Je l’appelai alors, criant à travers la maison, mais elle ne me répondit pas. J’essayai d’abord de me détacher, mais c’était bien évidemment impossible, avec les menottes. Je pouvais tout juste tirer un peu sur la corde. Je me levai alors, tant bien que mal, avec les jambes totalement ligotées. Je pus faire quelques pas, à coup de millimètres, en faisant attention de ne pas tomber. Je vis alors un petit mot rose sur le bord du lit. Il était de Jocelyne. Je le poussai avec le nez pour le déplier et pu lire : «Mon cher Paul, je vois que les aventures d’hier ne t’ont pas suffi. Aujourd’hui je n’ai pas le temps de jouer avec Pauline, je te laisse donc te libérer toute seule. Au cas où tu préfères aller ainsi travailler, je t’ai mis un bol de céréales à la cuisine, par terre évidemment, petite coquine. Bisous. »
Ah la… ! ! Je sortis quelques jurons. Puis, je me mis à réfléchir. Il était 8 heures du matin, j’avais une demi-heure pour me sortir de ce pétrin et aller travailler. J’allai donc vers la commode où la clé des menottes se trouvait. Elle n’était qu’à deux mètres, mais je mis bien dix minutes pour y arriver, me hissant sur le bout de pieds, manquant plusieurs fois de tomber. Je pus ouvrir le tiroir avec la bouche, et allai prendre la clé. Mais, oh, pas de clé ! ! À la place un autre petit papier rose, noté : «Ah non, ce serait trop facile avec une clé, essaie sans. À moins d’aller travailler ainsi ? Au fait, essaye de ramper, cela va plus vite. » Je me mis à pester à nouveau contre elle. Elle avait du prendre la clé avec elle ! ! ! Je ne pouvais évidemment pas me défaire des menottes sans clé ! Quand à la corde, c’était déjà bien difficile. Dans tous les cas, je ne pourrai pas sortir d’ici sans la clé. Je devais attendre Jocelyne ici.
Pensant à ses mots, je me mis couché, c’était quand même plus agréable, et essayai de ramper vers la sortie de la chambre. C’est vrai que cela allait plus vite, même si je devais vraiment avoir l’air bête ainsi. Elle devait ricaner depuis son bureau pensant à moi, ligoté, travesti et rampant dans la chambre de notre maison. Tout en imaginant ma femme triomphante, je continuais à avancer. Soudain, je vis un autre mot rose, par terre, sous le lit. Pas besoin de le déplier, c’était écrit gros et ouvert : «Voilà de quoi t’aider à aller plus vite, ainsi tu pourras aller déjeuner et ensuite partir travailler, petite Pauline.» Je vis alors un couteau derrière le papier. Je m’empressai de le prendre, en faisant bien attention à ne pas me couper. Quelques minutes plus tard, je pu me libérer de mes cordes. Ouf ! Je n’étais pas libéré de mes menottes, évidemment. Je pouvais toutefois marcher. Je me mis à fouiller l’appartement, avec mes mains dans le dos ce n’était pas évident, mais possible, à la recherche d’un autre papier rose qui m’indiquerait où la clé serait cachée. Mais non, rien n’était là !
