Une séance de massage révélatrice (partie 4) par Francois_urophile


Une séance de massage révélatrice (partie 4) par Francois_urophile

Vers 8 heures tout le monde se retrouva au petit déjeuner, autour d’un café fumant et de croissants chauds que j’étais allés chercher à la boulangerie. Nous fîmes l’inventaire de ce qu’il fallait emmener : lunettes, serviettes, crème solaire et de quoi boire et manger à volonté ! Chacun fit rapidement son sac et s’habilla pour pouvoir aller sur le bateau ? Léa et Caroline s’était habillée de la même manière, en tee-shirt, short jean et tongs. Je savais qu’elles étaient nues dessous et cela commença à m’exciter.

Nous roulâmes un moment en voiture pour aller jusqu’au port. Après les formalités, nous nous dirigeâmes vers le bateau : une vedette à double moteur, avec un large espace couvert pour manger un pont arrière permettant de profiter du soleil.

– Attention, toujours pieds nus sur un bateau, rappela Léa en retirant ses tongs et chacun l’imita.

Arrivés sur le bateau, chacun s’installa. Je fis les vérifications techniques, puis tournai la clé de contact. Le ronronnement des moteurs se fit entendre. Je demandai à Théo et Léa de détacher les amarres. Et le bateau commença à s’éloigner lentement du quai, en faisant attention au trafic et à la vitesse limite. Nous approchions de la sortie du port quand je vis Léa et Caroline, qui s’étaient mises nues, se diriger vers l’avant du bateau pour s’étendre sur leur serviette.

– Elles sont déjà toutes nues, mais nous sommes encore dans le port… S’inquiéta Théo
– Pas de souci, Léa aime bien donner du spectacle ! Et Caroline aussi, manifestement ! lui répondis-je.

Nous croisions d’autres bateaux qui nous saluaient, et peut-être pas uniquement par simple amitié.

J’ôtai mon short et j’étais nu à mon tour, invitant Théo à faire de même. Mais il m’avoua préférer attendre que nous soyons éloignés du port.

La navigation dura une petite heure, à vitesse moyenne. Nous nous dirigions vers une île, et nous fîmes en partie le tour pour atteindre une petite crique. Pendant tout ce trajet, Léa et Caroline avaient commencé à se passer mutuellement de la crème solaire, dans tous les recoins du corps. Depuis la fenêtre de la cabine, nous avions une vue imprenable sur le pont avant et donc sur les activités de nos deux compagnes. Le ballet des deux femmes se passant de la crème solaire se transformait petit à petit en chorégraphie érotique, voire même pornographique. Je savais que Léa ferait tout pour nous exciter.

– Humm, tu as vu comment elles s’occupent l’une de l’autre ? c’est beau, non ? dis-je
– Oui, je ne savais pas que Caroline était bisexuelle, mais c’est magnifique deux femmes qui font l’amour, répondit Théo.

Maintenant, Léa et Caroline faisaient véritablement l’amour : massage et léchage des seins, cunni, 69, léchage des fesses et de l’anus, doigtage…. Tout y passait et dans toutes les positions. Théo se masturbait, son sexe avait maintenant atteint une belle taille. Me mettant à genoux, je commençai à le sucer alors qu’il me racontait en détail ce qu’il voyait.

– Mais, Caroline se prend un doigt dans les fesses, je croyais qu’elle détestait cela… Dit Théo
– Je sais qu’elle va vite apprendre avec Léa… répondis-je
– Et elle suce ce doigt maintenant …

Cela renforçait son érection. J’interrompis ma fellation, je ne voulais pas qu’il jouisse maintenant.

Une fois arrivés dans la crique, nous jetâmes l’ancre pour immobiliser le bateau. Nous installâmes des matelas dans la pièce principale pour être plus à l’aise. Léa et Caroline passèrent du pont avant à la cabine, et reprirent leurs ébat sur le matelas, Théo et moi les regardions en nous masturbant.

