Quelques coups de pistons ! par Luc2

Quelques coups de pistons !
par Luc2


RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

La voiture. C’est pratique, mais elle coûte chère en entretien. Entre les assurances, le carburant, les contrôles techniques et autre pièces d’usures, cela commence à faire une petite somme d’argent à débourser chaque année. Alors du coup, quand on peut en faire un peu par soi-même, autant en profiter.

Je suis propriétaire d’une voiture de marque allemande, moyen modèle et j’ai décidé de faire une partie de mon entretien tout seul. Dans les grosses concessions automobiles, le fait de serrer la main au chef d’atelier nous coûte déjà 80 euros sur la facture.

Dans cette histoire, je voulais faire la vidange de ma voiture et j’ai demandé de l’aide à un très bon ami, qui a la chance d’avoir une fosse dans son garage. Il est propriétaire d’une maison assez cossue sur les bords de la Maine à Angers. Mon ami est très bricoleur et a fait énormément de travaux dans sa maison. Il avait creusé sa cave dans son garage et du coup il en avait profité pour faire une trappe permettant le cas échéant de faire les vidanges de ses deux voitures.

Mon ami est en couple, pas marié mais en couple depuis dix ans et père de famille depuis peu. Sa compagne, je la connaissais avant lui, puisque nous étions à la fac ensemble et nous avons fait pas mal de bringues avec le même cercle d’amis. Karine, de son prénom, est une superbe brunette avec tout ce qu’il faut là où il faut et de jolies formes généreuses qui à l’époque ne me laissait pas indifférent. Nous étions attirés l’un vers l’autre sans vraiment avoir osé passer à l’acte. Nous avons dû nous tripoter un peu lors de soirées en boîte mais notre amitié respective faisait barrière à des actes plus charnels. Nous étions dans la même cité universitaire et je me rappelle avoir passé quelques nuits avec elle dans son lit, plutôt à ronfler et cuver qu’à faire des cochonneries.

Le sort nous a joué un drôle de tour. Après notre deuxième année de fac, elle est partie sur Rennes suivre son cursus universitaire alors que moi je suis resté sur Angers. Pendant notre troisième année de fac, nous continuions à converser par mail ou téléphone puis la distance entre nous deux s’est agrandie peu à peu pour finalement se perdre de vue.

Mon ami, lui, je le connais depuis, oh, au moins ça. On jouait au basket ensemble sur le terrain du quartier à notre adolescence. On a fait les quatre cent coups ensemble, du lourd et du moins lourd. Et le sort, puisque j’en parlais avant a voulu qu’il aille faire ses études à Rennes et qu’il y rencontre Karine. Donc le jour où il me la présenta, cela devait faire quatre ans que je ne l’avais pas vue. Elle avait 26 ans et moi 27. La vie a fait son œuvre et ils sont revenus s’installer sur les bords de Maine.

Ce samedi matin, mon ami était parti pour la journée exceptionnellement en rendez-vous professionnel. Il avait prévenu Karine que je devais passer dans la matinée afin de faire la vidange de mon véhicule. Et en effet vers dix heures du matin, j’arrive chez eux. Je toque à la porte et c’est Karine qui m’ouvre, en peignoir, les yeux mi ouverts avec sa petite fille de cinq mois dans les bras :

– « Bonjour Karine.
– Hello, tu m’excuseras, je ne suis pas présentable, je suis levée depuis peu et je viens de donner le biberon à Fanny. Tiens prends les clés du garage, je te laisse sortir ma voiture si tu veux avoir accès à la trappe de vidange.
– Merci beaucoup en tout cas.
– Non c’est normal. Tu veux que je prépare un café ou quelque chose ?
– Je veux bien un chocolat chaud ou un capuccino si tu as ?
– Oui je vais te préparer cela. Tu en as pour combien de temps ?
– Trois bon quart d’heure, car j’ai tous mes filtres à changer.
– Je vais avoir le temps de donner le bain à la petite alors. A tout à l’heure.
– Ça marche ! »

Je prends donc les clés de sa voiture et me dirige vers le garage. Il est grand, très grand. Quatre-vingts dix mètres carrés. Une maison dans la maison. Mon ami est tellement bricoleur qu’il lui faut de la place. Il a un établi très bien agencé avec toute une gamme d’outils professionnels. En même temps, quand on est commercial d’une marque d’outillage pro, on ne va pas acheter du discount dans la braderie du coin. Alors on pourrait penser que 90 mètres carrés de garage, c’est pratique pour y mettre du bazar. Et bien non. Tout est rangé. La garage est carrelé, isolé et bien éclairé. Les vélos sur le support au mur, les chaises d’appoints sur un autre, la remorque dans un coin, des WC dans un autre, l’escalier, en colimaçon, qui descend à la cave dans un autre coin.