J’étais déjà en retard pour le travail ! Si elle n’avait pas caché la clé quelque part, c’est qu’elle voulait vraiment me proposer d’aller travailler ainsi habillé ! ! Je commençai sérieusement à paniquer et à m’imaginer allant travailler ainsi. Je pris alors mon courage à deux mains et me dit que j’allais le faire. Peut-être aussi parce que c’était excitant. Je ne savais pas du tout si j’en étais capable mais l’idée, bien que terrifiante, m’excitait au plus haut point. J’allai à la cuisine et vis le bol de céréales laissé par Jocelyne. Il était évidemment par terre. Je me mis alors à genoux et me dépêchai de manger, pensant à aller ensuite rapidement travailler. Manger ligotée dans la cuisine, à terre dans un bol commençait à devenir une habitude ! C’était de plus en plus facile et toujours aussi humiliant, même seul. Toutefois, cette position était vraiment excitante, je m’imaginais debout, voyant la scène de l’extérieur et voulant donner quelques coups de fouet à cette petite traînée qui lapait ses céréales. En pleine dégustation, un événement inattendu me sortit de mes rêves, je sentis quelque chose de dur dans les céréales. Je sortis la chose, la déposai par terre et vit que c’était en réalité la clé de mes menottes ! Je ressentis à la fois un grand soulagement, ne devant pas aller me payer la honte devant mes collègues, et également une frustration, car l’épisode du travail en robe PVC m’attirait tout de même. Je pris la clé, m’enlevai les menottes et me branlai de suite, toujours en robe. J’eus envie de me mettre les menottes devant mon corps, ce qui ne m’empêcha pas de me caresser le pénis, jusqu’à l’éjaculation. Je nettoyai le tout, me changeai et parti vite au boulot. Juste avant de sortir de chez moi, je pris tout de même les menottes et la robe PVC, que je mis dans un sac…
Au boulot, je me fis sévèrement reprendre par le patron pour mon retard, j’inventai une excuse bidon et m’excusai platement. La matinée passa plutôt normalement.
En début d’après-midi, en revenant de la pause, je me mis à gamberger sur l’épisode du matin et à imaginer ce qui aurait pu se passer si je n’avais pas eu la clé dans le bol. À force de penser à tout ça, je fus tout excité et eus une idée plutôt saugrenue. Je pris la robe en PVC, l’enfilai. Il faut dire que je suis seul dans mon bureau et que d’habitude personne ne vient vraiment me rendre visite en plein travail. Pour plus de sûreté j’appelai ma secrétaire à l’interphone et lui demandai de ne laisser entrer personne. Je mis les menottes que j’avais emmenées avec moi et commençai à taper à l’ordinateur et à travailler comme si de rien était. J’étais plutôt excité par cette situation, habillé en robe PVC et menotté, je travaillais sur Excel et Word. Je m’imaginais ma secrétaire entrer et parler normalement, trouvant normal de voir son supérieur habillé ainsi. J’aurais voulu voir Jocelyne, qu’elle me dicte des choses à taper et soit sévère en me tapant sur les doigts si je me trompais. Le rêve mélangeait comme toujours deux sensations : j’étais la fille soumise et dominée, mais je m’imaginais externe à la scène, voyant ceci un peu avec l’oeil du voyeur. C’était étrange, je ne savais plus du tout ce qui m’excitait, si c’était la situation d’une personne sexy en robe PVC ligotée ou si c’était d’être moi-même ainsi humilié.
Une heure plus tard, ma secrétaire m’appela, me sortant de mes rêves à nouveau. Mon patron voulait me voir. Je voulus dire «Qu’il entre.» pensant normal qu’il me voit ainsi. Mais je stoppai au dernier moment, un petit instinct de survie peut-être. Je dis donc «un instant» et eus juste le temps d’enlever une des mains des menottes, de mettre ma chemise, par-dessus la robe, qu’il était déjà là. Lorsqu’il entra, j’avais la chemise sur la robe, rien au-dessous et toujours les menottes à l’un de mes poignets. Mes bras étaient sous le bureau. Heureusement, mon bureau donnait face à la porte d’entrée, de telle sorte que mes jambes étaient cachées. Il était assez fâché, car j’avais du retard sur un fichier à lui envoyer. Je bégayai un peu, mon cœur battait très fort, j’essayai d’enlever les menottes mais fit tomber les clés par terre, dans l’excitation. Je lui dis que j’allai lui envoyer ça de suite. Il se mit à me faire la morale. Pendant qu’il parlait, je ne l’écoutais qu’à demi et me rendis compte que ma chemise n’était pas fermée jusqu’en haut, qu’il devait pouvoir voir le haut de la robe ! Heureusement, il était trop énervé pour voir ce détail. Je fermai tout de même mon bouton, avec la main libre de menottes. Lorsqu’il eut fini, j’étais dégoulinant de sueur, il me dit :
«Je vous laisse 3 minutes pour m’amener ce dossier.»
