Astrid et Thimothée 4 – Week-end studieux par Tyler

Astrid et Thimothée
4 – Week-end studieux
par Tyler

Un souffle chaud et humide me tire de mon sommeil. Je sens ce que je crois reconnaître être une langue passer sur mon ventre. J’ouvre difficilement les yeux et vois Simon penché sur moi, me léchant délicatement le sexe. Il glisse sa langue sur toute la longueur de ma verge qui commence à reprendre lentement de la vigueur.

– Tu ne t’arrêtes plus ?
– Je crois que j’aime ça. J’ai encore un peu mal aux fesses, mais j’ai vraiment adoré ta bite.

Je me retourne et cherche un réveil. Il est presque 14 heures. Je regarde Simon continuer à me caresser et jouer avec mon sexe. Il le prend dans sa bouche et l’enduit de salive avant de doucement le branler.

– Qu’est ce qu’on fait maintenant ?
– Je ne sais pas, tu ne voulais pas appeler des copains pour la soirée ?
– Je sais plus trop. On pourrait rester tous les deux ? On saurait comment s’occuper.
– On pourrait aussi trouver quelqu’un pour jouer avec nous ?
– De la classe ?
– A part Timothée et Hortense, je ne vois personne d’autre.
– Ok, je les appelle.

Simon sort de la chambre et j’en profite pour me rhabiller. Il revient quelques minutes plus tard plutôt contrarié.

– Ils sont tous les deux Ok pour ce soir !
– Alors qu’est-ce qui ne va pas ?
– J’aurais préféré qu’on reste tous les deux.
– T’inquiète pas, on aura tout le temps de s’amuser une autre fois.

Après une bonne douche, nous sortons pour aller faire le plein d’alcool et de pizzas. Nous passons le reste de l’après midi devant la télé.

Vers 19 heures, Simon reçoit un coup de téléphone. Je comprends qu’il indique le chemin à Timothée. Quelques minutes plus tard, il passe le pas de la porte avec Hortense. La maison prend vie, et chacun échange ses impressions sur le voyage du week-end, devant un gin tonic.

Quelques verres plus tard, la conversation ayant tourné autour de tous les sujets. Timothée se lève.

– Bon, on ne va pas passer la soirée à parler lycée ! Simon est-ce que tu as un jeu de cartes ?

Je le vois venir de loin, et je décide de prendre les choses en main. Je suis le plus vieux après tout.

– Ce soir c’est moi qui fixe les règles du jeu ! Je suis votre prof, et vous devez donc m’obéir ! Quelqu’un n’est pas d’accord ?

Je fais le tour du salon. Hortense assise dans le canapé en cuir me sourit, Timothée, à côté d’elle, acquiesce et Simon me regarde d’un air étonné.

– Le thème de la soirée est simple. Nous avons une fille et trois garçons, il faut donc quelqu’un pour orchestrer ce qui va se passer. Et c’est moi ! Hortense tu n’as pas d’objection ?
– Non, Non. Je suis curieuse de savoir ce que tu as dans la tête, et je pense que tu vas enfin nous montrer ton vrai visage.
– Pas de psychologie. Je vous dis ce que vous devez faire, et vous le faites. Les règles sont simples, non ? … Bon, Hortense tu débarrasses la table basse et tu mets tout dans la cuisine. Moi je m’assoie dans le fauteuil en cuir.

Je m’installe dans le cuir moelleux et je fais signe à Simon et Timothée de s’approcher de moi.

– On va avoir besoin d’accessoires. Trouvez-moi de la corde et une écharpe. Il nous faut aussi quelque chose qui pourrait remplacer un gode.

Les deux garçons quittent la pièce à la recherche des objets. Je me lève et rejoins Hortense dans la cuisine. Elle pose les verres sur la table. J’en profite qu’elle me tourne le dos pour lui passer la main sur ses fesses serrées dans son jeans moulant. Elle se retourne et me sourit.

– On va jouer à des jeux un peu durs, tu as confiance en moi ?
– Oui, ne t’inquiète pas, je suis très curieuse et surtout volontaire quand il s’agit de cul.
– T’en mieux. Reste dans la cuisine et attends que je t’appelle !

