Le Trou de la Serrure par Verdon
Pour suivre mes études je loge chez une Dame,
Une belle quinqua dont le cul fait des flammes
Bâtie tout comme il faut pour être bonne amante
D’autant que son mari dont elle est fort contente,
N’ayant, vu son grand âge, plus rien à lui offrir,
S’accorde à faire venir dans le lit conjugal
De vigoureux amants, afin qu’il se régale
À la voir jouir dans les bras de beaux mâles.
Il va s’en dire, bien sûr, qu’étant à mes études
Je ne suis point mêlé à ces vicissitudes.
Un soir, seul dans mon lit, à me branler la bite,
Dans la chambre à côté j’entends que l’on s’agite.
Ayant l’esprit curieux, plutôt que demander,
Par le trou de serrure je préfère regarder
Ce que font ces braves gens qui jouent, à mon avis
A papa et maman plus un petit ami.
Ce que je vois, putain ! M’épate tellement
Que finie la branlette et adieu vêtements,
Découvrant par le trou, une vue captivante
Je bande en regardant les couilles rutilantes
D’un cul apparemment qui bourre un autre cul
Qui d’après sa rondeur doit être le charnu
De Lulu ma logeuse en travers de son lit,
Qui dessous ces assauts, gesticule et gémit.
Mais par si petit trou le spectacle est restreint
Et décidé à voir un peu mieux leur ouvrage
Tout contre la serrure, je m’appuie davantage
Sans même prendre garde où je pose la main
Car poussant la poignée j’ouvre tout grand la porte
Et me trouve soudain propulsé de telle sorte
Que ma tête s’encastre sous le cul inconnu
Et les cuisses trempées de ma chère Lulu !
Lorsque je me redresse et qu’ils en font de même
J’ai plutôt l’air couillon et le visage blême ;
Le fouteur débande et j’en fais tout autant
Lulu la chatte ouverte, déballe ses humeurs,
Son mec entre ses cuisses a la bite qui pend ;
Et chacun me regarde comme un vilain farceur.
Mais Lulu n’est pas con, qui réagit fort bien
En disant qu’à mon âge, je fais un beau coquin !
Car c’est vrai qu’il y a tout juste une semaine
Nous avions en famille fêté mes 18 ans
Et que finalement il serait enfin temps
Que je fasse avec eux d’agréables fredaines
Car tous trois, bien sûr, ils ne seraient de trop
Pour m’affranchir des lois qu’on enseigne aux minots
Et me faire découvrir celles du vrai bonheur,
Qui moins contractuelles ont bien plus de saveur.
Ce disant elle console, d’une main chatoyante
Ma robuste éminence qui redevient bandante
Illuminant ses yeux d’un air de convoitise,
Pendant que son mari, lui se gratte le cul
Tandis que l’autre mec, sodomite féru,
En voyant ma rondelle bave de gourmandise.
Je comprends tout de suite qu’à chacun, ma jeunesse
Leur suggère illico de fort belles promesses.
Du coup les trois coquins m’allongent sur le lit
Et chacun me tripote le morceau qu’il choisit.
Bien qu’un p’tit peu gêné, la chose est délicieuse
Heureux je m’abandonne à leurs manières vicieuses.
Je passe entre leurs mains, un moment de bonheur.
Ils me massent, me caressent et à califourchon
Se disputent mes couilles et branlent ma vigueur,
Et me tâtant le cul, me traitent de cochon.
La chatte, de Lulu s’évase sur mon nez
Son homme suce ma pine tout comme un nouveau-né,
Ses doigts dans mon anus l’invité m’élargit
Me faisant tant de bien que bientôt je joui
Et je crache aux gourmands ma liqueur de jeunesse
Qu’ils gobent avec bonheur comme du p’tit lait d’ânesse
Je suis aux petits soins de leurs bouches goûteuses
Qui lapent comme des chats mes sécrétions baveuses.
Bonne organisatrice et surtout spécialiste
De grosses cochonneries entre non-conformistes
Madame à nos ébats prépare les positions
Pour offrir à chacun joyeuses pénétrations
Par l’échange entre nous de nos trous et nos pines
Comme cela se fait, nous assure la coquine
Entre gens bien élevés qui flattent ainsi leur cul
Afin qu’à tout jamais ils n’aient l’esprit obtus.
Aussi je vais, je viens, de l’un à l’autre je saute
La chagatte de Madame, le croupion de mon hôte,
J’ai dans le moutardier le pilon du Monsieur,
Putain ce qu’il est gros, il a omis le beurre !
Je suce, je lèche, je bois car la Belle est pisseuse
Et entre mes deux fesses elle croque ma muqueuse.
Elle gobe bien entendu mon boute-joie tout neuf
Et l’on s’avale ensemble dans un beau 69.
Puis couchée sous son homme qui lui bouffe la moule
Elle lui suce la queue dessous trois paires de boules
Par ce qu’avec plaisir pour venger ma rondelle
J’encule l’enculeur, à grands coups de chandelle
Et le jus qui déborde de leurs culs qui se pâment,
Dégringole en cascade sur le nez de la Dame
Dont la langue gourmande batifole et ramasse
La liqueur argentée sous leurs deux calebasses.
Son homme n’est pas de reste, qui une fois ramoné
Se retourne vers moi pour me sucer la pine
Livrant à son épouse sa luisante rustine
Encore toute ébahie d’être enfin dédouanée ;
Tandis que fanfaron, l’apôtre de l’anus
Me fourre dans le gosier afin que je le suce
Un gland volumineux qui vient de s’échapper
Du p’tit trou parental qui l’avait kidnappé.
Je découvre avec eux l’euphorie sensuelle.
Rien à voir en effet avec ces Demoiselles
Qui certes ont la beauté mais le cul trop rebelle
Et sont sentimentales plus que vraiment charnelles.
Avec elles c’est le cœur, la chose est bien normale.
L’Amour pour mes lascars, est lui plutôt banal
Il leur faut profiter du fait qu’ils sont matures
Des plaisirs que leur offre leur généreuse nature.
J’ai plaisir à baiser avec des gens plus vieux :
Les chattes bien rodées, les bites élimées
Les culs très culottés, ayant tellement aimé,
Leur permettent maintenant ces bons gestes vicieux
Qu’adorent des moins jeunes, affamés de débauche
Ils n’ont plus la hantise de se retrouver moches
Car ils ont bien compris qu’ils ont entre les cuisses
Des outils merveilleux faits pour qu’ils en jouissent.
J’adore de Lulu, son joli trou du cul.
Il est rond, étoilé et finement ouvré
Par tant de bonnes pines qui l’ont souvent foutu
En lui laissant ce goût sauvage et bien poivrée
Qui vous pique la langue quand vous y farfouillez
Et ce petit parfum qu’on ne peut oublier
Mélange capiteux de mâles sécrétions
Au fumet délicat de perles de miction.
Avec ce fameux cul j’ai de bons souvenirs
Il fut pendant longtemps cet anal refuge
Quand Lulu accordait à ma bite transfuge
Ces joies que d’autres femmes refusaient de m’offrir.
A 90 berges elle en voulait encore
Car elle voulait mourir une queue dans le corps
Alors je lui ai dit : » mais qu’à cela ne tienne
Si cent ne te suffisent, il y a encore la mienne « .
28/12/2014
de la bonne gauloiserie parfaitement maîtrisée