Je fis oui de la tête, trop heureux qu’il s’en aille, et lorsqu’il eut claqué la porte, je me dépêchai de me mettre à genoux et de prendre la clé des menottes par terre pour me les enlever. Je voulus ensuite mettre mon pantalon, mais mon patron était à nouveau revenu ! Il cria encore quelques insanités en rentrant, et ne me voyant pas (j’étais caché sous le bureau) il s’écria :
«Mais que faites-vous ? »
Je me relevai en 3 millisecondes et dit avoir perdu un bouton. Il s’énerva en disant que ce n’était pas le moment de chercher des boutons et qu’il allait attendre dans mon bureau que je sorte le fichier sur papier. Je me mis à vouloir le terminer, ce fameux fichier, tout en imaginant comment j’allais m’en sortir. Il allait vouloir que je lui imprime, puis que j’aille le chercher, ce qui voulait dire se lever et donc montrer ma robe ! ! Je terminai en deux secondes le fichier, que j’avais simplement oublié d’imprimer, et lui dis :
«C’est bon, il est sorti sur l’imprimante 3». (Cette imprimante était dehors, dans un autre bureau).
Il me demanda alors pourquoi je n’avais pas imprimé ça chez moi, sur l’imprimante juste derrière moi. Evidemment je ne pouvais lui dire «C’est parce que sinon, je dois me lever pour la prendre et vous verrez ma robe PVC ! », je lui dis alors qu’elle était en panne, mais il cria encore me disant que je dois veiller à ce que tout soit réparé. J’étais en train de frôler la crise cardiaque quand mon collègue Robert amena le papier que j’avais imprimé chez lui, ce qui fit tourner la tête à mon chef et me permis de vite me mettre à genoux et d’enfiler mon pantalon, par-dessus la robe. Je fus moins stressé, pus aller montrer le fichier à mon chef et tout se termina plutôt bien. Hormis un moment où Robert me dit que ma braguette était défaite et qu’on voyait ma culotte en latex ! S’il avait su ce que c’était !
Le soir, je rentrai à la maison, pleins d’émotions et racontai cela à Jocelyne qui rit beaucoup. Elle me dit qu’elle aurait bien voulu me voir rencontrer mon patron en robe PVC. Elle me dit que ce serait pour la semaine prochaine. Je ne la crus pas, évidemment, mais eu tout de même un petit doute…
Elle me prit alors la main et me dit :
«Mon chou, après toutes ces émotions, je pense que tu as besoin de te relaxer. Vas te changer et t’allonger sur le canapé.»
Je ne me fis pas attendre et obéit de suite. J’étais alors habillé en jeans et couché sur le canapé de la cuisine. Jocelyne m’embrassa longuement, puis me susurra à l’oreille :
«Relaxe-toi, je m’occupe de tout ! »
Elle partit quelques instants et revint avec un verre de jus d’orange qu’elle me servit. Elle se mit alors à me masser les pieds tandis que je buvais mon verre. Cela devenait très agréable. Puis, elle me demanda de fermer les yeux et me mis un bandeau sur ceux-ci. Les caresses devinrent alors plus générales, sur tout le corps. Elle s’arrêta, me laissant apprécier tout cela et quitta quelques instants la pièce, me demandant de ne pas ôter mon bandeau. Quelques minutes plus tard, elle était revenue et me caressait de plus belle. C’était si agréable ! Elle prit la peine de me défaire la braguette et s’occupa plus particulièrement de mon pénis. Je sentis soudain quelque chose de froid sur ma peau. Tandis qu’elle me caressait, je sentais des frottements de matière plastique sur mon corps. Je lui demandai ce que c’était mais elle me dit que c’était une surprise. Elle stoppa les caresses, en me laissant là, à la limite de l’orgasme, puis me donna ensuite un bout de corde dans la main et me demanda de tirer dessus. J’eus un peu de peine, elle me dit de me lever et de tirer fort vers le haut. Je ne savais pas trop ce qu’elle voulait faire par là mais eut plaisir à laisser planer le doute. Une fois ceci fait, je dus m’asseoir et écarter les jambes. Je sentis alors sa bouche venir me lécher le pénis, ce qui me surpris en bien. Je n’avais pas l’habitude qu’elle me fasse de fellation et pus apprécier celle-ci. Alors qu’elle me léchait tout autour du pénis, elle me dit alors :
«Bon, tu peux enlever le bandeau et apprécier, mais tu ne dois pas bouger ensuite, rester bien calme et me laisser faire. Jure-moi cela et enlève le bandeau.»
