Tant va le Temps… Tant va le Cul… 40 – Adèle… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 40 – Adèle… par Verdon

Vous, vous rappelez sans doute que Marcus, notre jeune ecclésiastique, qui loge provisoirement à l’Hôtel du ‘Au Bon Coin’, vient d’être initié à quelques bons plaisirs naturels par son vieux confesseur, histoire de lui faire découvrir les vices de ses futurs paroissiens (et surtout paroissiennes), pour pouvoir à son tour, les confesser. (un beau métier, en somme !…).

Le lendemain soir, à l’heure du dîner, quand Adèle descend dans la cuisine (sans doute, après avoir rendu quelques menus services à un ou deux messieurs qui sont sortis par la porte de service), elle remarque discrètement, que le curé est déjà là, apparemment en grande discussion avec sa Tante…

– Ce ne doit pas être facile de tenir un hôtel dans cette petite ville, ma pauvre Dame !
– En effet, il y a très peu de monde qui s’arrête ici. Et avec le restaurant, on ne gagne pas notre vie. Heureusement on reçoit de temps en temps, la visite de représentants de commerce, et aussi celle de braves gens de passage, des habitués. Ils paient bien ceux-là ! Ça met du beurre dans les épinards (il n’y a pas que dans les épinards que ça met du beurre… Hi, hi !)
– Je ne doute pas que vous devez leur rendre de bons services.
– Je pense bien, en effet, mais ce ne sont pas des clients pour votre église. Tous des mécréants qui ne vont pas à la messe le dimanche matin… et l’après-midi, ils viennent se distraire dans mon bar, quand leurs femmes sont à l’office !
– Mais vous, vous y allez à la messe ?
– Ben oui ! Euh… pas vraiment, j’ai tellement de travail… il me faut prendre soin de tous ces ivrognes… Je paie de ma personne, vous savez !…J’ai mon église à moi… Je m’y donne corps et âme…
– Je n’en doute pas. (il n’y a pas que l’alcool qui coule… ). Au moins pendant ce temps-là, ils ne vont pas au bordel !
– Oh ! comment vous parlez, Monsieur le curé !…Le bordel !
– Il faut nommer les choses par leur nom… savez-vous s’il y en un par ici ?
– Oh je ne m’occupe pas de ces choses-là… c’est pécher.
– Pourtant, à entendre Henriette, la servante du curé… ..
– Pouff ! Une pipelette …celle-là !
… Tenez, voilà Adèle qui va vous servir le dîner… bonsoir Monsieur le curé !

Alors elle se retire la patronne. Elle se retire en refermant son décolleté qui avait eu le temps de s’ouvrir insidieusement pendant ce bavardage.

Avec sa nièce elle échange un sourire qui n’est pas très chaleureux, semble-t-il…
En se retirant, Gertrude pense tout bas :

– Il me plaît ce curé. Il n’a pas l’air empoté et j’aime son franc parlé. Le ‘bordel’… ça l’intéresse, on dirait. Je parierais qu’il y mettrait bien les pieds dans un bordel ! A voir comme il a zyeuté mes lolos, ça ne m’étonnerait pas… C’est normal, un beau gars comme ça ne peut pas faire famine pendant trop longtemps ! On va bien voir, il faut que je me le materne un peu. J’aimerais bien voir qu’est-ce qu’il cache sous sa soutane. Ce serait bien l’occasion de me faire reluire mon petit médaillon.…

… Ainsi donc, nos deux maquerelles se prennent d’intérêt pour ce cher curé. Elles sont en concurrence, ça va chauffer ! Mais chacune a des atouts différents, qui devraient leur permettre d’arriver à leurs fins sans trop de difficultés.

On se doute bien que le jeune curé va s’intéresser à leur âme.

En effet, ce dernier comprend vite les émotions de ces dames. Sous la légèreté du tissu qui recouvre leurs beaux nichons, il perçoit nettement ces vicieuses palpitations qui donnent aux dames ce teint rose à leurs joues et illuminent leurs yeux d’un soupçon de concupiscence, dès qu’un monsieur (fut-il curé), reluque leurs charmes.

