Carnaval 11 – Et nos langues se lient… par Caroline49
Nous sommes toujours l’une contre l’autre. La bouche de Claire sent le sexe. Je suppose que la mienne aussi. Le lit est bien trempé, je pense que le matelas est imbibé. Nous finissons par nous lever toutes les deux. Sans un mot. Claire se dirige sans trop de bruit vers la salle de bain afin de se passer un gant d’eau fraîche sur le visage et le corps. Moi je pue l’urine et je vais faire de même. Nous ne savons absolument pas sur quoi nous allons dormir. Claire cherche alors dans le placard le très gros édredon en plume d’oies que notre mamie nous avait donné. Elle finit par le trouver.
– » On va s’en servir comme matelas, ce sera confortable « .
La chambre est assez grande pour le mettre à côté du lit si l’on pousse un peu celui-ci. Claire est toujours nue, ses lèvres sont encore luisantes de cyprine. Elle se penche pour se mettre à genoux afin d’essayer de mettre le drap sur le matelas de fortune. Je ne peux m’empêcher de lui mettre une main sur les fesses. Elle ne dit rien. Ma main droite effleure et savoure sa peau. Mon index passe dans la raie de ses fesses et se dirige vers sa chatte encore baveuse. Mon index s’insinue entre ses lèvres et se lubrifie très vite. Je ramène mon doigt à hauteur de sa fleur rosée étoilée. Sans forcer, sans réticence, mon doigt rentre dans son cul et commence un léger un va et vient. Claire a sa tête sur l’édredon. Elle camoufle ses gémissements. Mon majeur de la main gauche vient alors lui caresser le clitoris et par moment pénètre sa chatte inondée. Je crois que la seule chose qui pourrait lui faire du bien, c’est la queue d’Antoine. Claire finit par se retirer elle-même de mon doigt
– » C’est très agréable, mais je suis fatiguée Caro, je veux dormir, je suis naze ! »
Je l’accepte. Nous nous glissons toutes les deux nues sous les draps et la couverture. Je retrouve étonnamment la sensation de lourdeur des gros draps en coton de chez ma grand-mère. Cette sensation de se glisser dans un lit aux draps frais et de s’endormir avec les couvertures bien lourdes sur les pieds, cette plénitude de s’endormir avec ma sœur jumelle…Nous échangeons un baiser léger. Claire se tourne sur son flanc gauche, tournée vers la fenêtre. Je me colle à elle. Ma main droite posée sur son sexe afin de sentir du bout des doigts la chaleur qui s’en dégage. Et nous finissons par nous endormir. Paisiblement…
(Changement de narrateur)
Les rayons de soleil passant à travers les lames du volet roulant finissent par arriver sur mes paupières fermées me forçant ainsi à me réveiller. J’ai l’impression de ne pas avoir bougé de la nuit. Je suis toujours sur mon flanc gauche. Je me tourne vers ma sœur, Caroline de son vrai prénom, mais que tout le monde appelle Carole. A ma grande surprise, elle est déjà levée. Je suis seule dans le lit. Je m’étire le plus possible, deux fois. La lumière augmente doucement dans la chambre. Je reste les yeux fixés au plafond, à regarder le lambris de la chambre. Je regarde les étoiles phosphorescentes collées au plafond. Nous les avions collées avec Caro quand nous étions gamines. Je me tourne dans le lit pour me mettre à la place de Caro. Je respire son odeur sur le coussin. Qu’est ce qui s’est passé tout à l’heure. Qu’avons-nous fait ? Qu’ai-je fais ? Avons-nous dépassé les bornes ? Est-ce répréhensible ? Vais-je surmonter cela ? Caro est beaucoup plus forte que moi, elle a toujours été la dominante, la plus délurée, la plus vive. J’étais la plus calme, plus réservée, plus posée. J’étais loin d’être effacée ou timide mais je me méfiais toujours du qu’en dira-t-on. A toujours envisager toutes les conséquences possibles de mes actes. Et ça jusqu’à mes seize ans. Un jour, j’avais surpris mes parents en plein acte. Bien que je savais qu’ils avaient une activité sexuelle, c’est toujours déroutant de les surprendre. Et puis après en avoir discuté avec les copines de l’époque, c’est comme ça que ma sexualité s’est éveillée doucement. Mais je n’ai jamais vraiment eu de relations sérieuses et surtout je n’ai jamais pu me fixer. Je suis bisexuelle depuis mes 18 ans et même à l’époque je continuais à me poser des questions sur mes aventures sexuelles. L’ai-je fait aujourd’hui ? Non ! Ai-je mesuré il y a bientôt 48 heures l’impact qu’aurait pu avoir le fait de s’occuper du surveillant de baignade toutes les deux en même temps dans la cabine de douche ? Non ! Pourquoi ma sœur m’a-t-elle dit qu’elle aimerait alors me faire du bien (voir chapitre 4) ? Pourquoi, j’ai pris cette idée comme une proposition éventuelle de ma sœur à vouloir tenter quelque chose avec moi. Qu’est ce qui a fait qu’un verrou ait sauté à l’intérieur ? Est-ce l’alcool consommé en soirée dans la nuit de vendredi à samedi ? Peu importe, je voulais juste tenter, essayer, oser.