L’avantage du grand garage, c’est qu’on peut aussi y recevoir. Nous y avons fait pas mal d’anniversaires surprises ou des réveillons de nouvel an. Cela évite d’avoir à trop salir la maison et puis c’est beaucoup plus facile de passer un coup de jet d’eau et de raclette sur le carrelage du garage que sur le parquet du salon. Je sors donc la voiture de Karine du garage et j’enlève la grande trappe métallique découvrant ainsi la cave située en dessous. Je rentre ma voiture. Je prépare les outils nécessaires et descend à la cave afin d’avoir accès au ventre de mon véhicule. Je monte sur un marchepied, et commence à déboulonner le cache moteur. Je le dépose et me voici face au bouchon de vidange. Il est un peu récalcitrant mais fini par se laisser dévisser. L’huile commence à couler dans la bassine placée juste en dessous. Ayant un peu d’huile sur les mains, je remonte à la surface pour mes les laver. Ensuite j’ouvre le capot moteur et me penche sur le changement des filtres à air et à huile. Celui à gasoil, je ne m’en occupe pas j’ai trop peur de faire des conneries et de mal le purger. Une fois les filtres changés, je redescends dans la cave. Je remets un joint sur le bouchon et referme le carter à huile.

– « Alors c’est grave docteur ?
– Oh mais votre voiture est loin d’être prête ma petite dame. Vous avez-vous vu ?
– Quoi donc ?
– Et bien si je bidouille ce truc zygomaté, vous devriez avoir une meilleure accélération. Mais ça risque de vous coûter un bras.
– -Ton cappuccino est servi imbécile ».

Je m’avance alors un peu et je vois Karine, toujours en peignoir au-dessus de moi. Elle s’accroupit devant moi, qui suis sur le marchepied. J’ai la tête en dessous la voiture et face à moi je ne vois que ses genoux.

– « Je t’ai préparé ton cappuccino et quelques douceurs.
– Ah oui du genre de celles que tu me donnais en fac. Des gâteaux au poivre ou des cakes à l’huile de foie de morue.
– Eh ! Tu le cherchais bien aussi.
– Qu’as-tu fait de ta petite ?
– Elle dort. Après son bain elle s’est vite endormie.
– Et quelle genre de douceurs m’offres tu réellement ?
– Un peu de ce genre-là ! »

Et elle ouvre les jambes.

Je reste surpris. Je ne m’attendais pas à cela. Je connaissais ces talents de cuisinières mais de femme ouverte ? Je contemple son sexe. Rasé. Ses deux grandes lèvres sont bien bombées et déjà ouvertes. Je distingue son clitoris qui est sorti de son capuchon. Je devine que son intimité est propre et fraîchement lavée. Je sens un parfum d’hygiène intime bien soignée.

– « Je suis surprise ! Tu ne dis rien.
– Je ne m’y attendais pas.
– Ca ne te rappelle rien ?
– Je t’ai déjà vue nue mais pas comme ça, pas…autant ».

Elle se penche un peu plus et je vois sa tête. Elle me sourit. « Ca va refroidir.

– Pardon ?
– Ton cappuccino, il va refroidir ».

Je descends de mon marche pied, et remonte de la cave. Sur l’établi, je devine un plateau et une tasse fumante avec certainement mon cappuccino dedans. Karine est devant moi, debout dans son peignoir manifestement très cour. Il est juste fermé par une petite boucle autour de la taille et son décolleté est assez ouvert pour voir la naissance de son 95C qui se tient à merveille malgré la récente grossesse. Elle se dirige vers l’établi. Je la suis. Elle prend une autre tasse, que je n’avais pas vue, dans une main et me tend la mienne. Je ne peux décrocher mon regard de sa poitrine que je vois bouger par la respiration. L’atmosphère est étrange. Je bois mon cappuccino sans rien dire, juste en la regardant. Je repense aux fois où elle je l’ai déshabillée et couchée dans son lit car elle était trop imbibée d’alcool après les soirées étudiantes. Jamais je n’ai osé profiter de la situation. Oh ça oui, je me suis masturbé maintes et maintes et fois en pensant à elle. Je me souviens d’éjaculation puissante sur des photos d’elle mais jamais je n’ai abusé d’elle. Je me souviens vaguement d’une relation sexuelle qu’elle a eue avec un type chopé en boîte. Elle se faisait prendre en levrette dans sa chambre de cité U et moi-même un peu éméché j’étais rentré dans sa chambre, par chance déverrouillée, et elle me demandait que je la regarde jouir. Cela avait surtout fait débander son partenaire du moment. Ah vrai dire je le comprends.

