Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 5 – Un vampire de plus !

Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 5 – Un vampire de plus !

Clara

Bon réfléchissons, nous voici pour le moment à l’abri, il faudra sans doute que nous allions plus loin, pourquoi pas à Paris, où on peut facilement se cacher, mais pour l’instant ça va !

Il est bien évident que si nous voulons survivre sans être sans cesse sur le qui-vive, il faut de l’organisation. A trois ça fait juste, il faut donc soit que je trouve d’autres vampires, mais je ne sais pas comment les trouver, soit constituer notre propre groupe en vampirisant quelques citoyennes et citoyens.

Déjà on pourrait récupérer le gars de l’hôpital, mais comment faire, il ne doit rien comprendre de ce qu’il lui arrive, il n’aura surement pas l’idée de rechercher d’autre vampires et de toute façon comment pourrait-il nous rejoindre ? Il ignore qu’il ne peut sortir que de nuit et ne sait pas se transformer en chauve-souris, Il faut donc aller le chercher.

Je n’ai qu’une confiance limité envers les deux jeunes explorateurs de vieilles pierres. Ils n’arrêtent pas de me rabâcher qu’il faut qu’ils préviennent leur parents, ça devient une obsession.

Donc deux problèmes à régler.

On en discute ensemble, François-René veut rejouer le même plan que la veille. Il a l’air persuadé d’y arriver. Je le laisse faire en espérant qu’il ne nous fasse pas une connerie, mais avant je l’abreuve de conseils.

Et en ce qui concerne le gars en blouse blanche, je propose à Sidonie qu’on aille le récupérer ensemble.

Francois-René s’est métamorphosé en chauve-souris, il survole la route qui mène à Châtellerault, quand il aperçoit une station-service, il se pose et attend la voiture propice, Il néglige un poids lourd et une voiture avec une passagère. Survient une Audi avec un conducteur non accompagné, quand celui-ci sort de voiture, François lui saute dessus et le mord profondément, le gars s’écroule. Il le traine à l’intérieur de la bagnole et prend le volant. Un peu avant Châtellerault, il se gare dans une petite voie annexe, revêt les habits de l’homme et continue à pied. Il ne sait pas trop comment trouver un cyber café dans cette ville où il n’a jamais mis les pieds.

Mais il peut faire autrement…

– Pourquoi n’y ais-pas pensé plus tôt ? Pas la peine de dénicher un cyber-café !

Dans la veste du conducteur, il y a un téléphone portable.

– Pourvu qu’il n’y ait pas de sécurité !

Il n’y en avait pas.

– Allo, Maman, c’est François ! C’est juste pour te dire que je vais bien, je suis en Espagne avec Sidonie…
– François mon petit, qu’est-ce que tu as fabriqué ?
– Mais rien, Maman, il faut bien que jeunesse se passe.

La Maman ne parle plus, elle ne peut s’empêcher de pleurnicher.

– Mais dis-moi, c’est pas toi qui a fait ça, mon petit, ce n’est pas toi ? Dis-le à ta Maman.
– Mais de quoi tu parles ?
– Mais tu n’as pas lu les journaux ?
– Non pourquoi ?
– Mais dis-moi que ce n’est pas toi ? Tu n’as pas pu faire ça.
– Je t’embrasse, rassure les parents de Sidonie.
– C’est pas toi ? Dis-moi que c’est l’autre dinde qui t’as entraînée. On va prendre un avocat, on va te sortir de là…

Il raccroche et n’ayant rien compris aux propos de sa génitrice, il s’en va acheter un journal.

– Merde !

Un gros titre « La police sur la trace du vampire fou » et en dessous sa photo et celle de Sidonie.

Paniqué il se retransforme en chauve-souris, oubliant que je lui avait demandé de vampiriser ses victimes éventuelles. Et il revient à la grange.