– Il va falloir que je me les confesse, ces bonnes dames. Elles ont sûrement de drôles de mœurs à me raconter ces païennes !

Adèle lui a plu tout de suite. Jeune, jolie, aguichante, elle cache certainement sous sa jupe ces trésors que Dieu lui a donnés. Ça fait longtemps qu’il aimerait savoir comment c’est fait une pécheresse.

Il n’a pas dû attendre longtemps pour le savoir et même pour l’essayer la diablesse.

Il va d’abord la convaincre de venir à confesse pour se faire pardonner ses péchés en lui faisant peur d’aller en enfer. (rien de mieux pour ramener dans le confessionnal, les petites dames crédules et hypocrites… le Paradis, bien sûr, mais le diable c’est si bon !).

– Au nom du Père et du fils… pardonnez-moi monsieur l’Abbé, parce que j’ai beaucoup péché… .
– Oh ma pauvre fille, le Père est Bonté… il va vous prendre dans ses bras pour vous pardonner.
– … Euh… J’aurais préféré, le fils…
– Ben voyons ! Soyez sérieuse… Allez, dites-moi tous vos péchés afin que je puisse vous accorder l’absolution.

Alors elle lui raconte tout, la pécheresse. Tout, et même un peu plus car elle est fourbe Adèle, elle veut l’exciter le prélat.

Elle a le souci du détail… ses branlettes, les caresses aux messieurs, les coquineries avec sa tante, et les doigts vicieux de ces messieurs, qui se promènent partout sur son corps…

– Ah bon ! C’est tout !…

Il est déçu… tout cela ça ne fait pas de bien gros péchés. Il en aurait imaginés de plus gros et plus croustillants… on ne dérange pas un curé pour un doigt dans le cul…

– Je les trouve bien sages ces messieurs, mais par ailleurs, qu’est-ce qu’ils vous ont fait ces chenapans ?… Dites-moi tout, je vois un peu de rose sur vos pommettes ! N’ayez pas honte de tout me dire… je sais que le diable doit parfois vous tourmenter, ma pauvre fille !

Allons, pour le même prix, elle va lui en raconter de plus égrillards, la vicieuse… (elle en mouille déjà et ça coule le long de ses cuisses… ).