– Vous ne voulez pas vous amuser aussi ? demanda Léa
– Mais bien sûr…. Théo, viens me sucer ! m’écriai-je
– Théo ? tu es bi ? s’étonna Caroline
– Comme tu le vois… mais je vois que toi aussi … Dit Théo
– Oui, Léa est une très bonne professeure dans ce domaine…

Après plusieurs minutes de fellation et de cunni, je fis un clin d’œil à Léa. Elle quitta un moment Caroline, et revint avec sac dont elle sortit un gode-ceinture, et un gros flacon de lubrifiant. Elle invita Caroline à se mettre à 4 pattes, en relevant bien ses fesses. Elle commença une caresse bucco-digitale de la zone anale. En clair, elle se préparait à l’enculer : elle mit un puis deux doigts dans le rectum de Caroline, tout en la masturbant. Elle voulait que Caroline demande elle-même la pénétration, pour montrer à Théo qu’elle était libérée sexuellement. Après de nombreux va-et-vient durant lesquels Caroline redoubla de gémissements excitants, elle finit par demander :

– Léa, s’il te plait, mets-le-moi dans les fesses.
– Que veux-tu dire ? répondit naïvement. Elle voulait que la demande soit encore plus crue
– Encule-moi, j’en veux plein le cul. Finit par dire Caroline.

Léa revêtit le gode ceinture : les lanières de cuir et le sexe artificiel dressé lui donnait un air de maîtresse autoritaire. Elle l’enduisit de gel et le donna à sucer à Caroline qui s’était placée à genoux devant elle. Le spectacle était excitant : nos jeunes invités étaient à genoux devant nous, à nous sucer. Et ils allaient maintenant être pénétrés de la même manière.

Théo et Caroline étaient à 4 pattes face à face, leurs visages à quelques centimètres. Je viens derrière Théo et lui tartinait la raie et l’anus de gel, en le massant et lui introduisant un doigt pour lubrifier profondément. Théo réclama rapidement sa sodomie, trop excité.

Nous nous plaçâmes chacun derrière notre invité et au même instant, mon pénis et le sexe artificiel du gode se placèrent respectivement sur l’anus de Théo et de Caroline. Attrapant les hanches et poussant, les 2 sexes envahirent les anus offerts et lubrifiés, pratiquement en même temps, arrachant un cri de plaisir de nos invités. Puis, nous commençâmes les allers-retours, en les prenant par les hanches. Nous commencions à transpirer sous la chaleur et sous l’activité sexuelle intense.

– Théo, Caro : vous adorez finalement cela, vous pourriez le faire tous les deux ? dit Léa
– Oui, oui, … j’aimerais tant sentir le pénis de Théo dans mon cul… souffla Caroline

Ils se regardèrent et avancèrent leurs visages pour s’embrasser sur la bouche, tout en continuant à se faire sodomiser.

Léa se retira la première de l’anus de Caroline, et je fis de même avec Théo. Léa demanda à Théo de venir se faire sucer par Caroline : celle-ci s’exécuta, sous les conseils avertis de Léa :

– Lèche bien le gland, prends-le en bouche et masturbe-le en rythme, caresse lui les couilles…. Oui, voilà, comme ça … regarde le, montre-lui que tu aimes ça…

Théo était aux anges, Caroline lui montrait qu’elle en avait vraiment envie et qu’elle était sans tabous.

Spontanément, Caroline demanda :

– Théo, j’aimerais te sentir dans mes fesses… tu veux bien m’enculer ?
– Bien sûr, ma chérie

Ils se placèrent en position, Caroline à 4 pattes, fesses relevées. Théo s’approcha, là encore sous les conseils de Léa :

– Mets ton gland sur l’anus, et pousse doucement jusqu’à ce que le sphincter cède…puis attend qu’elle te demande de bouger et à quel rythme …c’est elle qui décide …
– Oui, mon chéri. Je sens bien ta queue, remplis moi à fond et reste comme ça répondit Caroline

Celle-ci s’habituait à la taille du sexe et se caressait le clito en même temps. Léa complétait en lui caressant les seins et en l’embrassant sur la bouche.

– Maintenant, je veux sentir ta bite remuer et Théo commença des va et vient, de plus en plus rapides.

