Les aventures d’Andry 3 – Une journée mémorable par Andry

Les aventures d’Andry
3 – Une journée mémorable
par Andry

cet épisode est le 3ème volet des avenures d’Andry, (voir « une première fois » et une « deuxième fois »

Lorsque je me réveillais le lendemain matin, ma Maîtresse n’était plus à mes côtés. Sans doute s’était-elle levée sans bruit pour me laisser dormir et récupérer de mes fatigues du jour précédent. Il était déjà dix heures à ma montre et ma femme devait se tourmenter parce que je n’étais pas rentré.

En me levant je me rendis compte combien mon fessier était douloureux.
Il est vrai que ma Maîtresse n’y avait pas été de main morte, la série de coups de cravache après l’épisode des orties y était pour quelque chose.
Mais puisque j’avais pris mon plaisir, je n’étais certes pas trop à plaindre.

Je passais rapidement à la salle de bain pour ma toilette matinale et jetais un coup d’œil à mes fesses dans le miroir.
De belles zébrures traversaient mon postérieur.
Il ne fallait surtout pas que ma femme s’aperçoive de ça.

Un large sourire m’accueillit quand je rentrais dans la cuisine.

– As tu bien dormi mon Chéri ? Me demanda t elle, gentiment.
– Je me croyais au paradis, répondis je
– Quel bonheur ! Me répondit elle en riant.

Elle était méconnaissable par rapport au jour précédent.
Très fraîche et superbement sexy, elle était très classe.
Une mini robe fuchsia enveloppait sa belle plastique
Et mettait sa poitrine mais aussi son beau petit cul en valeur.

Sa superbe coiffure noire geais tombant sur son dos était du plus bel effet.
Sa paire de chaussures dorées aux talons gigantesque lui galbait incroyablement bien ses longues jambes habillées de résilles noires.
La voir trotter était un ravissement, elle était tout simplement à croquer.

Je t’ais attendue pour le petit déjeuner, installe-toi, fit elle
La table était des plus accueillante.
Ça sentait bon le café frais, les croissants chauds et les petits pains au chocolat semblaient sortir du four.

Comme je peinais à m’asseoir, elle s’en rendit compte et me dit :
– Mon pauvre Chéri, j’ai dû y aller trop fort hier, te voir gigoter ainsi sous les orties m’a terriblement excitée et je n’ais put m’empêcher de te donner une série de coups de cravache en plus. C’était d’un délice ! C’était trop bon.

Nous bavardions durant notre repas et je comprenais combien on était fait l’un pour l’autre. Une complicité s’installait et me ravissait.

– Tu sais, Andry, si un jour tu veux t’installer ici, la porte t’es grande ouverte.
– J’en suis flatté, mais pour l’instant je suis marié et ma femme doit s’inquiéter.
– On inventera des jeux et on s’amusera comme des fous.

Elle était top craquante, jolie, sexy, adorable gentille, mais aussi parfois cruelle, mais ça aussi j’aimais.
Comment résister ?

– J’y réfléchirai fut ma réponse.
– En attendant que tu prennes une décision j’aimerais que tu viennes tous les samedi, je préparerai un petit scénario et on le jouera.
– Mais c’est toujours moi qui ai mal aux fesses, répondis je

Ce à quoi elle rétorqua :
– Et tu n’as pas eu bon sans doute ?
– Bien sûr que si, avouais je.
– Alors tu vois, conclut-elle, je le sens quand tu jouis sous la souffrance, et moi j’adore te voir ainsi. C’est par amour tu sais.

Au moment de partir elle me glissa une lettre dans les mains et me dit :
– Tiens c’est pour samedi prochain si tu oses encore revenir.
– Si j’ose encore revenir ? Repris je.
– Oui, il se pourrait qu’après l’avoir lue tu changes d’avis.

Intrigué je me préparais à partir quand elle me glissa à l’oreille.

– A samedi ! C’est un ordre. Et elle me fit un de ces sourires dont elle avait le secret.