Le capitaine Blanchard exulte devant son collègue de Poitiers.:

– Le salopard est à l’entrée de Châtellerault, il a téléphoné à sa mère avec un portable volé ! Ça prouve qu’il est pas bien intelligent, on ne lui a jamais dit qu’un téléphone ça se géolocalisait !
– On fait comment pour le retrouver dans Châtellerault ! Il y a 30 000 pèlerins là-bas !
– Il va commettre une autre erreur, mais on sera sur place.
– On attend demain matin ?
– Non, on y va.

Clara

J’ai senti l’odeur de vampire dans un quartier de Poitiers. Un hôtel ! Sidonie m’explique ce que sont ces établissements.

– Une auberge alors ?
– En quelque sorte !

On cherche une ouverture, l’hôtel possède un balcon, l’une des fenêtres est ouverte, on y va, on entre sans faire le moindre bruit, puis nous gagnons le couloir qui est heureusement vide, nous déambulons un peu. L’odeur de vampire se fait plus pressante, je détecte la bonne porte. On procède par claquement d’ailes sur la porte.

Au bout d’un moment, l’occupant des lieux vient ouvrir, on passe au-dessus de lui et on se pose sur la moquette de la chambre.

– C’est quoi ces horreurs ? Voulez-vous vous en aller, sales bêtes !

Il nous laisse et reviens avec un serviette qu’il secoue en tous sens, on en a profité pour retrouver notre forme humaine.

– C’est toi qui va essayer de lui expliquer avec tes mots à toi, sinon on ne va jamais se comprendre.
– Je ne sais pas si je saurais… Répond Sidonie
– Mais si, à deux on va y arriver !

Et le pauvre docteur Thomas Walkoviak a maintenant devant lui deux jeunes femmes complètement nues. Comprenez son émoi !

Il se pince, se demande s’il ne rêve pas !

– Vous êtes qui ? Les putes de l’hôtel ?
– Asseyez-vous, on va vous expliquer deux ou trois choses et rassurez-vous on ne vous veut aucun mal.
– J’ai pas d’argent ! Elles sont passées où les bestioles ?
– Bon, vous vous asseyez, oui !
– C’est pas vous qui allez me donner des ordres…
– Bon alors restez debout mais écoutez-moi !

Il s’assoit quand même.

– Hier à l’hôpital vous avez été mordu…
– Comment vous pouvez savoir…
– Parce que c’est moi qui vous ai mordu !
– Mais…
– Taisez-vous si vous voulez que j’explique sinon on ne va jamais y arriver !

Et je passe la parole à Sidonie.

– Il y a eu des expériences d’armes biochimiques dans une base militaire au Camp de la Braconne. On ne va pas tout vous raconter, mais nous sommes des victimes collatérales de ces expériences…

Mais, qu’est-ce qu’elle raconte ?

– Du coup on a subi une mutation génétique et de temps en temps on a besoin de sang…
– Vous tournez un film ou quoi ?
– Quand on mord quelqu’un, soit il se vide de son sang, soit en le mordant d’une certaine façon, il survit mais devient comme nous, un mutant.
– Putain, c’est pour ça que j’ai mordu une collègue en sortant ? Je sais pas ce qui m’a pris, j’avais envie de mordre, c’était plus fort que moi. Maintenant avec vos conneries je suis devenu un assassin, d’autant que je la connaissais, la petite dame, elle était sympa…
– Bon, ce n’est pas de votre faute, reprend Sidonie, nous aussi on voulait éviter de faire des victimes, c’est pour ça qu’on est allé à la banque du sang.

Le type essaie de réaliser ce qu’on lui raconte, mais faut se mettre à sa place, ce n’est pas évident, et en plus comme il a cessé d’être effrayé, il nous regarde de façon libidineuse.

– Et les militaires, il vous ont enlevé ?
– Pas du tout, nous avons été recrutées par petits annonces, ils cherchaient des volontaires contre rétribution, Mais après comme les expériences ont mal tourné l’ambiance s’est dégradée, on était enfermées mais on a réussi à s’échapper.

