Clotilde 17 – Femelle par Fafalécureuil

Clotilde
17 – Femelle
par Fafalécureuil


Bien sûr mes maîtresses ne me laissèrent pas jouir… Angélique tendit son pied et en chienne obéissante je le léchais aussitôt, longuement… Après un moment, Karine me redressa et brusquement retira le gode à picots de mon sexe écartelé. Si Angélique ne m’avait pas rattrapée, je serai tombée, la douleur n’était pas si forte mais la sensation était décuplée par mon excitation. Ensuite, elle fit de même avec le plug qu’elle retira de mon petit trou.

– A quatre pattes maintenant ! Montre-nous ton cul…
– Oui Maîtresse,

J’obéis instantanément, cambrant mes fesses, consciente d’être offerte totalement et fière de l’être. Angélique se posta derrière moi, je sentis son talon glisser contre ma raie. Je me baissais… Son talon s’arrêta, elle se retourna… Son talon se fit plus insistant, puis il s’enfonça en moi, m’arrachant un cri de douleur et de plaisir mêlés. Angélique, inflexible appuya de plus belle, ignorant mes hoquets et me pénétra totalement. Karine se baissa et glissa à mon oreille :

– A toi maintenant, empale-toi !
– O…..ou….oui Maîtresse…

Et je commençais des mouvements de va-et-vient pour m’empaler sur le talon d’Angélique. La douleur était remplacée par le plaisir et la sensation d’humiliation était délicieuse. Cette fois-ci, mes maîtresses m’aidèrent à jouir. Karine glissa sa main entre mes cuisses et malmena mon sexe alors qu’Angélique me défonçait le cul. Je hurlais des choses incroyables, ivre de plaisir et de jouissance, prête à tout pour assouvir mes pulsions et celles de mes maîtresses. Lorsque la cravache mordit ma peau, je me rappelle avoir supplié Karine de continuer, lorsqu’elles me retournèrent sur le dos et que le cuir s’abattit sur ma poitrine, je sentais que mon plaisir montait. Je les encourageais à ne plus retenir les coups, à me punir, à me faire mal, à me faire jouir. Mon sexe ruisselait, la cravache le maltraitait. Le sexe d’Angélique qui s’écrasait sur ma bouche, le bruit sec de la cravache sur mes chairs, mes cris, mon plaisir, un trou noir…

Je me réveillais dans mon lit, nue, il faisait jour. Mon corps était douloureux et courbaturé, je regardais autour de moi, rien. Pas un bruit… Je soulevais la couverture pour découvrir quelques traces, des zébrures fines et très discrètes sur mes seins, mon ventre, mes cuisses. Impossible de me souvenir de ce qui c’était passé, la douleur, le plaisir, mes cris d’encouragement à mes maîtresses, puis… le vide… Exténuée, je bus à la bouteille posée sur la table de nuit et je me rendormis. Quelques heures plus tard, un corps chaud se glissa contre le mien, Angélique, nue, se lova contre moi. Son souffle dans mon cou, son parfum, son odeur musquée. Elle m’enlaça doucement et je me rendormis à nouveau.

Lorsque je me réveillais, il faisait noir et Angélique avait disparu, quelque chose me serrait au cou, mon collier de métal était toujours là, mais une laisse de cuir y était attachée. La laisse était attachée au montant du lit avec un petit mot que je lus :

Clotilde,

dès ton réveil, détache ta laisse et va te laver et te préparer, ensuite mets des bas, un porte-jarretelles et des talons hauts. Ensuite tu prendras le manteau qui se trouve dans ta voiture, tu le mettras et tu me rejoindras à l’adresse qui suit. Arrivée sur place tu entreras et obéiras à tous les ordres qu’on te donnera. Les personnes à qui je vais te confier sont des connaissances et j’ai entière confiance.
Sois docile, obéissante et tu seras récompensée au centuple,