– « Ah quoi tu penses ? me demande-t-elle.
– Je ne pense pas, je me souviens.
– De quoi ?
– De nous, de tout. De tout ce qu’on a fait ensemble de notre bêtise étudiante, de notre inconscience, de notre folie collective.
– Et tu as des remords aujourd’hui à 37 ans ?
– Non. Aucun. Des regrets oui mais pas de remords.
– Quels genres de regrets ?
– Celui auquel je pense en ce moment. Mais ma petite voix me dit que ce n’est pas raisonnable de vouloir essayer de le faire.
– J’ai un regret moi aussi ».

Elle prend le bout de sa ceinture et commence à tirer dessus afin de défaire la boucle.

– Je regrette de n’avoir jamais essayé pour savoir.
– Savoir quoi ?
– La même chose que toi »

Mon cœur a triplé le rythme de ses battements. J’ai du mal à avaler ma salive. Je me dis que si je fais ce à quoi je pense, je trahis mon ami mais en même temps j’ai tellement envie d’elle.

– « Sans sentiment, que du sexe. Je veux savoir ! »

Et elle finit de défaire la boucle ouvrant ainsi son peignoir. Je ne peux plus me retenir. Je lâche ma tasse de cappuccino qui se brise en tombant par terre. Je me dirige alors vers elle. Je la prends par les épaules, la force à se retourner. Je lui appuie sur la tête pour la forcer à se pencher.

– Doucement mon coco, prends ton temps ! Tu ne veux pas profiter de mon corps et de ses formes ?

Je lâche mon étreinte. Elle se retourne face à moi. De sa main droite elle prend son sein droit et porte son téton à sa bouche et commence à le mordiller. Mon érection naissante prend de la vigueur très rapidement. Karine fait un petit saut pour s’asseoir sur l’établi. Elle se pousse vers le fond du plan de travail de l’établi et pose ses jambes de part et d’autre en l’ouvrant le plus possible. De sa main gauche, elle tient toujours une tasse au contenu mystérieux. Elle amène la tasse vers sa poitrine et commence à en verser le contenu sur son torse. C’est un liquide qui sent bon, qui est épais et incolore. C’est de l’huile d’amande douce. De sa main droite elle commence à se masser les seins.

– « Je viens de me laver, il faut bien que je m’hydrate un peu la peau ».

La tasse est presque vide. Elle la pose à côté d’elle. Elle se masse les seins frénétiquement, le ventre, le corps l’intérieur des cuisses. Je défais ma ceinture, et baisse mon pantalon. Ma queue montre le bout de son gland qui sort de mon caleçon. Tout en se massant le corps, elle prend de ses pieds agiles ma queue toute gonflée et endolorie. Elle met un peu d’huile d’amande sur ses pieds afin de faciliter sa masturbation pédestre. La sensation de ses orteils sur mes pieds est une nouvelle expérience. Je vois qu’elle commence à se caresser le clitoris. Ses petits gémissements me font de l’effet. Je tends une main vers son sein gauche et lui pince le téton. Elle pousse un cri mélangé de douleur et de plaisir. Je lui serre un peu plus et le tourne entre mon pouce et mon index. Elle se mord les lèvres. Ses pieds me branlent. Je lui pince maintenant les deux seins et elle, elle a déjà deux doigts dans son sexe. Ses pieds habiles maintiennent la pression sur ma tige. La voir aussi sensuelle, dans ses formes et huileuse, me font monter le jus au bout du gland. Je sens ma première contraction périnéale annonçant l’éjaculation. Et un premier de jet de semence épais sort de mon gland violacé. Puis un deuxième, un troisième et un quatrième. Tout ce sperme finit sur les orteils de son pied droit.