Je la tire vers moi et l’embrasse sans ménagement. Elle se laisse faire, et je comprends qu’elle commence à rentrer dans son rôle de soumise. Je récupère un verre et le remplit de gin tonic. En ouvrant le frigo pour prendre des glaçons, j’aperçois deux saucisses de Morteau dans leur emballage. Je les prends discrètement avec moi et retourne m’asseoir dans le fauteuil.

Quelques minutes plus tard les garçons me rejoignent dans le salon. Simon tient une corde bleue en nylon et une écharpe noire. Timothée, lui, cache quelque chose dans son dos.

– J’ai trouvé un truc pour remplacer le gode, et en plus tu vas trouver ça amusant, me dit-il avec un grand sourire.

Soudain il me tend une ventouse pour déboucher les toilettes avec un petit manche en bois. L’idée est intéressante. Ils posent les accessoires à côté de moi et attendent debout face à la table basse.

– Hortense, viens. … Viens t’asseoir par terre à côté de moi.

Elle s’exécute et s’agenouille à ma droite. Je regarde Simon.

– Hortense et Timothée se connaissent, mais pas toi. Simon, déshabille Timothée ! Retire-lui tous ses vêtements !

Sans hésiter, il lui enlève son pull et son T-shirt. Timothée le regarde amusé. Il se laisse retirer ses chaussures, ses chaussettes. Simon déboutonne le pantalon lentement et le fais glisser au sol avec le slip. Hortense se concentre sur Simon. Elle le découvre dans une situation qu’elle ne soupçonnait pas. Les deux garçons se retrouve debout l’un face à l’autre. Timothée, nu, esquisse un mouvement pour s’approcher de Simon, probablement pour l’embrasser mais je lui ordonne de ne pas bouger. Son sexe est tout recroquevillé.

– Hortense, mets Simon à l’aise et déshabille-le !

Tous les yeux sont rivés sur elle et sur le corps qu’elle dévoile. Je rappelle à l’ordre Hortense qui laisse traîner ses mains sur sa peau. Il est étonnant de voir que les deux garçons ont presque la même constitution. Ils sont grands et minces, imberbes, et je crois me souvenir qu’ils ont tous les deux un long sexe fin. Je constate d’ailleurs que Timothée n’est pas insensible à la situation. Sa verge commence à se déplier et prend lentement du volume.

– Bien, très bien. Hortense, monte sur la table basse, et vous deux déshabillez la doucement !

Lentement les garçons enlèvent le pull et le petit top. Ils libèrent la petite poitrine en dégrafant le soutient gorge. J’observe les petits tétons roses, pointés qui surplombent ses tous petits seins pâles. Elle relève ses longs cheveux blonds avec ses mains et garde la pose, me regardant avec un grand sourire. On lui retire ses chaussures avant de lentement descendre son jeans. Son string noir dessine ses hanches fines.

– Tourne-toi et penche-toi en avant pendant qu’il te retire ton string !

Elle s’exécute. Ses deux petites fesses s’écartent dans le mouvement et laissent apparaître la fine bande de tissu sombre. Les quatre mains roulent le string et dévoilent son trou du cul serré et sa fente rose épilée. Simon reste hypnotisé par les longues jambes d’Hortense, ses petites fesses rondes et les deux petites lèvres roses qui ressortent de sa fente pâle.

Assis dans le fauteuil, je me délecte déjà du scénario dont je vais être l’unique spectateur. Les deux garçons debout autour de la table basse me regardent, et je sens une certaine impatience de la part de Timothée qui semble trépigner sur place. Je me lève et m’approche d’eux. Le cul d’Hortense est tendu vers moi. Lentement je passe un doigt entre ses fesses et pince son sexe. Sa vulve s’écrase sous la pression et les lèvres ressortent de la fente pour prendre une couleur pourpre. Je les masse doucement, les faisant glisser l’une contre l’autre. Je sens le regard des garçons sur ma main. Après quelques secondes, j’approche mon visage et hume l’odeur forte de sa chatte. Je glisse un doigt dans la fente et le sort aussitôt. Mon index est légèrement humide. Je le mets sous le nez de Simon.