– Oh mon père ! je n’ose pas… ils sont si vicieux !…
– Hélas, c’est à cause des femmes qui sont tellement provoquantes !
– Mais c’est qu’ils me montent dessus, ces cochons !
– Comment ça, ils vous montent ?… ils montent où ?
– Ben, sur mon postérieur… sur mon derrière… je ne sais pas comment vous dire…
– Sur votre Cul ?
– Oh ! Comment vous dites… Oui, sur mon cul !
– Et qu’est-ce qu’ils y font sur ton cul, ma fille ! (Tu, rime avec cul… ).
– Eh bien ils m’y foutent leur machin long, monsieur le curé… Oui, leur sexe dans le trou de mon cul… si vous voulez tout savoir ! (il bande le curieux !)
– Diable ! ça doit faire mal !!… Euh… , je voulais dire : c’est mal !
– Pas trop mon père… pas trop… Ils ont beaucoup de charme … oui même des fois un très gros charme… c’est dur à avaler… mais ils sont si aimables que je ne sais pas leur résister.
– Alors tu es consentante !… c’est grave, c’est le début du péché… renégate !…
– C’est qu’ils sont impatients, mon père ! toujours prêts et exigeants ! Et comme je suis gentille, ils me font beaucoup de bien… Oh ! Si vous saviez le bien qu’ils me font !…
Ensuite ils me consolent.
– Ah bien ! Ils sont honnêtes au moins, c’est la moindre des choses… J’espère que tu ne les revoies plus !
– Oh si mon père, si je les revoie… .ils me consolent si bien !
– Je comprends… mais ce sont des hommes mariés ?
– Oui, certains. De bons gars, monsieur l’abbé, comme vous… euh, pardon ! C’est que voyez-vous, leurs bonnes femmes… elles ont le cul serré !
– Non, non je ne vois rien, (hélas… ), euh ! je prie pour elles… je veux dire… les yeux fermés. Alors qu’est-ce qu’elles ont leurs femmes…
– Evidemment, si vous gardez les yeux fermés… vous ne voyez pas leur petit trou serré ! C’est là où ça ne passe pas…
– Même en poussant un petit peu… .juste un petit peu !
– Ben voilà, vous comprenez la chose… Mais non, elles refusent… les ingrates.
– Sûr que… Si en plus elles refusent !…
– C’est pour cela qu’ils viennent chez moi pour vider leurs balloches, les maris… et c’est moi qui fait le travail… enfin le péché… vous comprenez ?
– Ben oui, à cause d’elles ! Pour un petit trou !…Voilà qui change tout… Vous péchez par procuration en quelque sorte.
– Bof ! procuration ou pas… ça me procure du bien !
– Eh bien finalement le péché te fait du bien… vilaine !
– Cependant, le Père est très compréhensif et miséricordieux et il m’a chargé de vous accorder son pardon. Mais il vous faudra faire un effort pour en faire beaucoup moins des péchés.
– Merci de me comprendre, monsieur l’abbé. Oui je vais être sage… jamais plus de deux à la fois !
Vous savez en plus, qu’avec moi, c’est du fini-main.
Pour quatre ronds, le vilain retourne dans le lit de sa dondon, les roubignolles vides et le poireau en déliquescence.
Et sa chérie peut bailler avec son cul pendant huit jours, sans risquer de se faire engrosser par son mec. (si ce n’est pas du bénévolat tout ça ?…).
Elle n’y voit rien, l’épouse. Du moins elle fait semblant, car pendant ce temps elle va voir son amant qui lui fait ce qu’elle veut et par où elle veut.
– Oh la salope… Pardon mon Dieu ! Il faut que je me la confesse celle-là aussi ! (ben, voyons !).
– N’est-ce pas bien ainsi, monsieur l’Abbé ?… Vous voyez, je ne fais de mal à personne !
– Je vois, vous faites du bien à votre prochain… je vous absous de tous ces petits péchés. Au nom du Père et du Fils et…
– Ah oui… le Fils !…Hi ! Hi ! … ça serait-il possible … le fils ?
– Voyons… ne blasphémez pas… Petite misérable !

Mais il n’est pas insensible, le bon abbé. Le franc-parler de cette païenne, lui procure tant d’émotions, qu’il bande joliment. (c’est une sainte bandaison à n’en pas douter… ).Il bande si bien que son arbre de vie prend ses aises. En faisant sauter quelques boutons de la soutane (qui devait être mal boutonnée, on ne sait pourquoi… ), il apparaît tout fier, dressé sur les genoux du prélat, juste en face du visage de la pénitente. Un bel instrument tout raide, gainé de jolies veines bleues, le gland rouge et décalotté, se tend avec insolence, comme la lance de Lucifer.

Epoustouflée, elle regarde avec gourmandise le joli chibre. Hélas, elle ne peut pas le toucher à cause de la mince grille qui la sépare du confesseur.

Bonté divine, ce qu’il est beau ce sexe !

– Oh mais je vois que vous aussi, vous pourriez me consoler, mon bon père !
– Oui ma fille, mais pas ici… dans ma chambre pour la prière du soir.
– Oui j’aime bien… la prière du soir.

Dans sa chambre, il laisse exprès sa porte ouverte. Elle entre, et d’emblée, toute nue, se fourre dans le lit de l’abbé.

Oh le malheureux, pris au dépourvu, il ne sait pas quoi faire !…

– Que c’est beau une femme nue ! C’est tout en chair… des joues (bon ça il connaît déjà… passons… ), des seins, un ventre velouté, et des fesses ! Ah ces fesses… doux jésus qu’elles sont belles !
Bonté divine vous lui avez foutu à la femme, un sacré jardin d’agrément et si joliment fendu !
Oh le joli sillon !…J’y planterais bien mon outil, nom de… pardon mon Dieu !
Ah ! C’est à piller tout cela, rose, œillet, gazon, marguerite et fontaine mousseuse… Oh ! J’en ai plein les yeux, plein les mains ! Et plein le c…

(oh là le curé ! on se calme ! ce n’est pas pour la prière du soir, que vous êtes venu ?…).