– « Oh non ! Pas déjà. Je mets cette précocité sur le compte de ton excitation. Tu aimes me voir me toucher ? Combien de fois as-tu pensé à moi en te touchent sous la douche, ou dans ton lit. Tu as aimé me voir quand je me faisais prendre en levrette il y a quinze ans. Je te voulais tellement en moi. Je te veux en moi, aujourd’hui, fais-moi du bien, dis-moi des choses, domine moi ! »

Et là, avec toute sa souplesse, elle amène son pied droit à sa bouche et se lèche les orteils. Ses orteils gluants de mon sperme blanc. Je la vois passer sa langue dessus et récupérer la moindre petite goutte afin de tout prendre en bouche et d’avaler. Elle s’allonge sur l’établi et tourne la tête vers moi

– « Approche que je te prenne en bouche »

Je dirige donc ma queue devenue mi- molle près de sa bouche. Elle me prend en bouche et commence à me sucer avec beaucoup de vigueur sans s’aider de ses mains. Avec les miennes, je lui malaxe la poitrine tout en douceur et je lui pince les seins. Je dirige mes doigts vers son sexe huileux afin de la doigter. Je sens sa main lubrifiée qui me caresse les testicules avec douceur. Je sens son majeur glissé sur mon périnée et se diriger vers mon anus.

« Qu’est-ce que tu fais ? »
– Si tu veux mon cul, tu me donnes le tien »

Et n’ayant pas eu le temps de rétorquer quoi que ce soit, je sentais sa première phalange entrer en moi. Quelle sensation étrange. Je ne me soucie pas, mais alors pas du tout de mon hygiène à ce moment précis. Ses petits mouvements de va et vient très légers me font du bien. Les petites pressions qu’elle exerce avec le bout du doigt me font rebander très rapidement. Je sens que ma queue envahit sa bouche. Je devine sa langue qui tourne autour. Elle se dégage de ma queue qui a retrouvé de la vigueur.

– « Tu aimes ? Oui tu aimes, tu ne dis rien ! »

Et elle me reprend en bouche. De mon côté, je fais rouler son clitoris entre mes doigts de la façon la plus délicate qui soit. Je commence à me déhancher afin de l’aider dans son va et vient buccal. Elle me lâche la bite avec un bruit de ventouse et un « Ahhhhh !!!!! » très puissant. Elle se remet dans sa position du début, adossée au mur, les jambes écartées. Ni une ni deux je penche la tête afin de lui fourrer la langue au plus fond de son con. J’aspire son jus. Ma langue va dans tous les sens et tous les coins possibles. « Mouiiii c’est bon » Je lève le regard et voit un ustensile à portée de main qui m’aiderait bien. Je tends le bras afin de prendre un gros tournevis avec un gros manche au bout rond légèrement fuselé. Je le mets dans la tasse qui contenait l’huile. Je le fais rouler sur son corps afin de l’enduire d’huile. Une fois la chose faite, je présente le bout rond à l’entrée de sa rondelle rose et fraîche. Je force le passage délicatement afin d’ouvrir cette rose. Je sens que c’est récalcitrant. Je force à nouveau et là le passage magique se détend pour s’ouvrir face au tournevis. Le bout bleu et jaune entre alors dans ses fesses pour disparaître. Le « Oh putaiinnnn ! » qui jaillit de sa bouche me donne alors de l’entrain. Tout en lui faisant le plus attentionné des cunnilingus possible, je joue avec mon tournevis dans son cul. Je le retire par moment en douceur. J’adore voir son petit trou se fermer avec cette petite contraction. J’adore le voir s’ouvrir quand elle pousse, quand elle rappelle cet objet, quand son cul si accueillant demande « reviens en moi ». Ma langue sur sa rondelle lui fait sortir des petits cris très agréable à mon oreille. Je joue de mon tournevis pendant cinq minutes. Une fois son anus bien préparé, je me redresse. Je présente ma queue à l’entrée et pousse d’un coup sec afin de la remplir d’un coup. Je soulève alors ses jambes et le deuxième coup de rein que je lui donne la fait jouir violemment. Elle en pleure.

