Suite d’une visite transcendante épisode 5 : une soirée de découverte par Alb Shemale

Suite d’une visite transcendante : épisode 5 : une soirée de découverte.

Après notre petite escapade parisienne et notre retour mouvementé vers notre petite ville province, nous avons décidé de passer une soirée tranquille en amoureux.

Nous sommes arrivés vers 19H30, heure limite pour nous rendre dans le supermarché local. Nous avons décidé de faire un repas léger et avons commencé nos achats : deux filets de poissons, une petite soupe et quelques légumes.
Nous nous sommes rapprochés du rayon primeur et Corinne m’a demandé de l’attendre à l’entrée du rayon. Elle est revenue quelques minutes plus tard avec quelques tomates, une laitue et … un concombre. Elle avait son petit sourire malicieux qui m’avait fait craquer lors de notre rencontre. Je m’apprêtais à lui dire quelque chose quand elle m’a mis son doigt sur la bouche et a prononcé un petit « chut ».
Nous avons terminé nos achats par une petite bouteille de Bordeaux blanc et quelques autres boissons ; puis nous sommes allés vers les caisses. Ayant une carte de fidélité, nous avons du aller aux caisses réservées à l’opposé du magasin et nous sommes passés devant le rayon sous vêtements féminins.
En tête de gondole, un célèbre fabricant de bas et collants faisait une promotion avec des kits : string/porte jarretelles ou boxer/grandes chaussettes. Je m’arrêtais pour regarder. Corinne fit de même et me demanda :

– « tu veux encore m’offrir un cadeau ? »
– « non, cette fois, c’est pour moi. »
– « ah bon, tu veux te travestir » me dit elle
– « oui, cela fait déjà plusieurs années que je le fais et j’y prends beaucoup de plaisir »
– « dans ce cas, laisse moi te faire à mon tour un cadeau, quelle est ta taille ?»
– « d’accord, je te fais confiance, prend du 40-42 pour les strings, du 95C pour les soutien gorge et du T3 pour les bas et collants»

Elle rentra dans le rayon et ressortit quelques minutes plus tard avec un sac plastique, fermé par un nœud et me dit :

– « ce soir, on va dîner chez moi, je te réserve une surprise, laisse moi aller payer mes achats et je te retrouve dans 5 minutes à la caisse. »
– « d’accord, à tout de suite mon amour » et je l’embrassa sur la bouche.

Je partis vers les caisses, je déposas mes achats sur le tapis puis payas le tout. Je retrouvai Corinne à l’entrée du magasin. Elle me dit :

« Nous allons encore passer une magnifique soirée puis nous nous embrassâmes. »

Je luis répondis :

« J’en suis sur et je te fais confiance »

Nous sommes allés à la voiture, avons chargé nos achats et avons quitté le parking.

Corinne voulait me guider. Elle voulu jouer au GPSexe. Je ne connaissais pas ce jeu alors elle me demanda de m’arrêter, ce que je fis sur le premier parking venu. Elle ouvrit ma braguette, sortit mon sexe et commença à me masturber. Rapidement, elle se pencha et lécha ma verge de haut en bas, puis elle prit, un par un, mes testicules dans sa bouche en les faisant rouler.
Je commençais à sentir le plaisir monter et mon sexe entamait son redressement. Pour parfaire ce dernier, Corinne engloutit ma hampe entière dans sa bouche et fit des vas et vient. Mon sexe était complètement droit. Elle me dit alors :

– « je vais te guider avec ton sexe, il servira de Joystick. A chaque carrefour, tu recevras de nouvelles instructions : si je pousses ta verge en avant, tu vas tout droit, si je le pousses à droite, tu vas à droite et même chose si je le pousses à gauche ; d’accord ? »
– « Ok, en avant ma guide adorée »