ta maîtresse qui t’aime Gaëlle,

Bon, ce n’était pas très compliqué jusque là, je me préparais à la salle de bains, les marques s’estompaient rapidement et avaient presque déjà disparu sauf pour trois d’entre elles. J’enfilais mes bas et les fixais à mon porte-jarretelles, puis je mis mes escarpins à talon. Je traversais la cour, nue et parfaitement à l’aise. J’ouvris la Porsche et mis le manteau, ne boutonnant que trois boutons. Je mis le contact, émoustillée par la fraîcheur du cuir sur la peau de mes fesses nues. Après 20 minutes de route je bifurquais vers une zone industrielle et vers l’adresse que Karine m’avait indiquée : un grand hangar blanc, sorte de boîte de nuit. Tout semblait fermé, je me garais et sortis, il faisait gris et j’entrepris de faire le tour du bâtiment pour essayer de trouver une porte ouverte. A l’arrière, je trouvais une issue de secours entr’ouverte. Sans me poser de question, je poussais la porte. Il faisait noir, j’entendais de la musique et continuais à la lueur des éclairages de secours. J’arrivais sur une piste de danse déserte. Un homme rangeait le bar, faisant sonner les verres. Je m’avançais vers lui. Il se retourna en me voyant dans le miroir qui décorait le bar.

– Bonjour, vous êtes Clotilde ?
– Bonjour… oui c’est moi…
– Bien, nous vous attendions plus tard, mais ce n’est pas grave. Suivez-moi.
– D’accord…

Je le suivis à travers les couloirs pour gagner un bureau ou il me fit entrer. Il ressortit aussitôt me laissant seule. Après un court instant, la porte s’ouvrit et un grand black entra. Il me salua et s’assit dans son fauteuil.

– Asseyez-vous Mademoiselle.
– Merci…
– Vous avez un beau collier…
– Oui, merci…
– Je connais sa signification, je suis un ami de Gaëlle, je me présente, Victor.
– Clotilde.
– Comme vous pouvez le voir, je vous connais déjà.

Il tourna l’écran de son ordinateur vers moi, révélant des photos de moi dans des postures très très explicites.

– Mais je ne priverai pas du plaisir de vous admirer en vrai. Otez votre manteau.

Désobéir ne me venait même pas à l’esprit, j’avais confiance et aussitôt je me relevais et défis les trois boutons qui retenaient mon manteau. Puis je fis glisser mon manteau me révélant, nue à Victor.

– Bien, vous êtes effectivement superbe. Tournez- vous… Parfait, baissez-vous maintenant…. Très bien. Avant tout sachez que toutes les personnes qui sont ici, aussi bien notre personnel que les… adhérents sont triés sur le volet. Vous ne ferez pas ici de mauvaise rencontre ou ne subirez aucun traitement que vous n’ayez choisi. Est-ce bien clair ?
– Oui, très clair…
– A n’importe quel moment vous êtes libre de tout arrêter, il vous suffira de dire le mot STOP trois fois et tout cessera.
– Le mot STOP trois fois, d’accord.
– Pour commencer, prenez un verre de jus de fruits et dites-moi quelles sont vos préférences en matière de sexe.
– Euh… merci… Comment dire…
– Pour faire simple, je vous poserai des questions et vous me répondrez oui ou non, notre intérêt commun est lié à vos penchants et à votre plaisir. Soyez honnête.
– Bien… Je suis prête…
– Vous pouvez vous rasseoir. Plutôt hétéro ?
– Oui,
– Vous aimez également les femmes d’après Gaëlle.
– Oui,
– Quelle préférence ?
– Oh, moitié-moitié je n’y ai jamais pensé.
– Et avec plusieurs partenaires ?
– Oui,
– Combien ?
– Une dizaine… des deux sexes.
– Sexe oral ?
– Oui,
– Quel type ?
– Oh, fellation, cunnilingus, anulingus…
– Bien, vous acceptez d’avaler ?
– Oui,
– Les éjaculations faciales ?
– Oui,
– Sur tout le reste du corps, multiples ?
– Oui,
– Parfait. Au niveau pénétration, vaginale ? Anale ?
– Les deux…
– Quelle préférence ?
– J’aime les deux… Difficile à dire.
– Simultanées ?
– Oui
– Et les doubles pénétrations ?
– Comment ça ?
– Dans le même orifice si vous préférez…
– Je n’ai jamais essayé.
– Et vous pensez essayer ?
– Pourquoi pas, si l’occasion se présente…
– Tendances fétichistes ?
– Oui…
– Quelles parties du corps ?
– Euh, les pieds peut-être ?
– Des matières préférées ?
– Le cuir, la soie, le latex…
– Et ?
– … le métal.
– Plutôt soumise ou plutôt dominatrice ?
– Plutôt soumise, mais des fois j’aime aussi avoir l’initiative.
– Soumise à quel point ?
– ?
– Plutôt du genre à obéir aveuglément ou non ?
– Je crois que … oui…
– Plutôt sado ou maso ?
– … maso pour être honnête…
– Jusqu’à quel point ? Un peu de douleur, de souffrance ou davantage ?
– Davantage.
– Des tendances exhibitionnistes ?
– Oui…
– Eh bien…Je vais vous lire une liste, dites-moi stop lorsque vous refusez une des pratiques, un des accessoires ou des situations que je vais vous énoncer.
– D’accord
– Fellation, masturbation, pénétration, sodomie, pluralité, échangisme, gode, plug, vibromasseur, masque, collier, exhibition, corset, bracelet, menotte… Je continue ?
– Pas de problème…
– Exhibition, laisse, soumission, esclave, entrave… Carcan… Humiliation ?
– …
– Pinces, chaînes, corde, cire
– Stop…
– Pas de cire ?
– Euh enfin, je n’ai jamais essayé en fait, je ne sais pas vraiment…
– Ok nous verrons le moment venu. Je continue ma liste, liens, croix, baillons, fist vaginal, fist anal
– Stop
– Pas de fist anal, ok.
– Je n’ai jamais essayé.
– Tout le monde n’y arrive pas, pour le fist vaginal vous êtes sûre ?
– Oui, bien sûr.
– Jusqu’à quel point ?
– Comment ça…
– Vous pouvez facilement faire entrer votre main ?
– Oui.
– Allez-y s’il vous plaît.