Je finis par m’asseoir dans le lit de fortune. Je lève la tête un peu plus pour apercevoir le radio réveil de l’autre côté du lit. Il indique 10 h 30. Le fait de m’asseoir fait inévitablement couler les liqueurs de jouissance vers l’extérieur. Je sens mon sexe qui coule. Je mets un doigt à l’entrée de mon sexe pour en juger la consistance. C’est épais, translucide et très peu odorant. Je me caresse très lentement le clitoris afin de voir s’il réagit à mes stimulations digitales mais manifestement il est endormi. Mon esprit aussi. Je prends un mouchoir un papier dans le tiroir du chevet afin de m’essuyer l’entrejambe et me sentir plus à l’aise. Je me lève enfin. J’ouvre les volets de la chambre qui sont encore à manivelle. Le couic couic du volet qui monte me remplit bizarrement de bonheur. Un soleil franc apparaît sur mon sexe, je trouve cela rigolo. Je sens la chaleur légère du soleil matinal d’avril amplifiée par la vitre. L’astre solaire finit par illuminer mon corps entier une fois le volet totalement relevé. Je suis nue face à la fenêtre. On voit les jardins des voisins. J’aperçois le chat du voisin qui comme à son habitude se promène sur les murs délimitant les jardins faisant ainsi son tour de surveillance du territoire. J’ouvre la fenêtre.
Un air frais vient envahir la chambre et me fouetter la peau. Etant totalement nue, mes seins réagissent à la seconde et je sens mes tétons durcir. Mais très vite, on devine la vraie chaleur solaire à travers l’air frais. Je me penche, un peu à la fenêtre. Je peux voir en contre bas par le Velux® de la cuisine que ma sœur est à table certainement en train de prendre son petit-déjeuner. Je cherche dans un tiroir la nuisette en satin avec des étoiles. Je la sais très légère et très sexy. Je mets également des petites socquettes (elles moins sexy), mais je sais d’avance que le carrelage de la cuisine lui sera très froid. Je passe par la salle de bain afin de faire une petite toilette intime. L’autre porte de la salle de bains donnant dans la chambre où dorment Antoine et Chloé est grande ouverte, les volets sont entrouverts et les deux fenêtres de la chambre, sont en position inclinées. Manifestement, je suis la dernière à me lever. Je finis donc par descendre les 44 marches de l’escalier et arrive dans la cuisine. Caro me tourne le dos. Je me dirige vers elle et celle-ci me tend la joue. Je lui fais un gros bisou : » Bonjour !
– Chalut, me dit-elle avec la bouche remplie de sa tartine grillée. Bien dormi frangine ?
– Oui, suis un peu dans le coltard mais ça va. Le temps est agréable ce matin. Tu es levée depuis quelle heure ?
– Neuf heures trente. J’ai entendu Chloé et Antoine vers 9 heures.
– Ah bon ?
– Oui ‘Toine s’est éclaté un orteil sur la marche de la salle de bains. Il s’est retenu de pousser un cri mais je l’ai entendu gémir d’abord parce qu’il avait mal ensuite parce que notre grande sœur a su le réconforter.
