Carnaval 4 – Odeurs chlorées par Caroline49

Carnaval
4 – Odeurs chlorées
par Caroline

Chapitre 4

Odeurs chlorées.

J’avais ses doigts dans ma bouche. Je les lèche. Et j’aime ça. Je les retire et dépose sa main à côté. J’entends à son souffle que Caroline s’endort. Moi qui à l’origine devais siester un peu, et bien je suis toute énervée. Je cogite. Je revoie ma sœur se toucher devant moi. Ses doigts qui glissent dans son intimité. Ce plaisir qu’elle en tirait. Cette auréole sur la couette due au petit jet de pipi, et à sa jouissance. Mon cœur bat. J’essaie de ralentir ma respiration afin de trouver le sommeil. Je ferme les yeux…

« Allez, remuez-vous un peu au lieu de tatassez. Je vous signale qu’un tour de terrain doit se faire en une minute trente au maximum »

Woooahhh… C’est bon. Il est gavant ce prof de mes deux. Ce n’est pas lui qui court. Comme si c’était intéressant de faire des tours de stade, pendant vingt minutes. Je hais l’endurance. Le seul avantage c’est que depuis que la piste du stade a été refaite, c’est beaucoup plus agréable de courir. C’est une véritable piste d’athlétisme. En plus il fait chaud. On sue toutes à grosses gouttes. Les mecs eux, font du saut en longueur ou du triple saut. C’est encore pire. Nous ne sommes pas nombreuses dans notre classe, 7 filles pour 17 gars. C’est rare que nous venions au stade omnisport pour nos séances bihebdomadaires de sport. J’aime bien ce stade. Il est vieux. Surtout les vestiaires. J’y venais déjà quand j’étais au collège. Les vestiaires sont sous les tribunes. Tout est en béton. Il y a le couloir gauche pour les filles, et le couloir droit pour les gars. Dans chaque couloir, il doit y avoir au moins quatre grands vestiaires. Il arrive souvent que plusieurs écoles se partagent l’installation.

Nous, nous étions tout au bout. Rien que la porte fait froid dans le dos. Rouge. Du moins ce qu’il en reste du rouge. Des bancs en bois fixés au mur, et les porte-manteaux au-dessus. Les douches sont collectives. Il y a des fenêtres oscillo-battantes qui, lorsqu’elles sont ouvertes, permet aux voyeurs astucieux de mater dans les douches depuis le côté nord des tribunes. Quand j’étais collégienne, les gars essayaient de nous voir sous la douche. Aujourd’hui, en Terminale, c’est différent.

Les douches sont grandes, de quoi tenir une bonne trentaine de personne ensembles. Il y a quelques douches individuelles, mais en piteux état. Il y a aussi des toilettes, 4 cuvettes et 2 à la turque. Les portes n’existent plus ou ne ferment pas.

Après nos 20 minutes de courses, changement de rôle. Les gars passent à l’endurance, et nous, les filles, passons au saut. Il fait tellement chaud que nous avons toutes notre bouteille d’eau à proximité. Nos deux heures de sport se termine enfin et tout le monde regagne ses vestiaires. Exténuées, nous asseyons sur nos bancs. En sueur. Elodie est en face de moi. Elle porte un demi caleçon en coton très léger, bleu ciel. Elle a tellement transpiré qu’elle en est mouillée à hauteur de l’aine.

« T’as pissé dans ton froc, lui demande Mathilde ?
– Oui pourquoi, ça te dérange ?
– T’es pas cap !
– De quoi ?
– De pisser devant nous ?
– Tu crois ça ? »

Elodie écarta les jambes. Elle serra son caleçon au maximum. On distinguait ses lèvres à travers. Une tache humide commençait à apparaître à son entrejambe. Elle grossissait. Son caleçon devenait foncé. Elodie se laissait aller. Elle se mordillait la langue manifestement avec plaisir. Son pipi atteignait maintenant le sol. Et une petite flaque apparaissait sur le sol.

