L’odeur du cul d’Hélène par Caro01
RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE SCATO EXPLICITE
Je suis une véritable salope. Je suis blonde, j’ai des jolis petits seins tout ronds, un visage plein de candeur, une chatte et un anus bien épilés, et un petit sourire mutin.
J’aime tout, je n’ai aucun tabou : sucer (de préférence plusieurs bites en même temps !), avaler, me faire remplir, me faire baiser par plein de mecs au cours d’une même soirée, me faire une bonne petite lesbienne en chaleur, la lécher partout… Je fais aussi dans la zoophilie, j’adore sentir la large langue d’un clébard sur ma chatte ou sur mon trou du cul. J’aime leur sucer la queue dégoulinante de liquide visqueux et bien sûr je me fais sauter par les deux trous, c’est génial.
Mais aujourd’hui j’ai envie de vous parler de scatologie, parce que j’adore ça aussi…
J’aime par-dessus tout qu’on me lèche le cul, qu’on écarte ma petite rondelle et qu’on enfonce sa langue le plus loin possible. Ce que je préfère, c’est quand une femme s’occupe de ce petit travail initiatique, avant qu’un mec avec une bonne grosse bite me remplisse complètement, touche ma crotte bien profondément (j’adore la sentir bouger dans mon petit cul), éjacule dans mon anus avant de me mettre sa queue marron de merde et blanche de sperme dans la bouche. Je la nettoie soigneusement, commençant par le gland, là où il y a le plus de merde, et engouffrant tout le membre au fond de ma gorge. C’est un vrai régal !
Un jour, je discutais de tout cela avec Hélène, une copine que j’avais dragué dans un bar à gouines. Une belle brune un peu forte avec des gros nénés. Elle semblait un peu étonnée à l’idée d’engouffrer une bite pleine de l’odeur de son cul dans sa bouche. En lui caressant sensuellement les cheveux, je lui répondis :
– Tu sais, un cul de femme, ça a une très bonne odeur…
Tout en parlant, je la pelotais, un peu partout, puis me concentrait sur son gros cul, tout en cherchant immédiatement son trou du cul sous sa jupe. Elle ne portait pas de culotte, cette grosse salope…
Tout en l’embrassant de toutes mes forces en remuant ma langue dans sa bouche, j’insérai d’un coup mon majeur dans son anus… Elle était un peu humide, mais pas tellement, et j’eus du mal à aller jusqu’au bout, j’ai beaucoup forcé, elle gémissait, un peu de douleur mais, surtout, de plaisir… Je retirai mon doigt légèrement couleur de merde et lui mis immédiatement sous son joli nez :
– Renifle l’odeur de ton cul, sale chienne… »
Puis j’enchainais en introduisant mon doigt dans sa jolie bouche en lui disant :
– Nettoie mon doigt, lèche bien toute la merde !
D’abord un peu réticente, elle finit assez vite par apprécier et se délecta, elle passa deux bonnes minutes à nettoyer mon doigt. Je n’en pouvais plus, cette salope était vraiment excitante avec ses gros seins (95C), sa jolie chatte tout épilée, ses yeux innocents alors qu’elle était en train de goûter avec délice l’odeur de son petit trou…
Je la plaçai à quatre pattes sur le canapé, arrachai sa petite jupe et j’écartai ses fesses au maximum. J’eus alors une superbe vision, celle de son anus complètement écarté, avec quelques poils bruns et son odeur de chienne… Je le reniflai d’abord intensément : ça sentait la sueur, la merde et la mouille, car la jolie petite Hélène mouillait beaucoup désormais, sans doute grâce à cette position humiliante. Elle me livrait son intimité sans la moindre retenue, et sentait mon souffle sur son cul. Lentement, je passai ma langue le long de sa raie.
Elle gémissait de bonheur en me suppliant :
– Bouffe-moi le cul !
J’écartai encore plus son anus, écartelant sa rondelle, et je glissai ma langue le plus profond possible. Plus j’avançais ma langue, plus ma petite Hélène sentait la merde. Je lui humidifiai bien son petit trou, et j’insérai un doigt, puis deux (elle hurlait de plaisir). Elle n’en pouvait plus, elle était au bord de la jouissance. Je remuai mes doigts en elle, je touchai sa petite crotte, elle gémit à ce moment et jouit profondément.
Je ne voulais pas en rester là. Je retirai mes deux doigts et les lui donnai à lécher. A nouveau elle les prit dans sa bouche, les nettoya soigneusement, les sortant de temps en temps pour les sentir.
– Tu y as pris goût, espèce de chienne ! Lui dis-je en l’embrassant.