Tout de même elle est un peu rapide la pénitente !… elle se frotte contre lui. Lui déboutonne la soutane. Lui pinçote les tétons… Il est effarouché et même plutôt offusqué ! Mais ça lui donne des frissons, aussi tout naturellement, se laisse-t-il faire.

Elle farfouille dessous sa soutane.(il y a du beau monde, là-dessous !).

– Eh grand couillon ! Tu vas le sortir ton aspersoir ? Qu’attends-tu pour le virer de ton caleçon et me le foutre entre les jambes ! Je t’offre le bénitier !
Ah… .. à ton âge encore puceau !…
Mais elle ne t’a rien appris ta mère… nom de Dieu !
Oh putain qu’elle est grosse ! Avec un outil pareil, à ta place, il y a longtemps que j’aurais quitté le séminaire pour entrer au couvent !
– Oh Seigneur ! comme elle parle mal. C’est une pauvre pécheresse, mon Dieu, pardonnez-lui… elle est si belle ! par pitié, je vais la châtier de quelques coups de goupillon, là où elle a péché… merci mon Dieu de m’avoir fourni un si bel instrument…

Il apprend vite comment ça fonctionne une femme.

Enfin c’est elle qui lui apprend tout. Il en fait des découvertes ! Elle lui montre son petit hérisson, son abricot si chaud. Et ses seins ! Elle lui donne tout à toucher, à peloter. Curieux il regarde, il tripote, il lui pince les seins (ben oui… il est un homme !), il lui tâte même le trou d’évent, le coquin (mais elle lui retire la main… ). Il est aux anges, il est heureux ! Oui il va jouir… comme un païen !

– Bonté divine, que vous avez fait la femme belle !

Elle lui explique comment il faut chatouiller la petite fente…
– Voilà, tu l’ouvres le joli calisson. Et tu passes un doigt, le long des deux rives… Humm c’est bon … gansailles doucement le petit bouton, en haut… Oh pas si fort, grosse brute, c’est fragile ce bijou ! Tu me fais mal…
– Oh mais tu pisses !
– Mais non je mouille. Tu me fais tant de bien que ça me fait mouiller… Elle va entrer toute seule ta pine… va s’y, essaie !

Et hop ! Quand c’est bien humide, impatient, il se l’enfile, sa première !

Ouille ! Ça ne rentre pas tout seul, quand même. C’est qu’elle est grosse sa pine… il faut qu’elle les écarte ses cuisses ! Bon il est un peu brute le novice. Il vous la plombe en lui passant les bras sous ses genoux… et va s’y qu’il se la bourre. Elle serre le gros machin avec son vagin comme le vieux avec sa bouche… Seigneur ! c’est bon ce qu’elle fait là !

Et puis elle a la jouissance rapide, elle commence à hurler de plaisir. Elle gigote, elle le griffe, une vraie tigresse… qu’est-ce qu’elle est bonne !

Pour lui aussi le plaisir monte, mais juste quand il va éjaculer elle lui retire la bite, la salope et il jouit sur son ventre…

– Oh ! pourquoi ?
– Fada ! Tu veux me foutre un polichinelle dans le tiroir !

Qu’à cela ne tienne ! Il veut bien changer de tiroir ( curé… mais pas con !), mais elle ne veut pas.

– Non, pas par ce côté-là, c’est un gros péché et puis tu l’as trop grosse.

Elle est comme ça, Adèle. Elle a des toquades. Elle ne donne pas son cul comme ça. Il faut le mériter. Il faut aller au charbon, lui taquiner la rondelle, lui approprier le vestibule. Elle a envie de sentir le bonhomme s’affoler sur son trou faussement récalcitrant.

Humm ! C’est bon ! Il s’énerve, ça dérape, hi, hi ! Il perd son sang-froid… Elle maîtrise, elle l’engueule… Ah ben le voilà t’il qui lui tapote la fesse… c’est bon ça !…

– Alors couillon… c’est la Bérézina !
– Non, c’est moi… quand je peux, quand je veux… Na !
– Allez, on y va… j’ouvre les fesses… prend ton engin et vise le trou… et hop !