« Allez Aurélie à toi lui dit Mathilde »

Aurélie se mis debout sur le banc en écartant les jambes, elle avait enlevé son pantalon de sport, et son slip. Son sexe était un peu broussailleux. Elle mit ses doigts autour de ses lèvres et les écarta. Elle commença à uriner. Un long jet vient éclabousser à mes pieds. Des gouttes viennent me toucher les jambes. Mathilde applaudit.

« Sonia, à ton tour ».

Sonia était une grande fille de 1m 80. Elle est gymnaste. Elle se leva du banc et allait faire le poirier le long du mur. Nous restons toutes ébahies. Et là, la tête en bas, habillée, elle commence à uriner. Pas beaucoup, mais suffisamment pour mouiller tout son haut et une partie de ses cheveux. Applaudissement de nous six. Nous sommes folles. Ça commence à sentir dans les vestiaires.

« Cécile, à toi ».

Cécile réfléchissait. Elle prit une serviette de toilette dans son sac. Elle retire son short et son string. Elle colle la serviette sur son sexe et fait dedans.

« Mmmh comme dans une couche, c’est chaud et très agréable nous dit-elle »

Cécile n’avait pas fini son affaire que Cléo se mettait la main dans la culotte urina dedans tout simplement. Nos pipis respectifs se mélangeaient et commençaient à couler vers le regard des eaux usées situé au milieu du vestiaire.

« A moi, nous dit Mathilde ».

Elle se tourna dos à nous, les jambes serrées dans son caleçon long en lycra blanc. Elle mit ses deux mains sur des portes manteaux. Elle semblait se concentrer. L’odeur présente était troublante. Le bruit de nos urines qui s’écoulent ressemble à un petit ruisseau naissant. Silence dans le vestiaire. Mathilde pousse un « raaahhh » et une masse apparaît dans son lycra. Son lycra se colore de marron. Elle déféquait dans son caleçon. Un liquide brunâtre sortit ensuite de son entrejambe. Elle urinait. Je suis médusée. L’odeur devient âpre. Cécile, assise à côté de Mathilde, lui donna une fessée puissante. La masse s’étala dans son lycra. Cécile commençait à l’étaler partout….

Je me réveille en sursaut.

« Non mais c’est quoi ce rêve de tarées »me dis-je.

Je me redresse sur le lit. Ma sœur jumelle dort encore. J’ai dormi, quarante minutes. Pas plus. Je vais dans la salle de bain. Je ferme la porte. Je suis hésitante. Je m’assieds sur la cuvette des WC. Ma sœur me parle de sa pratique des jeux de pipi. Elle se masturbe devant moi en racontant ses ébats. Je fais un rêve perturbant. Caroline veut m’emmener à la piscine pour que je découvre le plaisir humide. Qui y a-t-il de mal à ça ? Serait-ce une pratique courante ? Je pense à mon couple d’allemand d’hier soir. Je reste scotchée là, sur mon trône, et je me regarde dans le miroir au-dessus du lavabo. Je décide de me préparer pour la piscine.

Je vais dans la chambre d’à côté. J’ouvre le grand placard et cherche un maillot de bain. Une ou deux pièces. Bon je pars pour deux. Lequel ? Le marron et noir ? Non, plutôt le blanc. Je prends le slip dans mes bains et le défroisse un peu. Il est bien échancré celui-là. C’est plus un maillot pour la plage que pour la piscine. Mais bon. Je n’ai rien à cacher. Je me déshabille. J’enlève mon string pour enfiler le slip de mon maillot. Ça dépasse un peu. Je dois enlever quelques poils récalcitrants. Je rentre dans la salle de bain et me glisse dans la douche. J’ouvre le robinet et attends que l’eau devienne tiède. J’écarte les jambes. Je passe ma main droite sur mon sexe. Je sens que l’intérieur est humide. Je glisse mon majeur tout doucement dans mon intimité. Je le ressors. Je le réintroduis. Je le ressors et je me surprends à le porter à ma bouche. Comme ma sœur. C’est la première fois que je me goutte. Ce n’est pas désagréable. Je prends la mousse à raser, et en étale sur mon sexe. Je commence à me raser le maillot. Je m’interroge sur la forme à donner à mes poils sur le pubis. Je passe les lames délicatement sur mes lèvres et commence à remonter le rasoir sur mon pubis. Je rase. A chaque passage du rasoir, le mouvement se rapproche vers le centre. Je me rase entièrement. C’est la première fois que je fais de l’intégral. Je rince tout à l’eau tiède. Je sors de la douche. Je soulève mon t-shirt et me regarde le sexe dans le grand miroir à côté de la douche. Mes lèvres sont légèrement ouvertes. Je distingue mon clitoris qui ressort un peu. Je me tourne. Après quelques contorsions, j’observe mes fesses. Je me penche et je regarde mon anus et ma chatte. J’imagine une langue passée de l’un vers l’autre. Une sensation chaude et contractante me prend le bas du ventre.