– Tu sens ? Elle n’est pas encore assez excitée !

En retournant m’asseoir je glisse mon doigt entre les lèvres et goutte le liquide visqueux et âpre.

– Mettez-lui le foulard sur les yeux ! (Ils s’exécutent). Hortense, mets-toi à quatre pattes et ouvre la bouche ! Je t’interdits de bouger !

Sans un mot je fais signe à Timothée, dont le sexe est presque totalement en érection, de se servir de la bouche d’Hortense. J’appelle près de moi Simon qui me semble plus impressionné qu’excité par la situation. Il vient se mettre debout à côté de moi et observe son camarade prendre place devant la table. Timothée attend l’autorisation pour commencer et je lui fais signe d’y aller doucement. Il s’avance vers Hortense, et son sexe à moitié tendu s’approche des lèvres ouvertes qui l’attendent. De la main, il guide sa verge et le gland se pose lentement dans la bouche offerte. Le sexe glisse un peu, avant de ressortir. Doucement il s’enfonce comme un piston. Ses fesses se creusent à chaque petit coup de rein.

Je lève les yeux vers Simon qui est absorbé par ce qu’il voit. D’une main, je prends ses couilles et les pressent. Il ne bouge même pas. Je commence à le branler délicatement pour le préparer. Son sexe fin et doux est tout mou. Mais après quelques minutes, alors que je regarde la bouche d’Hortense avaler ce sexe devenu tout raide, je sens celui que j’ai entre mes doigts durcir et se tendre. Je le masturbe lentement, faisant glisser la peau du prépuce pour découvrir son gland gonflé par l’excitation naissante. Je me redresse et l’attire vers moi pour prendre son sexe dans ma bouche, et le ressortir enduit de salive. Mes doigts glissent plus aisément, et maintenant sa verge est toute dure.

Je fais signe à Timothée d’être plus violent. Il prend la tête d’Hortense entre ses mains et commence à pomper sa bouche de plus en plus vite. Un filet de salive coule le long de lèvres rougies par l’effort. Le spectacle est superbe. Les fesses cambrées en arrières, elle avale ce long sexe, sans savoir à qui il appartient. Soudain, Timothée s’enfonce en la tirant vers lui jusqu’à ce que le nez d’Hortense heurte son ventre et s’enfonce dans la toison de poils noirs. Elle bouge et essaie de se dégager, et lorsqu’enfin il se retire, elle ne peut s’empêcher, dans un haut le cœur, de cracher un long filet de salive.

A peine a-t-elle repris son souffle qu’il s’enfonce sauvagement dans sa bouche. J’imagine son gland heurter le fonds de sa gorge. Il se retire de nouveau et elle crache encore sa salive sur le sol. Sans la laisser respirer, il lui pompe la bouche rapidement et lui arrache plusieurs hauts le cœur. Après de longues minutes de ce traitement, je fais signe à Timothée de venir vers moi et j’envoie Simon le remplacer. Pendant ses quelques secondes de répit, Hortense se reprend mais ne manifeste aucune objection à ce qu’elle vient de vivre. Elle trône le cul en l’air sur la table basse, la bouche rougit par l’effort et le menton couvert de salive. Quand on pense que c’est une petite bourgeoise, élève dans un lycée privé catholique, on a du mal à croire que cette gamine hautaine dans les couloirs adore le cul à ce point là.

Timothée se fige à côté de moi, la bite tendue et trempée de salive. Je l’attrape sans ménagement et le branle. Je sens les palpitations de son cœur entre mes doigts. Il est dur comme du bois et son gland gonflé me défit. Non, je ne te sucerai pas, je ne te ferai pas ce plaisir.

Simon s’avance timidement vers Hortense. Il la regarde et vise sa bouche sans oser la toucher. Lentement nous regardons son gland glisser entre les lèvres béantes. Le contact de ce gouffre suave lui arrache un soupir, et très vite il commence un long va et vient. Il ferme les yeux en s’enfonçant et son souffle s’accélère au même rythme que ses coups de rein.

