C’était samedi soir et je m’ennuyais profondément. Pour mettre fin à cette morne soirée de solitude, j’ai décidé de sortir au Kryos, une boîte de nuit dans le quartier chaud de la ville. L’endroit est un peu glauque et on y croise de drôle de personnages, mais pour moi, du moment que la musique est bonne et que les filles sont chaudes, le reste n’a pas vraiment d’importance.
Je suis arrivé à la boîte vers 1h du matin. A cette heure-là, la fête bat son plein et les filles sont déjà moins farouches. Je me suis installé à ma table habituelle, tout prêt de la piste. Personne ne se met jamais là à cause de l’énorme baffle qui se trouve prêt de la table et qui crache ses décibels en permanence. Ce n’est pas que le bruit soit dérangeant, mais si on veut avoir une conversation, c’est tout bonnement impossible. Après quelques bières, je me sentais on ne peut plus zen et prêt à affronter les tigresses de la piste. J’étais bien décidé à ne pas terminer la nuit tout seul dans mon lit.
Je ne suis pas mauvais danseur et généralement quand je monte sur la piste, on me remarque très vite. Il y a toujours une fille qui finit par me rejoindre dans la danse, emportée par la frénésie des rythmes endiablés de la musique. On est là pour s’éclater et c’est toujours le pied de tomber sur une fille qui danse aussi bien que vous, si pas mieux. Au bout d’un moment, les corps se rapprochent naturellement. Ils finissent par se frôler. La danse se fait alors plus que suggestive et les deux danseurs en parfaite symbiose offrent alors un spectacle chargé d’érotisme. C’est comme si on entrait en transe. Une fois la danse terminée, il faut un peu de temps pour revenir sur terre. Moi c’est mon trip, il y en a qui préfèrent la drogue et l’alcool, moi c’est la danse.
Ce soir-là, j’étais plutôt en vaine car ce sont deux créatures de rêve qui sont venues me rejoindre.
L’une avait de long cheveux roux, très fin qui ondulaient à chacun de ses pas. Elle portait un petit top moulant, couleur vert d’eau et légèrement transparent. Elle ne portait pas de soutien-gorge et on voyait très bien les aréoles rosées de ses seins. Ses petits bouts étaient tendus au maximum. Cette érection était sans aucun doute le résultat du frottement du tissu sur ses tétons. Elle portait encore un short en cuir tout aussi moulant avec une ceinture fermée par une large boucle argentée et, une paire de bottes noires sans talons en guise de chaussures.
L’autre était une grande brune avec des mèches blondes. Elle portait un chemisier blanc encore plus transparent que le top de sa copine et bien sûr sans rien en dessous. Elle avait une forte poitrine qui se dressait fièrement. A la forme générale de ses seins, j’étais pratiquement sûr qu’ils étaient vrais. Elle portait une jupe marron coupée dans un tissu léger et fendue sur le devant jusqu’à quelques centimètres de son entrecuisse. Juste ce qu’il faut pour qu’on ne voit rien sauf si elle le décide. Elle avait opté pour des bottines en daim légèrement plus claires que la jupe.
Le DJ venait d’annoncer une demi-heure de musique latine. Très vite la piste fut dépeuplée. Seuls restaient les bons danseurs et ça promettait du spectacle. Ce type de danse est un exutoire à la violence physique. Les danseurs se défient les uns les autres par leur habileté sur la piste. Le public choisira ses lauréats.
La rousse était devant moi et la brune derrière. Elles ondulaient autour de moi, me frôlant des mains, des cuisses, des fesses et de la poitrine. La chaleur montait en moi, c’était très excitant ! J’étais caressé de toutes parts sans que personne d’autre n’en soit conscient. Ces deux filles me travaillaient au corps à corps. D’habitude, c’est moi qui mène la danse, mais cette fois j’étais leur pantin et elles savaient comment exciter un homme. C’était plus que de la danse, c’était presque un acte sexuel dissimulé.
