Tant va le Temps… Tant va le Cul… 34 – Après la pluie… . le bon temps par Verdon.

Tant va le Temps… Tant va le Cul… 34 – Après la pluie… . le bon temps par Verdon.

– Allo !… Maman… C’est Emilie. Bonjour, comment vas-tu ?
– Ça va ma chérie. Et toi, tu passes du bon temps avec mon gendre chéri ?
– Oui ça se passe bien. On a un couple très sympa qui s’est installé pour les vacances dans la villa voisine. Ils ont à peu près le même âge que Fred et moi. Ils sont bien foutus et ils connaissent les bonnes manières. Un peu comme nous !…
– Oh telle que je te connais, je ne doute pas que tu sois à ton affaire !
– Oui… je ne te raconte pas ce qu’on a fait hier soir !
– Salope que tu es !
– Comme ma mère !… en plus, elle est chaude la nana ! et lui, il a une sacrée bite qui ne gâche rien ! elle te plairait, j’en suis sûre !
– Oh, une bonne bite est toujours la bienvenue ! Mais celle de mon petit gendre, me plaît déjà beaucoup ! Et justement, comment va-t-il… mon chouchou de beau-fils ?
– Euh… Oui, oui ça va, euh !
– Qu’est qu’il y a ?…ça va oui ou non ?
– Bon rien… mais sais-tu… ton gendre, il…
– Il… Quoi ? … Qu’est-ce qu’il lui arrive ?…je t’entends mal.
– Il… mais je parle doucement parce qu’on est au bar, maman. Je te téléphone du bar, il y a du monde autour de moi et plein de mecs qui zyeutent sous ma jupe… il fait si chaud que je n’ai pas mis de culotte.
– Oui eh bien, montre leur ton cul si tu veux, mais avant, dis-moi qu’est-ce qui lui arrive à ton chéri… ce n’est pas un secret !…Il n’a rien de grave au moins ?
– Ben non ! Pas du tout. Mais quand même…
– Mais tu vas me le dire ce qu’il a ! Pétasse !… Il n’est pas bien ? Il ne baise plus ?
– Si, il va bien et il baise, quoique… .heu… Il va avec un homme, Maman !
– Il va avec un homme !… Oups ! Et alors… Il a un copain, c’est normal, voyons !… Ils font quoi tous les deux… Dis-moi ce ne serait pas une tapette, ce mec ? Hi, hi !
– Non !… je ne sais pas… peut-être… c’est Fred qui le suçait… il est peut-être devenu pédé ?
– Pédé ! Mon beau-fils serait pédé !… Hi !, hi ! Il ne va plus me baiser, le salaud ?
– Mais non, il n’est pas pédé… je le connais trop bien !…
– Pourtant, je l’ai vu en train de sucer ce voisin, maman ! Si tu avais vu la belle bite qu’il avait dans la bouche !
– Oh ! La grosse blague ! Il a sucé un copain… et alors c’est juste une petite joyeuseté de la prétentaine ! Voyons ! Ce n’est jamais désagréable une bonne bite !… ça plaît aux hommes !… Je voudrais bien voir ça ! Hi, hi…
– Il s’est fait enculer ?… Hi, hi !
– Oh ! Maman… je ne…
– Ah … pas encore !… Il ne sait pas y faire le con !… Pfff !…
– Oh maman quand même pas Fred !
– Pourquoi pas lui ?… ça te plaît bien à toi quand il te la fout dans ton cul sa pine !
– Bon, écoute-moi, j’ai un bus dans une heure. J’arrive, je suis sûre qu’on va bien se divertir !…Je suis là en début d’après-midi… On va l’aider ton mari… Finalement il fait bien partie de la famille ton pédé… .Pfff !… à tout de suite…

Eh bien voilà… si vous ne la saviez pas,… Fred serait pédé !

Bon il fallait lire le chapitre précédent et vous auriez appris qu’hier soir ce Monsieur a été surpris par son épouse, en train de sucer un mec, (moi en l’occurrence… hi ! hi ! ).

Oh, juste une petite sucette (petite !, petite… ça ne m’a pas déplu en vérité ), juste une sucette pour donner à manger aux oiseaux, mais qui a drôlement émotionné et fait rire ces dames, ma femme et la sienne, toutes deux stupéfaites d’assister à une si égrillarde mésaventure. (tu parles … pas mécontentes les deux greluches ! ).

Mais l’émotion passée, elles sont parties d’un de ces fous rires à en pisser dans leur culotte ces deux cocottes. Et tandis que nous, les hommes nous faisions profil bas et rentrions chez nous, elles sont restées sur le canapé, à se taper sur le ventre et ailleurs certainement, car je vois une grosse tâche humide sur le canapé.