Léa se plaça à 4 pattes devant le visage de Caroline et se pencha : elle s’introduisit un doigt enduit de gel dans l’anus. Je compris l’invitation et vint directement la pénétrer analement et commençait tout de suite des allers-retours profonds.

– Tu vois Caroline, avec de l’entraînement, cela rentre tout seul…, et se mit à gémir sous les assauts de son rectum.

Théo et Caroline continuaient, excités par notre spectacle.

Léa me demanda :

– Je voudrais goûter ta queue, donne-la-moi à sucer…

Je me retirai de l’anus et vint présenter mon sexe tendu devant la bouche de Léa. Mon pénis portait quelques traces, mais Léa, comme d’habitude, semblait n’y porter aucune attention, et elle le porta à sa bouche.

– Regarde, Théo… elle suce la queue qui sort de ses fesses, et tellement naturellement … oui, continue, remplis moi bien, dit Caroline en gémissant

Après quelques coups de langue, je repris ma sodomie, en lui agrippant les hanches, comme pour m’introduire au plus profond de son rectum. Puis, soudain, Léa se cambra en gémissant, le visage crispé, signe qu’elle venait d’atteindre l’orgasme anal. Elle voulait ainsi donner l’exemple à Caroline, pour que celle-ci se relâche au maximum.

Léa reprenait son souffle, tandis que je maintenais mon érection par une masturbation régulière. Elle s’approcha de l’oreille de Caroline :

– Tu ne voudrais pas goûter au sexe de Théo, sortant de tes fesses ? tu montreras que tu es complétement ouverte à cette pratique
– Théo, donne-moi ton sexe à sucer…, répondit immédiatement Caroline.

Théo sortit son sexe et vint le présenter à son amie pour une fellation. Mais Caroline eut un geste de recul, car le pénis était souillé de traces de matières. Léa s’approcha, l’embrassa sur la bouche, lui passa la main dans les cheveux et l’approcha du sexe de Théo :

– Vas-y, lèche-le. Pense que tu es une petite cochonne qui aime le cul, et que tu veux faire plaisir à ton copain. Regarde-le, et montre que tu prends plaisir à lécher. Allez, fais comme moi …

Léa commença à lécher et Caroline l’imitait. Elles s’embrassaient et recommençaient, jusqu’à ce que le pénis soit propre. Théo se replaça derrière son amie et reprit sa sodomie. Il accéléra le rythme et Léa encourageait Caroline pour qu’elle jouisse par les fesses. Elle complétait ses encouragements par des caresses : seins, fesses, vulve. Après quelques minutes, sa respiration s’accéléra et elle finit par jouir. Après être sorti de l’anus en ébullition, Théo s’allongea sur le dos et je me mis à côté de lui, invitant nos amies à venir s’assoir sur nos sexes dressés.

Les deux filles, empalées vaginalement, commençaient à remuer leurs fesses pour se stimuler le clitoris. Elles s’embrassaient et se caressaient les seins mutuellement. Nous bougions le bassin en rythme pour leur donner le maximum de plaisir. Et tout cela au milieu de l’eau, en toute tranquillité.

Léa voulait partager toutes nos pratiques avec nos amis. Elle me demanda :

– Tu n’as pas un peu chaud, mon chéri. Tu ne voudrais pas une petite douche ?
– Oui, avec plaisir ! répondis-je.

Léa se pencha en arrière, se dégagea de mon sexe, puis m’envoya un premier jet de pipi sur le torse.

– Mais vous faites quoi ? questionna Théo, surpris…
– Ils profitent de tous les plaisirs, regarde-les… lui répondit Caroline du tac au tac

Léa reprit son pipi, et força le jet pour qu’il atteigne mon visage. J’ouvris la bouche et essayai de capter le maximum de liquide doré. J’adorais cette douche tiède et cela renforça mon érection. Caroline et Théo, regardaient, subjugués. Ils en avaient même arrêté leur copulation pour mieux observer. Une fois vidée, Léa vint s’allonger sur moi, pour que seins baignent aussi dans son pipi. Je me redressai et debout à côté, je me mis à uriner pour arroser tout son corps, en insistant sur le minou, les seins et la bouche grande ouverte. Elle avalait en me souriant, prenant visiblement plaisir.