Lorsque la musique a changé, elles m’ont tirés par la main jusqu’à leur table. Elles avaient choisi un coin sombre à l’abri des regards indiscrets. Elles m’ont payé une bière. La rousse se nommait Laure-Anne mais préférait qu’on l’appelle Lana, la brune c’était Shana. Elles m’ont complimenté sur ma façon de danser. Une fois l’échange des politesses habituelles passé avec ses phrases toutes faites sur la pluie et le beau temps, Lana me dit :
– Ca fait plusieurs fois qu’on vient et on t’observe depuis un moment. Apparemment, tu n’as pas de copine régulière et tu butines de fleur en fleur au grès du vent. Tu nous plais beaucoup et on voudrait te ramener à la maison. Mais avant, il faut que tu saches que nous sommes toutes les deux portées sur le SM et l’uro. Nous aimons souffrir et faire souffrir à tour de rôle. Je te rassure, on n’est pas des cinglées qui prennent leur pied en torturant le premier mâle venu. Tout cela reste un jeu très jouissif. Si tu joues avec nous, tu décides si tu veux le rôle du Maître ou de l’esclave. De plus, Shana te réserve un bonus en prime dont tu n’as même pas idée.
Là au moins ça a le mérite d’être direct. Je me fais dragué par deux superbes nanas et elles me proposent tout de suite le grand jeu. Pas du banal, non ! Une expérience SM comme maître ou comme esclave. J’ai souvent joué à ce genre de jeux et c’est la place de l’esclave que je préfère. En fait j’ai trop peur de faire mal aux autres. Je suis plutôt costaud et un mauvais coup est trop vite donné. Je préfère laisser ça aux gens qui savent se maîtriser en toute circonstance.
Alors j’ai dit :
– Voilà une offre alléchante. Je vais essayer d’être un bon esclave Maîtresses !
Nous avons quitté la boîte et j’ai suivi leur voiture jusque dans le quartier sud de la ville. C’est le quartier huppé, les villas sont toutes plus grosses les unes que les autres. Nous sommes entrés dans une propriété et nous avons suivi une grande allée bordée de réverbères pour arriver devant une somptueuse villa. J’ai garé ma voiture à côté de la leur. Nous ne sommes pas entrés dans la villa, mais nous l’avons contournée. A l’arrière trônait une immense piscine et à l’autre bout de la piscine il y avait un bâtiment de plein pied. C’était apparemment notre destination. L’intérieur du bâtiment était en fait un grand donjon SM équipé de tous les jouets nécessaires à la pratique de ce jeu.
Le jeu a commencé dès l’entrée dans le donjon. Shana me dit :
– Déshabilles toi complètement esclave ! Je te veux nu comme l’enfant qui vient de naître !
Comme je ne suis pas pudique et qu’en plus je suis fier de mon corps, je me suis exécuté et je suis resté planté là les mains sur les hanches dans l’attente de la suite. C’était la phase d’observation, Shana et Lana tournait autour de moi en scrutant la moindre parcelle de mon anatomie. Lana me dit :
– Tu es bien équipé, on va voir si tout ça est en état de marche !
Lana et Shana se sont rapprochées l’une de l’autre et ont commencé à s’embrasser tout en se caressant mutuellement. Shana a effeuillé Lana très lentement ! Chaque parcelle révélée de son corps était embrassée, palpée ou caressée par la bouche avide et les mains expertes de Shana. Ce spectacle aurait fait bander un mort. J’avais maintenant le sexe tendu et gonflé de désir.
Lana dit :
– Mais disent donc mon cochon, tu bandes sans autorisation ! On va déjà être obligé de te punir ?
Je réponds tout penaud :
– Je suis désolé Maîtresses, c’est plus fort que moi !