Moi, tout ça, ça me fait rigoler. Tant d’émotion pour une sucette !…ce sont des simagrées, je suis sûr qu’au contraire, ça doit les amuser nos deux femelles. Si tant soit peu, demain il se laisse faire, je vais me l’empapaouter devant elles et elles en seront ravies. Elles l’imaginent déjà en train de gueuler, leur beau macho avec ma bite dans le trou de son cul ! Elles vont en rigoler les salopes à s’attraper mal aux côtes, les vicieuses!

Le lendemain matin, chacun étant remis de ses émotions, Emilie vient nous inviter à fêter la venue de sa chère Maman, en début d’après-midi. (vous pensez bien qu’on n’a pas hésité à accepter l’invitation… )… … … … … … … … … … … … … … … … .

Il fait très chaud et lourd, le tonnerre gronde, le temps se gâte.
Et voilà donc la maman qui arrive.
Mais quelle arrivée !
Elle déboule sur la terrasse, entre deux éclairs, dans le vent et la pluie, à elle seule c’est déjà une tornade !

On est en plein orage. Il tombe des cordes et le bus s’est arrêté à cent mètres de la maison. Ouah ! Trempée… trempée jusqu’aux os, la mater. Sa robe légère lui colle de partout comme une nouvelle peau. Elle est superbe, comme nue. Ses tétons frigorifiés bandent et jaillissent insolemment sous le tissu mouillé. Elle est entortillée dans un voile transparent qui se plaque sur son ventre. Sa robe remonte ras son bas ventre, laissant voir sa moniche car elle ne porte pas de culotte. Derrière, le tissu mouillé s’est resserré dans la raie de son cul, ce qui met en valeur la rotondité de ses bonnes grosses fesses.

Emilie était allée à la rencontre de sa mère avec un parapluie. Mais ayant pris un raccourci elles ne se sont pas rencontrées. Elle arrive maintenant, sèche, mais affolée de trouver sa mère dans cet état.

– Maman ! Tu es trempée ! Quelle tenue ! Monte vite te changer, tu vas prendre froid.

Monter se changer !… Elle n’est pas folle la vieille. Elle jette à droite et à gauche ses chaussures et agrippant son vêtement au-dessus des épaules elle se libère complétement de sa robe humide et se plante orgueilleuse, souriante et fière devant nous, dans une impudicité d’enfer !

Oh putain qu’elle est belle !… Une œuvre d’art, je vous jure… échevelée, ruisselante, pétulante, tonique et opulente comme un nu de Rubens !… (à croquer, la vieille !… ), de la chair, de la fesse, des poignées d’amour, des nichons de laitière… enfin, bref, tout pour satisfaire une joyeuse bande d’honnêtes gentlemen et de nanas délurées.

Moi qui suis, vous le savez, très chevalier servant, j’attrape une serviette, près de la piscine et j’enveloppe la belle créature pour l’essuyer et la réchauffer. (et la tripoter en même temps… je ne vous le laisse pas dire… ).

Elle s’étend d’elle-même sur le banc du salon et en bon praticien, je commence à la masser. Vous me connaissez, je sais faire. Bien sûr, ce sont les fesses qui m’attirent en premier. Mais elles sont tellement épaisses que sa fille Emilie vient à mon secours.

Elle lui écarte bien la raie du cul pour que je puisse assécher le profond sillon. J’y découvre un superbe bijou, une bague d’amour (un p’tit peu élargie, la bagouse ! ), un orifice gros comme un trou de rat, un joyau très prisé à ce qu’il me paraît !

– Un vrai trou de professionnelle !…Dis-je en y glissant mon index.
-Oh ! mais c’est ma mère… s’écrie Emilie, non sans un petit sourire faussement offensé…

Je me penche sur elle pour lui laper son populaire œilleton. Oh putain qu’il est bon ! Pas très net, je l’avoue, mais délicieux. Légèrement pigmenté des séquelles de ses derniers amours sûrement vigoureux, car ma langue s’y perd. Il pue bon tout aussi, de ces fortes sueurs qui naissent en cet endroit quand femme, de ses
– Qui es-tu ? Toi qui touche à mon cul sans mon autorisation ? S’écrie la bonne Dame en se relevant brusquement pour s’asseoir devant moi, au bord du banc, le bout du nez prétendument inquisiteur et le sein ravageur !
– Lapin’! Pour vous servir ma chère ! et je vois qu’il y a à faire !

Je soulève à pleines mains, ses nichons gros comme des pastèques. Ils sont lourds et laiteux et agrémentés de jolis et appétissants tétons comme des lardons, que je suce, évidemment.