Je me redresse. Je finis de me déshabiller. Je suis nue dans la salle de bain. Moi, Claire, 20 ans, sœur jumelle de Caroline. Je fais 1m 75, deux centimètres de moins que ma sœur. Je fais un 95B comme elle. J’ai deux tatouages sur le ventre. Ils sont placés de façon symétrique ainsi qu’un petit bijou brillant placé dans le nombril. Ce n’est pas un piercing. Il tient avec de la colle dite anatomique. Je dois le recoller tous les 15 jours car l’eau des douches consécutives dissous la colle. J’ai les cheveux noirs car je me fais une couleur. Je porte une grande tresse jusqu’au milieu du dos. Je ne fume pas, je bois très peu de café, ce qui fait que j’ai les dents bien blanches. J’ai des atouts corporels. Je suis bi sexuelle et n’ai pas de relations stables pour le moment. Je me dis qu’à 20 ans, j’ai le droit de m’amuser. Je me protège et choisit mes partenaires sexuels. Alors pourquoi ne pas pimenter un peu ma vie sexuelle ?

Je prends une paire de ciseaux dans le tiroir et découpe la pièce de coton qui double le fond de mon slip de bain. Je l’enfile. Vu qu’il est un peu serré, mon sexe rasé et bien fendu se dessine à merveille. Je passe le soutien-gorge. Mes nénés sont bien mis en évidence. Ils sont serrés l’un contre l’autre mais j’ai un décolleté à faire bander un régiment de moines. L’image me fait sourire. Je finis par remettre mes vêtements civils, je prépare une serviette de bain et mon gel douche, des dessous de rechanges, mon lecteur mp3 le tout dans un sac de sport. Je suis prête. Je retourne voir Caroline qui émergeait de sa sieste. « Je suis prête pour la piscine, lui dis-je.

– Ok. Je vais me préparer moi aussi. »

Je descends dans le salon. La quantité d’eau bue au repas commence à me peser sur la vessie. Mais j’ai l’intention de me retenir le plus possible. Je prends le journal du jour. Il y a plusieurs articles sur le carnaval. Je regarde les infos locales et voit que la piscine est fermée aujourd’hui en raison du carnaval.

« Voilà voilà j’arrive, dit Caroline en descendant quatre à quatre les escaliers depuis le deuxième étage.
– La piscine est fermée.
– Hein ? Oh non ! C’est couillon. Et celle de Mortagne ?
– Attends je vais regarder » Je me dirige vers le pc familial et me connecte à internet et cherche l’info.
« C’est bon pour Mortagne. De 15 heures à vingt heures.
– Allez en route ! »

Caroline et moi avons une voiture pour deux. Caro étant en fac à Angers, elle prend le bus ou le tram pour aller de l’ appart à la fac. Moi je suis en deuxième année de maths appliquée dans une école privée du centre d’Angers. Nous avions chacun notre petit appartement, sous les toits, pas très loin de la place du Pilori à Angers. En fait, nous avions un palier à toutes les deux. Mes parents connaissaient le propriétaire et ils avaient trouvé un arrangement financier. Du coup, nous avions toutes les deux une grande chambre de 18 mètres carrés, une douche et un WC séparés dans notre chambre et seule le coin cuisine était commun à toutes les deux. Par contre nous n’avions pas de quoi recevoir nos amis, comme un salon ou une grande pièce avec table et chaise. Mais nous nous en contentions. Tout ça pour dire, que nous nous partageons aussi notre 206.

