Attaché et violé pour ma santé ! par TSM

TXT d’un couple, gentil lisible par tous et toutes sauf mes coincés

Cela fait 9 ans que nous sommes mariés. Mon épouse est une très belle femme
de 40 printemps. Châtain clair, elle est d’une solide constitution physique
sans être forte. J’ai 40 ans, 1 mètre 80, cheveux bruns et courts. Depuis le
début de notre relation, nous jouons de temps en temps à quelques jeux SM,
mais hélas, trop peu et trop soft à mon goût.

Il est 18 heures 30. J’installe l’apéritif au salon. Comme à son habitude,
ma douce me reproche de trop boire et de trop fumer. Pour emmener la
conversation sur un sujet plus agréable pour moi, je lui raconte que j’ai
écrit deux nouveaux textes érotiques. Que mon dernier texte est bien noté
sur reverbebe et que d’autres sites les diffusent !

– Comme d’habitude, tu envois tes fantasmes romancés sur Internet et tu te
gargarises lorsque tu as une bonne critique.
– Ma biche, tu sais très bien que j’ai réalisé beaucoup de mes fantasmes
alors que toi…. Mais j’ai cru percevoir que tu n’étais pas toujours
insensible ni désintéressée. La dernière fois que j’ai fait rougir tes
fesses, tu n’as pas crié  » au secours  » !
Cette dernière répartie reste sans réponse. Je me lève pour prendre du tabac
et lui donne mes dernières créations. Ce sont des histoires qui parlent de
bondage et de jeux SM. Elle lit en diagonale puis me lance :

– Je ne vois pas le plaisir qu’il y a à être attachée pour faire l’amour !
Au lieu de passer ton temps à surfer comme un macho sur les sites où on voit
des femmes attachées, tu ferais mieux de repeindre le salon.

Je démarre aussitôt en description et explications sur le terrain du bondage
et du SM où je rêve de l’emmener plus encore.

– LE SM en couple est une autre façon de faire l’amour. S’il simule la
contrainte, jamais il ne remet en cause la position de l’un par rapport à
l’autre il n’est qu’un jeu. Ce sont des échanges respectueux et amoureux. Il
n’y a rien de macho.
– Ne me dis pas que tu ne te venges pas un peu quand tu me fesses !
– Le dominant est souvent le sujet du dominé. Il va jouer avec le temps,
jouer avec la douleur/plaisir/ les contraintes et les câlins. Lequel des
deux joue vraiment ? Le dominé subit les jeux du dominant qui lui accorde du
plaisir. Lorsque le dominé demande grâce, son plus grand plaisir est la
petite part d’imprévue. Ne pas savoir quand son dominant s’arrêtera ou fera
exactement, est particulièrement jouissif. Tu as toujours eu la possibilité
d’arrêter quand je martyrise tes rondeurs, mais tu ne te débats pas quand
je continue un peu.
– Tu es ignoble ! En plus, tu tapes parfois trop fort et ne t’arrêtes pas
forcément quand je le demande !
– Lors d’une fessée, si le dominant rajoute quelques claques supplémentaires
associées à quelques caresses, le jeu devient passionnant. Je t’aide à te
dépasser quelque peu pour ton plus grand plaisir. Il en va de même pour le
bondage ! L’attente est cruelle dans le sens où le soumis est en manque de
caresses. L’exposition de son corps sans défense crée des sensations
confuses. L’excitation et le désir se mélangent avec un petit sentiment
d’abandon honteux.
– Je n’aime pas être attachée quand tu me fais l’amour !
– Moi j’aime bien, mais pourquoi j’aime bien ? Quand tu es ligotée, tu ne
peux pas partager. Tu peux seulement concentrer sur les attentions érotiques
que l’on te fait. Ton problème est que tu refuses de t’abandonner totalement
et pourtant ! Je sais que tu aimes ! J’adore quand tu craques, quand tu te
tords de plaisir dans tes liens. J’ai beaucoup de plaisir quand je te fais
languir. Tes gémissements et ton corps trahissent tes émotions cachées !

Sur cette dernière tirade, je me sers un apéro et la voilà repartie sur ses
reproches.

– Tu fumes trop, cela empeste et tu abuses de l’alcool !
– Je préfèrerai te faire un gros câlin ou que tu m’attaches pour me violer
d’amour, mais que veux-tu, chacun ses plaisirs.

Elle semble songeuse un instant puis affiche un sourire malicieux.

