dialogues ont été plus ou moins pompé dans un film scato aussi mythique qu’introuvable, réalisé selon certains par Stan Lubrick (Yannick Perrin) et intitulé « Shit Chic 5 »
Je ne vois pas trop ce qu’il y a « d’historique » là-dedans
Amis de la poésie, bonjour !
En voilà un style bizarre, on est souvent obligé de deviner qui cause