Je serre le gland de Timothée, entre mes doigts, qui se met à gonfler. Le méat s’ouvre et je m’approche pour lui donner un coup de langue. Il me regarde. Je lui tends la ventouse à chiotte et lui fais signe de l’écraser sur la tête d’Hortense. Il fait le tour de la table et se place derrière elle. Simon, les yeux fermés, pompe à grand bruit succion.

Sans toucher Hortense, Timothée lui écrase la ventouse sur la tête et, sous la pression, elle enfourne la bite entièrement pour se retrouve bloquée, le nez collé au ventre de Simon. Il ouvre alors les yeux et surpris pense à se reculer mais ne bouge pas. Après quelques secondes, Hortense, à bout de souffle, remue la tête pour se dégager. Timothée me regarde et je lui fais signe d’arrêter. Dans le même temps, elle recule la tête et la longue bite sort de sa bouche dégoulinante de salive. Elle crache à plusieurs reprises et une petite marre se forme au pied de la table. Sa respiration difficile reprend vite un rythme normal.

– Allez, on reprend plus doucement !

Simon glisse son sexe dans la bouche à nouveau offerte, et Timothée tient toujours la ventouse sur la jeune tête. L’humiliation de cette petite Hortense me fait bander. Je ne peux m’empêcher de me frotter l’entre jambe. Après quelques va et vient, je fais signe aux garçons qui, dans un même mouvement, écrasent violement Hortense contre le ventre de Simon. Son sexe cogne le fonds de sa gorge avant de se retirer et de reprendre un mouvement plus souple. A plusieurs reprises ils vont lui arracher un haut le cœur et la faire cracher, sans qu’elle ne sache à quel moment intervient le supplice.

Je me lève et viens m’asseoir dans le canapé derrière Timothée pour profiter du spectacle du petit cul rond et ferme d’Hortense. Ses hanches sont minces, et les deux lobes sont écartés par la cambrure des ses reins. Un léger filet de mouille perle entre ses petites lèvres roses. Je glisse un doigt sur la petite fente et le remonte vers son petit trou du cul. Il est tout serré mais je sais qu’il est assez souple pour accueillir un gros sexe. J’ai la bite de Timothée à la hauteur des yeux. Je l’attrape et l’embouche. Il n’a pas débandé. Je goutte la salive d’Hortense dont il est encore enduit. Il vibre entre mes lèvres. Ses couilles sont toutes contractées et me paraissent bien pleine. Je tète doucement son gland avant de le repousser.

Timothée me sourit. Je lui prends des mains la ventouse et lui demande d’écarter les fesses blanches. Je passe le manche en bois, long d’une vingtaine de centimètres, entre les lèvres humides du jeune sexe. J’essaie de l’enduire de mouille avant de la placer à l’entrée de la fente étroite. Lentement, je pousse le manche qui écarte les petites lèvres et pénètre l’antre humide et doux, qui l’accueille sans effort. Je commence un doux mouvement de va et vient. Le bois accroche les lèvres moites. Un son sort de la bouche d’Hortense avant d’être étouffé par les bruits de succion. Je lève le manche vers Timothée.

– Lèche !

Il se penche et pose sa langue sur le bois, la fait glisser sur toute la longueur avant de le mettre dans sa bouche et de le sucer. Je replonge le manche dans le sexe trempé. Sans trop l’enfoncer, je l’enduis de mouille avant de le poser sur la petite rondelle serrée. Timothée écarte bien les fesses. Sous la pression, le bois ouvre les parois étroites et disparaît lentement. Le petit trou plissé enserre le manche fin. Hortense gémit mais Simon donne un coup de rein pour la faire taire. Il commence à comprendre le sens du jeu.

Je lâche la ventouse mais elle a encore tendance à tomber. Je l’enfonce assez profondément pour qu’elle reste en l’air et contemple le spectacle. Le manche est rentré de dix bons centimètres. Je fais le tour de la table en entraînant Timothée avec moi et le place à côté de Simon. Sans dire un mot il comprend ce que j’attends de lui. Je me rassoie dans le fauteuil en cuir pour mieux les observer.