– Ah bon ? Et comment ?
– Elle l’a sucé.
– Et tu le sais comment.
– Il me l’a dit au petit déj.
– Comme ça ?
– Oui comme ça ! Quand Chloé est apparue dans la cuisine, je lui ai dit que sa méthode de soins était très efficace. Ce à quoi elle m’a répondu, qu’elle avait délaissé un peu son chéri ces derniers temps et qu’elle devait se rattraper.
– Evidemment…mais le pauvre petit bonhomme il n’est pas resté sans rien faire, il a su trouver une petit belle-sœur pour le soulager de ses tensions du week-end.
– Et une fille au pair
– Ah bon, avec Sarah aussi ? C’est quoi ici une famille de débauchés ?
– Non, dit-elle entre deux gorgées de chocolat chaud, c’est carnaval on s’amuse, on prend du bon temps ! C’est qui qui m’a bouffé le cul il y a peu ? Ce n’est pas toi peut-être ? Petite cochonne ! Tu joues l’effarouchée et tu es pire que moi ! Chapeau !
– Oui je sais, j’en suis encore toute confuse, j’étais bien éméchée, tu m’en veux ?
– Non, pas du tout. Je m’en fous en fait. Enfin ce que je veux dire c’est que j’ai pris un pied du tonnerre. Après sur le coup, voilà ça s’est fait avec toi et puis voilà. J’étais excitée comme une ligne haute tension, j’avais le feu au cul, toi la chatte en fusion et pan, on a fusionné cette nuit.
– Oui mais la magie du moment, de l’instant ?
– Ecoute Claire, elle se tourne vers moi et se lève pour venir à ma hauteur, je t’aime terriblement, tu es ma sœur jumelle, j’ai a-do-ré ce qui s’est passé tout à l’heure. Je suis même prête à recommencer. J’adore le sexe ! Tu entends ? J’aime ça. Un mec, une fille, peu m’importe. Je prends mon pied. La seule chose c’est que toi et moi c’est différent. C’est nous. On pourrait faire fantasmer des régiments entiers de légionnaires rien que tous les deux. C’est du sexe et uniquement du sexe, tu comprends.
– Oui.
– Mais ça ne veut dire pas dire que j’ai rien ressenti, bien au contraire. J’ai des choses à t’apprendre sœurette, et toi aussi « .
Caro va déposer son bol dans l’évier. Elle est en nuisette comme moi mais beaucoup plus courte au ras des fesses. Elle porte un string.
– » Il faut faire quelque chose là-haut pour le matelas, tu ne crois pas ?
– Si je vais me prendre la shampouineuse à moquette et on va en passer un coup dessus me dit Caro.
– Oui, bonne idée. Ils sont rendus où les autres ?
– Antoine est parti courir, Chloé est rendue au Comité des Fêtes et les parents sont aux ateliers.
– Roméo ?
– Déjà parti bosser ! »
Je prépare donc mon petit déjeuner et me met à table. Caro prend la shampouineuse dans le placard. Elle me demande de la rejoindre assez vite. Elle se penche devant moi pour prendre le flacon de produit et comme sa nuisette est courte et qu’elle est en string je vois ses fesses magnifiquement rebondie, son œillet qui passe de part et d’autres de la ficelle de son string, ses grandes lèvres bien serrées dans le tissu. Mon esprit s’éveille, et mon vagin aussi… Elle demande à ce que je la rejoigne assez vite. Elle monte au deuxième. Je finis mon petit-déj très vite, dépose moi aussi le bol dans l’évier et monte dans notre chambre. Caro a déjà défait le lit par terre. Elle a rangé l’édredon, et mit les draps à aérer sur le bord de la fenêtre. Elle a également défait le drap housse du matelas trempé et l’a mis en machine. Par contre le matelas, lui c’est une autre histoire. L’auréole est bien grande et une odeur légèrement ambrée s’en dégage. Caro, met alors la shampouineuse en route et commence à nettoyer le matelas afin d’en retirer les traces de nos ébats incestueux.