– Théo, je voudrais gouter ton pipi, viens m’arroser ! dit spontanément Caroline

Théo se leva et vint se placer devant le visage de Caroline qui était à genoux. Le sexe de Théo était en semi-érection, signe qu’il se concentrait et que cette nouvelle pratique le perturbait. Les filles l’encourageaient et bientôt, un premier jet sortit que Théo dirigea sur les seins de Caroline. Et Léa en caressait les tétons pour les rendre encore plus durs, sous le liquide chaud.

Léa approcha la tête de Caroline du pénis :

– Humm, tu n’as pas envie de goûter ?
– Oui, chéri, donne-moi ta pisse …

Théo visa la bouche grande ouverte et la remplit de liquide qui dégoulina sur ses seins, car elle n’arriva pas à tout avaler… Le jet semblait ne pas devoir s’arrêter… et Théo l’encouragea :

– Avale tout, ma petite cochonne, avale toute ma pisse …

Caroline s’appliquait, en se caressant en même temps et finit par jouir, complément inondée de pipi.

Théo poursuivit :

– J’ai encore envie de pipi…

Alors Léa eut une idée :

– Caroline, tu vas connaître d’autre sensations… mets-toi sur le dos et écarte les cuisses. Théo, viens la pénétrer … attends, je vais te sucer un peu pour que tu bandes bien… Voilà, Théo pénètre-la bien…

Léa en profitait pour lui sucer et caresser les seins.

– Maintenant, Théo, vide toi, fais lui pipi dans la chatte…

Théo du se concentrer, car étant en pleine érection, il ne pouvait pas facilement uriner… Puis, il annonça :

– Humm ça vient, je me vide…
– Ouiii, je sens le liquide chaud, on dirait des litres de sperme, …. hummmmmm c’est bon…

Une fois vidé, Théo retira son pénis et le flot de pipi s’échappa. Léa vint lécher, comme pour capter le liquide qui pouvait sortir encore.

Léa reprit l’initiative :

– Et en parlant de sperme, tu n’as pas envie de goûter, Caroline ?
– Humm si bien sûr…
– Alors, les hommes, venez jouir sur nous, nous voulons votre sperme…

Les deux femmes se placèrent à genoux, joue contre joue, et en se caressant les seins. Nous nous masturbions avec Théo pour faire monter la jouissance et le sperme, et soudain de longs jets blancs se répandirent sur leurs visages et dans leur bouche. Elles se léchèrent le visage, chacune cherchant à chercher le maximum de sperme et vinrent même sucer encore une fois nos sexes, pour chercher la dernière goutte.

Après cette jouissance, nous nous retrouvâmes allongés, les uns à côté des autres, reprenant notre souffle.

Caroline et Théo se tenaient dans les bras. Manifestement, ils étaient à nouveau très amoureux et relancés dans leur vie sexuelle.

Nous allâmes nous baigner ensuite dans la mer, en plongeant nus directement dans l’eau. Nous profitions de la chaleur de l’eau et du contact sur nos peaux nues, sensation toujours aussi agréable. Puis Léa proposa à Théo et Caroline, d’aller jusqu’au rivage de l’île pour une petite promenade. Ils acceptèrent. Et nous nageâmes tous jusqu’à la plage, qui n’était pas très éloignée. L’île était vraiment magnifique. Un chemin partait de la plage, pour aller jusqu’au point culminant de l’île. Nous nous fixâmes cela comme objectifs :

– Mais, si nous croisons du monde, nous sommes tous nus… S’inquiéta Théo
– Pas de soucis. Il n’y a jamais personne, et même si, ils n’en mourraient pas ! répondit, habituée des randonnées naturistes

Après avoir progressé pendant environ 15 minutes, nous arrivâmes au sommet, avec une magnifique vue sur la forêt et la mer. Nous restâmes sur place quelques instants, avant de retourner vers le bateau. Mais je me doutais que Léa voudrait encore essayer quelque chose sur le plan de l’apprentissage érotique, car je la sentais très excitée…

