Tant va le Temps…Tant va le Cul… 026 – Je rêve encore… (2) par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 026 (2) Je rêve encore… par Verdon

J’aime m’asseoir à la terrasse d’un café, le matin de bonne heure et prendre un petit noir avant d’aller au boulot. J’ai plaisir, alors à observer les passants plus ou moins pressés qui déboulent sur le trottoir et qui comme moi, s’arrêtent parfois pour consommer et s’accorder un petit temps de détente avant de poursuivre leur chemin pour aller à leurs affaires.

Il y a les pressés qui ne vous regardent même pas et ceux qui flânent, pas encore bien réveillés. Certains vont lentement sans doute pas très enclin à aller où ils vont et d’autres, dynamiques poursuivent gaiement leur chemin avec bonhomie.

Je regarde surtout les femmes (quoique des gars attirent aussi mon regard). Elles sont merveilleuses, les femmes. Beaucoup tirées à quatre épingles, fraîches, pomponnées comme des poupées, souriantes et parfois soucieuses.

Il y en a des sérieuses (au moins apparemment), affairées, incorruptibles (sans doute..), imperméables à tout ce qui les entoure. Modèles de maîtresses de maison, de DRH ou Dame de patronage. (commandent dans la vie…mais soumises sous l’homme…fessées, sodo, bondage… j’en passe et des meilleures…notable dans le monde, putain en aparté.).

J’en vois des voltigeuses aux robes froufroutantes ou au jeans serrés, qui papillonnent entre elles au milieu de fou-rire et de franche gaieté. (Fierté au bout du nez, le cul impertinent, l’arrogance du sein, baratin sous la jupe…).

Et surtout je n’oublie pas, ces bonnes ménagères, celles qui font leurs emplettes, le train-train journalier, le docteur, le coiffeur ou ailleurs, traînant gaillardement leur belle maturité…faisant bien leur boulot, délicieuses en amour. En manque et sensuelles, elles sont les plus sympas. (Bonne tenue, l’œil condescendant…le regard aiguisé…humides entre les jambes…adorent leur cocu, ça permet bien des choses.).

Eh bien l’autre jour c’est sur ce dernier genre de Nana que j’ai fantasmé…

Oui, sur une belle bourgeoise que je croise dans un bar de la ville voisine. Ce n’est pas un endroit coquin, ni le moment de se livrer à quelques fantaisies amoureuses. On est tout au début de la journée, et comme moi sans doute, elle vaque à ses occupations habituelles.

Elle s’attable non loin de moi et un petit mec tout étriqué qui ne paye pas de mine vient la rejoindre et l’embrasse amoureusement. Elle ne me paraît pas si enchanté que lui. Ce doit être son compagnon. Il s’assoit à côté d’elle. Je trouve qu’ils ne vont pas bien ensemble.

Bref, elle ne me semble pas être à sa place.

Corpulente mais fringante, à l’inverse de son mec petit traîne-savate, elle a plutôt fière allure et doit certainement en certaines occasions, péter la forme. Toute en chair, avec des nibars qui débordent de son poitrail comme ces grosses miches de pain qu’on voit sur l’étal du boulanger et qui donnent envie de mordre dedans !… Et je ne vous parle pas de son cul qui avale le tabouret sur lequel elle est perchée. (je prendrais bien la place du tabouret…Pff!).

Quand elle se lève pour partir avec son gringalet sous le bras, elle me fait un charmant sourire et je me dis, bêtement, qu’elle doit souffrir de manque avec un si petit bonhomme dans son pieu. Il doit avoir bien des difficultés, le microbe, à lui bousculer ses chairs et je l’imagine mal survivre coincé entre ses cuisses ! (mais à chacun ses goûts et si les grosses nanas choisissent des petits bonshommes, c’est qu’elles y trouvent du plaisir et du vice).

Il ne m’en faut pas plus pour faire tournoyer mon imagination toujours à la bourre de quelque aventure amoureuse.