Je me mis au bord du fauteuil et écartais les jambes tout naturellement. Je mouillais depuis que j’étais entrée dans la boîte et j’étais déjà bien lubrifiée. Je fis entrer ma main doucement mais entièrement, non sans pousser un petit gémissement de plaisir.
– Bien et avec le poing ?
– Oh, bien sûr regardez…

Je sortis ma main et fermais mon petit poing avant de l’enfoncer en moi. C’était un peu plus laborieux, mais après deux essais, il entra.

– Ok parfait. Retirez votre main, on continue.
– Mmmmmmmm. Bien…
– Pinces, carcans…. C’est bon, que reste t-il ? A oui, cravache … ?
– Oui, a condition de ne pas être marquée…
– Parfait, fouet ?
– Oui, sans marques…
– D’accord, badine, fessées, sans marques ?
– Oui.
– Vidéo ?
– Dans quel sens ?
– Acceptez-vous d’être filmée ?
– Si l’enregistrement reste très confidentiel… à la rigueur.
– Bon, continuons notre liste. Tatouages et piercing ?
– Non, je ne souhaite pas.
– Pas de problème, jeux avec de la nourriture ?
– Pourquoi pas ?
– Jeux de sperme ? Bukkake ?
– Oui…
– Avec plaisir ? Vous aimez ça ?
– Oui… les deux…
– Jeux uro ?
– Oui, et j’aime ça….
– De quel côté ?
– Euh… réception…
– ?
– Dans ma bouche, sur mon corps…
– Bon, normalement nous n’allons pas plus loin. Donc ma liste est a peu près terminée. J’aimerai que vous passiez dans la pièce à côté où vous serez filmée. Vous n’aurez qu’à obéir aux ordres.
– Bien…
– Merci Clotilde, je pense que vous allez apprécier… notre collaboration.
– Euh, je pense oui…
– Par ici, oh, encore une question, avez-vous des préférences, comment dire… de couleur de peau ?
– Non, aucune…
– Parfait…

Je passais dans la pièce à côté, une table sur laquelle plusieurs godes étaient disposés, du lubrifiant, un tabouret de plexiglas. Une voix de femme résonna, venant d’un haut-parleur juste au-dessus d’un grand miroir (certainement sans tain).

Asseyez-vous, faites ce qu’il faut pour m’exciter.

Aussitôt, je m’assis et caressais mes seins, pinçant mes tétons, les enduisant de salive. Puis en même temps j’écartais mes jambes, puis de mes doigts écartais mes lèvres gonflées. Rapidement un gode entra en moi, je le fis alterner entre ma bouche et mon sexe, puis je me retournais et écartais mes fesses pour dévoiler mon petit trou aussitôt taquiné par mes doigts que je léchais avec plaisir. Le plug me remplit peu de temps après. Je m’amusais avec n’hésitant pas à le faire entrer et sortir et à le mettre en bouche.