Quand même, cette Sidonie, quelle imagination !

– Vous voulez peut-être des vêtements ? Demande-t-il.

Oh, l’hypocrite !

– Non pourquoi, ça vous gêne de nous voir nues ? Intervins-je
– Ce n’est pas que ça me gêne…
– C’est que vous bandez !
– Mais.
– Laissez-moi faire, je vais vous arrangez ça !
– Ne me touchez pas !
– C’est très mauvais de laisser une érection en plan.

Et le voilà qui se lève et se demande où aller, mais j’ai déjà ma main sur sa braguette. En même temps je lui fous mes seins sous le nez; le pauvre est tétanisé.

Sidonie se demande ce qu’elle doit faire. Je lui fais signe de nous rejoindre. Elle le fait timidement et vient à son tour chauffer le bonhomme.

– Mon Dieu, si ma mère me voyait !

Bref on l’excite tant et si bien qu’il ne sait plus où il en est.

Je veux lui sortir sa bite de sa braguette, mais je ne comprends pas comment ça s’ouvre.

Sidonie éclate de rire, c’est la première fois que je la vois rire.

– T’as jamais vu une fermeture-éclair ?

Je ne cherche pas à comprendre et lui baisse son pantalon et sa culotte.

– Oh, la jolie bite ! Qu’est-ce que tu en penses Sidonie, elle est plus belle que celle de François-René, non ?
– Euh…
– Suce-lui la bite !
– Et toi ?
– J’arrive !

J’enlève les vêtements du haut du bonhomme, qui se laisse faire puis je lui pince les tétons, en principe ces messieurs adorent ça.

J’approche mon visage de celui du type et l’embrasse à pleine bouche.

– Alors, elle te suce bien, mon amie ?
– Oui, c’est bon, continue de me pincer !
– Comme ça ?
– Même un peu plus fort !
– D’accord, mais tu ne m’as pas répondu, je t’ai demandé comment elle suçait.?
– Ça va !
– Tu vois, le monsieur il est content de toi ! Tu vas devenir une bonne suceuse de bites.

Sidonie me lance un de ces regards courroucés, ça me fait rigoler.

– Mais vous faisiez quoi avant de servir de cobayes aux militaires.
– On te racontera ça tout à l’heure… il faut un temps pour chaque chose. Si tu aimes des choses un peu spéciales, dis-le-nous, on n’a pas de tabous.
– Je sais pas ! Euh, un doigt c’est possible ?
– Un doigt de quoi ? Un doigt comment ? Répliquais-je, faisant l’idiote exprès.
– Non rien…
– Mais ne t’inquiètes pas on va te le mettre le doigt dans ton cul et bien profond, en plus ! Sidonie, rentre ton doigt dans le cul du monsieur !
– Mais je n’ai jamais fait ça !
– Justement, faut bien commencer un jour !
– Fais-le, toi !
– Bon tu te mouilles ton doigt avec ta salive, tu l’approches de son trou du cul, et tu rentres, c’est pas compliqué.
– Bon, on y va, on y va !

Même pas eu besoin d’utiliser mon emprise, il me fallait juste insister un peu, normal, quoi !

– T’aimes ça qu’and on t’excite le cul, hein mon cochon !
– J’avoue !
– Tu t’es déjà fait enculer ?
– Mais enfin, c’est quoi cette question ?
– C’est une question que je posais comme ça, juste pour faire la conversation, mais si tu ne veux pas me répondre, ça ne fait rien mais je vais demander à Sidonie de retirer son doigt.
– Ben oui, je me suis déjà fait enculer, mais c’était y’a longtemps ! T’es contente ?
– Je suis ravie ! Et tu as sucé des bites ?
– Ben oui, ça va avec !

Le type à la bite raide comme un bout de bois, il faudrait peut-être penser à conclure.

– Tu vas nous enculer, l’une après l’autre, tu vas tenir la distance ?
– Je vais essayer. Vous avez des capotes ?