Après quelques centaines de mètres, Léa nous indiqua son envie d’aller aux toilettes avant de retourner au bateau :

– Humm, j’ai une grosse envie et pas que pipi, si vous voyez ce que je veux dire …et j’ai envie que vous en profitiez…
– Oui, ma chérie, vas-y … tu vas nous exciter ! cela ne vous dérange pas, les amis ? répondis-je
– Oh oui, Théo, tu vas voir… Dit Caroline. Et naturellement, elle prit le sexe de Théo en main pour commencer à le masturber. Intrigué, Théo se laissait et affichait rapidement une belle érection.

Moi-même, je bandai rapidement, sachant ce que Léa allait nous offrir. Elle se mit à quatre pattes, fesses en l’air et s’était déjà mise deux doigts dans l’anus. Elle poussa et commença par libérer quelques jets d’urine sous elle.

– Chéri, viens m’aider à déféquer…

Je m’approchai, et à mon tour, lui prodiguait une profonde masturbation rectale, qui donnait cette sensation de défécation imminente. Elle poussa encore et un bel étron apparut dans l’orifice anal. Je me positionnai devant elle pour qu’elle me suce. Pendant ce temps, Caroline suçait Théo :

– Regarde Théo, comme c’est cochon, mais excitant…cela me fait mouiller !

Théo était à la fois très excité par ce que lui disait son amie, mais aussi très surpris par cette nouvelle pratique.

Léa mis ses mains en coupe, comme nous le faisons à chaque fois lors de ces pratiques, pour récupérer les matières puis commença à se caresser les seins tout en continuant à me sucer. Elle se tartinait les fesses et l’entrejambe en gémissant de plaisir.

Je m’allongeai sur le dos et commença à me masturber avec ses mains souillées. Mon érection était à l’extrême.

Puis Léa entrepris d’éduquer Caroline et Théo.

– Caroline allonge toi sur le dos, et elle commença à lui caresser les seins.

Théo regardait la scène, en se masturbant.

– Qui de vous deux à envie de déféquer ? demanda Léa.
– Théo, viens chier sur moi, j’ai trop envie …, demanda Caroline en continuant à se caresser.

– Oui viens, accroupis toi au-dessus des seins de Caro, et pousse… cela va venir

Caroline masturbait Théo, et l’encourageait. Elle lui mettait également un doigt dans les fesses pour le stimuler. Il commença par pisser, puis son sphincter commença à s’ouvrir. Deux étrons bien moulés tombèrent sur les seins de Caroline. Léa commença à caresser les seins de Caroline avec. Elle prit la main de Caro pour qu’elle se l’étale elle-même. Celle-ci hésita un peu et finalement se mit à se caresser avec sensualité :

– Merci Théo, regarde ce que tu m’as donné…

Et elle entreprit de masturber Théo avec la matière. Celui-ci, prit par l’excitation, se mettait les doigts dans les fesses, et passait les doigts sur le visage de Caroline, comme un maquillage.

Léa était à quatre pattes à côté de Caroline et la vue de ses fesses me donna des envies : je m’approchai avec le sexe dressé et commençait une profonde sodomie.

– Oui, encule-moi mon chéri, c’est si bon, dit Léa en continuant à caresser Caroline et Théo.

Je continuai mes va-et-vient et Caroline commençait à jouir sous les caresses de Léa et sous sa propre masturbation. Elle n’hésitait plus à entrer ses doigts souillés dans son minou trempé. Théo hésitait à toucher la matière, mais trouvait très excitant la scène et le fait qu’on le masturbe avec son propre caca.

Léa eut un premier orgasme anal, qui la fit se cambrer…. Caroline suivit juste après…

Léa nous invita ensuite à vider notre sperme, pour finir en apothéose.

– Caroline, il faut maintenant nettoyer le sexe de ces messieurs … tu veux t’occuper d’Alain pour finir ?