Deux petites trappes s’ouvrirent sur les côtés et aussitôt deux sexes tendus en sortirent. A genoux, je les léchais et les suçais sans hésiter et avec beaucoup de plaisir. Je les masturbais, les frottais contre mon visage, ma poitrine, mon cul. Par contre dès que je tentais de me faire pénétrer, il ressortait. Pas grave, je continuais à les sucer et les fit exploser sur mon visage et mes seins. Ensuite je les nettoyais totalement tout en me caressant et en léchant mes doigts. Une porte s’ouvrit et on me tendit un verre d’eau que je bus avec plaisir. Lorsque j’eus fini, un sexe énorme sortit du mur et après un moment de surprise je commençais à le caresser, à déposer des baisers, des petits coups de langue. A ma plus grande surprise il prit encore du volume, il était presque difforme, mais réellement gigantesque ! J’ouvris ma bouche au maximum et tentais de le prendre entièrement dans ma bouche. En vain, je n’y arrivais pas. Je le léchais, le suçais, l’enduisant de salive, frottant mon visage contre ce membre superbe. Je me redressais pour m’en servir comme d’une matraque et donnais des coups sur mes seins tendus. Ensuite je me collais au mur et cette fois je pus m’empaler dessus. Je n’en revenais pas et je dus aller un peu doucement pour le faire entrer totalement en moi. Après je commençais de longs et délicieux va-et-vient en n’hésitant pas à crier mon plaisir. J’allais jouir lorsque la voix résonna.

– Tournez-vous…

Je compris aussitôt et rapidement guidais le gland énorme contre mon anneau heureusement préparé par le plug… Je m’empalais doucement sur ce monstre, laissant à mon anneau le temps de se déformer suffisamment. Petit à petit je pris de l’assurance et enfin je réussis à le faire pénétrer totalement, au prix d’un peu de souffrance mais de beaucoup de plaisir. Un peu plus tard je m’enhardissais et entamais des va et viens de plus en plus violent sur ce pieux de chair en poussant des cris de plaisir. L’orgasme ne tarda plus alors que je torturais mes tétons. Sans me laisser de répit, la voix reprit

– Dans votre bouche maintenant.

Et je me dégageais avant de me retourner et de lécher sans aucune hésitation toutes les petites souillures. Je le pris à nouveau dans ma bouche et le masturbais jusqu’à ce qu’il explose dans ma bouche, libérant une quantité incroyable de nectar chaud et un peu amer. J’avalais tout en gémissant de plaisir. Le sexe qui n’avait pas perdu sa vigueur ressortit.

La porte s’ouvrit et une main déposa un récipient de verre. La voix reprit

– Reposez-vous quelques minutes et laissez votre imagination faire… Je suis persuadée que vous devinerez ce que nous attendons.

Je m’assis sur le sol, épuisée et toujours aussi excitée. Après quelques minutes, le déclic se fit. Je me redressais et m’accroupis au-dessus du récipient, bien en face du miroir jambes écartées au maximum. Le jet brûlant ne tarda pas et avec tout ce que j’avais bu tout à l’heure dans le bureau, je remplis presque le petit récipient. Puis, je commençais à lécher mes doigts. Je pris le récipient et sans hésiter le portais à ma bouche. Je lapais à grand coups de langue totalement fascinée par ma propre perversion. Puis je renversais le récipient sur mon visage, au-dessus de ma bouche grande ouverte, laissant le surplus couler sur mon cou, ma poitrine et mon ventre. Avant que j’aie eu le temps de me caresser la porte s’ouvrit et on me tendit des bracelets et un sac. La voix retentit

– Vous savez quoi faire de tout cela. D’abord les bracelets.

Je pris les bracelets de métal et après avoir retiré mes bas et mon porte-jarretelles, je les bouclais autour de mes chevilles et de mes poignets. Ensuite j’ouvris le sac où je trouvais des cadenas que je plaçais sur chaque bracelet. Ensuite je mis plusieurs ceintures de cuir de tailles variées et munies d’anneaux : une autour de ma taille, une juste sous ma poitrine, une autre juste au-dessus, faisant saillir un peu mes seins. Une autour de chaque cuisse et enfin, une autour de chaque bras, juste après l’articulation du coude. Je vérifiais que l’ensemble était bien serré avant de continuer à fouiller dans le sac. Je sortis un genre de bâillon que je mis avec un peu de difficulté, il maintenant ma bouche grande ouverte. Je faisais ça le plus naturellement du monde, comme inconsciente et en même temps très excitée par la certitude que de l’autre côté on me regardait. Après, la voix me demanda de m’exhiber et je m’en donnais à cœur joie, exposant sans aucun tabou mon corps devant la glace. Puis on me fit sortir. On m’emmena au milieu de la piste de « danse » et on me demanda de m’allonger sur une croix horizontale. Je m’exécutais sans attendre.