– « Oh putain de bordel de merde, c’est bon ! C’est bon ! Vas-y démonte moi. Fais-moi jouir du cul »

Je me retire. Je demande à ce qu’elle descende. Elle me tourne le dos. Elle se penche et pose alors ses mains sur l’étau. Ses jambes sont serrées. Je suis à la bonne hauteur. Mon gland force le passage de son cul. Ses jambes serrées me compriment beaucoup plus la queue. J’intensifie mes mouvements. Mes cuisses claquent sur ses fesses.

– « Oh j’aime que tu m’encules ! Ramone moi, pilonne moi, défonce moi petit fiotte »

Je la prends alors par les cheveux. Je lui tire si fort par l’arrière qu’elle en crie de douleur. Je me retire de son cul. Je vois que mon sexe a légèrement changé de couleur. Son anus n’est pas si propre que ça.

– « Tu aimes mon cul même sale ? »

J’enfourne à nouveau mon engin dans son anus qui commence à ne plus guère montrer de résistance. Je me dis intérieurement que c’est une chienne, qu’elle veut du cul, de la baise, du cul et de la baise. Une femelle en chaleur, une nympho. Je suis en sueur, je donne toute mon énergie afin de lui donner ce qu’elle attend de moi

– « T’en veux plus ?, me demande t’elle ».

Je sens une matière glisser autour de mon chibre tendu dans son cul, je regarde son fessier. Je vois alors une matière brunâtre sortir autour de ma queue. Je ne suis pas dégoutté. Au contraire, je la martèle encore plus. Elle finit par jouir violemment en poussant des feulements assez rauques. Je m’affaisse sur son dos, ma queue toujours en elle, souillée, polluée, salie mais pas vidée. Je me retire de son anus béant aux pourtours remplis d’excrément.

– « Mets ta queue entre mes jambes »

J’obéis sans discuter. Je me masturbe un peu entre ses cuisses. Je sens alors un filet chaud couler sur ma queue. Elle est en train de me laver avec son urine. Je reste médusé par les actes de cette folle de Karine. Son pipi créé un ruisseau qui coule sur le carrelage du garage pour finir dans la cave par la trappe.

« Mmmmhhh j’adore quand c’est chaud et que mes pieds sont sur du froid »

Elle se tourne alors vers moi, s’agenouille me prend la queue en bouche et recommence à me pomper comme jamais je ne me suis fait sucer. A savoir avec un doigt dans le cul. Je finis par éjaculer en grosse quantité à cause de son massage de prostate. La bouche pleine, elle me regarde, ouvre la bouche afin de montrer ma purée qui remplit sa bouche. Et elle avale.

– «Dé-li-cieux »

Elle se redresse, prend son peignoir et me dis

– « As-tu aimé la façon dont je t’ai vidangé ?
– Oui beaucoup et j’ai adoré la tienne.
– Tu prendras rendez-vous pour la prochaine ?
-Je n’y manquerais pas, avec grand plaisir.
– Tu nettoieras quand même, faut pas déconner…. »

Je me rhabille, remets de l’huile dans mon moteur, ferme le capot, nettoie les traces de nos ébats. Je sors la voiture, remets celle de Karine à sa place. Je vais la voir pour lui dire que j’ai fini et que j’en m’en vais. J’ai droit seulement à un « Ok salut ». J’avais un regret, et aujourd’hui je ne sais toujours pas si c’est devenu un remord….

Luc.

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6 réponses à Quelques coups de pistons ! par Luc2

  1. Orsini dit :

    Fabuleux récit où semble se mêler réalité et fantasme et où l’évolution des rapports entre les deux protagonistes vers des choses extrêmes se fait avec un naturel saisissant.

  2. Chastaing dit :

    Quel joli texte, l final extrême est formidablement bien amené de façon naturelle et sans surenchère. Du grand art ♥

  3. Jeanne dit :

    Un fort belle façon de décrire des choses très cochonnes. Je le relirais

  4. philip dit :

    De beaux ébats sans tabous, c’est très bien !

  5. Claire dit :

    Délicieusement dégueulasse

  6. Kiroukou dit :

    Ils s’étaient un peu amusés quand ils étaient plus jeunes, ils ont l’occasion de recommencer… et ils ne font pas dans la dentelle… Ça aurait pu donner n’importe quoi d’autant que les pratiques vont assez loin, si vous voyez ce que je veux dire, mais il faut bien reconnaitre que c’est plutôt agréable à lire sans être exceptionnel

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