Sa bouche sentait la merde. Puis je lui enfonçai encore deux doigts dans le cul, qui était tout humide ; sa rondelle était complètement dilatée.
Elle m’encourageait à lui fouiller le cul, alors j’ajoutai encore un doigt, puis un autre, puis ma main entière que j’écartai complètement dans son cul, tandis qu’elle se branlait. Je saisis sa crotte et refermai mes doigts sur elle. Ma main était pleine de merde. Je la sortis du joli cul d’Hélène et étalais sa merde partout, sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche, dans sa chatte. Après quoi je la léchais intégralement, commençant par sa bouche, ses lèvres, ses joues toutes marron puis son nez. Quel plaisir divin de lécher un joli nez plein de merde !
Ensuite je lui léchais ses seins, puis sa minouche dans un soixante-neuf enflammé où elle avala ma jolie chatte épilée (tout en passant sa langue sur mon anus dont elle s’occupera bientôt…) et où je bouffai son vagin tout lisse avec de jolies traces marron.
Nous nous sommes ensuite échangé un long et profond baiser parfumé à la merde !
Depuis ce jour, Hélène et moi nous nettoyons l’anus dès que nous le pouvons, et j’avoue que j’ai du mal à me passer de l’odeur de son cul…
Caro, jeune salope.
Ce texte signé Caro a été publié sans mail de l’auteur en février 2001 par Revebebe qui l’a depuis supprimé) Il a été un peu rewrité pour la présente édition tout en en conservant l’esprit.
C’est le genre de récit qui donne envie de passer à l’acte
Mais jusqu’à présent je me suis dégonflé
Quel délice!! les jeux scato sont tellement bons, il faut savoir franchir le pas.
C’est dégueulasse mais c’est jouissif… Ben si c’est possible !!!
Ça donne envie d’être aussi cochonne que ces deux coquines !
Bonjour, Honorine !
J’aimerai bien t’en faire autant; j’adore tout ce qui est anal, lécher le cul, le doigter quand la nana pisse, etc …
Comment la chatte de Caro peut-elle être à la fois blonde et épilée ?
C’était une coquille, c’est corrigé !
De la scato décontracté qu’on a plaisir à lire (les mains occupées)
Bonjour, Marylu !
Tu aimes aussi ! ?
je te boufferai volontier tout ton trou du cul, et le nettoierai a pleine bouche, j’adore ca !
A chaque fois que je relis ce texte je bande comme un cochon et me branle jusqu’à la jouissance
Moi je mets à poil avec un gode dans le cul, je me le remue un peu et je le sors, je prend alors un deuxième gode et je lèche le premier de toutes les traces de merde et je me branle. Qu’est-ce que c’est bon !
Et dire que certains préfèrent l’odeur de la savonnette
Ça doit être un avant gout du paradis. Un jour je pourrais peut-être le faire avec une jolie femme🙃
Quel dommage qu’il n’existe pas d’autres textes de Caro nous racontant ses autres turpitudes
Lécher un cul d’une belle dame qui vient de chier ! Quel bonheur !
L’odeur, les petites taches brunes, le gout subtil de la merde ! Plaisir divin !
j’♥
Mon Dieu ! Quelle cochonnerie !
Mais pourquoi suis je si excitée, alors ?
Parce que tu es une cochonne
Délicieusement cochon, j’ai adoré
Fallait oser !
J’ai commencé ce texte avec un doigt dans le cul, je l’ai terminé avec un doigt dans la bouche, le même avec un gout particulier
Je viens de le relire, toujours avec le même plaisir et la même excitation, faut dire que la scato m’interpelle de plus en plus, cochonne, je suis ♥
Encore de la scato ! Mais vous allez arrêtez, quoi !
Rien ne vous oblige à lire les textes que vous n’aimez pas et qui de toute façon annoncent la couleur.
De la scato de chez scato, mais malgré le style un peu scolaire (cf la conclusion surréaliste) ça fait bander la bite !
un peu rapide mais sympathique pourvu qu’on accroche au fantasme
troublant, très troublant mais faut aimer la scato 😉
Merci d’avoir réedité ce texte très cochon que Revebebe a supprimé de sa base de façon injustifié. A bas la censure !
Parler de censure pour un site d’histoire érotique sur Internet n’a aucun sens. Revebebe appartient à son propriétaire et il ne doit rien à personne, il choisit sa ligne éditoriale et fait ce qu’il veut. Sur Vassilia c’est la même chose, je publie ce que je veux et ne publie pas ce qui ne me plait pas. Il se trouve que j’avais trouvé le présent texte plutôt intéressant et je l’ai donc publié.
Et merci de l’avoir publié, c’est un excellent texte scato comme je les adore !