– Tu en as vraiment envie ?
– J’en rêve, mais j’ai bien peur que tu ne sois pas capable de me donner
vraiment ce plaisir. La dernière fois que tu as essayé, j’ai du t’aider à
faire les nœuds !
-Va prendre une douche, ensuite, tu t’attacheras nu sur le lit avec tout ton
barda. Tes cordes, tes menottes et tous tes bidules de pervers !
– Je finis mon pastis et j’y cours !
– Non ! C’est tout de suite ou rien !

Je laisse donc mon verre sur la table et me précipite un peu honteux mais
excité, dans la salle de bain pour prendre une douche rapide. Je vais
ensuite dans notre chambre et sors le sac où est rangé tout le matériel :
cordes, menottes, courroies, bâillon, cagoule, plug, godes, pinces…

Rien que de fixer les sangles aux pieds du lit je suis ému au possible. Je
fixe celles qui vont bloquer mes poignets à la tête du lit. A ce moment là
je me dis que je devrai me méfier de cette subite proposition, mais
qu’importe. Sachant qu’elle va manquer d’imagination, je sors les pinces à
seins et le martinet que je pose sur le lit. Je m’enfile un plug de bonne
taille dans le fondement pour corser un peu mon plaisir.

J’écarte ensuite les jambes au maximum et, tant bien que mal, attache mes
chevilles aux bracelets. Lorsque j’ai fixé mon poignet gauche dans une des
bracelets, je lui cris :  » Ma biche, ! Je brûle d’impatience !  » Elle arrive
sans tarder.

– Tu aimes être ligoté et l’attente fait partie du plaisir ? Tu vas être
servi mon chéri !

Avec un sourire et des yeux chargés de vice, elle me lie durement le poignet
gauche puis se met à resserrer tous les bracelets ! C’est une première !

– Je n’en crois pas mes yeux ma biche, tu fais des progrès !
– Tu peux continuer à faire le malin, mais je ne sais pas si tu fais bien de
te réjouir.
– Cette réponse prometteuse est excise et suscite en moi de troubles
émotions !

Sans répondre, elle se lève puis sort de la chambre. Je suis totalement
livré à sa merci. J’aime ces sensations érotiques d’impuissance et
d’abandon. J’ai toutefois l’impression qu’il y a de l’imprévu dans l’air. Je
ne sais ce qu’elle me réserve, mais je suis dans un état d’excitation
indescriptible. Entre mes jambes, mon sexe annonce midi pile. J’attends la
suite avec impatience !

Au bout d’un long moment, elle entre dans la chambre avec deux verres à la
main. Elle s’assoit.

– Qu’est-ce que c’est ?
– Du jus d’orange !
– Je n’aime pas vraiment le jus d’orange !
– Ce n’est pas mon problème. J’ai décidé de prendre soin de ta santé. Dès ce
soir, tu es au régime sans tabac et sans alcool ! Tu avais soif, alors boit
et tais-toi si tu espères un câlin !

J’abdique donc bien volontiers pour le câlin promis. Elle me force à boire
la totalité du verre puis s’en va. Il n’y a plus rien d’érotique ! Ma
tourterelle adorée est capable de se transformer en rapace. Elle m’a piégé à
mon propre jeu.

Sur le réveil je regarde les minutes qui s’égrainent lentement. Une heure
passe ! Je commence à trouver le temps long !

– Alors mon chéri, tu aimes toujours autant être attaché ?
– Oui, mais la je m’ennuie un peu de toi !

Elle m’enjambe et s’assoit sur mes cuisses sans précaution. A la grimace que
je fais, elle éclate de rire !

– Tu t’es encore fourré un truc dans les fesses ?

Un délicieux sentiment de honte et d’impuissance m’envahit.

– Ben ….. J’aime bien……. Tu le sais !

Tout en me souriant, mais sans se relever, elle agace et pince mes tétons de
ses doigts agiles. Lorsqu’elle s’allonge sur moi et m’embrasse avec douceur
je nage en plein bonheur.

Elle s’allonge sur mon sexe tendu et joue avec la pointe de mes seins. Elle
les titille de sa langue et de ses lèvres puis les mordille. Quel plaisir !
Les mouvements de son corps sur le mien se répercutent sur le plug. Je plane
au paradis des plaisirs.

Soudain, elle se lève et m’abandonne pour aller prendre sa douche. La garce
!

Trente minutes plus tard, elle apparaît nue, sourire aux lèvres. Elle tient
à la main un foulard qu’elle lie autour de mes yeux me privant la vue de son
corps que j’adore et qu’il m’est si agréable de couvrir de baisers.

– Tu as écrit dans ton histoire, que lorsque la fille a les yeux bandés, les
autres sens prennent le relais.