Perplexe je la quittais et entama mon retour à la maison où une partie serrée d’explications m’attendait.
En rue je pris connaissance de la lettre

Andry

Quand tu reviendras il te faudra m’ m’obéir, m’adorer, me servir et devenir mon esclave. Voici quelques règles élémentaires qu’il te faudra absolument respecter si tu ne veux pas être sévèrement corrigé.
Tu sonneras à l’interphone et je veux t’entendre dire,
 » Maîtresse je viens me constituer esclave pour vous adorer, vous obéir, vous servir et vous ferez tout ce qui vous semblera bon pour moi  »
Mes dix commandements

1 – entrer sans frapper tu feras
2 – à poil tu te mettras
3 – ton collier d’esclave tu ceindras
4 – les bracelets aux poignets tu mettras
5 – à genoux, les mains au cou tu te positionneras
6 – en vouvoyant tu me parleras
7 – Maîtresse tu m’appelleras
8 – Sans mon autorisation tu ne banderas
9 – Vers le sol tu regarderas
10 – Sans autorisation tu ne parleras

Je veux que tu signes cette lettre en mentionnant,
 » C’est de plein gré que je viens me constituer esclave pour vous obéir, vous adorer, vous servir et j’accepte sans conditions d’être sévèrement puni pour tout manquement à mon engagement.  »
Signature

PS. Je veux aussi que tu choisisse et m’achète une nouvelle cravache très fine en cuir pour parfaire ton éducation.

Je commençais à avoir bien marre de toutes ces conditions, et puis, choisir moi même la cravache pour me corriger était vraiment la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Moi qui était cadre dans une société moderne je n’allais quand même pas me laisser dicter ma conduite par ce bout de femme. Tant pis, si jolie soit elle, je n’irai plus chez cette personne aux goûts étranges.Je fis une boulette de la lettre et la jetais dans la première poubelle rencontrée.

Les explications avec ma femme se passèrent plus facilement que je n’avais crains. J’expliquais que j’avais eut un malaise et avais passé une nuit en observation à la clinique.

– La prochaine fois que cela t’arrive encore, préviens-moi, comme ça je pourrais disposer de mon temps au lieu de t’attendre, donna-t-elle pour toute réponse.

J’avoue que c’est surprenant d’entendre ça mais comme je ne pensais pas m’en sortir aussi aisément je n’ajoutais rien.

Sauf la douleur pour m’asseoir, la semaine se passa bien et tout doucement j’allais vers le samedi suivant et me sentais de plus en plus malheureux de la décision que j’avais prise.

Le samedi suivant

Le samedi suivant, je sentais que ça me pinçait au cœur et j’avais tellement envie de la revoir que je craquais.
Je tergiversais un bon moment, mais l’idée de ne plus la revoir m’était insupportable et puis zut j’irai quand même. Je préfèrerais encore me soumettre que de ne plus la revoir. J’en étais complètement imprégné. Je l’avais dans la peau.
Mais je devais signer sa lettre et je ne l’avais plus. Que faire ?
Finalement je me dis que si je lui portais un beau bouquet de fleurs elle me le pardonnerait.

Il y avait aussi la cravache qu’elle m’avait demandé de choisir et de lui acheter.
Ça c’était beaucoup plus compliqué et je n’étais pas un habitué des sex-shop.
Je savais qu’il y en avait une sur mon chemin et j’entrerais pour voir.

Dans la sex-shop je ne vis rien qui ressemblait à une cravache, sauf quelques martinets, mais ce n’était pas ça qu’elle exigeait.
En rougissant je demandais s’ils ne vendaient pas d’articles de domination.

– Allez dans l’arrière boutique me dit une vendeuse blonde, ces articles sont tellement spécialisés que nous les vendons à part.

J’entrais dans l’arrière boutique où étaient exposés une multitude d’objet que toutes Maîtresses devaient posséder pour éduquer ceux qui en avaient besoin.
Des menottes, des chaînes, des pinces, des colliers, des laisses et toutes sortes de trucs dont j’ignorais l’existence étaient là rassemblés.