– Lapin’ ! En voilà un drôle de nom ! Un amateur de carottes, je parie… .

Mais elle frissonne subitement… .

Oh là je sens venir un nouvel orage, me semble-t-il. Elle ouvre largement ses cuisses et soudain dans un bruissement de chasse d’eau, la voilà qui ouvre les vannes de sa fontaine d’amour. Et elle m’arrose la garce de ses chaudes urines, du nombril jusqu’aux pieds.

J’ai beau chercher avec ma main à dévier le jet, mon teeshirt et mon short sont complétement aspergés.

Malgré cela, j’apprécie la couleur et l’arôme du bon jus doré en suçant mes doigts. J’en déduis que c’est un bon cru sorti d’une bonne vieille barrique… (Oups ! Pardon la mémé ! ).

Avant que le torrent ne s’épuise, je laisse tomber mon couvre-chef sur mes chevilles et saisissant ma pine déjà raide, je l’enfile directement dans la source profonde !

– Ouah ! s’écrie-t-elle !….

Mais négligeant ma bonne courtoisie, pressée elle saute soudain sur le sol et continue à pisser abondement, debout, les jambes grandes ouvertes, tout en pétant comme un charretier ! (elle était congestionnée, la pauvre !…et mes Dames vous savez bien, combien ça fait mal ces envies pressantes dans votre boîte à ouvrage …surtout quand un clampin vous encombre le pavillon ! ).

Aussitôt, Henriette et Elodie s’agenouillent devant la pisseuse pour partager le délicieux nectar qui n’en finit pas de gicler de l’échancrure béante. (j’ai dû déboucher la bonde avec ma bite !…Hic ! ).Elles en prennent plein la figure et ça cascade sur leurs nichons.

Fred qui décidément a pris goût à la chose, se précipite sur ma pine délicieusement imprégnée des saveurs de sa belle-mère.

Vous pensez bien que cette dernière, entreprise par les deux femmes, ne va pas ignorer les douceurs qu’elles lui font goulûment.

Le tapis n’est pas assez grand pour les recevoir toutes trois qui se sont jetées les unes sur les autres pour dévorer leurs chattes en feu.

La matrone a refermé les vannes de sa vessie et allongée sur le dos elle se fait assécher la cramouille par sa fille qui la lui décape à grand coups de langue. Henriette, prise à son tour par une forte envie de pisser, s’est accroupie sur son visage, pour la faire profiter des mêmes avantages.

Si vous n’avez jamais vu des nanas se dévorer entre elles, vous n’avez jamais rien vu. Car je peux vous dire que le spectacle est un des plus beaux que peuvent nous offrir des dames délurées et expertes en la matière.

C’est un mélange de chairs, de seins, de bouches avides et affamées.

Vous avez des langues qui pénètrent partout. Qui se perdent dans le trou du cul de l’une pour s’enfouir entre les dents de l’autre.

Il y a des mains volages. Des doigts se précipitent à un, à deux, à trois dans des interstices si étroits que la visitée en pousse des grands cris dont on ne sait, s’ils sont de joie ou d’envie d’en avoir davantage.

Il y a des mâchoires qui se serrent et des lèvres qui bleuissent.

Elles se griffent les nibars, se défrisent la touffe en s’arrachant des poils.

Des tapes sur le cul, rougissent de la vieille, la couenne bien tendue, tandis que les plus jeunes se rosissent les miches à force de les pétrir.

Les nichons, n’en parlons pas… elles se les pelotent, les tètent, les pincent. Et se font des misères en se tapant le cul.

Et que dire d’Emilie qui, ouvrant sa raie du cul, cherche à se faire enculer par sa mère, en posant sa rosette sur ses tétons bandés comme de petites bites. Ça lui donne des idées de garce mal élevée qui n’aurait pas appris de faire caca au pot.

– Oh la cochonne !

Pendant que nos trois folles se font mutuellement du bien, de notre côté, nous prenons nos choses en main. Fred et moi, on se branle et ça va bien pour nous.

– Putain tu as une bonne bite, qu’il me dit le Fred.

C’est bon… Il me retrousse le prépuce par-dessus le gland. Fait glisser la peau sur ma tige, en avant, en arrière. Il fait ça comme un pro. Ça n’a pas l’air nouveau pour lui, de tripoter un mec ? Ça l’excite. Il s’arrête, me prend la bite en bouche.

– Humm ! elle est bonne ! Tu bandes ! C’est bon un sexe qui bande ! Quelle puissance !