Etant donné que la shampouineuse est assez bruyante, nous n’avons pas entendu Antoine qui était revenu de son footing. Et je pense que la vue qu’il avait de sa position ne le laissait pas indifférent. Imaginez Caro légèrement penchée en train de shampouiner, et moi, sans culotte, en train de passer l’aspirateur. Deux raies qui s’offrent à lui. Si je n’avais pas les cheveux longs, il pourrait presque nous confondre. C’est quand je me retourne que je le vois. Très surprise, j’en coupe l’aspirateur. Caro se tourne vers moi et je lui fais un signe de tête dirigé vers la porte. Caro éteint la shampouineuse et se tourne aussi. La situation est ambigüe. Mon cœur s’emballe. Je vois le regard d’Antoine passé de l’une à l’autre. Mon regard se pose sur son caleçon de jogging. La bosse de son sexe commence à enfler à vue d’œil. Je ne sais pas vers qui se tournent ses pensées. Vers elle, vers moi, vers nous ou bien vers sa Chloé notre grande sœur. Je lâche le tuyau d’aspirateur. J’enlève ma nuisette la première pour montrer clairement mes intentions. Son sexe a manifestement fini de se raidir. Je garde ma nuisette dans la main gauche et la laisse tomber. Je regarde Caro et elle me dit :
– » A toi l’honneur ! »
Je m’approche d’Antoine pas à pas. A chaque battement de mon cœur. Il regarde Caro avec envie et bonheur comme si ce qui allait arriver était ce qu’il attendait. Me voici à sa hauteur, je m’agenouille. Son sexe toujours caché est à portée de ma bouche. Je le caresse par-dessus le tissu pendant quelques temps. Je finis par le baisser. Je découvre le très gros gland bien rouge d’Antoine. Je baisse son caleçon de jogging en entier afin qu’il s’en défasse complètement. Je passe sa bite sur ma joue, mes lèvres. J’hume son odeur, ma langue finit par sortir de ma bouche et je lèche son frein, le pourtour de son gland. Il regarde toujours Caro. Je le prends en bouche. Son gland est gros, il me remplit. Je le suce comme je peux. Caro arrive près de nous. Elle enlève le maillot d’Antoine. Il est nu. Il sent un peu la sueur mais c’est animal, c’est viril. Caro commence à lui caresser le torse, à lui faire des petits bisous un peu partout. Antoine prend la main de Caro, et me dit de retirer ma bouche. Il met son autre main sous mon menton afin de me demander de me lever, ce que je fais. Il se trouve entre nous deux et nous dirigeons sans un bruit dans la chambre où il dort avec Chloé. Il s’allonge. Caro vient pour se mettre en position au-dessus sa tête. Laissant ainsi son sexe pour moi. Caro et moi nous nous regardons ! Sans rien dire, nous prenons l’assaut de notre beau-frère en même temps. Elle, en proposant sa chatte à sa langue et moi en m’empalant sur son pieu. Il n’a pas pu gémir car le sexe de Caro était sur son visage. Je commence à coulisser le long de son sexe tout en donnant des coups de rein. Mon déhanché me fait du bien. Il y a longtemps que je n’avais pas savouré la chaleur d’un sexe en moi. Caro ferme les yeux et commence à gémir. Ses petits cris et soupirs m’envoûtent. Elle se mord les lèvres. Elle se relève un peu et je vois la langue d’Antoine remplie de mouille crémeuse et blanchâtre. Il adore ça le cochon.
– » Tu t’occuperas de moi ensuite ?
– Sans aucun problème, me dit-il.
– Non Antoine, c’est moi qui va lécher ma sœur »
Caro me dévore sexuellement du regard. D’une de ses mains, elle récupère sa cyprine épaisse sur sa chatte et en met dans sa bouche. Prenant appui sur les draps tout en restant collée à la bouche d’Antoine, elle se penche vers moi langue tendue afin d’appeler ma bouche. Je m’approche pour l’embrasser. Nos langues se mélangent. Je goûte à son sexe par sa bouche. Nos langues se nouent. Mon déhanchement s’accélère. J’arrête de l’embrasser, je me penche vers l’arrière et mes mains prennent appui de chaque côté. Ma chatte se liquéfie de l’intérieur, Caro me caresse mon clitoris qui ressort un peu d’entre mes lèvres :
– » Han han, c’est bon Antoine, ta bite est grosse, ta bite est chaude…
– Il va te le mettre dans le cul ensuite, n’est-ce pas, Tonio ?