Nous partons donc pour Mortagne sur Sèvre. Petite commune située à une dizaine de kilomètres mais qui a somme toute, une piscine bien agréable avec un toboggan aquatique, une zone ludique pour plus jeunes et un bassin permettant de faire des longueurs pour ceux et celles qui veulent s’entretenir. Du moins c’est ce qu’il y a d’annoncé sur le site internet. « C’est la première fois que j’y vais.

– A la piscine de Mortagne ?
– Oui.
– Tu verras c’est sympa. Elle était bondée quand celle de Cholet était en construction. Mais maintenant c’est relativement calme. Bon il y a du monde de temps en temps mais là on devrait être à l’aise ».

Nous discutons de chose et d’autre sur la route mais étonnamment, nous évitons de parler de notre réelle venue à la piscine. Je gare la voiture. Nous prenons chacune notre sac et nous nous dirigeons vers l’entrée. Regard complice de ma sœur. Mon cœur commence à battre. Nous prenons nos tickets, passons le portique, et nous nous dirigeons vers les vestiaires. Nous passons une porte battante. Je m’attendais à trouver un côté fille, et un côté garçon. Comme dans nos anciennes piscines choletaises, et comme beaucoup d’autres d’ailleurs. Rien de cela. L’odeur du chlore est présente. J’adore cette odeur d’eau de Javel. Elle sent… je ne sais pas ce qu’elle sent d’ailleurs, j’aime ça. Un point c’est tout.

« Tu sens l’odeur, me dit Caro ?
– Oui, que de souvenirs.
– J’adorais la piscine Tournesol, avec son toit qui s’ouvrait l’été.
– Et les vestiaires communs, gars et filles séparés, mais pas de cabines. Tous à poils ensembles.
– Oui c’était très dur surtout quand on commence à avoir de la pudeur.
– On ne peut dire que nous en ayons eu beaucoup toutes les deux.
– Oui c’est vrai mais je pense à d’autres filles plus timides.
– Il y avait une, non deux cabines quand-même de chaque côté. Il y avait même des malins qui avaient percés des trous histoire de jouer les voyeurs. Mais vu que les vestiaires n’étaient pas mixtes, je n’en voyais pas l’intérêt.
– A moins d’être homo.
– J’avais entendu dire que le vendredi soir, la piscine était réservée pour des nudistes.
– Oui, moi aussi. Je pense plus à une légende urbaine qu’à autre chose ».

Nous étions face à une rangée de cabine, dans la zone dite pieds chaussés. Et évidemment une fois sortis de l’autre côté, nous devions être pieds nus et mettre nos affaires dans les casiers à consigne. Je partais pour prendre ma cabine individuelle quand Caro me pris par l’avant-bras et m’entraîna dans la cabine famille, plus grande. Je la suis.

Elle commence à se déshabiller. Le pantalon une fois baissé, je vois qu’elle ne porte pas de culotte et qu’elle n’a pas non plus son maillot de bain. Elle se trouve nue devant moi. Elle se penche devant moi et commence à fouiller dans son sac de sport pour chercher son maillot. Je ne peux m’empêcher de poser mon regard sur ses fesses et son sexe. Je vois quelques gouttes apparaître au niveau de ses lèvres. Un petit pipi s’improvise. Un petit jet. C’est tout. Elle redresse et se retourne et me dit :

«Tu vois ce n’est pas compliqué. Si un jour tu lis ou tu entends que dès qu’une fille à commencer à uriner, elle ne peut pas s’arrêter, c’est faux. »

Elle enfile son maillot de bain, une pièce, plus ‘’piscine’’ que le mien, et elle se caresse le minou alors trempé de pisse

. « A toi ma cocotte, tu ne vas pas me regarder le cul tout l’après-midi ! »

Mon cœur veut sortir de la poitrine, tellement il cogne. J’enlève mes chaussures, mes chaussettes, je tourne le dos à ma sœur. J’enlève le haut. Je défais mon pantalon et le retire. Je pose le tout dans mon sac et me retourne.