Je regardais les différentes cravaches quand une vendeuse toute en noir paru :

– Je peux vous aider ? Demanda-t-elle
Elle était habillée d’une combinaison pantalon noire brillante hypersexy qui mettait toutes ses formes en valeur. Je me sentais tout drôle en sa présence car cette vendeuse est sûrement une Maîtresse, me dis je.

– C’est pou … pour u… une cra… cravache finis je par dire en m’étranglant.
– Je suppose que c’est pour offrir à votre Maîtresse me répondit elle en souriant d’un air entendu.

Je devins rouge écarlate.

– En effet avouais je.
– Votre Maîtresse vous a t elle renseigné sur ce qu’il fallait offrir ?
-Une tr..très fine euh en cuir avait-elle dit, précisais je à toute vitesse, plus rouge que jamais.
– Ah ! Je vois, c’est pour une domination hard, je crois que j’ai ce qu’il vous faut et elle sorti un modèle d’un tiroir à proximité.
– Ceci est un nouveau modèle Japonais, très finement travaillée !

Et d’un geste souple elle me fit une démonstration, elle se mit à fouetter l’air et ça sifflait.
On voyait qu’elle savait s’y prendre, c’était une experte en la matière.
Puis elle s’éclipsa un instant et je l’entendis dire à quelqu’un :

– Viens un peu !
La jeune vendeuse blonde que j’avais vue entra.

– Je voudrais montrer à Monsieur ! fit la Maîtresse en tenant la cravache en main.

La jeune vendeuse se mit à genoux, releva sa petite jupe et lui présenta son postérieur.Visiblement elle ne portait rien en dessous.
Et la Maîtresse lui cingla un coup de cravache sans hésiter.
On entendit un ‘ ffsssit’ et puis ‘fletchsss ‘ quand la cravache s’abattit sur le fessier de la jeune personne. Elle lança un petit cri étouffé et instantanément une belle ligne rouge apparu sur ses fesses.

– Merci, Maîtresse fit elle !

Elle se releva et retourna dans le magasin.
J’étais outré devant la scène mais la Maîtresse voyant mon désarroi dit :

– Ne vous en faites pas ainsi, elle à l’habitude et puis elle aime ça.

N’empêche que moi, voir fouetter une femme me révoltait.
Puis me reparlant de la cravache elle continua,

– C’est un peu cher me dit elle encore, mais actuellement toutes les Maîtresses en raffolent, surtout si elles ont quelques difficultés avec leurs soumis. Vous verrez, vous apprécierez ! Ajouta t elle en me regardant droits dans les yeux.

Je ne savais où regarder ni plus où me mettre, mon sexe prenait des proportions énormes et je dû remettre de l’ordre la dedans en manipulant au travers mon pantalon. Elle le remarqua et me souri d’une façon narquoise.
Elle m’en dit le prix qui était exorbitant, mais pour ne pas traîner davantage je sortis ma carte de crédit et la paya. Elle mit l’objet dans une longue boîte rectangulaire et fit un emballage cadeau. Un papier rose avec le nom de la sex-shop dessus, exactement ce qu’il fallait pour ne pas passer inaperçu.

Pressé de sortir je m’entendis dire :

– Au revoir Maîtresse.
– Je vous souhaite bien du plaisir et surtout s’il y a la moindre chose, je suis là pour vous guider.

Intérieurement elle devait se dire, encore un qui rampe devant les femmes et elle devait bien se marrer.
Voilà que j’ai aussi une Maîtresse pour me guider ! Me dis je.

Il ne me restait plus qu’à acheter les fleurs maintenant. C’était plus facile.
Je marchais, mon cadeau à la main, je remarquais que des gens se retournaient à mon passage.
Chez la fleuriste il y avait du monde, on me toisait étrangement, les yeux tournés vers le colis, puis vers moi et je me mis à rougir de nouveau.
Je choisissais ce qu’il y avait de plus beau. La fleuriste aussi me dévisagea avec curiosité.

Je me retrouvais finalement devant l’immeuble de son appart et je sonnais.
La voix de ma Maîtresse se fit entendre et je dis :

– C’est moi, Andry, je viens pour t’obéir et te servir.