Voilà que ça recommence. J’attends de Sidonie qu’elle lui fournisse une explication, mais Sidonie se tait, Sidonie n’est pas si chaude que ça pour se faire sodomiser. Mais notre bon docteur se souvient soudainement que…

– Il y a un distributeur de préservatifs dans le hall, je vais en chercher. J’en ai pour cinq minutes, ne faites pas de bêtises.
– Vous ne vous rhabillez-pas pour sortir de la chambre ? Lui fait rempaquer Sidonie.
– Ah si bien sûr, c’est de votre faute, vous me faites perdre la tête.

Quand il est revenu avec des drôles de petits sachets, il s’est de suite de nouveau déshabillé, mais l’animal ne bandait plus !

Qu’à cela ne tienne ! Je le branle et sa bite repart à la hausse.

– Commence par mon amie !
– Je suis vierge du cul et j’aurais aimé le rester un petit peu ! Me déclare l’intéressée.

Bon pas grave, j’ai autre chose à faire que de la convaincre, si elle ne veut pas aujourd’hui, elle voudra demain. Les vampires ont l’éternité devant eux. Alors son cul attendra, et c’est le mien que j’offre au monsieur dont je ne sais toujours pas le nom.

Il s’entoure le zigouigoui d’une espèce de baudruche transparente, et me pénètre assurément. J’en profite pour lécher les nichons de Sidonie ses tétons sont tous durs, je m’en régale.

Ça fait du bien, personne ne m’avait sodomisé depuis mon réveil, ça me manquait. Le gars me pilonne bien, je vais jouir du cul, quand je commence à gueuler, Sidonie me met sa main devant la bouche. En voilà des manières !

L’homme jouit à son tour, retire sa protection et s’en va se nettoyer dans la petite salle d’eau attenante à sa chambre. Je le rattrape et me livre moi-même à ce petit nettoyage, j’adore lécher le sperme, sauf qu’ici il est accompagné par un goût rappelant le caoutchouc. Pas bon, ce truc !

Le gars semble être dans un autre monde, il plane à moitié, ne comprenant pas tout ce qui se passe

Je lui ai expliqué ce qui allait être nouveau pour lui, le besoin de sang, la difficulté à sortir en plein jour, une relative immortalité, révélation qui plait toujours. Et puis…

– On peut se déplacer en volant ?
– Ah ! Répond l’homme qui n’est plus à ça près.
– Quand tu as ouvert la porte, tu as bien vu des chauves-souris ?
– Oui, elles ont dû partir…
– Elles seraient partie où ? Tout est fermé.
– Je ne sais pas, moi !
– Ben les chauves-souris, c’était nous…

On lui a donc appris à se transformer, ça n’a pas été de la tarte, mais nous y sommes parvenues.

On a ensuite fait les présentations, il était bien temps ! Puis on a rectifié le tir. Quand on se transforme en chauve-souris on a tendance à croire aux vampires, il était donc inutile désormais de faire perdurer l’histoire abracadabrante que lui avait raconté Sidonie.!

Et on s’est envolé tous les trois rejoindre notre cachette.

François-René est déjà revenu de Châtellerault, il est dans un état de nervosité à peine croyable et nous débite une histoire à laquelle je ne comprends pas grand choses

– Des photos ?
– C’est comme des portraits mais c’est plus ressemblant ! M’explique Sidonie !
– Et le traçage c’est quoi ?
– Quand on se sert de nos petits boitiers magiques, la police peut savoir où on est.
– Mais on n’en a pas ici !
– Non, mais ils vont nous rechercher à Châtellerault.
– Ils ne nous trouveront pas ici !
– Peut-être pas, mais on va pas prendre le risque ! Il faut aller plus loin ! S’énerve François-René.

Du coup il faut expliquer tout depuis le début à Thomas Walkowiak… Je ne suis pas sûre qu’il ait tout suivi, mais rien ne nous empêchera d’en remettre une couche un peu plus tard.