Alors je lui fais pareil. C’est tellement excitant de se toucher entre hommes. Je lui prends les bourses dans la main, de l’autre se fais des va-et-vient sur sa tige.

Il aime. Il bouge un peu le cul, j’en profite pour lui mettre un doigt dans l’anus. Il ne se refuse pas, il s’ouvre même un peu plus. Je le branle lentement et j’enfonce mon index un peu plus.

Il se tourne vers moi avec des yeux implorants, me semble-t-il.

Je le stimule encore en tortillant mon doigt tout au fond de l’anus. Je l’amène à me montrer son dos. Il s’applique le bon gars à prendre la bonne position (la crapule… il n’a jamais fait ça, mais il sait déjà comment il faut se présenter ? ).

Putain il a un super beau cul. Du coup je ne regarde plus les femmes qui se gamahuchent comme des pies et j’admire l’arrière-train de Fred.

C’est un cul bien proportionné. Rond et ferme, musclé il a cependant la taille légèrement fine ce qui lui donne un petit aspect féminin.

Deux petites fossettes en haut des fesses, qui encadrent la raie du cul, renforcent cet aspect que je lui trouve et qui a le don de m’exciter.

Cette fente qui descend entre ses fesses pulpeuses, s’écartant légèrement à la base, laisse deviner le coin sombre de son anus sous lequel est accrochée une jolie paire de couilles brunes et velues. Derrière celle-ci, se cache un agrément naturel qui n’a pas l’air pour l’instant d’être très éloquent.
Il a un cul superbe ce mec.

J’en écarte gentiment les deux lobes pour faire l’état des lieux de son arrière- boutique et je suis agréablement surpris d’y déceler un honnête petit trou de balle très distingué.

Légèrement fendu, peu bridé, bordé d’une aréole ambrée. Il est propre et reluisant comme un euro tout neuf et pas de poils sur ses rivages. J’y glisse ma langue, sans appréhension et découvre avec bonheur un petit goût musqué, peut-être un peu félin mais plus sûrement phoque.

N’aurait-elle jamais eu de mauvaises fréquentations cette jolie serrure. J’en doute, mais j’en serais fier d’en être le premier à y fourrer la clé. ( j’ai toujours été un bon serrurier !…Hi, hi )… Oups !

Aussi devant sa posture quelque peu grivoise, je continue de lui foutre au cul, ma langue débonnaire.

– Oh mais c’est bon ce que tu me fais-là !
– Ben oui !… se pourrait-il que tu en veuilles davantage ?
– Oui … un doigt !…même deux si tu veux !
– Attend, je ressors mon doigt… suce le, ça rentrera mieux !
– Merde mais tu le sors de mon cul !
– Ben oui, comme tu dis, et ce n’est que ton cul !… il a bon goût mon doigt ? Suce ça aide !
– Ça va, tu me mets en émoi… va s’y pour deux !
– Bien sûr et pourquoi pas trois. J’ai même plus gros, si tel est ton désir !
– Ouiii… va s’y pousse un peu… je la sens ta bite… c’est bon !…Ouille !

Je pousse fort et je crois même très fort. Car je sens que sous ma bonne pression, la fameuse serrure et en train de lâcher.

D’un coup, d’un seul, elle s’ouvre et j’y glisse tout entière ma clé jusqu’à la garde… Bon dieu, qu’elle est bien tendre… pour un dépucelage !

– Oh, sûrement pas rouillée, … mais quand même ça manque d’huile !

Aussi, bien entendu, (il a beau être brave ), Fred vous pousse un de ces cris à réveiller un mort…. Ouahhh !… Ouille !!!

Il n’y a pas de morts dans le coin, mais trois Nanas en goguette qui brusquement effrayées sont sorties hurlantes et ruisselantes de leurs frasques en bondissant debout, persuadées qu’on allait les violer.

Mais leur peur vite passée (désabusées… hélas… ), les voilà qui poussent ensembles trois autres exclamations d’agréable surprise… .

– Oh !!!!… Humm !…. Ouah !!!

Fred, le beau Fred, le gentil garçon qui se payait sa femme et sa mère en tandem pour ne pas qu’elles dépriment… Fred qui, l’épouse au boulot, consolait le cul de la vieille un petit peu malmenée par quelques bons rentiers joliment généreux et amants de sa fille !

Ce Fred est donc là, sous leurs yeux ébahis avec dans son cul, ma queue ras mes couillons !

Les trois femmes semblent n’en pas croire leurs yeux !

Oh non ne pensez surtout pas qu’elles se sentent choquées, le moins du monde !

Elles en ont vu bien d’autres et n’ont pas non plus le cul très propre depuis belle lurette !