Très rapidement, mes bras et mes jambes furent attachés à l’aide de mes bracelets. Puis on plaça un bandeau sur mes yeux. Quelqu’un vint me laver longuement, ses mains douces laissaient penser que c’était une femme. Quelque chose de froid pénétra mon petit trou, puis un liquide chaud m’envahit répandant une douce chaleur dans mon ventre. Je gémis. On me demanda de me vider et je poussais un peu laissant le liquide sortir. L’opération fut répétée deux fois encore. Ensuite je sentis qu’on me séchait et qu’on me coiffait. Pendant de longs moments, on me laissa seule, puis j’entendis des bruits de pas et de la musique. Des bruits de verres, des bruits de voix, nombreux… On vint me caresser, tout mon corps fut caressé puis léché, palpé. On embrassa ma bouche et je répondis à tous les baisers du mieux que je pouvais. Des doigts s’insinuèrent en moi. Peu de temps après un sexe se posa sur ma bouche, je tournais la tête et sans hésiter le happais au plus profond de ma bouche alors qu’on pénétrait ma chatte. De longs moments suivirent pendant lesquels les partenaires alternaient entre ma bouche et mon sexe. Mes jambes furent détachées et relevées, certainement suspendues par un système de poulie. Ainsi la voie était plus facile pour mon petit trou qui fut immédiatement malmené de plus en plus fort… Pendant ce « supplice » plusieurs orgasmes me secouèrent rudement et soudain la musique s’arrêta. Une voix retentit,

– Messieurs tous en place.

On retira mon bandeau, je ne pus dénombrer mes amants, 15, 20 ou plus ? Un déluge s’abattit sur moi, je fus couverte de sperme chaud, mon visage, mon cou, ma poitrine, mon ventre, mon sexe, mes jambes… Je ne réussis même pas à compter tous les sexes qui passèrent dans ma bouche pour que je les nettoie. J’eus droit à une pause de quelques minutes. Les gens présents, nus ou habillés, prenaient tranquillement un verre à côté de moi,

Ensuite on me détacha et je dus me diriger vers une table de bois ou on me lia, à quatre pattes, jambes et bras écartés et tendus. Puis on me massa doucement le sexe puis l’anus, Une très jeune femme blonde, vêtue d’une robe de latex translucide s’approcha de moi, elle enfonça dans mes orifices deux spéculums qui semblaient retenus pas des petits fils.

Je n’eus pas le temps de demander ce que c’était un picotement terrible commença dans mon ventre, comme une décharge électrique.

– Plus fort ?
– Mmmmmmmmm
– Plus fort ?
– Mmmoui

Cette fois-ci tout mon corps se contracta de plaisir, je tremblais. On fixa sur mes tétons des pinces de métal…

– Prête ?
– ….. Oui…

Mes seins se tendirent brusquement sous l’impulsion brève mais déjà intense. Ce plaisir nouveau m’excitait beaucoup et je sentais mon sexe couler.

– On continue ?
– Oui… s’il vous plaît.

Des pinces métalliques mordirent mes grandes lèvres puis mon clitoris. Je ne m’y attendais pas trop…. Mais l’excitation chassa rapidement ma crainte. Elles avaient été posées avec douceur et la morsure était très supportable.

– Prête ?
– Oui…
– Plaisir ?
– Oui

Et le jeu commença, à plusieurs reprises, au milieu de mes cris de plaisir, la jeune blonde me laissa au bord de l’orgasme.

– Tu es prête à jouir ?
– Oui, par pitié ?
– Si tu veux jouir tu devras accepter de souffrir un peu
– Je suis prête.

Et je n’eus besoin que de quelques secondes pour exploser, la douleur était réelle mais le plaisir qui l’accompagnait était si intense que je hurlais ma jouissance.

La jeune fille ôta ses ustensiles et me libéra. Je me relevais, chancelante, elle me prit par la taille et m’emmena à sa table où je m’assis à côté de ses amis et amies…

à suivre…

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