– Mmmmhh oh purée j’aime ça dit il entre deux coups de langue ! « .
Mon mouvement de déhanchement arrière prend de la vitesse. Je sens mon orgasme monter, Antoine ne s’est pas soucié de ce qui se passait sur son sexe trop préoccupé à lécher ma sœur. Mon orgasme est violent. J’émets un cri rauque. Tout mon corps s’est contracté d’un coup, j’ai senti mes yeux partir en arrière, mes jambes ont disparu, mes bras ne me tiennent plus. Je me penche sur l’arrière en totalité libérant ainsi mon emprise sur le sexe d’Antoine. Caro alors penchée, en profite pour le prendre en bouche et le nettoyer de mes sécrétions vaginales. Elle le pompe divinement. Sa main et sa bouche le masturbe violemment. Je reprends mes esprits et me relève un peu.
– « Laisse-moi sa jute ! » Dis-je à Caro.
Son sexe commençait à émettre du liquide pré éjaculatoire, cette substance transparente épaisse au goût si finement salé. Caro jouait avec, que ce soit avec sa langue ou le bout du pouce. Rien que de caresser le méat avec le bout du doigt faisait couiner Antoine tant la sensation était divine. Je reviens m’empaler sur Antoine. Je me mets accroupie et commence à finir de le pomper de haut-en-bas en serrant mon vagin, en contractant mon périnée. Caro se désengage complètement et vient se mettre derrière moi comme si elle attendait quelque chose que je crois deviner. Antoine se redresse et regarde sa tige de défonce disparaître dans ma chair. Il finit par se lancer la tête en arrière sur le coussin en criant un » Oh putain ! » de libération. Sa semence est en train de se répondre en moi. Je m’appuie une dernière fois sur son sexe afin que son sperme visqueux pénètre bien la totalité de mon être pour pouvoir le donner en offrande ensuite à ma sœur qui attend déjà en se léchant les babines…
Je finis par me retirer en prenant soin de ne rien perdre. Je me mets sur le côté en me remettant à genou et je dis à Caro qu’elle peut prendre place sous ma chatte détrempée. Antoine n’en revient pas de ce qui se passe sous ses yeux. Caro vient donc sous moi et commence à me mettre la langue dans le puits et à y chercher toute trace de liquide quel qu’il soit. Elle bouge les jambes tout en gémissant, elle appelle de la chatte et du cul. Elle met ses doigts en moi afin de chercher le sperme d’Antoine. Je sens ses doigts qui raclent les parois de mon vagin. Je devine le sperme épais qui coule en en filet gélatineux. J’entends le bruit d’aspiration de la bouche de ma sœur. Je suis aux anges. Sa langue me fait jouir. Un de ses doigts prend possession de mon anus sans prévenir. Ça me brûle un peu mais l’environnement étant très humide, tout l’ensemble finit par se lubrifier.
Antoine, qui n’en perd pas une miette du regard finit par retrouver de la vigueur très vite. Il vient se mettre derrière moi, m’appuie sur le cou afin que je me penche. Caro continue de m’aspirer l’intérieur, mon cul est prêt, il est ouvert, il n’attend que ça :
– » Encule-moi Antoine chéri ! Je t’en prie ! Encule- moi ! »
Il ne se fait pas prier, son pied de biche rentre en moi violemment et va jusqu’à la garde en un seul coup de rein, il appuie sans doute sur ma vessie qui est pleine depuis ce matin. J’entends Caro qui marmonne en dessous :
– » Mmmmmh de la pisse…Oui vas-y- pisse moi dessus ! »
Je demande alors d’Antoine d’arrêter ses coups de rein pour faire plaisir à ma sœur. Ma vessie est pleine, je me libère donc sans retenue. Inondant sa bouche, sa tête ses cheveux, le coussin. Antoine reprend ses assauts anaux et me foudroie le fion. Il dit que je suis une chienne, une putain de grosse chienne, une vraie salope, une machine à foutre, à émission de sperme, mon trou du cul me brûle, j’ai mal mais j’aime ça ! Il me dit que je suis la plus grosse chienne de putain de salope qu’il ait baisée. Il m’atomise le rectum, je ne sais plus ce qui ce passe, l’odeur change doucement. Elle devient plus prononcée, je me dis alors que je ne suis pas sûre de l’état de mon côlon, mais sur le coup je m’en fous au plus haut point. La contraction est violente, mon corps n’est plus, mon cri traverse les murs, je sens sa bite au fond de moi, je me vide devant et certainement derrière, à sentir l’odeur dans la chambre. Je m’effondre sur le lit, mon cerveau a fait ‘reset’, la violence de l’orgasme a fait bugger ma raison. Mon vagin n’est plus, mon cul est un néant. J’ai pris le pied le plus puissant de ma vie sexuelle. Je me recroqueville sur moi comme un fœtus. Je sens l’air frais qui rentre dans mon cul encore mi-ouvert. Je devine qu’il a dû se lubrifier de lui-même avec ce qu’il contenait.