« Wooou ! T’as sorti le matos, me dit Caro.
– Quoi, comment ça ?
– Les seins limite à l’air, le maillot blanc, super échancré, je devine épilation intégrale, et camel toe en plus. Tu vas en faire bander plus d’un sur le bord de la piscine. Tu as la chatte excitée ou quoi ?
– Pourquoi dis-tu cela ?
– On distingue bien tes lèvres.
– Je suis assez excitée en effet. Ton récit de tout à l’heure m’a quelque peu chauffée. »

Il est vrai que je sens que mes grandes lèvres sont gonflées d’excitation. Je me retiens de faire pipi depuis un moment car je veux découvrir une sensation que ma sœur m’a qualifiée d’agréablement divine. Nous sortons de la cabine et déposons nos affaires dans un casier. Les regards sont posés sur nous. Nous avions eu cette petite discussion sans trop de discrétion. Je sens que les regards des ados de 14 – 15 ans sont posés sur mon sexe. Il y en même un qui restait bouche bée. C’est vrai que j’avais fait fort.

« Fais attention mon lapin, tu vas juter dans ton froc » lui dit Caro.

La bosse naissante dans son slip était assez marrante. Nous nous dirigeons vers la douche. Caroline me donne sa serviette, actionne la douche et s’y glisse dessous. J’ai ma serviette autour du cou, et celle de Caro dans les bras. Le bruit de l’eau finit de lever mes blocages. J’écarte mes jambes au début. Puis les resserrent. Je me décontracte. Ça me brûle. Ma miction me chauffe le sexe. Je suis excitée à mort de ce que je fais. Là devant tout le monde et devant ma sœur. Je commence à me pisser dessus. Mon jet est incontrôlable. L’urine mouille mon slip, cette sensation de chaleur est agréable, elle avait raison. Le ruisseau se fraye un chemin entre mes cuisses, puis dégouline le long des jambes, pour arriver sur mes pieds. L’urine est tellement diluée à cause de ce que j’ai bu que l’odeur est diffuse et la couleur assez claire. Mais la sensation, la durée de la sensation, de cette chaleur dans le sexe, sur les cuisses et les jambes. Ce bruit de pipi qui coule sur le carrelage du sol des douches. Je finis par écarter les jambes et pencher la tête vers mon entrejambe. Mon maillot de bain si blanc, collé à mon sexe, est maintenant d’un jaune léger. Je vois ce filet de pipi couler entre moi. Ma tête est chaude de pensées vicelardes. Mon rêve de tout à l’heure me revient à l’esprit. Je suis perdue. Dans tous les sens du terme. J’adore cette sensation, le déclic a eu lieu, comme pour ma jumelle. Cela devait-il se faire ? Etions-nous programmées pour ressentir les mêmes besoins, les mêmes pulsions, les mêmes envies ? Je relève la tête. Ma sœur me regarde, un sourire franc, frais, et un regard qui dit bienvenue au club.

« C’est dégoûtant, dit une vieille en passant !
– Je vous emmerde la mamie, vous aussi vous pisserez dans vos couches dans 10 ans, lui répond ma sœur ». La mamie s’éloigne, outrée.

Je reste sur place. Ma miction se termine. Je vois ma sœur avec ma main sur son sexe et qui fait sembler de se titiller le clito. Je dois dire que l’envie de me caresser le sexe, si trempé, me passe par l’esprit. Je décolle un pied puis l’autre de cette flaque maintenant diluée dans l’eau. Je tends les serviettes à ma sœur, elle me dépose un bisou sur la bouche et tente d’y insérer la langue. Je la repousse. Je prends ma douche. Mon esprit est traversé d’idées. Ou donc ma sœur veut-elle m’emmener. Quelles sont ses limites ? Et les miennes. Avons-nous les mêmes ? Vu que nous sommes identiques ? Nous nous dirigeons vers les bassins. Les filles comme les mecs me regardent le sexe. Ils doivent me traiter de tous les noms, ils doivent trouver cela indécent d’autant plus que mon sexe est gonflé d’excitation et que mon maillot me rentre bien dedans.

