Vive l’été et ses terrasses 2 – Une nuit à Durbuy par pipidamoui

Vive l’été et ses terrasses
2 – Une nuit à Durbuy
par pipidamoui


Pendant que les compères sirotèrent leurs verres de champagne, François demanda s’il plairait à Nathalie de rester une nuit dans cet hôtel.

Après une légère hésitation feinte, elle lui répondit qu’oui. A voir le visage de leurs compagnons de jeu, la soirée risquait d’être assez animée.

François décrocha le téléphone et prit contact avec la réception pour réserver une chambre.

L’hôtesse d’accueil lui répond que malheureusement il ne reste qu’une suite prévue pour 4 personnes. François souris, car cela pourrait convenir parfaitement.

Il demande à l’employé de rester en ligne et fais le résumé de la conversation à l’assemblée.

Les deux compères disent que pour eux c’est la dernière nuit qu’ils passent là et que si Nathalie n’y voit pas d’inconvénient, ils sont partants pour la location de la suite.

La situation n’a rien pour déplaire à Nathalie non plus et François reprend la communication avec l’accueil.

Il est convenu que dans le quart d’heure ils pourraient disposer de la suite et qu’un chasseur se fera un plaisir de transférer les bagages de leurs nouveaux amis.

François se rhabille et se rend à la voiture pour prendre le sac qui fût préparé au cas où moins d’une demie heure plus tard, ils se retrouvèrent dans l’immense suite qui leur fut attribuée.

François fait remarquer que la jeune employée de l’accueil l’a regardée d’un regard coquin qui ne laissait aucun doute sur ses pensées. Il leurs demande si il ne lancerait pas une invitation à les rejoindre dès son service terminé. Chacun acquiesce et François redescend à la réception, pour convier la jeune dame à les rejoindre après son travail. Ses yeux pétillèrent et elle lui répondit par l’affirmative.

En passant la porte de la suite, François aperçoit la compagnie déjà à l’œuvre.

André et Nicolas s’embrassent à pleine bouche et se carrassent mutuellement.

André commence à explorer le torse de son copain, lui lèche la poitrine et lui mordille les tétons. Il descend lentement le long du ventre et, arrive à hauteur du sexe de Nicolas. Ce dernier est turgescent, près à exploser. La peau du sac est tendue au maximum.

Voilà que la bouche se met à courir le long de ce mat, langue sortie et léchant toute la surface s’arrêtant, ensuite, à hauteur du gland.

François sent comme une tension dans son pantalon et ôte à toute vitesse ses vêtements. Il a la pointe des tétons raidis par l’excitation.

Durant tout ce temps, Nathalie avait attrapé un gode dans le sac et elle se le passait sur le corps comme pour stimuler un massage phallique. Le vibro glissait sur sa poitrine, tournait autour de ses seins, titillait ses bouts tendus.

Elle entreprit une lente descende vers son entre jambe et lui fit imprimer un mouvement de va-et-vient à l’extérieur de sa vulve. Les ruissellements brillants ne laissaient aucun doute sur l’humidité qui régnait à l’intérieur de sa chatte.

La bouche d’André avait maintenant gobé la queue de son comparse. Quel magnifique spectacle qu’ils leurs offraient là. Le suceur imprimait un lent mouvement de va-et-vient, aidé en cela par les mains de Nicolas qui lui enlaçaient la tête. La position adoptée permit, a Nathalie et François de voir que son trou de balle était habitué à recevoir une bite. André retira le mandrin de sa bouche et commença à explorer les couilles, léchant et gobant celle-ci à tour de rôle. Au comble de l’excitation il alla prendre position pour se faire pénétrer par Nicolas.