Caro se remet à genoux et vient nettoyer la queue d’Antoine légèrement maculée de mes selles. Ma sœur est encore plus salope que moi. Elle avale sa queue jusqu’au bout et elle en ressort propre comme un sou neuf. Je me recroqueville au maximum de mes possibilités, je suis épuisée, terrassée, désorientée mais tellement apaisée. Antoine se remet à nouveau sur le dos, bite bien droite et infatigable. Caro chaude comme jamais, la plus excitée de nous trois commence à uriner sur le torse d’Antoine, je regarde cela de côté avec envie et admiration, nous sommes tous dans le même délire, impensable. Son dard toujours au garde à vous vient de disparaître dans le cul de Caro sans forcer. Celle-ci commence à tourner des reins pour bien le sentir elle. Son téléphone sonne dans la salle de bain et il indique que c’est un message de Sarah, le téléphone le lit vocalement tout seul :
» Salut Caro, salut Antoine, je pense à vous très fort et j’en ai la chatte en feu. Pour toi ma petite Caro, je suis en train de faire dans ma culotte et je pense encore plus à toi en poussant ! Je viens chez vous dès vendredi après-midi pour le carnaval de nuit de samedi. J’espère faire la connaissance plus poussée de Claire. Bisous pissoux ! »
Caro est aux anges, elle se laisse aller à ses envies et je vois le sexe d’Antoine qui rentre et qui sort, se colorer d’une pâte marron, visqueuse et très odorante. Antoine n’en peut plus, Caro non plus, elle se retire laissant le sexe d’Antoine éjaculer ce qu’il peut en petite fontaine indécise, car il doit être bien vide le pauvre.
Caro s’affale à son tour sur le matelas…Nos respirations se calment. Elle est la première à se relever avec le bord des fesses très sales. Elle se dirige vers la douche. Elle lance du papier toilette à Antoine afin qu’il se nettoie. Je me lève à mon tour pour suivre Caroline sous la douche. Je me mets face à elle. J’ose mettre mes mains sur ses fesses sales et je les caresse avec plaisir découvrant le toucher subtil de la matière. Caro ouvre la douche afin de nous laver. Nos lèvres se rencontrent pour un baiser. Je lui demande si elle m’aidera à faire plus ample connaissance de Sarah. Elle me répond :
– » Oui, sans aucun problème.
– Et tu comptes t’y prendre comment ?
– Je ne sais pas, on profitera de l’instant présent.
– Oui l’instant, juste l’instant ! C’est la semaine du carnaval « .
Et nos langues se lient…
FIN
Très belle histoire avec un final en apothéose !
Quelle bonne cochonne, c’est très festif, c’est décontracté. ♥♥
Superbe récit, mais je reste sur ma faim. Que s’est -il passé de croustillant le samedi suivant avec le retour de Sarah ? Dommage de pouvoir que ce l’imaginer ?
Bravo Caroline, vous m’avez follement excité !
Toute une ambiance, décontractée et sans tabou, j’adore !
Elle est déchainée, la Caroline. Beaucoup de potentiel, un certain style, disons que c’est perfectible, mais au niveau excitation ça fonctionne très bien
C’est un récit trés excitant ! Merci pour cette saga superbe.