Cette révélation me fait sortir des méandres brumeux où mon esprit divague
depuis qu’elle est partie se doucher. Elle a réellement lu mes histoires !
Voilà je n’ai pas de question à me poser. Juste à me laisser faire et
apprécier la suite si elle suit ma première histoire. Elle m’enjambe et
s’installe au-dessus de mon visage, offrant à mon regard son trésor d’amour.

– Tu aimes alors je vais en profiter! Broute mon hérisson !

Mes lèvres gourmandes écartent ses chairs intimes, puis laissent place à ma
langue qui la déguste avec douceur comme un sucre d’orge. Lentement je
titille son entrée puis m’enfonce en elle comme un petit sexe.

Elle accroche les pinces à la pointe de mes seins. Hum ! Quel plaisir ! Elle
se repositionne, écarte ses fesses et pose son anus sur la bouche et se met
à tirer à avec les pinces accrochées à ma poitrine.

Je sens qu’elle se caresse et cherche son plaisir. Je me délecte de son
petit anneau. Une simple broutille me ferait jouir mais cela ne semble pas
dans ses projets. Quand son plaisir approche, sans s’en rendre compte, elle
m’écrase de ses fesses. J’ai du mal à respirer. Au bord de l’asphyxie, je
fais riper légèrement mon corps vers l’arrière pour dégager mon nez.

Une décharge de plaisir arrache à ma belle un gémissement rauque. Son corps
se cabre et se tord longuement sous la violence du plaisir. Son anus partage
avec ma langue gloutonne les contractions du plaisir. C’est fort et je suis
heureux de son plaisir. J’aime sentir ma femme jouir ainsi malgré le
caractère paradoxal de ma condition et sa position sur mon visage.

Soudain, je sens les lanières de notre martinet qui caresse la pointe de mes
seins, sur mon ventre, mes cuisses et mon sexe déjà plus que bandé. Elle
m’en donne quelques coups sans aucune violence, puis soudain s’arrête et se
relève.

– Tu es bien ainsi ?
– J’attends la suite avec impatience !
– Pour que tu ne souffres pas trop, je vais te retirer les pinces mais tu
resteras ainsi pendant l’heure où d’habitude du bois et fume plus que
raisonnable !
– Tu es une véritable garce, pour ne pas dire une salope allumeuse !

Sans aucune réaction, elle me laisse ainsi et repart vaquer à ses
occupations. ET MERDE ! Je commence vraiment à explorer les sentiers
difficiles de l’abstinence orgasmique.

Le fait d’avoir les yeux bandés ne me permet pas de la voir passer près de
notre chambre. Je sens qu’elle me regarde chaque fois qu’elle passe, mais je
ne sais jamais quand je l’entends si elle va revenir s’occuper de moi.

– Tu as écrit que dans le bondage, le plaisir est dans la durée, ça va ?
– Non ! Détache-moi !
– Non ! Dans un moment je vais venir m’occuper de toi. Finalement, j’ai bien
aimé ta première histoire. Patiente encore un peu, je vais lire la deuxième
!
– Je te déteste !
– Mais oui mon chéri, mais oui !

Je ne sais pas depuis combien de temps j’attends, mais je commence vraiment
à m’impatienter. Lors de son retour, elle s’assoit sur le lit et caresse mon
sexe doucement. Elle le prend entre ses lèvres puis commence à le lécher
tout en me pinçant les tétons.

– Ta dernière histoire est débile ! Jamais une femme ne s’offrira à un viol
collectif !
– Tu te trompes ! Je l’ai vu deux fois lorsque je zonais en club. Oui je
romance mes textes mais je m’appuie sur des situations vécues ou vues.
– Monsieur je sais tout va en vivre une autre !

Lentement, elle vient sur moi, saisit mon sexe tendu de ses
doigts magiques. Elle le guide entre ses cuisses et s’empale lentement. Je
glisse dans son fourreau d’amour avec un indescriptible bonheur. Je sens
qu’elle est chaude et trempée. Se pourrait-il qu’elle apprécie l’instant SM
? Lorsqu’elle commence à faire des va-et viens tout en se caressant, elle
m’annonce :

– Dans ton histoire tu écris que tu rêves de lécher les femmes après
l’amour. Ce soir je vais te donner le plaisir de me boire et de te boire.
Cette boisson là ne peut pas te faire de mal !

Je comprends, qu’elle est enfin décidée à me faire lécher son minou après ma
jouissance.

– Je ne l’ai jamais fait, mais j’en meurs d’envie. Si je refuse, il faudra
sûrement que tu me forces un peu. Mais ma petite sirène en aura t-elle le
courage ?