Eh bien non. Aujourd’hui, il n’en a rien à foutre du cérémonial… . Il veut entrer. Elle serre les fesses.

Il ne se maîtrise plus. Le diable est avec lui ! Il cherche quand même à lui écarter les miches… arrive à lui glisser un doigt dans le petit endroit. Ouah ! Que c’est serré !

Vexée par son impolitesse (mais pas tellement par le doigt), elle le repousse. Elle se débat et lui donne des coups de pieds, la garce ! Il n’est pas content (bon sang… juste le bout du doigt !…) et il débande…

Elle regrette son geste et pour le consoler elle s’assoit sur son visage, en lui fourrant sa chatte sur le nez.

– Eh bien voilà, ma chatoune est jalouse, regarde, elle pleure maintenant… console-la avec ta langue !
– Pouah ! Avec ma langue ! Mais ça pue cet endroit… c’est tout visqueux !…ça sent la pisse !
– Comment visqueux ! C’est pour que ça glisse, couillon ! Il n’est pas doux mon minou !…visqueux toi-même …

Alors, ce coup-ci, elle se prend une vraie crise de nerfs, Adèle. Elle tape sur le cul du délicat et l’envoie promener ce bon à rien.

– Va-t’en, retourne dans ton église… je ne veux plus te voir…

Qu’est-ce que c’est ce mec qui fait le délicat entre les cuisses d’une jolie dame ! Lui dire qu’elle pue sa chatte ! Non ! Mais elle va lui en donner du cochon à bouffer à ce con ! (elle lui ferait bien caca sur le bout du nez à cet original !).

En colère, elle le chasse en pleurant.

– Me traiter de visqueuse !…

Et pourtant, dès qu’il a fermé la porte !….

– Conasse !… Putain, que je suis conne !… Une queue pareille !… J’ai fait la prétentieuse. Je refuse une belle queue parce qu’elle est trop grosse !… Hé alors, ce n’est pas la première fois qu’on me taraude le trou de balle !… Monsieur le Comte il m’a bien fait crier, la première fois ! bon il la moins grosse, c’est vrai… Mais il faut savoir ce que cul veut !… Et la cervelle, on s’en fout, on s’assoit dessus… (là… j’aimerais voir comment elle fait !…) ! Ah oui… que je suis conne ! Elle se dit qu’une fille honnête ne refuse pas son cul à un bon amant. (mais lui aussi qu’il est con !).

Elle continue à se faire des reproches.

Certes, c’est plutôt envahissant ce gros machin qui glisse entre vos fesses, mais en même temps c’est vachement excitant. On vous ouvre les fesses. Vous sentez un regard posé sur le coin le plus intime de votre personnalité. Ça vous fouette un peu la libido, c’est évident. Ça vous donne envie

Il y a un mec, là, derrière vous… et c’est bon un homme ! Il vous admire. Ça prouve que vous avez un joli cul, vous avez du ‘chien’, comme on dit… il est là pour vous faire un gros câlin, ça ne se refuse pas !

Il est séduit. Vous ne pouvez pas le décevoir !… Il faut simplement être bien sage… Oui, comme cela… Vous tendez timidement la fesse. Respirez un grand coup et gentiment il va pousser le bon gars, pousser… et puis voilà, ça passe… Ouille, ouille … Ouf ! Le cul est plein ! Et le vilain encombrement se fait enchantement (enfin avec un gentil garçon quand même)

Et ce câlin qui vous fait dans le cou !…

Et finalement, plus c’est gros et meilleur c’est !…

Eh bien là, non !… c’est raté !… se désespère Adèle en pleurnichant.

– Je fais choux (cul !) blanc et je parie qu’il va se payer la tantine, le malin. Elle est plus cul-mettable que moi-même ! Sûr, elle a le Tafanari aussi ouvert que la Porte d’Aix !

C’est qu’elle le connaît bien le gros cul de sa tante. Souvent elles se gamahuchent les deux femmes. C’est un bon passe-temps quand il n’y a personne à servir dans la maison. La nièce, très alerte, monte sur sa vieille tante qui lui grappille le minou et le trou du cul d’une façon experte et délicieuse.