Car me voilà tout de suite à rêver de le remplacer l’avorton, si elle veut bien fondre dans mes bras. Ça y est… je me branle !…Et je sens que je parts pour de nouveaux songes éveillés.

Je reconstruis l’histoire.

On n’a pas quitté le bar… Elle m’aguiche avec son sourire. Son minus descend aux toilettes en se grattant l’entre-jambes pour satisfaire sans doute une envie pressante. J’en profite pour offrir un café à sa compagne et lui proposer une petite soirée à la maison qu’elle accepte très volontiers. Elle me passe, déjà une main entre les jambes et à travers le tissu de mon froc elle me serre déjà les couilles qui bouillonnent d’envies. On se donne rendez-dès ce soir à la tombée de la nuit.

Au fond du bar je vois son mari qui remonte des WC en marchant comme un canard… toujours en se grattant le cul.

– Regarde-moi ce con il s’est encore fait troncher le trou de balle, le saligaud ! me dit-elle.

Elle me lâche et je me sauve en la laissant régler ses comptes avec son freluquet qui a l’air plus enclin à se faire chahuter la rondelle, qu’à flatter sa patronne…

Je suis au bord de la piscine. Elle arrive flagorneuse, (normal je ne l’ai pas invitée dans mon rêve pour lire la Semaine de Suzette…).

Merde !… Elle est venue avec son gringalet.

Boff ! Pourquoi pas, plus il y a de trous et plus on les remplit… Hi ! hi ! Je pense que ce dernier n’est pas venu avec elle sans intentions derrière la tête…(ou derrière le cul…comme vous préférez !). Ma foi s’il veut bien me sucer après que j’ai enfilé sa femme, quoi de plus normal après tout s’il est un bon cocu. Je pense que si elle le prend sous le bras quand elle va à ses occupations, c’est sûrement pour qu’il lui fasse le ménage après ses petites affaires. Sans doute aussi pour approprier l’attribut du consommateur au moment où ce dernier sort sa pine du trou du cul de la gourmande.….
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Vu que je suis déjà à poil (je suis en plein dans mes rêves…), les présentations sont vites faites. Elle n’a pas l’air trop impressionnée par ma courbure qui pointe déjà vers ses nichons. (elle a dû coincer plus d’un vireton entre ses mamelles !). Désinvolte elle se débarrasse de ses fringues, les jette par terre, s’accroupie sur la grille au bord de la piscine et se met à pisser.

Oh le joli pipi ! Un gros jet doré, bruyant, qui sort de sa chatte grande ouverte entre ses épaisses cuisses. (les chutes du Niagara…).

Et elle pisse, et elle pisse en me tournant le cul. Je remarque qu’elle a du poil au cul (hi ! hi ! ça doit tirer quand elle se fait enculer), mais ça n’enlève rien à la beauté du geste.

C’est beau un cul accroupi de cette façon. Les fesses lourdes, la raie bien ouverte, le petit trou rondelet et distendu qui apprécie le bonheur de s’aérer la muqueuse, après tout ce temps passé enfermé entre les deux globes fessiers. Un peu d’air en ce si bon endroit, ça rafraîchit la chair tout en stimulant les idées. (moi ça ne me déplairais pas d’être coincé en cet endroit-là !).

Oh ! Mais qu’est-ce qu’elle me fait la cochonne !…

En voilà une drôle de façon !

Elle me chie, là, sur la grille, sous mes yeux, un putain de boudin, nom de dieu !…un maousse qui lui explose le trou de balle, avec l’insolence d’une cavale de retour à l’écurie.

Elle le tortille son popotin, la ‘poétesse’…elle pousse, elle l’écarquille son trou d’évent et me déballe sous les yeux, un volumineux paquet cadeau coloré et pointu et fumant… on dirait le chou praliné d’un pâtissier facétieux.

Oh la salope ! Je te lui en foutrais à rebours du chou à la crème dans sa rondelle étoilée !

Elle se relève.

Elle marche en se dandinant et ça me plaît beaucoup de voir ses grosses fesses se frotter l’une contre l’autre. (je vais y glisser ma pine !).