Lana a pris un petit martinet. Elle s’est placée sur mon côté droit et a frappé mon sexe dur à plusieurs reprises. Mais les coups cinglants n’ont pas réussi à me faire débander. Chaque coup me fait l’effet d’une brûlure et ma verge est maintenant rougie à souhait. J’adore cette sensation, l’impact est douloureux puis vient un effet de chaleur qui vous envahit le membre suivi de picotements qui s’estompent rapidement. Survient alors le coup suivant qui vous replonge sans répits dans cette divine sensation.
Lana me regarde en souriant :
– Ce n’est pas la première fois que tu joues au chat et à la souris ! Il t’en faut plus, n’est pas ? Je sens qu’on va bien s’amuser ! S’il y a quelque chose que tu ne veux absolument pas faire tu le dis, sinon tu te tais, ce n’est pas ce que tu pourrais nous dire qui nous intéresse. Tu as compris esclave ?
Je réponds les yeux baissés :
– Oui Maîtresse !
Elles décident alors de me suspendre, les bras et les jambes bien écartés, à quelques centimètres du sol. La barre supérieure qui retient mes poignets est fixée à un palan dont le crochet est équipé d’un roulement permettant de me faire pivoter sur moi même sans effort. Lana se met devant et Shana derrière. Une petite poussée sur ma jambe suffit pour que la situation s’inverse et je me retrouve face à Shana.
Elle mordille mes bouts de seins pour les durcir. Une fois le résultat attendu obtenu, elle s’empare d’une paire de pinces. Elle tire sur mon mamelon avec deux doigts et place la première pince ensuite, elle tourne la vis et la pince se resserre encore plus sur mon sein meurtri. La douleur est aiguë et ma respiration se fait haletante. J’ai du mal à contenir mon envie de crier. Ça fait mal, mais j’aime ça. Elle fait de même avec l’autre mamelon.
Lana me retourne vers elle. Elle a pris un bassin d’eau, de la mousse à raser et un rasoir. Je vais terminer la soirée sans un poil sur le sexe. Elle applique la mousse en prenant bien soin de me masser les couilles. Elle fait plusieurs allées et venues sur ma verge qu’elle tient dans sa main fermée. C’est délicieux et ce n’est pas ça qui va me faire débander. Après elle entreprend un savant rasage, même les poils entre les fesses y passent. De même que les poils des aisselles et ceux autour des seins. Pour ces derniers elle retire une pince à la fois puis la remet en place. Un bon rinçage pour terminer la séance et popol se retrouve chauve comme un caillou. Elle me passe une huile qui a un effet thermique incroyable et qui dégage une odeur enivrante, mettant tous mes sens en éveil.
Shana me retourne à nouveau :
– Tu dois être habitué à tes pinces maintenant, on va t’aider à te souvenir qu’elles sont toujours là.
Et elle joint de suite le geste à la parole en ajoutant un poids de chaque côté. J’ai de nouveau le souffle coupé, mais je sens monter en moi des vagues de plaisir puissantes.
Shana s’empare alors d’une des grosses bougies qui éclairent la pièce et qui participent à la mise en place d’une atmosphère confinée, intimiste, mettant en valeur les moindres détails du donjon par un jeu d’ombres complexes. Elle commence par verser un peu de cire sur mes pieds. C’est chaud et à chaque goutte qui me touche c’est comme si on me piquait avec une aiguille. Soudain, Je lâche un cri plus de surprise que de douleur. Lana joue elle aussi avec une bougie mais comme je ne la vois pas, je n’ai pas pu anticiper son action. Elle me couvre les fesses de cire puis le bas du dos, les omoplates pour finir par les épaules. Devant, j’ai maintenant de la cire sur le ventre et sur les seins. Et le sommet de la jouissance ne tarde pas à arriver, Shana s’attaque maintenant à ma verge en remontant depuis mon bas ventre vers le gland. Je n’en peux plus, je me tortille tant bien que mal, cherchant désespérément à fuir les gouttes qui tombent pour épargner mon gland. Mais rien n’y fait, Shana atteint sa cible sans problème et je n’ai plus qu’à prendre sur moi pour supporter le traitement qu’elle m’applique. Ce qu’il y a de déroutant lorsque j’ai ce type de relation c’est que d’un côté j’espère que cela va s’arrêter bien vite alors qu’une autre parcelle de mon esprit en redemande et c’est généralement cette dernière qui prend le dessus et m’amène peu à peu vers une jouissance certaine.
