Fantaisie alpestre par Cosi-cosa
J’aime faire des balades, dans nos montagnes du massif alpin
Ce jour-là, je m’étais arrêté au bord d’une route en lacet afin d’admirer le paysage en contrebas, quand une voiture se gara près de moi, une femme mature en descendit. Je ne vous dis pas le look : blonde platinée, lèvres pulpeuses, lunettes de star, pantalon léopard super moulant, petit haut rose en cache cœur laissant deviner une poitrine imposante;
– Bonjour jeune homme, souhaitez-vous un peu de compagnie ?
Une pute, me disais-je tout en m’étonnant que l’on puisse tapiner en ces lieux.
– Je n’ai pratiquement pas d’argent sur moi ! Lui répondis-je maldroitement.
– Qui vous parle d’argent ?
– Excusez-moi…
– Il n’y pas de mal, je sais que je fais un peu pute… mais je ne vais pas tourner autour du pot et vais vous annoncer la couleur
– La couleur ?
– Je suis en manque, mes amis sont rentrés à Paris et j’en ai marre de m’astiquer avec mon gode ! Alors si vous n’avez rien contre les femmes un peu mûres.
– Admettez que c’est inattendu !
– Je l’admets volontiers, alors c’est oui ou c’est non ! ?
– Je suis en moto !
– Ben oui, j’ai vu, vous me suivez on va dans mon chalet !
Je remonte sur ma moto et je roule derrière sa voiture qu’elle conduit tranquillement ce que j’apprécie car on admire encore le panorama, après avoir traversé le village, nous voici arrivés au chalet il est situé au milieu d’un immense terrain entouré d’arbres, à l’abri des regards indiscrets.
Elle m’installe sur la terrasse et va chercher des boissons, même sous le parasol il fait chaud ! La voilà de retour, quelle merveille ! Et des sodas bien frais en plus, nous discutons cinq minutes de cette nature environnante tout à fait exceptionnelle, et soudain elle me coupe et me regarde droit dans les yeux, sa chevelure rousse et ses yeux verts sont éclatants dans le soleil, elle me dit :
– Je vois que vous aimez la nature et que vous en parlez fort bien, nous pourrons reprendre cette conversation tout à l’heure, mais pour le moment je vous propose que nous mettions à poil
Je n ‘ai même pas le temps de répondre, la voilà qu’elle se lève face à moi, s’approche et commence à déboutonner ma chemisette et la jette sur une chaise et me tortille les tétons. J’adore cette caresse ! Ensuite elle descend ses mains sur mon pantalon le dégrafe et le laisse glisser à terre, je porte rarement de sous vêtement en été me voici donc nu comme un ver avec une belle érection en prime, elle fait un pas en arrière et me dit
– Quel bel hommage vous me rendez ! M+ais vu votre état je crois que nous allons nous tutoyer !
Dans la foulée elle descend son pantalon et le laisse tomber à ses pieds, elle non plus ne porte rien dessous, puis elle retire son haut. Elle a de belles formes généreuses, des seins hauts perchés, ronds et ferme, terminés par d’arrogants tétons, une délicieuse toison rousse et je divine sa chatte quand elle marche et que ses cuisses s’entrouvrent et laissent apparaître ses lèvres.
Je m’allonge sur le matelas d’une chaise longue en bois, quel plaisir les rayons du soleil sur la peau ! Elle vient vers moi, prend de l’huile solaire et me caresse en m’enduisant le corps elle promène ses doigts avec plein de douceur ce qui me met dans un état que vous devinez, ma queue est dressée tel un pieux, elle s’allonge sur moi se frotte pour que son corps aussi s’imbibe d’huile et me demande de lui en passer sur le dos et les fesses. Allongée sur moi, sa poitrine ronde et ferme s’appuie sur la mienne. Ses cuisses ont emprisonné ma bite mais elle ne bouge pas, je la caresse et d’un doigt je frotte son anus, sa chatte et le long de son dos, puis reviens vers l’anus
– Tu peux m’enfoncer un doigt dans le cul, mais ensuite il faudra que tu le suces !
– Mais pourquoi ?
– Parce que ça m’excite de te demander ça !
– Ah !
– Allez vas-y enfonce !
Je le fais, et lui laboure l’anus pendant quelques instants lui provoquant d’étranges miaulements de plaisir. Je ressors mon doigt, à peine pollué, un peu quand même !
– Lèche !
Je l’ai fait, ça ne m’a pas tué !
Ma belle inconnue se lève et sa bouche embrasse ma queue tendue, elle joue quelques secondes de sa langue sur mon gland gonflé puis m’enjambe toujours debout. Je peux admirer sa chatte rousse et son clitoris bande comme une petite bite, elle descend lentement en pliant les genoux. Je sens sur la pointe de ma queue les lèvres de sa chatte qui s’ouvre et je glisse à l’intérieur de son ventre, elle est assise sur moi empalée sur ma bite jusqu’à la garde, là elle commence un mouvement de va-et-vient lent et elle me dit :
– Ne te presse pas, plus ça dure, plus c’est bon !
C’est vrai que c’est presque un supplice cette chatte ouverte qui coulisse sur mon dard, elle accélère progressivement le mouvement et j’imagine que sa jouissance n’est pas loin. Soudain elle me crie :
– Vas-y gicle pendant que je vais jouir
Je sens monter en moi le sperme, prêt à sortir. A ce moment elle se démène comme une bête elle monte et descend le long de ma tige avec une telle violence que je gicle encore de plus belle. Sa jouissance s’atténue un peu elle se lève légèrement, s’avance et me dit tout bas :
Ta queue est encore dure je veux me la mettre dans mon petit trou !
Elle s’assoie lentement, ma tige est tellement enduite de son jus et son anus dilaté que je suis prisonnier de son cul sans difficulté et elle recommence ses va-et-vient frénétiques ce qui fait qu’en quelques minutes elle obtient un nouvel orgasme. Ma bite ressort de son trou du cul visqueuse de sperme et de merde. Ça la fait rigoler, elle me la prend dans sa bouche, me nettoie entièrement, me dit qu’elle adore sucer les bites qui sortent de son cul.
– Et quand il y a un peu de merde, c’est encore meilleur !
– Ah ?
– Ça te choque ? Me demande-t-elle une fois sa bouche libre.
– Non !
Un peu quand même mais je ne vais pas lui dire !
– J’ai envie de pisser, je peux te faire dessus !
Oui ça je veux bien, et son urine était délicieuse.
– Demain je serais occupée, mais si tu venir me faire un petite visite après-demain en fin de matinée.
– Je ne sais pas trop, je vais essayer de me libérer…
– Parce qu’après je rentre à Paris.
Nous n’avions pas échangé nos numéros de téléphone et le surlendemain, je n’y suis pas retourné, non pas parce qu’elle ne me plaisait pas, mais j’avais peur qu’elle m’entraine trop loin dans ses délires, je l’ai regretté ensuite. Ainsi va la vie…
Ce récit est une sorte de brouillon du récit Montagne d’Helvétie http://wp.vassilia.net/histoires/montagnes-dhelvetie-tiroula-tirouli-par-cosi-cosa du même auteur et plus écrit !
Non, non, il n’y a pas que du sexe ! Elle lui a même offert un soda !
Ecrit trop vite avec un passage uro bâclé de chez bâclé !