Théo accepta. Caroline se positionna à genoux devant mon sexe, mais celui-ci portait plus de traces que celui de Théo. Caro eut un petit recul, mais comme elle l’avait déjà fait, Léa l’aida en lui murmurant des mots crus :

– Tu es une vraie petite cochonne, qui aime les cochonneries…

Caroline ouvrit la bouche et engloutit l’organe en érection. Elle avait passé le cap. La bouche chaude de Caroline me fit du bien. Léa vint sucer Théo, en déployant toute sa technique : elle lui souriait, tandis qu’elle donnait des coups de langue sur le gland. Elle allait même rechercher de la matière dans les fesses de Théo pour la réétaler sur le sexe toujours plus tendu.

Après quelques minutes, l’orgasme s’approchait et Caroline voulut absolument gouter le sperme de Théo. Nous changeâmes de partenaire. Et après quelques succions, notre liquide se répandit dans la bouche de nos compagnes. Elles avalèrent toutes deux, après l’avoir gardé longtemps en bouche.

Nous restâmes allongés un moment, pour profiter du lieu. Nous ne faisons même plus attention au fait que nous étions encore maculés de traces anales. Nous reprîmes le chemin de la plage pour rejoindre le bateau. Nous ne fîmes même pas attention aux couples qui étaient sur la plage et qui ont dû être surpris de notre tenue !

Replongeant dans la mer, nous nageâmes un moment pour rejoindre le bateau. Ce bain nous permis de nous nettoyer, le temps d’arriver sur le bateau. Une fois arrivé, nous prîmes une douche à l’eau douce pour nous débarrasser de toute traces.

Nous servîmes un petit goûter avec des boissons fraîches. Et ce fut Léa qui prit la parole :

– Alors, comment avez-vous trouver ce petit séjour ?
– Ce fut très agréable, nous avons découvert plein de choses sur nous et sur nos envies et fantasmes. Nous étions trop enfermés sur nous-mêmes, ce qui nous empêchait de vraiment profiter l’un de l’autre, répondit Caroline
– Oui, c’était le but. Avec Alain, nous ne voulions pas vous laisser dans cet état. Il fallait que vous passiez le cap pour vous redécouvrir, et cela passait par de nouvelles pratiques, même un peu extrêmes…
– Un peu ? tu veux dire très, non ? mais j’ai découvert que rien n’est dégoutant quand on le fait dans le partage et dans l’excitation mutuelle, sans forcer, même si pour le caca, j’ai eu un peu de mal…
– C’est pour cela que je t’ai un peu forcée, mais gentiment, juste pour que tu franchisses le pas…
– Moi aussi, j’ai découvert le plaisir de derrière, en jouant avec mon anus, et que ma copine est une vraie petite cochonne… et j’adore ! ajouta Théo. Je ne pensais pas non plus que l’on pouvait aller aussi loin, sans jamais entrer dans le crade !
– Et maintenant, il faut maintenir le rythme et continuer à pratiquer, pour garder l’envie et l’excitation… ajoutai-je
– Et quel plaisir, d’avoir découvert le naturisme, le no-culotte et le barefoot : ce sera notre style de vie maintenant, n’est-ce-pas Théo ? ajouta Caroline. Théo approuva d’un signe de tête.

Nous étions très heureux de voir ce couple à nouveau au sommet de leur passion, confirmant ainsi qu’une bonne entente sexuelle reste un des fondamentaux d’un couple.

Après quelques verres rafraichissants, Caroline se leva et s’assit par terre, penchée en arrière. En nous souriant, elle écarta les cuisses, dévoilant toute son intimité et commença à se caresser le minou : Humm, j’ai chaud, j’aurais besoin d’une bonne douche spéciale …. Nous nous regardâmes en souriant, elle était vraiment devenue une vraie petite cochonne. Sa posture ne pouvait laisser personne indifférent : nous nous levâmes tous en même et l’entourèrent. Théo l’embrassa sur la bouche : Je t’aime, ma chérie, ma petite cochonne… tu vas voir comment on va te soigner ! Léa s’était placée à hauteur du visage de Caro. Et peu de temps après, les jets de pipi se déclenchèrent, arrosant toutes les parties du corps nu et offert de Caroline. Léa visait tout particulièrement la bouche ouverte de son amie. Quand les sources se tarirent, Caroline en fit le tour pour lécher et sucer les toutes dernières gouttes. Pour ne pas en rester là, Léa s’assit sur la table cuisses écartées et invita Caroline :