François s’était également caressé et préparé pour permettre une prise de son cul. Lentement il s’est approché de Nathalie et lui demanda si elle voulait satisfaire son envie. Pour toute réponse, il reçut un magnifique sourire et elle lui montra la culotte gode prête à l’emploi. Ils rejoignirent leurs camarades, et les deux queues pénétrèrent respectivement François et André. François tendit la main vers l’engin d’André et entreprit de le masturber lentement. André tourna son visage vers François et ils s’embrassèrent à pleine bouche, se roulant des pelles. François fut comblé. Son cul visité, sa main branlant son compère et il pouvait l’embrasser en même temps. Et puis, François eut envie du sucer cette queue, car il sentait que l’issue était proche pour l’autre. Il se releva lentement, se retira de l’étreinte de sa femme et se glissa en dessous d’André. Il prit son mandrin en bouche, et à l’aide des mouvements imprimé par son pote, il suçait avec délice la gâterie qui s’était ainsi présentée. Nathalie pris place sur le lit et présenta sa grotte au visage de l’homme courbé. Tout à son plaisir, il ne rechigna point à visiter de sa langue la cramouille. Il descendit vers le trou et commença à laper le fluide. Ensuite il se mit en quête de sa rondelle, y glissa sa langue en la faisant tournoyer. Il tenait fermement ses hanches maintenant, son organe imprimait un mouvement d’aller/retour dans le trou de Nathalie. Après quelques longs instants, il reprit l’ascension vers le mont de Vénus, happant au passage le liquide sur les parois vaginales. Il arrivât enfin à hauteur du clitoris qu’il fit glisser en bouche comme si il s’agissait d’une bite. Tout en le suçant, il tournait sa langue autour.

Celui qui taraudait le cul de l’autre se mit à émettre des râles de plaisir, annonçant l’issue imminente de sa jouissance. Pour sa part, la bouche de François constata un durcissement du sexe visiteur, le gland enfla plus encore. Nathalie commença à se tortiller de plaisir. La respiration courte, rapide. Un premier cri retentit, un cul s’emplissait de sperme. La deuxième queue inonda François jusqu’au fond de sa gorge d’un liquide séminal qu’il but jusqu’à la dernière goutte, et, la femme, elle s’empressa de gicler sur le visage affairer entre ses cuisses. Ce ne fût qu’une suite de cris de plaisir qui emplit la pièce.

François restais le dernier à n’avoir pas joui, mais pas pour longtemps. Nathalie se retourna et le pria de la prendre en levrette. Aussitôt dit, aussitôt fait. Le voilà en train de visiter l’un de ses endroits préféré. Ses mains emprisonnaient ses hanches, ce qui lui permettait de la ramener pour lui mettre des coups de butoir appuyés. Ses couilles frappaient le dessous des fesses de Nathalie. Elle le pria d’augmenter la vitesse des aller/retour ce qu’il fît. Elle ressentit qu’il allait inonder sa chatte et elle partit dans un deuxième orgasme qui déclencha la marée dans son bas ventre. Ravi d’avoir ainsi joui, ils affalèrent sur le lit. François prit Nathalie dans ses bras et l’embrassa longuement.

Cette dépense physique mis les conteurs stomacaux à zéro, la faim naissait chez chacun. Ils consultèrent la carte du room service.

Ils commandèrent un repas et passèrent, chacun à leur tour, dans la salle de bain pour se rafraîchir. Ils se rhabillèrent afin d’être présentable lorsque le serveur leurs apportera le repas.

Pendant qu’ils se sustentèrent, ils partageaient quelques expériences. Nathalie et François parlaient de cette soirée surprise à laquelle ils avaient participé et apprenaient que leurs deux nouveaux amis ont également partagé cette expérience à un autre moment.

Ensuite, André et Nicolas expliquaient partager ensemble un appartement. Qu’ils sont bisexuels et que fréquemment ils partagent leurs soirées, qui avec des couples, qui avec une ou plusieurs femmes. Ils leur arrivent également de passer de bon moment à eux deux.

Le repas terminé et les plats débarrassés ils poursuivirent leurs histoires en buvant un énième verre de champagne.

Tout à coup, on frappe à la porte. Nathalie se lèves pour ouvrir. Dans l’encadrement de la porte apparaît l’employée qu’ils avaient convié à les rejoindre.

Nicolas lui offre une coupe de champagne. La bouteille se vidant et ne désirant pas mélanger les boissons, ils commandent deux nouvelles bouteilles. Ceci devrait leurs permettre de finir la soirée sans soif.

Nathalie se tourne vers la nouvelle convive et la déshabille du regard. L’envie se lit dans leurs regards. Nathalie se lève et lui prend la main d’Aurélie. Elles rejoignent le lit et les hommes les regardent s’éloigner.

Nathalie commence par l’embrasser, ensuite elle dirige sa bouche vers son coup. Ses mains font glisser la robe d’Aurélie, laissant apparaître la jeune femme juste vêtue d’un string. Cette dernière en fait de même avec la robe de sa comparse et la voilà nue, car elle n’avait pas revêtu de culotte ni remis son soutien.