Mercredi 5 mars

Il doit être une heure du matin, on décide de partir sur le champ, si on ne trouve rien on pourra toujours se planquer une journée dans un grenier avant de pouvoir repartir.

Et nous avons pris notre envol tous les quatre. Direction la Touraine.

Il y a beaucoup de belles et grandes baraques dans le coin, il a bien fallu qu’on s’arrête quelque part pour y passer la journée et c’est dans l’une des grandes maisons que nous nous sommes posés après plusieurs tentatives infructueuses.

Dans celle-ci une fenêtre était restée entrouverte. Néanmoins pas assez pour que nous puissions passer.

Qu’à cela ne tienne, je m’humanise sur la corniche, débloque l’espagnolette, redeviens chauve-souris et on passe,

Une femme dort là-dedans dans ce qui doit être un chambre de bonne. Nos battements d’ailes la réveille, mais elle ne peut pas nous voir. Le temps qu’elle allume sa lumière, nous étions déjà sortis de cette pièce.

– Juste un courant d’air ! Se dit la dame, en tentant de retrouver le sommeil.

On chemine dans la baraque, nos pas nous conduisent dans la cuisine. Sidonie ouvre une étrange armoire blanche avec une lumière à l’intérieur. C’est plein de bouffe là-dedans.

Sidonie sors une bouteille de vin rosé, Thomas trouve un tire-bouchon dans un tiroir, on en boit chacun une bonne rasade au goulot. Eh oui, les vampires se nourrissent de sang, mais ce n’est pas pour cela que nous perdons le sens du goût, alors on a grignoté du jambon, du saucisson et du fromage. Sidonie a trouvé dans un placard du chocolat et des petits gâteaux. Du coup on a fini la bouteille de rosé. Ça va leur faire drôle aux gens quand ils vont se rendre compte que des pique-assiettes sont passés par là !

Maintenant l’idéal serait de trouver le chemin de la cave, mais on ne trouve pas. Alors à défaut de cave, on essaie les greniers, on tombe sur une pièce aveugle. Ça fera l’affaire.

On décide de se reposer. On peut passer la nuit là-dedans, accrochées aux poutres en chauve-souris, on ne viendra pas nous chercher.

Mais voilà que François-René s’humanise. Il fait chier ce con, je ne lui pas demandé de faire ça. Mais du coup on l’imite tous les trois pour faire le point..

François-René et Thomas se mettent à râler, ces messieurs ont soif de sang et me le font savoir. Comme si j’avais une solution miracle !

– On va se reposer la journée ici, à la tombée de la nuit on essaiera de trouver une solution et si on ne peut pas faire autrement on mordra quelques citoyens. Mais je préférerais qu’on trouve autre chose, sinon on va finir par se faire repérer.

Si Thomas semble admettre la situation, François-René exprime son intention de se « débrouiller tout seul ».

Me voilà donc obligée d’user de l’un de mes pouvoirs : Je regarde fixement le gars dans les yeux. et l’envoute.

– Je te rappelle que c’est moi la chef, que tout seul tu ne survivras pas bien longtemps et que j’ai aussi le pouvoir de t’anéantir, alors tu cesses de rouspéter, je ne veux plus t’entendre.

Le problème c’est que cette petite séance d’intimidation me fait consommer énormément d’énergie, ça m’épuise et ça me donne soif.

Bon, pour l’instant dodo, on a placé une grosse bassine métallique devant la porte, si quelqu’un veut entrer, ça fera du bruit, on l’entendra.

A suivre

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2 réponses à Clara, la vampire par Léna Van Eyck – 5 – Un vampire de plus !

  1. Muller dit :

    Une très bonne histoire, très bien racontée avec les passages cochons qui vont avec !

  2. Baruchel dit :

    Le délire continue avec une Clara déchaînée mais Sidonie n’est pas mal non plus dans son genre. Délicieuse lecture

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