Accident en classe 2 – Une soirée arrosée par Libertin_02

Ce soir-là, Véronique et Hassiba avaient décidé de ripailler afin de décompresser, d’évacuer tout le stress accumulé au cours d’une semaine de labeur. Hassiba, jeune étudiante, venait de terminer ses examens de fin de trimestre, tandis que Véronique venait d’être promue professeur principal. Véronique avait enfilé un jeans tandis que Hassiba portait un pantacourt blanc moulant son lascif postérieur. Après un délicieux repas dans un restaurant japonais, elles enchaînèrent par une visite de la rue de la soif. La soirée battait son plein, elles étaient toutes les deux attablées et les rires fusaient aussi abondamment que la bière.

– Arrête de me faire rire, supplia Véronique, j’ai envie de faire pipi !

Véronique ayant beaucoup bu, sa vessie était pleine à ras bord. A ces mots, toute malicieuse qu’elle était, Hassiba se mit à la chatouiller. Véronique sentit un liquide chaud sortir de son méat urinaire, qu’elle put, d’un réflexe de femme habituée aux caprices de sa vessie, heureusement contenir presque immédiatement. Malheureusement, le liquide avait pu traverser le jeans et une petite tâche jaunâtre s’était formée à l’entrecuisse. Lorsque Hassiba avisa celle-ci, elle se mit à se gausser de son incontinente de copine.

– Tu n’as pas honte de faire pipi dans ta culotte à ton âge.
– Ah non ! Je n’ai pas fait pipi dans ma culotte, j’ai juste fait quelques gouttes, corrigea la charmante quadragénaire, en resserrant ses cuisses pour cacher maladroitement la tâche honteuse. Techniquement, il ne s’agit donc pas d’un pipi culotte.

Et les deux ribaudes de s’esclaffer de plus belle, les vapeurs de l’alcool ingurgité ayant fait oublier à Véronique les instances de sa vessie.

Hassiba suggéra à son amie de changer de pub. Et les deux ripailleuses se retrouvèrent à flâner dans les rues. Dans un sursaut de lucidité, Véronique regrettait de n’être pas passé aux toilettes avant de sortir. En outre, Hassiba avait sa vessie qui commençait à la titiller.

Chemin faisant, elles rencontrèrent leur bonne vieille amie Brigitte, qui les invita à déguster chez elle une bonne bouteille de vodka. Les deux sybarites, plus à l’écoute de leur gosier que de leur vessie, acceptèrent de bon cœur l’invitation.

Séduisante quadragénaire brune, légèrement enrobée au niveau des fesses et des hanches, Brigitte était une parfaite épicurienne. Elle portait ce soir-là un pantalon rouge très sexy. Quand ses yeux d’émeraude remarquèrent la tâche à moitié séchée à l’entrejambe du jeans de Véronique, elle s’esclaffa :

– Véronique s’est pissé dessus !
– Oh ! Brigitte, ne te moque pas, implora l’intéressée.
– Tu sais, Hassiba, Véronique est une vraie pisseuse. Cela me rappelle la fois où nous avons visité une vieille maison abandonnée que l’on croyait hantée. Elle a tellement eu la trouille qu’elle a pissé dans sa culotte ! Une vraie trouillarde.
– Je n’ai pas du tout eu peur, rétorqua Véronique, j’avais seulement envie de pisser.
– Là, je veux bien te croire. Tu as pissé au moins un bon litre, ton joli pantalon en toile était trempé !

Hassiba, qui écoutait attentivement leur petite conversation, réclama des détails. Des détails, elle en aurait, lui promit Brigitte. D’ailleurs, elles venaient d’arriver. Elles se trouvaient toutes les trois à l’entrée de l’immeuble, quand Véronique sentit un ruisseau se frayer un chemin entre ses cuisses, dégouliner le long de ses jambes. Entre hébétude et soulagement, elle regardait son jeans trempé
.
– Tu vois, Brigitte, dit Hassiba d’un ton sarcastique, Véronique fait encore pipi dans sa culotte à 42 ans.
– Je ne fais pas encore pipi dans ma culotte à 42 ans, je mets à refaire pipi dans culotte à 42 ans, nuança l’infortunée !

Et les trois filles de rire de plus belle. De rire tellement fort que Brigitte et Hassiba connurent la même défaillance vésicale. Elles se tenaient toutes les trois, hilares, le pantalon trempé de pisse.

– Bon, on la boit, cette bouteille, interrompit Brigitte ?

Les trois pisseuses se rendirent donc toutes les trois dans l’appartement de Brigitte à siroter une bouteille de vodka et à écouter de la musique, macérant avec délectation dans leur urine.

(à suivre)