Accident en classe 1 – Découverte par Libertin_02

 

Accident en classe
1 – Découverte
par Libertin_02


Hassiba, jolie brunette, timide, ingénue, venait d’intégrer un nouveau lycée. Elève studieuse, timide, taciturne, elle espérait se faire des amis et obtenir son bac avec mention. Petite, ni maigre ni grosse, des formes là où il fallait, comme en témoignaient sa poitrine forte et galbée et ses fesses bien rebondies. Le teint mat comme une mousse au chocolat au lait, les cheveux noirs de jais, de grands yeux de braise, des cuisses fermes et développées, des bras et des mains légèrement potelés comme une délicieuse brioche au sucre, tout était là pour aiguiser la gourmandise des hommes.

Les premiers jours s’étaient bien déroulés pour la jeune Hassiba. Son esprit vif n’avait aucun mal à suivre le rythme des cours. Elle avait même noué des contacts avec d’autres filles. Elle appréciait les divers enseignements, notamment celui de littérature, dispensé par une certaine Véronique.

Véronique, avenante quadragénaire à la chevelure d’ambre, exerçait donc l’honorable métier de professeur de lettres depuis une bonne quinzaine d’années. L’ouvrage du temps ainsi que quelques excès alimentaires et régimes inadaptés lui avaient fait prendre quelques kilos aux endroits habituels pour les femmes. Ses hanches larges, son magnifique fessier (de « bonnes grosses fesses », comme le qualifiait son concupiscent de mari), ses seins munificents éveillaient l’appétit des mâles.

Ce jour-là, la lycéenne portait un pantalon de velours bleu marine et un chemisier pourpre. A la fin du cours, la maîtresse, vêtue d’un jeans qui avait du mal à contenir ses opulentes fesses, avisa une auréole humide suspecte sur le pantalon de Hassiba, visible après un coup d’œil attentif malgré la couleur foncé et la texture de velours de ce dernier.

Elle s’enquerra alors de ce qui lui était arrivé.

– Ce n’est rien, j’ai juste renversé ma bouteille d’eau sur mon pantalon, répondit-elle d’un air gêné en désignant ladite bouteille.

Cependant, les joues devenues subitement rouges et la voix mal assurée et tremblotante de la demoiselle trahissaient un accident beaucoup moins avouable. C’est pourquoi Véronique s’approcha d’elle et sentit la forte odeur caractéristique de l’urine. Elle glissa sa main à l’entrecuisse de l’infortunée, tâta les cuisses de celle-ci, puis ramena sa main vers son nez pour mieux en apprécier la senteur :

– C’est bizarre, s’exclama-t-elle, ton pantalon ne sent pas du tout l’eau et il est mouillé à un endroit stratégique de ton anatomie, jeune fille.

A ces mots, la pauvre brunette rougit encore plus, baissa ses yeux de honte et avoua son accident :

– J’avais très envie de faire pipi et je ne pouvais plus me retenir. Ce n’est pas de ma faute, j’ai une petite vessie, s’excusa-t-elle.

Véronique lui fit remarquer que sa vessie n’était pas si petite que cela, étant donné la quantité d’urine qu’elle avait déversée dans son pantalon. Elle lui demanda pourquoi elle n’avait pas demandé la permission d’aller aux toilettes.

– Je n’ai pas osé, reconnut la pauvre Hassiba, peinant à réprimer des larmes prêtes à rouler du fond de ses yeux de biche aux longs cils noirs, sur ses joues charnues.
– C’est dommage. Si tu étais moins timide, tu ne te serais pas soulagée sur toi, répliqua la maîtresse sur un ton compatissant. Il ne faut pas faire pipi dans ta culotte, continua-t-elle, cette fois-ci avec une légère pointe de reproche. Les grandes filles ne se font pas pipi dessus.

La pisseuse expliqua qu’elle faisait un régime et qu’elle devait, par conséquent, boire beaucoup d’eau.

Véronique ne pouvait pas décemment la laisser dans cet état-là. Elle lui proposa de jeter un coup d’œil dans la buanderie où elle trouverait peut-être une jupe ou un pantalon de rechange. Mais malheureusement, il n’y avait rien.

– C’est très ennuyeux, car je n’ai rien pour te changer, tu ne vas tout de même pas rester à macérer dans ton pipi toute l’après-midi !
– Ce n’est pas grave, cela va sécher. Je n’ai qu’à attacher mon pull autour de la taille et personne ne remarquera que j’ai fait pipi sur moi. D’autant plus qu’il ne me reste qu’un seul cours, un cours de maths. Et puis, ce n’est que de l’urine…
– Bon, écoute, à la fin de ton cours de maths, tu viens me rejoindre à mon bureau et je te raccompagne chez toi. Tu sais, murmura Véronique après s’être approchée d’elle, ce genre de mésaventure m’est déjà arrivé. Avec l’âge, j’ai du mal à me retenir longtemps et il suffit d’un fou-rire trop soutenu pour qu’une inondation arrive. Eh oui ! Même la maîtresse pisse dans sa culotte, ria-t-elle. Je te raconterai quelques anecdotes à ce sujet.
– C’est très gentil, remercia Hassiba, qui imaginait avec délectation sa ravissante professeur le jeans trempé.

Sur ces mots, la charmante incontinente s’en alla, son joli pantalon orné d’une belle auréole d’humidité à l’entrejambe et au niveau des fesses, mais heureusement habilement dissimulée par un large pull-over.

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