Les filles s’enlacent, et Nathalie bascules lentement sa partenaire sur le lit. Elle caresse ce corps tout juste sorti de l’adolescence. Sa bouche arrive à hauteur de ses seins. Elle titille les bouts dressés, et mordille également ces derniers. Sa main voyage le long des jambes d’Aurélie et s’arrête longuement sous le fin tissu cachant des lèvres turgescentes. Nathalie lui masturbe le clitoris et, ensuite, descend le long du conduit pour rejoindre la grotte. Elle lui glisse un doigt et imprime un mouvement de vas et vient.

Sa tête se dirige vers le bas de son ventre, et elle lui glisse sa langue dans le nombril au passage.

Arrivé à hauteur du string, elle s’empare de ce dernier afin d’en débarrasser sa propriétaire.

Aurélie accroche une des jambes de Nathalie et lui fait comprendre d’approcher sa fontaine de sa bouche. Voilà les filles tête bêche à se lécher la motte.

De leur côté, les hommes ne perdent aucune miette du spectacle. François s’aperçoit que chacun d’eux possèdent une énorme bosse dans le pantalon. François commence par retirer le sien, suivi pas ses deux compères masculins. Ils restent cependant chacun à leur place, tout occupé par l’observation des amazones.

François aperçoit que, Nathalie, non contente de brouter le gazon d’Aurélie, elle lui a mis un doigt dans cul ainsi que dans la chatte. Elle branle les trous d’Aurélie avec beaucoup d’efficacité. Son corps est parsemé de spasme. Nathalie décoche un petit cri.

François se lève pour voir si tout se passe bien et se rends compte que la jeunette rends la pareille dans les orifices de sa femme. Ceci a pour effet de tendre encore plus son maillet qu’il attrape dans sa main afin de se branler.

Le visage de Nathalie se relève et elle le tourne vers son mari. Elle est épanouie, resplendissante. Un large sourire de plaisir traverse son visage.

Elle demande à son homme de lui apporter la culotte gode, elle l’enfile. A la vue de ceci, on aperçoit la gourmandise transparaître sur le visage d’Aurélie.

Afin de faire profiter de la suite, Nathalie approche le minou de la demoiselle du bord du lit. Elle lui saisit les hanches et pénètre en douceur l’étroite grotte qui lui est ainsi offerte.

Ses coups de reins insufflent un mouvement vers l’intérieur et, arrivée au plus profond de son con, elle revient vers le début du conduit. Elle accélère légèrement le mouvement. La respiration de la fille s’accélère. Le moment intense arrive, Aurélie entoure la taille de Nathalie de ses jambes et serre ainsi son corps.

Sentant le moment divin, Nathalie se retire tout en douceur. Son amie jouit si intensément qu’elle ne peut retenir le contenu de sa vessie. Ce n’est pas un cri qui fuse de sa bouche, mais un hurlement puissant tant son plaisir est intense.

Nathalie ressent tellement le plaisir de sa partenaire qu’elle ne peut contenir un orgasme. Il est également puissant, à un point tel qu’elle relâche tout et qu’elle agrémente également l’assemblée d’un joli filet urinaire.

Ainsi repu de jouissance, les dames rejoignent les hommes dans les fauteuils.

Ils reprennent un verre. Un long moment de silence s’installe. Ce n’est pas de la fatigue, juste le temps pour tous de revoir le film des événements qui viennent de se dérouler depuis cet après-midi.

Un portable sonne, c’est celui de Nathalie. C’est les deux amis que le couple avait rencontrés lors de la soirée surprise. Ils demandent de leur nouvelle et elle leurs expliques brièvement la folie du jour.

Ils apprennent à Nathalie qu’ils ne sont pas loin. Ils louent une caravane à Barvaux. Nathalie dit à son mari où ils sont, et il sourit. Il calcule et ils peuvent les rejoindre dans l’heure.

François interroge tout le monde afin de sonder l’intérêt. Chacun est ravi à l’idée d’avoir deux hommes en plus.

Nathalie leurs communique l’adresse de l’hôtel et leurs dit de se dépêcher.

François, lui a le cul en feu. Son trou frétille à l’idée de l’assaut qu’il va subir bientôt.

(A suivre)

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