Je ne me souvenais plus exactement de ce qu’il fallait dire et craint qu’elle n’ouvre pas. Mais non la porte s’ouvrit et je montais.

Sa porte était entr’ouverte, j’entrais et remarquais un collier, deux bracelets et des pinces à seins disposés sur la commode de l’entrée.
J’y posais mes présents, pris le collier au cou, mis les bracelets aux poignets et me mis à genoux pour l’attendre.

Dix minutes plus tard environ, elle arriva dans une de ces tenues rouge qui flashe, je n’en dis pas plus pour l’instant.

– La lettre ! demanda t elle.
– Je … je l’ais jet… je l’ai perd… je l’ai égarée. Finis je par dire.
– Dehors à poil ! Hurla t elle en me montrant la porte.

Et comme elle regardait vers la porte elle s’aperçu des cadeaux déposés sur la commode.
Troublée, elle réfléchit un moment, puis :

– Voilà qui change tout, je vais te laisser une chance. Les mains dans le dos ! fit elle plus calmement et elle me les attacha.

Elle s’empara des pinces et me les mis aux tétons.
Et ne s’occupant plus de moi se mit à contempler les fleurs

– J’adore, dit elle, ça me touche vraiment.

Puis elle se mit à déballer le colis,

– Wouah ! fit elle en découvrant l’objet.

Elle le prit en main et se mit elle aussi à fouetter l’air avec dextérité.
On entendait les sifflements alternés fendre l’air.

– Mais c’est un vrai bijou ! S’exclama t elle, tu as du payer une fortune pour ça !

Je suis comblée, je te remercie du fond du cœur, je n’en ais jamais pu m ‘en offrir de pareille, tu en sera récompensé tu sais.

Là j’ai marqué des points me dis je.

Mais elle reprit vite ses esprits et :

– Dans la commode ! Tonna t elle en l’ouvrant.

Sur mes genoux je me dirigeais vers la commode, mais comme je n’allais pas assez vite sans doute, elle prit la cravache et :

-Allez plus vite, en me cingla d’un violent coup de cravache sur les fesses.

L’effet était strident et diffusait directement vers mon sexe qui redoublait de volume et c’est très rapidement que je m’encastrais dans la petite armoire en baissant ma tête.
Elle termina le travail en me poussant dedans de son pied et elle referma à clé.

Je l’entendis quitté l’entrée et refermer la porte derrière elle.
Coincé dans ma prison je voyais quelques fentes du meuble qui me laissais heureusement respirer.
Je me sentais bander comme pas possible. Comment expliquer ça ?
J’étais là à sa merci et j’y prenais plaisir.

Un bon quart d’heure plus tard environ je l’entendis revenir,

– Sors maintenant me dit elle, j’ai réfléchi et je vais rédiger une nouvelle lettre que tu me signeras.

Je m’extirpais du meuble tant bien que mal et la suivais à genoux vers la table de son salon. Elle avait disposé les fleurs dans un beau vase sur la table.
Visiblement ça lui avait fait grand plaisir.

Elle prit du papier et se mit à écrire.
J’étais à genoux derrière elle en train de l’observer.

Dieu qu’elle est belle dans son petit short rouge qui lui emballe si bien son petit cul, me dis je

Sa chevelure noire tombait jusqu’à la moitié de son top rouge.
Ses cuissardes rouges lui montaient presque au short, seul un peu de résille noire était visible dans l’entre deux.
Elle était bandante comme ce n’était pas possible, et bien entendu je bandais, alors que je ne le pouvais pas. Je serai sûrement puni et avec la nouvelle cravache en plus. J’aurais quand même pu faire plus attention à mon choix car celle ci est réellement redoutable, en sera t elle consciente ?

– Voilà j’ai terminé, signe ici en bas du texte !

Je ne pris pas le temps de lire et signais d’une traite.
Elle s’empara de la lettre et quitta la pièce.
C’est pour la mettre en sécurité me suis je dis.
Je me rendais compte que je ne savais pas ce que j’avais approuvé et me dis que tout compte fait c’était comme un chèque en blanc.
Peut être était ce la même que la première lettre mais peut être pas.