Défiante elle me lance un regard goguenard et lâche un pet tonitruant avant de se jeter à l’eau en riant et en éclaboussant tout le monde. Elle se prend pour un hippopotame dans le parc de Vincennes, la dégueulasse !

Et qui c’est qui va ramasser la crotte ?….. (bon, et le cocu qu’est-ce qu’il fait…).

Humm, j’aime ce genre de Nanas sans gêne et sans complexes. Leur désinvolture les autorise à autant de beauté et de vice qu’elles ont de corpulence. C’est chouette !

Justement, de la désinvolture elle n’en manque pas, mon invitée.

Ça vous fouette la libido une bonne femme pareille. Et voilà que je me retrouve de suite les couilles en ébullition. Elle le sait, la cochonne ! Elle a bonne allure avec son joli gagne-pain et sait amadouer les hommes !

Ah, je vous jure, c’est rondelettes mâtures sont de super nanas ! Je sens que je vais lui enjôler son gros fessier !

Certes elle a un gros cul… ben oui, et alors ? C’est beau un gros cul, ça offre de belles perspectives et c’est plus accueillant qu’un cul étriqué. (remarquez que je n’ai rien contre les petits culs. L’essentiel c’est qu’ils soient avenants, l’un n’empêche pas l’autre. Cependant une bonne paire de fesses vous permet de vous installer confortablement sur le dos de la bénéficiaire. Elle ronronne la grassouillette tandis que la maigrichonne elle vous casse les roubignolles en disant que vous l’avez trop grosse).

– Ben oui je sais bien que je l’ai très grosse !… (elles savent vous flatter les Dames !)…Mais c’est pour mieux t’aimer mon Amour…Oups !
– Ah oui, je ne l’avais pas compris comme ça !
– Ben voilà !

(c’est fou le temps qu’on perd à leur expliquer les choses à certaines…pendant qu’on a le gland qui se fracasse le nez sur le petit trou dédaigneux ! …Oups !).
………………………….
Mais le mari où est-il ?

Eh bien le mari tout aussi nu que nous, avec le service trois pièces qui pendouille sur le carrelage, se penche au bord de l’eau pour en tâter la température (de l’eau, pas de sa femme…remarquez que moi je lui tâterais bien cul… de sa femme, pas le sien !…).

Quoiqu’il a une belle arrière-boutique, son ‘court sur pattes’, nom de dieu ! Et dans cette position il m’aguiche le voyou avec son p’tit trou ! (fendu comme un calisson, on voit bien qu’il n’est pas innocent de ce côté-là. Avec sa bite molle et ses couilles qui pendent, il est adorable, il plaît à ma pine !).

Penché comme il est, on dirait une marguerite sur un pot de fleurs !

Aussi j’ai mon imagination qui tourne à cent à l’heure…

L’épouse qui fait la planche dans la piscine avec ses mamelles qui flottent comme deux méduses, et son mec qui me tend un vrai postérieur de minette… Ah je me branle, les amis… oh combien je me branle… je sens la purée qui monte à toute allure… Ah il faut que je me le paye ce trou de balle ! (c’est que côté cul il est plus flatteur que côté face, cet andouille !). Cette jolie grappe de gonades qui pendouille sous la petite fente dans la raie de son cul féminin, m’affole ! Je trépigne…Je bande…

Ça y est je lui écarte les fesses… j’enfile le petit trou… je l’encule le minus… Un bon coup de bite dans son trou du cul ! Il ne demande que cela !… J’y vais franco de pine…

Bon sang ! Fatalement en poussant… je l’envoie à la baille ce couillon qui ne sait pas se tenir sur ses deux jambes pour se faire enculer proprement par un honnête citoyen !

Il largue les amarres sans que je puisse régler mon affaire… nom d’un chien ! Ma bite prend l’air, et je jette aux poissons ma purée toute chaude qui s’éparpille en de longs filets blancs, dans les remous que fait sa dodue qui patauge à côté et qui en reçoit sur le nez. … J’arrête de me branler.