Pendant qu’elle me chevauche, le plug que j’ai dans le fondement laboure mes
entrailles. Je délire totalement. En même temps ces exquises sensations je
fantasme sur le fait de lécher son minou après mon plaisir. J’en rêve depuis
longtemps, mais que je n’ai jamais osé le réaliser.

Je suis sur ce coup là, un piètre amant. Je sens rapidement monter les
spasmes du plaisir. Je me répands en elle dans un orgasme délirant bien plus
fort que d’habitude. Le plug que j’ai dans les fesses augmente encore ma
jouissance. Je jouis de partout ! C’est torride ! C’est trop fort ! Je
voudrai qu’elle se retire, mais elle reste empalée sur moi et accentue
encore la pression sur mes cuisses et mon ventre. J’ai l’impression de
mourir un peu !

Au bout d’un moment, elle se retire de mon sexe et fait demi-tour. Elle
vient déposer son adorable fessier sur mon visage mais je résiste en
tournant la tête d’un coté à l’autre. Avant de jouir, l’idée de boire mon
sperme coulant de son minou était mon fantasme, mais après avoir jouis, il
n’en est pas de même ! Quelques caresses préalables n’auraient pas nuies.

Je tente d’y échapper mais elle ne me laisse pas le choix. Comme je résiste,
Elle me bloque la tête avec ses cuisses et ses talons et m’accroche les
pinces métalliques à la pointe des seins et tire dessus assez durement.

– Lèche-moi, je veux jouir mais avant, tu finiras la dernière goutte du
sperme que tu as déposé en moi !

Je bouge dans tous les sens et rue dans mes liens. Puis, suivant ma folle
consigne, elle me donne quelques coups de martinet sur les cuisses.
L’instant doit ressembler à une chevauché !

Du liquide chaud coule sur mon visage. Je cède puis embrasse ses lèvres et
son sexe chargé de nos plaisirs. Au début je suis très timide pour la
dégustation, pour me donner du cœur à l’ouvrage, elle tire de nouveau sur la
chaîne qui relie les pinces métalliques de mes tétons.

Contraint et forcé, je lèche son minou en recueillant ma jouissance et sa
cyprine que j’aime tant d’habitude. Elle me branle en même temps qu’elle
tire sur mes pinces à seins. Je me sens durcir. Je délire totalement.
Totalement en perdition cérébrale je la déguste avec passion. Je me perds
dans son intimité.

Soudain, abandonnant mon sexe et la chaîne des pinces, elle s’enfonce encore
plus sur mon visage et se caresse. Elle libère son plaisir comme une source
généreuse. Je m’en délecte avec passion en faisant entrer et sortir
lentement la pointe de ma langue.

Lorsqu’elle jouit de nouveau, je bois sa jouissance et les dernières gouttes
de mon sperme avec un immense plaisir.

Sans bouger, elle me détache une main et m’ordonne de me caresser. Elle se
déplace et m’offre sa rosette à déguster. Mes doigts courent sur ma hampe,
puis je me caresse dans un frénétique moment.

Je jouis une deuxième fois submergé par des sensations trop fortes pour être
décomposées et analysées. Je m’abandonne sur mon ventre dans un grand cri
étouffé par ses fesses. C’est comme un raz de marée qui me laisse dans un
état difficilement descriptible.

Totalement dans les vapes, je sens qu’elle me détache les jambes. Nageant
entre ciel et terre, je l’aide à fait ressortir le plug que j’ai entre les
fesses depuis plus trois ou quatre heures.

Elle s’allonge tendrement contre moi et pose sa tête au creux de mon épaule.
Je suis l’homme le plus heureux. Je sombre dans les bras de Morphée.

Lorsque les rayons du soleil qui percent les volets me réveillent, je me
demande si je n’ai pas rêvé. Les sangles et bracelets sont là. Ma puce dort
profondément. Ses cheveux clairs forment comme un soleil sur le satin blanc
de l’oreiller. Son visage d’ange provoque en moi une tendre émotion.

Il est 7 heures. Je me lève sans bruit et me précipite sur mon PC pour
écrire cette merveilleuse aventure.

TSM

**************
Il est 10 heures et je viens de lui apporter le café au lit. Après nous être
accordé les petits bisous du matin elle me dit :

– Je crois que je vais t’interdire de boire et de fumer plus souvent. Mais
en t’attachant et en te violant ainsi pour ton plus grand plaisir, je
préserverai ta santé.
Les promesses seront-elles tenues ?
TSM

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