Elle adore, Adèle.

Gertrude lui demande de lui rendre la pareille. Avec sa langue pointue, elle encule le filial trou du cul. La rondelle légèrement fendue a sans doute été burinée par de nombreuses bites généreuses ou féroces.

Elle a en plus, ce merveilleux parfum suranné, de vieilles Dames qui se sont gavées de plaisir, en se mettant à la disposition de Messieurs généreux.

Adèle se régale. Elle lèche, pénètre, fourrage, mordille… enfin procure à sa langue et à sa tante des plaisirs paradisiaques.

Cependant, coincée sous le poids de sa lourde parente, elle étouffe, la fouine. Et fatalement, elle ne tient pas longtemps la course.

Elles finissent bien souvent en se pissant au bout du nez, mutuellement.

Que du bonheur… n’est-ce pas !…

h bien non ! Aujourd’hui ce n’est plus ça…

Elle s’en veut, elle va décharger sa colère sur le dos de sa Tata qui doit être en train de lui chiper son amant!

Marcus, de son côté, est complétement déboussolé… décidément il n’y comprend rien avec les femmes… Il avait raison son confesseur… ce sont des perverses qui attrapent les hommes avec leur piège à bites et après… au revoir !

Pour lui, qui fut éduqué loin des femmes, on lui a toujours décrié le sexe féminin. Ce n’est pas beau. C’est une échancrure. C’est baveux, ça sent la pisse et ça n’a pas la beauté d’une belle pine bien dressée et vigoureuse. Et puis c’est compliqué une femme. Elle vous donne son con mais vous éjecte juste au meilleur moment… Elle vous aguiche avec son cul, mais elle serre les fesses !

Bon sang pourquoi le créateur ne leur a-t-il pas fait la chatte aussi belle que le sexe des garçons ! Et des roupettes aussi ! Oui une bonne queue entre leurs jambes… ça leur aurait donné beaucoup de charme, n’est-ce pas ?

Que voulez-vous, ce n’est pas dans un séminaire qu’il peut apprendre ce que c’est qu’une femme ! Toute une éducation à refaire. Il est très déçu l’ignorant…

Alors il va retrouver le vieux confesseur… Il lui raconte son aventure… Ses déboires…

Au prix de quelques arguments approfondis, le vieux lui explique que c’est dans le cul que l’homme affine ses plaisirs.

Certes ce sont des péchés, mais Dieu lui-même étant homme, il ferme un peu les yeux par condescendance. Il a inventé le confessionnal pour donner aux hommes la possibilité de se faire pardonner leurs petites exactions, quand les femmes viennent les troubler.

Pour les femmes, il a prévu la fessée, puisque c’est par là qu’elles entraînent ces malheureux dans le péché…

Ainsi, quelques verges et un peu de rigueur permettent à ces vicieuses, d’être dédouanées de leurs fautes. Conscientes de leur mauvais comportement elles se soumettent avec joie (si non avec quelques larmes) à la bonne réprimande qui leur permet à elles aussi de gagner le Paradis ( pourrait-on imaginer un Paradis sans femmes ?… ).

Ensuite, plus âgées, le butoir confortablement rembourré, grâce à l’âge et à la bonne chère, elles ont le trou d’usage bien rodé et n’ont plus trop de réticences à contenter, les impatients amoureux du temple de Sodome.

L’Eternel a bien fait les choses qui permettent aux dames de satisfaire à d’aussi agréables frivolités, pour peu qu’elles soient disponibles et consentantes et qu’elles aient sous la main (… sous le cul… hi… hi !) des messieurs respectueux et bien équipés…

Satisfait par ces bons enseignements, Marcus après quelques remerciements, du même genre, procurés sur le dos du bon maître, s’en est allé guilleret, tout nu sous sa soutane, la bite bringuebalante et toque sur le crâne, rendre visite à la Gertrude.
17/06/2024

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Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 40 – Adèle… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Ah ! Les curés libidineux, ça me fait toujours bander

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