Nous plongeons toutes les deux dans le bassin et commençons à faire quelques longueurs.

« Alors ?
– T’es chiée. Tu avais préparé ton coup. En me faisant boire bien avant plus le bruit de la douche, tu savais que physiologiquement, j’aurais besoin d’uriner.
– Oui, et je vois que tu ne t’es pas retenue. Bien au contraire ».

Du coup, une fois rendue dans l’eau, nous en avons profité. La natation est quand même idéale pour se relaxer et se muscler. Je suis épatée de voir l’aisance avec laquelle ma sœur nage. Nous avons beau être jumelles, son parcours de natation sportive puis synchronisée fait sacrément la différence. Et Caro est taillée différemment au niveau morphologie. Ses épaules sont plus larges que les miennes et ses fesses sont évidemment plus musclées. Quand elle plonge, elle ne fait aucune goûte, aucun bruit. On entend juste un ‘’flouffff’’. Et au niveau endurance, c’est autre chose. Entre chaque traversée de bassin, je me retiens un peu au bord et je reprends mon souffle. Elle ? Non. Elle enchaîne. Ses battements de jambes sont mécaniques. Une vraie machine. Quand elle a passé son bac, elle a pris l’option natation. L’examinateur lui a mis un 20 tout de suite. Il l’avait vue nager en compétition quelques semaines auparavant. Après un petit kilomètre de nagé, je décide de sortir du bassin. Je me dirige vers l’échelle de gauche car le surveillant de baignade qui est sur sa chaise juste en face me mate depuis un moment. J’arrive à hauteur de l’échelle et je reste un peu dans l’eau tout en lui souriant. Je m’agrippe à l’échelle et commence à me hisser de l’eau. Mes seins, toujours copains l’un avec l’autre sont bien serrés dans leur soutien-gorge, d’autant plus que j’avais resserré les bretelles. Je regarde le sauveteur dans les yeux alors que lui manifestement me regarde plutôt les miches. Je reste le bas du corps dans l’eau encore un peu car j’ai une petite idée. Après une vingtaine de secondes à regarder ma sœur, et à essorer ma tresse, je me lève d’un coup, ce qui a pour effet de faire glisser mon maillot vers le bas d’ainsi dévoiler une partie de mon pubis si frais rasé. Je repositionne mon maillot correctement et je prends bien le soin de tirer dessus afin de faire apparaître mes lèvres bien dessinées. Ma sortie de l’eau avec le sexe limite à l’air a manifestement donné des sueurs froides à mon surveillant. Et je pense que ce qui se trame en dessous son short le met mal à l’aise vu qu’il se replace le sexe correctement, et discrètement. Son asticot a dû prendre du volume et le fait d’être assis l’incommode fortement. Je me dirige vers lui et monte les deux premiers barreaux de sa chaise haute :

« Popaul se trouve à l’étroit mon lapin ?
– Hein, quoi, pardon ?
– Oui, oui, je te fais de l’effet mon coquin, tu dois surveiller le bassin, pas mon popotin…
– Mademoiselle, vous vous méprenez.
– Je te crois mon minou. J’espère juste que tu vas calmer tes ardeurs car si tu dois plonger dans cet état, ça va faire désordre. Les nageurs ont besoins d’un sauveteur et non pas d’un sous-marin avec le périscope hissé ».

Sur ce je redescends mes deux barreaux, et je vais prendre un transat sur le côté. Je me penche en me cambrant suffisamment pour que mon sauveteur finisse de monter en température si toutefois il me mate le cul. Mais je crois bien qu’il le fait. Je prends mon lecteur mp3, et m’allonge avec les jambes écartées et les pieds posés sur le sol de chaque côté du transat. Tous ceux qui vont à la piscine savent bien que le fait de rester longtemps dans l’eau donne immanquablement l’envie de faire pipi. Moi, à ce moment-là c’est mon cas. Je me tourne vers mon sauveteur qui travaille correctement puisqu’il regarde le bassin, mais avec une main que je devine dans son short et caché par une serviette.