Lorsque c’est terminé, je les remercie car j’apprécie le fait qu’elles aient pensé à me raser avant. Si vous vous êtes déjà arraché un poil, vous imaginez sans peine la douleur qui aurait été mienne au moment d’enlever toute cette cire séchée. Elles ont retiré toute la cire, j’avais des plaques rouges sur tout le corps.
Lana m’a ramené au sol et m’a détaché. Ma liberté ne fût que de courte durée car j’ai dû me coucher sur un petit cheval d’arçon. J’étais debout la croupe offerte, le dessus du corps arqué par-dessus l’engin, les bras tirés vers le bas et rattachés aux chevilles par des cordes tendues aux maximum.
Elle me dit alors :
– On va un peu s’occuper de tes fesses et de ton petit trou ! Tu aimes ce qu’on te fait mon mignon ?
Je réponds par une phrase de circonstance tel que :
– Oui Maîtresses, c’est très bon et je vous en remercie.
Elles ont chacune pris un martinet avec plusieurs de lanières de cuir. Placée de part et d’autre de mon corps, elles frappent à tour de rôle mes fesses en m’ordonnant de compter les coups en ajoutant chaque fois
– Merci Maîtresse, j’en mérite encore un !
J’ai les fesses en feu lorsqu’elles décident enfin de s’arrêter. Rien de tel qu’une bonne fessée pour vous chauffer le corps et faire monter encore un peu plus le plaisir qui ne demande plus qu’à exploser. Lana me caresse les fesses avec de l’huile pour apaiser la douleur. Elle glisse alors un doigt bien lubrifié entre mes fesses et cherche le chemin de mon anus. Habitué à ce genre de visite, il n’oppose guère de résistance et très vite plusieurs autres doigts viennent rejoindre le premier. Elle s’arrête soudain et va chercher un gode ceinture sur une étagère. Le gode est très réaliste, on peut voir le dessin des veines le long du manche, le gland est très marqué et sa taille est plus que respectable. Elle ajuste alors un préservatif sur le sexe de latex et s’enfonce en moi d’un coup sec. Quel délice, ses coups de reins sont puissants, mais elle prend son temps pour bien ressortir tout le gode de mon cul et l’enfoncer à nouveau de plus belle jusqu’à la garde dans mon anus dilaté.
Shana est venue se mettre à genoux devant moi et me dit :
– Maintenant tu vas sucer mes seins et me mordiller les bouts
Je m’applique alors et très vite ses pointes se dressent fièrement. Elle se relève en me disant :
– Maintenant tu vas avoir ta surprise.
Et qu’elle surprise ! Lorsque Shana laisse tomber sa jupe au sol, elle ne porte rien en dessous et je me retrouve nez à nez avec un sexe d’homme gonflé de plaisir. Shana est une transsexuelle, la plus belle que je n’ai jamais vue. Je ne l’aurais d’ailleurs pas cru si je ne me trouvais pas en face de cette verge tendue. Elle avait tout de féminin, sa voix, sa démarche, son regard et ses manières ! Elle me dit alors :
– Fais-moi plaisir, suces moi !
Et sur ces mots, elle me libère une main.