Hortense est à quatre pattes, le cul en l’air surmonté d’une ventouse à chiotte, pendant que les garçons essaient d’enfoncer leur bite dans sa bouche dégoulinante de salive. Je profite du spectacle en sirotant mon gin tonic. Les glands se pressent sur les lèvres. La bouche d’Hortense n’est pas assez large et elle a du mal à les avaler tous les deux en même temps. Je sors mon portable et immortalise la scène.

Après quelques minutes, je me dis qu’il manque quelque chose. Ah oui, la saucisse. Je la sors de son emballage. C’est une belle saucisse de Morteau, bien grosse. Je me glisse derrière Hortense et l’enfonce sans ménagement dans sa chatte. La pénétration lui arrache un petit cri de surprise. Je prends une seconde photo de son cul. La saucisse et la ventouse sont du plus bel effet.

Je retire lentement la ventouse, et Hortense pousse de petits cris, le bois accrochant les parois serrées de son anus. Je m’avance vers elle. Les garçons s’écartent. Je lui glisse le manche entre les lèvres et l’oblige à le sucer. Elle fait une grimace.

– Tu n’aimes pas, Hortense ?
– Ca a un goût amer et fort.
– C’est le goût de ton cul !

Je lui retire l’écharpe. Ses grands yeux bleus s’ouvrent et nous regardent. Sa bouche est rouge écarlate et un peu gonflé.

– Regarde ce que tu as fait ! Tu as bavé partout. Descend de la table et nettoie-moi ça !

Hortense s’exécute. En se levant, la saucisse tombe par terre. Elle se met à genoux et va pour essuyer la salive avec ses mains.

– Avec la langue ! Qu’est-ce que tu crois ? Ce qui est sortit de ta bouche doit y retourner.

Elle me regarde comme pour me montrer que je ne lui ferai pas atteindre ses limites. En appuie sur les bras, elle lèche le sol. Sa langue s’écrase sur le parquet et lape la salive. Timothée prend la ventouse et lui presse sur la tête en souriant. Je le regarde et lui donne une tape sur le gland.

– Ne rit pas !

Je relève Hortense et la pousse sans ménagement sur le canapé. J’attrape Timothée par le bras et le repousse devant elle. Penché en avant, il lui présente ses fesses.

– Occupe-toi de lui !

Elle se penche et commence à le lécher, les deux mains poses sur ses hanches. Je m’approche de Simon pour le caresser. Son sexe est raide et doux. Je le branle lentement en le regardant dans les yeux. Il sourit. Son gland est rouge et gonflé. Je le caresse du bout des doigts. Je ne peux m’empêcher de le prendre dans ma bouche quelques secondes. Je le sens vibrer sur ma langue.

Je reviens voir Hortense. Elle glisse un doigt enduit de salive dans le petit trou de Timothée. Son index le pénètre facilement. J’enduis le mien de salive et le pose sur le sien. Lentement, je le pousse dans les entrailles de Timothée qui soupire. Son cul résiste un instant avant de céder. Nos deux doigts lui écartent les fesses pour les détendre un peu. Les parois s’assouplissent et quelques minutes plus tard, il est prêt à se faire sodomiser.

– Allonge-toi sur la table, Simon !

Hortense s’agenouille entre ses jambes et le suce pour enduire son sexe de salive. Ses mains glissent sur son membre dans un bruit humide. Timothée se redresse et me regarde. Je l’embrasse, fouillant sa bouche avec ma langue, tout en le faisant monter sur la table. Il enjambe Simon et s’agenouille lentement. Hortense enduit ses doigts de salive et lui caresse le trou du cul. Elle tient le sexe de Simon droit et le guide lorsque Timothée s’approche. Doucement le gland force le petit trou, écarte les parois et disparaît entre les fesses lisses. Les deux garçons soupirent au fur et à mesure que le sexe s’enfonce. Il entre presque entièrement.

Timothée, s’appuyant sur les genoux de Simon, commence un mouvement de va et vient. Il s’encule seul sur le sexe tendu. Je me déshabille entièrement avant de m’asseoir dans le fauteuil en face des garçons. Je tire Hortense par ses longs cheveux blonds et lui presse le visage entre mes jambes.

– Occupes-toi de moi !