Quand elle réapparu elle m’ordonna :

– Au mur maintenant, près de l’anneau !

Je savais ce qui m’attendait.
Je me levais et me mis face au mur près de l’anneau.
Elle me détacha les mains pour mieux me les rattacher à une corde qu’elle fit ensuite passer au travers de l’anneau et tout tirant dessus,

– Sur la pointe des pied !

Comme elle n’était pas satisfaite elle pris la cravache et me cingla d’un petit coup

– Mieux que ça !

Je m’étirais au plus que je pouvais et elle tira un coup sec sur la corde, je me sentis complètement étiré sur la pointe des pieds livré à sa volonté et à ses fantaisies.

Elle fit cingler quelques fois la cravache dans l’air puis le premier coup fusa,

– Un, merci Maîtresse, m’empressais je de dire.

L’effet était très différent avec cette nouvelle cravache, ce n’était pas plus douloureux mais ça pinçait tout autrement et je sentais quelque chose qui fusait vers mon sexe qui ne demandait qu’à grandir orgueilleusement.
Un deuxième suivit :

– Deux, merci, Maîtresse.

Et puis un troisième,

-Trois, merci, Maîtresse.

Et ça continuait à pleuvoir ainsi de suite jusqu’à vingt cinq au moins et que mon sexe n’en pouvant plus se mit à gicler contre le mur.

– Merci infiniment Maîtresse, mille fois merci,

Dieu que c’était bon.
Elle me détacha et m’enleva les pinces.

-Tu sais ce qu’il te reste à faire maintenant !

Et comme à chaque fois je me mis à lécher mon foutre et à l’avaler. C’était ce que j’aimais le moins de faire, je préférais la cravache ou les pinces.
Puis je commençais à m’occuper d’elle.
Je me remis à genoux devant et m’occupais à lui ôter son mini short que je fis glisser le long de ses superbes jambes.
Un micro string fit son apparition et je me mis à l’embrasser partout tout autour de son beau petit cul, me déplaçant sur les genoux tout autour d’elle.

Je fit également glisser le bout de tissu et ses bas et me retrouvais devant l’objet de mon désir. Une douce foufoune attendais mes baisers que je les lui prodiguais sans retenue. Je mis mes mains sur ses fesses, commençant à les pétrir délicatement tout en continuant à la contourner sur mes genoux je posais mes lèvres sur ses fesses et l’embrassais amoureusement, puis m’enhardissant je posais mes lèvres sur son anus rose et introduisit ma langue dedans. A entendre ses soupirs je compris que ça lui plaisait.

Ensuite je me déplaçais vers l’antre de ma convoitise, introduisis ma langue entre ses petites lèvres rosacées et je titillais son pitchou du bout de ma langue. A entendre ses gémissements je me mis à la sucer et bientôt d’un grand cri elle explosa en spasmes délicieux la conduisant au septième ciel.

– Tu es quand même un bonhomme formidable mon petit Andry, jamais personne ne m’a donné autant de plaisir, reste avec moi cette nuit je t’en supplie.

Elle avait les larmes aux yeux.

– Vous me suppliez, Maîtresse.
– Il n’y a plus de Maîtresse mon petit Andry.
– Je ne comprends pas.
– Le jeu est fini mon petit Andry, tu n’avais pas compris ?

Je compris enfin ce qu’elle m’avait expliqué samedi dernier et la lettre remise était le scénario d’aujourd’hui. Qu’est ce que je suis bête parfois !
Je me sentais si heureux, mon cœur battait à tout rompre, j’étais si heureux que je lui promis de rester avec elle cette nuit mais que pour l’instant je l’invitais au restaurant.
J’avais déjà tout préparé dit elle, pour faire un dîner en amoureux, il n’y a plus qu’à réchauffer, on ira au restaurant une autre fois. Je t’ai attendu avec tant d’anxiété qu’aujourd’hui, j’aimerais partager ce moment qu’avec toi pour fêter notre petit donjon.

Et dire que j’ai failli ne pas venir me dis je tandis que mes larmes coulaient.

Andry

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