Je n’en espérais pas tant en ayant accepté de suivre ces deux créatures de la nuit, et c’est sans hésitation que j’ai sucé ce cadeau du ciel. J’adore les femmes, mais j’aime aussi les belles bittes. Et celle-là était un morceau de choix, ni trop grosse, ni trop longue. Je léchais son dard sur toute sa longueur tout lui en caressant d’une main les bourses car c’est une zone très érogène pour qui sait y faire. Je poussais de temps en temps mon exploration plus loin entre ses jambes pour caresser d’un doigt le pourtour de son anus, autre zone sensible par excellence. Je suis allé jusqu’à lui gober les œufs en alternance. Je lui ai arraché de force des petits murmures de plaisir et aux pincements de ses ongles dans la chair de ma nuque je savais qu’elle ne simulait pas. Après quelques minutes de ces préludes, j’ai littéralement avalé ce membre de chair. Les succions que je lui infligeais le gonflait d’avantage et je sentais ce sexe tendu au possible palpiter dans ma bouche. Il était brûlant et prêt à exploser. Il dégageait une odeur très puissante. Les premières gouttes, prémices à la jouissance, se mélangeaient dans ma bouche à un petit arrière-goût d’urine. Je ne saurais dire pourquoi, mais cette odeur et ce goût m’excitait encore plus. Pendant ce temps, je continuais à subir les coups de butoir de Lana, mais mon esprit était ailleurs. Je me concentrais sur le plaisir que j’étais en train d’offrir à Shana. Shana était au bord de la jouissance, elle respirait comme un petit chien et ses murmures avaient laissé la place à des cris non retenus. Elle sursauta, à la fois de surprise et de plaisir, lorsque j’enfonçais d’un coup sec un doigt dans son cul. C’était le coup de grâce, elle ne pouvait plus se retenir et je récoltais enfin sa semence chaude et onctueuse dans ma bouche. J’avalais jusqu’à la dernière goutte et je léchais le membre, maintenant tremblant, à la recherche des gouttes égarées. Shana ne bougea plus, les yeux clos, elle profitait au maximum des sensations qui envahissaient son corps tout entier. Lana s’était arrêtée elle aussi.
Une fois revenue à elle, Shana me dit :
– Tu ne peux pas savoir le pied que je viens de prendre. Je n’aurais jamais cru un homme capable d’une telle prouesse. Ils ont tellement l’habitude de se préoccuper de leur plaisir personnel que nous restons trop souvent sur notre faim. Mais là, même une femme ne m’avait jamais emmené si loin dans le plaisir. J’ai cru m’évanouir en jouissant tellement l’onde de plaisir qui m’a parcourue était puissante. Merci esclave !
J’étais heureux d’une telle confession. Pour l’heure, j’avais le cul en feu et le sexe au garde-à-vous mais je n’avais toujours pas eut mon compte.
Après m’avoir détaché à nouveau, j’ai dû m’allonger sur le dos sur une table comme on en voit chez le gynécologue. Mes pieds solidement fixés dans des étriers. Lana est venue se placer jambes écartées au-dessus de mon visage. La table était manifestement réglée à sa taille. Elle me lança :
– Montres-moi si tu es aussi doué pour faire jouir une femme !
Il ne fallait pas m’en dire plus.