Les deux bras posés sur mes cuisses ouvertes, elle commence à mes lécher les couilles avant de les prendre dans sa bouche. Je sens la chaleur de son souffle. Mes bourses se contractent sous ses coups de langue. Pendant qu’elle me gobe, je contemple le spectacle. Timothée se laisse tomber, sans ménagement, et s’empale entièrement sur le long sexe de Simon. Sa bite toute raide bouge en rythme et cogne son ventre. Son souffle court se transforme petit à petit en gémissements.

Ma bite est dure comme du bois. Je voudrais les voir jouir et les prendre tour à tour. J’entends Simon qui commence à gémir. Je repousse violement la tête d’Hortense, et me lève d’un geste. Je me jette sur Timothée pour lui appuyer sur les épaules. Bloqué, il reste empalé sur le sexe qui lui remplit le cul, sans pouvoir bouger. D’une main, je relève sa tête et me présente devant lui. Ma bite est tendue vers son visage. Je le regarde dans les yeux et lui souris. Je pose une jambe sur la table pour mieux m’enfoncer entre ses lèvres. Mon gland ne pas besoin de forcer l’entrée, sa bouche s’ouvre naturellement et m’avale.

– Lèches-moi le cul ! dis-je à Hortense, en la regardant par-dessus mon épaule.

Je sens ses deux mains m’écarter les fesses, et sa langue se met à glisser sur ma peau. Elle passe sur mes couilles et remonte doucement pour s’arrêter sur mon petit trou du cul. Je n’ose plus bouger pour ne pas la déranger, alors je prends la tête de Timothée, entre mes mains, et lui imprime un mouvement de va et vient. Ma bite s’enfonce et cogne le fonds de sa gorge. Elle s’enduit de sa salive et frotte sur sa langue. Dans le même temps, je sens celle d’Hortense tourner et chercher à glisser entre mes fesses. Elle pointe, et se fait dure, avant de se presser sur mon anus et de le pénétrer. Je sens son nez frotter entre mes fesses alors qu’elle cherche à enfoncer sa langue le plus profondément possible.

Pendant de longues minutes, je profite égoïstement des ses deux jeunes bouches. Mon plaisir commence à monter violement, et, pour ne pas dépasser le point de non retour, je suis obligé des les repousser tous les deux. Je retourne m’asseoir dans le fauteuil.

– Descend de la table Timothée, et nettoyez ensemble la bite de Simon avec vos langues !

Il se redresse et se relève doucement. La bite qui le défonçait réapparaît lentement, et retombe sur le ventre de Simon libérée par le petit cul étroit qu’elle remplissait. Au passage, j’attrape Timothée par les hanches et l’oblige à se cambrer devant moi. J’écarte ses fesses et regarde son anus dilaté. Le trou est encore béant, et j’en profite pour le caresser. Les parois, gonflées et rougies par les assauts qu’elles ont subit, se referment doucement sur mon index. Je le masse délicatement avant de libérer Timothée de mon emprise.

Il va rejoindre Hortense, chacun d’un côté de la table. Les deux langues commencent à lécher le sexe que Simon tient droit avec sa main. Chaque centimètre de peau est nettoyé. Leur bouche glisse de la base de la bite pour se rejoindre au niveau du gland. Ils en profitent pour s’embrasser. Leurs lèvres l’avalent tour à tour, dans un grand bruit de succion, jusqu’à ce que la verge tendue et luisante de salive soit propre.

– Ok, c’est bien ! Maintenant vous allez vous occuper d’Hortense.

Je la relève, pendant que les garçons s’éloignent, et l’allonge sur le dos. Ses fesses au bord de la table, elle a la tête dans le vide. J’indique, d’un geste aux garçons, la place qu’ils doivent prendre. Simon se met à genoux entre ses jambes écartées, et Timothée au niveau de sa bouche. Je monte sur la table pour mieux voir la scène. Pendant qu’elle se fait pomper la bouche, l’autre bite lui défonce la chatte. Sans aucun égard, chacun donne de violents coups de rein. Les gémissements d’Hortense sont étouffés par les va et vient du sexe de Timothée qui cogne au fonds de sa gorge.