Retour au calme…Je reprends mon rêve, et ça repart. (on peut tout se permettre quand on rêve).

Cependant pendant que notre olibrius est en train de se noyer, (je ne vais pas jouer au pompier maintenant !), son ‘triple’ qui n’en a rien à foutre, sort de l’eau, ruisselante. Elle s’ébroue devant moi, jambes écartées et chatte à tous vents, elle se sèche en me faisant un étalage de viande à me faire attraper une grosse indigestion. Chatte bovine, trou du cul volcanique et fesses à la montgolfière !

Et elle pisse encore la cochonne, au-dessus de moi, le ventre tendu en avant et le sourire béat du genre :

– Je te pisse au cul mon salaud !

De la bonne pisse fumante et odorante que savent si bien lâcher entre leurs grosses cuisses, ces charmantes dames.

Plantée au-dessus de moi elle me pisse comme génisse dans un pré, la salope ! Sur mon torse, dans ma bouche, de partout…et j’aime ça ! Et la vue !…Oh la belle vue qui de chatte en trou du cul m’offre un festival de sensualités féminines…. Je me branle… Je me branle… (c’est si bon de rêver !).

Son étriqué s’est accroché à l’échelle… il va s’en sortir.

Pour moi ce n’est pas le cas. Engoncé jusqu’aux couilles dans le con de son épouse je ne suis pas prêt d’en sortir ! C’est une ventouse…Une pompe à bite…Une croque-monsieur… (et je me branle !).

Oh que c’est bon !…

C’est bon un rêve éveillé. Je me permets toutes les situations, c’est moi qui dirige et qui choisit les meilleures lubricités possibles.

Maintenant, en 69 sur le tapis de bain elle ouvre ses cuisses volumineuses et j’y plonge mon crâne tout entier. Elle me masse le clafoutis au fond de sa gorge avec un savoir-faire de professionnelle, en me mettant le doigt au cul (en fait c’est mon doigt..). Je me débarbouille dans son vagin encore pisseux tandis que son trou de balle, délavé et rétrécis par la flotte, n’a plus de goût ni de couleur.

Cependant je prends quand même un grand plaisir à lui tarauder l’entrée des artistes en y enfonçant profondément le bout de ma langue.

Elle est heureuse la meuf ! Elle jouit en me tapant sur les fesses avec ses grosses paluches et comme je crie elle m’enfonce la tête, à m’étouffer, au fond de sa moniche… elle jouit encore plus fort en se masturbant avec mon menton.

Insatiable elle joue avec mes balloches, comme un petit chat avec une pelote de laine. Elle me suce, me troue le cul avec son index et me branle la pine maintenant un peu fatiguée.

Je ressens soudain qu’on me tripote les fesses.

Putain ! Mais c’est son rescapé de la noyade qui trouvant du charme à mon cul, se permet de bien irrespectueuses familiarités sur le gras de mon très honnête bas du dos, le sagouin !

Putain mais la noyade ça lui a redonné des forces au maigrichon !…

Il bande le salaud, il bande comme un pendu et il veut me niquer !

Je vais me faire enfiler par un avorton et sous les yeux de son épouse !

Il enfonce sa pine dans ma boutonnière, ce qui me provoque une intense jouissance, suivie d’une violente éjaculation.

Oh le con !… Il me casse mon… rêve !

Oups ! C’est encore un rêve qui s’efface !

Mon imagination s’écroule… j’arrose mon bas- ventre de mes chaudes courtoisies… (et le tapis encore…pour la femme de ménage évidemment…).

Ben ! N’empêche que c’était du bon rêve ce soir-là !…. enculé en baisant… qu’en dites-vous les gars ?

Je ne vais plus oser la regarder quand je vais la croiser cette Nana…

Quoique j’aimerais bien concrétiser avec elle…la prochaine fois !

15/10/2023

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Une réponse à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 026 – Je rêve encore… (2) par Verdon

  1. Harivel dit :

    Après la petite déception de l’épisode précédent, Verdon nous revient en pleine forme pour notre plus grand plausir.

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