Je le fis sans problème, enlevai mon bandeau. Et là, ô ma surprise fut énorme ! Je la vis à genoux devant moi, me léchant le pénis (ce que j’imaginais déjà les yeux bandés), mais surtout, elle portait une tenue très sexy ! Elle était vêtue de rouge, entièrement en PVC ! Elle portait une jupe très moulante, qui lui arrivait à la mi-hauteur des genoux, ainsi que bottes à très hauts talons, montant jusqu’aux genoux, laissant entrevoir très peu de peau, mais juste assez pour évoquer le reste. En haut, elle semblait porter un bustier dos nu, le tout en PVC rouge également. Mais surtout, elle avait un gant de cuir dans le dos, le mien ! C’est cela qu’elle m’avait fait tirer tout à l’heure, afin de le refermer. Une corde tenait l’extrémité de la fermeture éclair. En voyant tout ceci, j’eus un haut-le-coeur tellement je ne m’y attendais pas et tellement cela me faisait plaisir. Elle n’eus pas beaucoup de peine à me faire jouir en usant de sa bouche experte et je lui éjaculai dessus.
Je restai là, sur le canapé, à regarder ma femme, ainsi habillée et attachée devant moi. Elle qui m’avait fait monter l’excitation à un point que je n’aurais jamais supposé exister. Je lui en étais tellement reconnaissant. Elle me regardait et devait voir en mes yeux toute ma gratitude. Elle me dit alors :
«Je pense que tu as du aimer ma surprise. Prends l’enveloppe sur la table.»
Je fis ce qu’elle me dit et découvris dans l’enveloppe une lettre, écrite de sa main, où il était noté : «Mon chéri, voici ton cadeau de cette nuit.»
Et dans l’enveloppe (qui était plutôt grande), un collier de cuir. Il y avait dessus un anneau et également une plaque gravée : «Jocelyne, esclave sexuelle de Paul» J’étais encore ébahi, sous le choc, quand elle me dit :
«Alors, tu me le mets ce collier ? »
«Euh, oui… bien sûr», fis-je surpris.
Je lui mis le collier et lui dit :
«Voilà, ma petite esclave.»
Je lui demandai alors :
«Et maintenant ? »
«Ben, mon chéri, je suis à toi, tu peux faire de moi ce qu’il te plaît. Pour la soirée.»
Voyant que je ne bougeais pas tellement, encore sous l’effet de la précédente animation, elle reprit :
«Bon, si tu es un peu repu par l’épisode de tout à l’heure, on peut faire une petite pause. Prends la cassette sur la table et mets-là dans le caméscope. Puis va t’asseoir sur le canapé.»
Je fis ce qu’elle dit, un film commença à la TV. Je ne le connaissais pas, mais ça avait l’air érotique. Elle se leva, partit quelques instants et revint avec un fouet entre les dents, ainsi que de la corde. Elle me dit :
«Que dirais-tu de m’attacher solidement ? Ensuite tu pourras regarder le film tout en me donnant de temps à autres quelques coups de fouet, histoire de montrer qui commande.»
Je n’en croyais pas mes oreilles, elle se soumettait à moi et en plus me proposait tout ce que je pouvais lui faire. Je n’avais alors aucun souci à tenter mes fantasmes, sans honte. Je pris la corde et la ligota très fermement. Je pris pas mal de temps et manquai un peu du film, qui mettait aux prises une femme ligotée également. Je lui liai les jambes entre elles, au niveau des chevilles et des genoux et liai également les pieds avec les poignets, dans le dos. Comme elle me l’avait proposé, je pris le fouet et lui donnai quelques coups, de temps à autres, en regardant le film. La soirée ne faisait que commencer…