« Eh, mon lapin ! Ouh ouh… ! ».

Il tourne la tête vers moi. Pauvre minet. Tu as quoi 22, 23 ans, encore de l’acné sur la tronche, tu es là pour les vacances. Je vais te distraire un peu. « Hep, regarde en –dessous mon transat » Je commence à faire pipi sur moi. Une petite flaque se forme sur le transat afin de se frayer un chemin entre mon sexe et mes fesses pour s’échapper par un des écarts entre les lames du transat. Je suis vicieuse. Il reste scotché mon sauveteur. Je n’avais pas vu ma sœur qui était accoudée sur le bord et qui nous matait. Mon pipi fini je me lève et me dirige vers le sauveteur.

« Tu as cinq minutes pour te faire remplacer, et rejoins moi dans la cabine de douche, la plus grande, pour les personnes à mobilité réduite ».

Je me dirige vers les vestiaires. J’entends mon sauveteur qui appelle sur sa radio et qui demande à se faire remplacer. Je jette un coup d’œil rapide, il était déjà descendu de sa chaise. Ma sœur sortit de l’eau et se met à le suivre également. Je rentre la première dans la douche suivit du sauveteur et ma sœur ferme la porte la verrouille. Ma sœur relève légèrement le t-shirt du sauveteur pendant que moi je lui baisse le short. Son sexe est manifestement est déjà prêt à exploser. Caro commence à lui caresser ses couilles velues par l’arrière pendant que je prends son sexe en bouche. Je ne fais pas attention au goût. D’ailleurs je n’en ai pas le temps étant donné qu’après seulement quelques mouvements de mes lèvres sur sa queue, il éjacula. Je fus surprise. Je finis de le pomper pour aller jusqu’à la dernière goutte. Je me relève. Ma sœur écarte le sauveteur assez brutalement et se rapproche de moi. Je fais sortir son sperme de ma bouche en le poussant avec la langue. Il dégouline le long de mon menton, je le sens gluant. Une partie tombe sur mon sein gauche. Ma sœur le récupère avec son doigt et le porte à sa bouche pour avaler. Je crache ce qui reste de son sperme vers le sauveteur

« Minable, t’es même pas foutu de te retenir plus de 10 secondes ».

Le pauvre a la queue qui commence à fléchir. Il remet son short. Ma sœur ouvre la porte de la cabine de douche et le balance littéralement en-dehors. Elle referme et j’ouvre les robinets. Je commence à me rincer le visage, la bouche et le reste.

« On rentre, me demande Caro ?
– Oui, je veux bien, je dois rejoindre le groupe pas trop tard ce soir.
– Voir ce petit filet d’urine, tout à l’heure sortir de ton slip, tes lèvres gonflées, ta posture, tes seins en avant…j’ai eu envie de te bouffer la chatte et de te faire du bien sœurette, mais tu es ma sœur !
– Oui, je suis ta sœur » et un coin nouvellement activé de mon esprit lui répondait, et alors… ?

A suivre …

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7 réponses à Carnaval 4 – Odeurs chlorées par Caroline49

  1. Darrigade dit :

    Une perversité de bon aloi

  2. philip dit :

    Qu’est ce qu’on se régale !

  3. minousin dit :

    Le fantasme uro est merveilleusement et subtilement décrit. les connaisseurs devraient apprecier

  4. Muller dit :

    Bien écrit, décontracté, très excitant… et très humide… Bravo !

  5. gaston dit :

    Moi j’aimerai bien la rencontrer la Caroline, elle décrit tellement bien ses jeux de pipi que ça donne envie

  6. Anna dit :

    Moi, j’aime bien les délires de Caroline, c’est décontracté, fluide et c’est très humide

  7. Kiroukou dit :

    Décidemment le chapitre 2 n’était qu’un accident, cette fois c’est très bien reparti, évidemment toutes ces demoiselles pissent n’en veut-tu, n’en voilà et c’est donc réservé aux amateurs du genre, ne cherchons pas le réalisme, c’est du délire, mais bien maitrisé, je trouve

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