Mais voir le mari, le beau-fils, le voisin dans cette position les ravit bien plus, plutôt que ne les désole.

Après leur beau trio, le spectacle que leur offre maintenant ces deux hommes, leur donne autant de joies qu’elles s’en sont procurées à se bouffer leurs chairs sur le tapis pisseux.

Elles se sont rapprochées et leurs exclamations sont autant de mots d’admiration que de mots bien plus crus mais tellement excitants que j’en bande encore plus et bourre à qui mieux mieux, le cul de l’élégant.

– Oh qu’ils sont beaux ! Les cons,
– Ah ! salope ! Tapette, Enculé ! Suce-bite !
– Regardez-moi ce petit enculé de beau-fils !
– Va s’y ‘Lapin’ ! bourre-la cette Tantouze …
– Alors mon petit gendre, tu nous fais des infidélités ? Mais c’est qu’il a une grosse queue ton fouteur… et tu aimes ça ! mon salaud ! Tu l’ouvres ton cul… Pédale !
– Va s’y, ma poule… c’est si bon de se faire enculer !…

Han ! Han !…moi je pousse et j’encule. Fier comme Artaban, devant ce troupeau de nanas, je biche de montrer mes talents et de le faire gueuler le chéri de ces Dames.

– Oh putain qu’est-ce qu’elle se prend ma tapette !… tu vois maman… il aime ça !… Dis-le-nous que c’est bon !
– Oui, c’est bon !…mais mon cul… nom de dieu !
– Il te le défonce ton cul ! Il va te péter la rondelle… Va s’y ‘Lapin’…

Aussi je n’en peux plus… ça vient… Ma chérie qui me connaît bien me fout un doigt au cul, Emilie plus coquine, me tripote les couilles, tandis que la mater se gansaille le clito.

Alors je jouis. Je sors du cul de Fred, je le retourne sur le dos et calé entre ses jambes je jute…

Je gicle sur son ventre et jusque sur son nez…

Les femmes se précipitent, c’est à celle qui aura le meilleur de mes fuites. Elles lèchent, elles frottent, elles me sucent la bite… elles sont folles les nanas !

Et voilà belle-maman qui s’assoie sur le visage de Fred et se met à lui vider sa vessie entre les dents. Les deux autres font pareil de partout sur son corps… il se noie le bonhomme, sous une pluie battante de chattes qui déversent un flot de pisse chaude.

Je me suis levé et debout je regarde ce festival de hanches accroupies sur cet homme… Je ne vois que ça… trois culs, trois superbes derrières, fendus et murs à point, reluisants des humeurs de ce groupe en folie.

Oui, je vois trois croupions, plus beaux les uns que les autres et aucun innocent et pas même pudique tant aux mâles soumis, ils se sont fait flatter ! Ouverts, graisseux, insolents, ils sont de vrais pousse-à-la monte, à la défonce, au viol ! Au secours ! Il me faut les soulager, mais ne pouvant pas plus, j’arrose les charnus de ces sacrées salopes en vidant ma vessie sur leurs fringants charnus.

Ces dames ont grand ouvert le cul de la maman et je lui pisse au trou comme dans une bouteille trop pleine et ça fait des glouglous ! Je pisse sur ma chérie et sur Lyly aussi … Je pisse dessus leurs hanches, ça déboule dans leur raie, jusque sur leur foufoune et elles remuent leur cul parce que ça les chatouille !

Inutile de vous décrire l’état des lieux, une fois terminées nos bonnes ablutions. Vous devez vous douter que tout baigne dans le jus de nos effusions.

Dans ce bouillon, les couilles de Fred ressemblent davantage à des pruneaux à l’eau de vie qu’à de mâles gonades… Les femmes se ressuient.

Assis sur le canapé, j’émerge, je récupère et je me dis :

– On est bien des cochons !

On comprend finalement que le brave Fred se paie depuis longtemps, les vigueurs des amants d’Emilie (avec son accord évidemment ), en compensation des faveurs qu’elle leur accorde. ( je vous avais dit qu’il avait la rondelle bien tendre ! ).

Belle-maman, bien entendu, est de tous les coups, et elle mène la troupe.

Ah ! Quelle Famille !

22/02/2024

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2 réponses à Tant va le Temps… Tant va le Cul… 34 – Après la pluie… . le bon temps par Verdon.

  1. Adjuvantibus dit :

    Humm quel délice!! dommage que les garçons n’aient pas le cul plein, sût été une parfaite perversité chocolatée! 🙂

  2. Harivel dit :

    Ah ! Quelle Famille ! comme dirait l’auteur, un auteur qui semble insatiable, mais c’est pour notre plus grand plaisir

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