– Viens Caroline, viens me lécher le minou et me faire mouiller …
– D’accord ma chérie, tout ce que tu veux…

Elle se pencha sur la table, les tétons presqu’au contact du bois, pour pouvoir atteindre le sexe épilé et humide de Léa. Ce faisant, elle offrait ses fesses de manière impudique. Théo s’approcha par derrière, s’agenouilla et engloutit son visage dans le sillon fessier, passant sa langue du clitoris jusqu’à l’anus. Il poursuivit jusqu’à ce que Caro l’invite à la pénétrer. Il se leva et pointa son gland décalotté devant le minou trempé. Au moment où il s’apprêtait à franchir la vulve, Caro gémit :

Pas par là, dans les fesses, encule-moi stp.

Théo sourit, ils étaient tous les deux parfaitement en phase : prenant son sexe, il l’ajusta devant la rosette anale et s’apprêtait à forcer le sphincter. Caro recula elle-même les fesses, pour se sodomiser elle-même : Encule moi fort, bourre moi le cul…. Elle ne nous avait pas habitué à ce vocabulaire et cela renforçait notre excitation. Théo sodomisait son amie sans ménagement, comme elle l’avait demandée, et elle léchait la chatte de Léa de plus belle.

Devant ce spectacle, je ne pus résister : je m’approchais et mis un doigt dans le minou de Caro, pour recueillir sa cyprine et m’en mettre plein les doigts. Je vins me placer derrière Théo et lui enduisit l’anus avec la mouille de sa copine. Je forçais l’entrée de son rectum et introduisit un puis deux doigts.

– Théo, tu la veux dans les fesses ?
– Oh oui, vas-y, répondit-il, tout en continuant sa sodomie
– Oui, Théo, prends la dans le cul comme moi, fais-toi bourrer le derrière …, encourageait Caroline.

Je pointai mon gland sur son anus : il interrompit son coït le temps de me laisser le pénétrer à fond. Puis, nous reprîmes nos va et vient, jusqu’à l’orgasme. Nos spermes s’écoulèrent dans les rectums que nous enculions.

Nous ne voulions pas gaspiller ce sperme : Léa lécha les fesses de Théo, pour venir goûter mon sperme qui s’en écoulait. Le sperme de Théo s’écoulait des fesses de Caroline : Léa le récupéra dans ces doigts, qu’elle fit lécher à Caroline, qui s’en délecta jusqu’à la dernière goutte.

Cette dernière séance montrait que nous étions parfaitement en phase sur le plan sexuel, et Caroline et Théo en parfaite harmonie.

Il fallait maintenant rentrer. Nous relevâmes l’ancre, le ronronnement du moteur se fit entendre et nous mîmes le cap sur le port. Léa et Caroline s’étaient réinstallées sur le pont avant, toujours nues, pour profiter du soleil. Nous entrâmes au port, créant l’attraction avec nos deux sirènes naturistes. Théo et moi avions juste mis un string ficelle de bain. Une fois amarré, nous revêtîmes juste un short, et les filles restèrent seins et pieds nus, le temps d’aller à la maison.

Une fois rentré et une dernière douche prise, nous profitâmes d’un diner et d’une baignade de minuit dans la piscine, toujours en tenue d’Adam et Eve.

Je crois que tout le monde a bien dormi ce soir-là, sans activité sexuelle … en tout cas, pas avant le réveil !

Le séjour se termina avec de nombreuses séances de sexe : pas de nouvelles pratiques – c’était déjà beaucoup – mais une approche naturelle et sans tabous, entièrement tournée vers le plaisir partagé.

FIN

 

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Une réponse à Une séance de massage révélatrice (partie 4) par Francois_urophile

  1. Irma dit :

    Il ay un passage scato. On peut en excuser l’irréalisme (après tout on est dans la fiction) mais il plus difficile de pardonner son bâclage

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