Une forte odeur de sexe et de plaisir inonde la pièce où résonnent soupirs et couinements. Le corps pâle et mince d’Hortense à mes pieds, je regarde ses petits seins bouger en rythme. Ses joues et son cou se gonflent pour pouvoir recevoir le long sexe de Timothée. Chaque coup de rein s’accompagne d’un bruit de succion et d’un filet de salive qui coule sur son visage.

Derrière moi, Simon va et vient entre ses cuisses. Le petit sexe épilé s’écarte et avale sa bite luisante. Les petites lèvres roses gonflent sous l’effort. Le ventre blanc et plat d’Hortense se soulève à chaque coup de boutoir. La table basse tremble sous les assauts des deux garçons.

Je ne peux pas rester là sans participer. Je veux à mon tour la posséder. Je me réserve un met délicat, son petit cul dont je conserve un doux souvenir. J’arrête les garçons en pleine action et demande à Timothée de s’allonger sur la table. Hortense s’assoit sur lui et laisse glisser sa bite entre ses cuisses. Sa petite chatte rougit et trempée par les assauts laisse apparaître un trou béant. Le sexe la pénètre sans effort en lui arrachant un petit gémissement. Elle cambre les reins et exhibe ses fesses. Les deux globes de chair s’écartent et dévoile son petit trou plissé. Dans le même temps, Simon s’avance à sa hauteur et, prenant sa bouche pour cible, s’enfonce sans ménagement. L’endurance d’Hortense m’épate. Je prends un peu de recule pour admirer la scène. Elle ondule son corps pour imprimer un mouvement de va et vient sur Timothée. Ses petites fesses roulent sur ses cuisses dans une danse obscène.

Simon, lui, observe avec intérêt le visage qu’il pompe violement. Je fais le tour de la table et me penche derrière Hortense. Les sexes dégoulinent de mouille. Je passe un doigt sur la verge bandée de Timothée et le glisse entre les fesses qui s’offre à moi. Je masse le petit trou avec mes doigts poisseux. L’endroit est chaud et tendre. La petite rondelle plissée se détend lentement. J’attrape les deux lobes de chair et les écarte. J’avance mon visage et commence par lécher la longue bite de Timothée. L’odeur est forte et enivrante. Je lape et goûte le liquide visqueux et amer. Mon nez frotte sur la raie de son cul. Je passe ma langue sur toute la longueur de la verge bandée et la remonte entre les fesses d’Hortense. Je m’attarde sur l’anus plissé et l’enduit de salive.

Mon premier doigt y entre sans effort. Les fragiles parois s’écartent et entourent mon index, le retenant prisonnier. Le trou est doux et chaud. Après quelques minutes, j’y introduis un second doigt sans peine. Hortense gémit lorsque j’en profite pour détendre son petit trou. La collerette s’étire et se tend. J’enfonce mes doigts sans ménagement et commence un rapide va et vient. Les fesses ondulent dans un large mouvement. Je sens, à travers la fine membrane de peau, la bite de Timothée. Je glisse l’autre main sous ses couilles et trouve sa petite rondelle. J’y glisse un doigt furtif, ce qui lui arrache un petit cri de surprise.

Simon observe avec attention ce que je fais. Je me concentre à nouveau sur les fesses d’Hortense, et y glisse un troisième doigt. J’entends son cri étouffé alors que je suis obligé de forcer l’étroit passage. Son anus se tend difficilement mais je réussi malgré tout à le défoncer. La vue est splendide. Ma main semble surdimensionnée en fouillant ses petites fesses rebondies. Je sens les parois se détendre lentement. Hortense ne cesse de gémir mais la bite de Simon étouffe ses cris. Je retire brutalement ma main qui laisse un trou béant et sombre. Sans lui offrir le moindre répit, j’y replonge mes doigts qui sont comme aspirés par ses entrailles.