J’ai tendu mes bras en arrière de sorte que mes mains pouvaient caresser ses fesses, les masser, les écarter ! De ma langue tendue, je léchais le moindre recoin de son sexe offert en évitant à tout prix le clitoris car elle méritait de souffrir un peu elle aussi. Elle ne goûterait ce plaisir qu’une fois trempée de plaisir. Après avoir explorer tous les replis de sa chatte maintenant baveuse à souhait, j’ai tiré sur ses fesses pour les écarter au maximum tout en la tirant vers l’avant. De la sorte, je me trouvais en face de son anus et je lui ai prodigué une feuille de rose qui ne l’a pas laissée indifférente. Je léchais le pourtour sans appuyer ma langue, juste pour effleurer les poils. Elle avait la chair de poule et la respiration haletante. J’investi alors son anus de ma langue. Elle m’implora de ne pas m’arrêter. J’ai stoppé net ! Elle m’avait mis au défi et elle devait jouir maintenant. J’ai reculé son corps à nouveau pour retourner à la rencontre de sa chatte. Deux de mes doigts se sont égarés comme par hasard dans son cul et j’imprimais à ma main un mouvement très lent, presque au ralenti. Ma langue titillait son bouton turgescent. Je le mordillais, je le léchais et chaque fois que je sentais son corps se tendre, prêt à jouir, j’abandonnais ma caresse en m’éloignant volontairement de cette zone en feu. Pas trop longtemps, juste ce qu’il faut pour couper l’onde de plaisir sans supprimer l’envie. J’ai fini par lui donner le coup de grâce. Elle a joui en grognant et en me griffant le torse de ses ongles acérés, en me pinçant les tétons comme pour me punir car elle avait perdu son défi. Elle n’avait pas pu se retenir. Des flots de cyprines coulaient de son sexe ouvert, j’en avais sur tout le visage. Une fois calmée, elle m’a dit :
– J’ai besoin de pisser, ça te dégoutte que je te pisse dessus ?
J’ai répondu :
– Pas du tout Maîtresse, c’est même un honneur pour moi.
Elle ne s’est donc pas gênée pour m’arroser le torse et le visage de son urine tiède. J’ai ouvert la bouche pour recueillir quelques gorgées de ce divin breuvage. Une fois son envie terminée, elle s’est retournée pour me lécher le visage et goûter elle aussi à son champagne intime.
Elle a disparu un instant pour revenir avec un nouveau gode presque transparent. C’était bizarre car j’aurais juré voir des volutes de fumée s’échapper du gode. Et pour cause, c’était un gros glaçon en forme de bite. Lana le présenta devant ma bouche :
– Suces !
J’ai ouvert la bouche et j’ai sucé ce gode improvisé. Elle l’a retiré de ma bouche pour me caresser les bras et les aisselles. Puis elle s’est attaquée à mes seins. Mes mamelons se sont dressés d’un seul coup. Elle a alors pris un malin plaisir à rester sur ces derniers. La sensation au contact du froid vous fait passer rapidement du simple picotement à l’impression de brûlure. Une douleur lancinante similaire à un pincement vous envahit. Pour celui qui sait apprécier ce traitement, c’est délectable ! La course du phallus de glace se poursuit irrémédiablement vers mon sexe dont aucune partie n’est épargnée, le rendant dur comme le roc et aussi brûlant qu’un volcan proche de l’éruption. Mais Lana me fait languir, elle prend sa revanche. Le gode atteint maintenant sa destination finale. Elle joue avec les replis de mon anus, s’arrête un instant sur la rosette pour me donner un avant-goût du supplice qui m’attend. Puis enfin elle force mon intimité et l’obélisque gelé s’enfonce au plus profond de mon être. Après quelques vas et viens, elle abandonne son complice dans mon cul. J’ai l’impression de brûler de l’intérieur. Elle me masturbe alors lentement pour faire durer le plaisir. Je suis emprisonné entre la douleur et le plaisir sans pouvoir déterminer lequel des deux est le plus fort. Je finis inéluctablement par jouir et elle se sustente de ma semence jusqu’à la dernière goutte. Elle retire de mon tréfonds ce qu’il reste encore du gland éphémère. Nous nous regardons tous les trois et nous éclatons de rire.
Après cette séance des plus récréatives et des plus jouissives que j’ai connue, nous finissons dans le jacuzzi un verre à la main sous le regard bienveillant de la lune et des étoiles. Je les abandonne à grand regret aux premières lueurs du jour non sans qu’elles m’aient fait jurer de revenir très vite leur dire bonjour.
Pascal G.
C’est effectivement très bon ! Et bien écrit en plus, ce qui ne gâche rien, bien au contraire
Un fabuleux récit de domination partagée avec une trans.
Et qui était perdu dans les fin fonds du site
Lisez-moi ça les amis, vous allez bander come des cochons !