Je me relève et laisse le trou béant se refermer doucement. J’enduis mon sexe de salive et le pousse violement dans les fesses qui s’offrent à moi. Ses hanches sont tellement minces que lorsque mes mains les attrapent, elles peuvent presque se toucher. Je la tiens fermement et la tire vers moi brutalement. Le geste est si violant qu’elle hurle lorsque ma bite s’enfonce entièrement. Mes couilles viennent frapper sa chatte. Je sens la chaleur de son cul et la forte pression de son anus meurtrie qui serre mon sexe bandé. Je commence un long va et vient, prenant le soin de faire des mouvements amples et profonds.

Ses fesses sont écartelées par les deux bites qui la fouillent et la défoncent. J’attrape les longs cheveux blonds d’Hortense pour mieux la tirer vers moi. Mon geste la force à se cambrer au maximum. La tête en arrière, elle permet à Simon de s’enfoncer au fonds de sa gorge sans pouvoir bouger.

Mon sexe glisse de mieux en mieux, et je sens distinctement la bite de Timothée officiant dans sa chatte. La pression devient vite très forte, trop forte. La pièce s’emplit des gémissements d’Hortense dont chaque orifice est pris d’assauts par une verge bandée au bord de l’explosion.

Les souffles rocs et courts des garçons m’avertissent sur leur état d’excitation. La fin doit être proche. Je me retire en laissant un trou béant qui ne se referme pas. En descendant de la table basse, je fais un signe à Simon qui abandonne une bouche meurtrie et dégoulinante de salive. Quelques larmes ont coulées sur le visage fin et doux d’Hortense. Je l’aide à se redresser. Lentement, comme légèrement fourbue, elle se lève et descend de la table à son tour. Ses jambes la portent à peine. Je passe ma main entre ses cuisses. Son sexe est brûlant et trempé. J’appuie sur ses épaules et la force à se mettre à genoux.

– Tu vas nous faire encore honneur ! Ouvre la bouche et tire la langue !

Sans se poser de question, Hortense s’exécute. Je regarde Timothée et Simon, et leur fait signe de se branler devant elle.

– Hortense, je ne veux pas que tu perdes une seule goutte de sperme !

Les garçons s’astiquent sans effort. Les mains glissent sur leur sexe humide à grand bruit de succion. Je me place au milieu d’eux et me branle lentement. Après quelques secondes, Timothée commence à gémir, sa main est prise de frénésie et il se tend d’un coup sec. Un jet de liquide blanc s’écrase sur la joue d’Hortense qui se rapproche, bouche grande ouverte. Le reste du sperme coule sur sa langue et glisse au fond de sa gorge. Elle embouche le gland gonflé et le tète avec douceur. Elle l’aspire jusqu’à la dernière goutte.

Simon se met à son tour à gémir. Sa main s’accélère et Hortense à juste le temps de tourner la tête vers pour recevoir de longs jets de sperme, qu’il distribue en saccade. Quelques gouttes se perdre sur la peau pâle de son visage. Sa bouche commence à se remplir du liquide laiteux. La main de Simon secoue la dernière goutte tandis qu’elle me regarde.

– Avale tout !

Elle fait de grands yeux ronds, surprise par mon ordre. La bouche grande ouverte, on distingue à peine sa langue au milieu de sa gorge pleine de sperme. Elle ferme ses lèvres, et penche sa tête en arrière en avalant. Elle plisse les yeux et fait une légère grimace. Mais satisfaite d’elle, elle me présente sa bouche vide et tire la langue.

Je sens le plaisir monter rapidement. Je m’approche d’elle en accélérant le mouvement de ma main. Et lorsque la pression se fait trop forte, je lui attrape la tête et m’enfonce violement au fond se gorge. Je pompe sa bouche qu’une violente décharge inonde. Ma bite baigne sur sa langue dans un lit de sperme. Je me retire doucement d’entre ses lèvres et la laisse avaler le liquide crémeux.

Je l’aide à se relever et l’embrasse profondément en fouillant sa bouche avec ma langue. Je sens la main de Simon sur mon épaule. Il me tire vers lui pour m’embrasser. Nous échangeons tous de longs baisers pendant quelques minutes, avant de nous écrouler dans les canapés.

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Une réponse à Astrid et Thimothée 4 – Week-end studieux par Tyler

  1. Landerneau dit :

    Et la tendresses ? Bordel !

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