Nous avons quitté notre stationnement. Au premier carrefour, je sentis ma verge partir à droite, donc je tournas à droite, puis nous avons continué notre petit jeu. Pour faire durer le plaisir, Corinne me fit prendre le chemin des écoliers en nous avons du faire une ou deux fois le tour de la ville. Pour éviter que le joystick perde de sa vigueur, mon amour lui offrait de temps en temps quelques coups de langues ou elle serrait la base de mon pénis, agissant comme un cockring.
Nous sommes enfin arrivés chez elle et nous nous sommes garés dans son parking. J’étais au bord de l’éjaculation, mais le traitement de ma chérie avait retardé au maximum cette dernière. Pour me féliciter d’avoir réussi à tenir et de ne pas avoir fait d’erreur, elle repris sa fellation ; j’ai rapidement éjaculé dans sa bouche et elle a avalé ma semence. Elle s’est redressée et elle m’a embrassé à pleine bouche. Je sentais l’odeur de mon sperme. Ce baiser langoureux était super bon. Nous nous sommes séparés. Je la contemplais, elle était superbe. Elle lui restait un peu de sperme sur les commissures. Elle sortit un mouchoir et s’essuya la bouche avec une grâce plus que féminine.

Nous avons débarrassé la voiture, puis nous sommes montés dans son appartement. Elle habitait un petit 2 pièces en duplex, au dernier étage de l’immeuble. De son balcon, on contemplait toute la ville, c’était superbe.
Je regardais la vue par la fenêtre puis Corinne arriva, passa devant moi et m’embrassa. Elle me dit :

– « la surprise peut commencer »

Alors, elle me banda les yeux et me prit la main pour la suivre. Elle me conduisit au pied de l’escalier qu’elle me fit monter avec précaution. Une fois à l’étage, nous sommes entrés dans la salle de bain. Elle me retira mon pull, déboutonna ma chemise et baissa mon pantalon. Je me suis retrouvé en slip et chaussettes. Elle me retira ces deux derniers vêtements et une fois nu, elle me questionna :

– « dis moi, tu t’épiles régulièrement, quelle méthode tu emplois ? »
– « j’ai un épilateur électrique » dis je.
– « parfait, comme ça tu es habitué à la douleur »
– « oui, après quelques épilations, cela fait moins mal »

Elle sortit alors son épilateur et commença à me le passer sur le corps. Il me restait quelques poils, ma dernière épilation ayant plus de trois semaines. Au bout d’une demi-heure, j’ai retrouvé les sensations d’une peau de bébé. Corinne me mit sous la douche, elle se déshabilla et me rejoignit. Elle me passa une crème de gommage puis me rinça. Elle n’avait pas touché à mon sexe qui commençait à se redresser sous l’effet des caresses.
Nous sortîmes, elle me sécha puis me passa une crème hydratante. J’entendais le froissement d’un sac plastique et elle me passa une étoffe de satin que je reconnus être une nuisette relativement courte.

Ensuite, elle me fit asseoir dans un fauteuil et me retira mon bandeau. Je découvris alors une nuisette blanche qui mettait mon corps en valeur. Elle était tout en satin et avait de fines bretelles et quelques motifs en dentelles sur la poitrine. Elle inclina le dossier du fauteuil, s’assit à califourchon sur mes genoux et commença son travail de magicienne. Elle me rasa le visage, puis étala un cache barbe. Elle suivit avec un fond de teint puis une poudre compacte. Ensuite, elle me dessina des yeux de biches grâce à un crayon khôl et à du fard à paupière. Elle allongea mes cils avec du mascara et elle redessina mon visage avec du blush. Enfin, elle me maquilla la bouche avec un rouge à lèvres et du gloss.

Le maquillage terminé, elle sortit un carton d’un placard et me dit :

– « ce sont mes accessoires qui m’ont servi durant ma période d’hormonothérapie. »

Elle prit dans le carton une paire de faux seins en silicone qu’elle me colla sur la poitrine avec des patchs double face. Je ressentais alors une vraie poitrine, qui avait pris ma chaleur et bougeait à chacune de mes inspirations et expirations.
Puis elle sortit 2 perruques : une blonde et une brune. Elle choisit la brune et me la posa sur la tête. Elle la bloqua avec des épingles spéciales. Elle m’amena devant un miroir et là, j’ai eu du mal à me reconnaître ; le jeune homme avait laissé sa place à une belle jeune femme brune. J’étais plus que crédible.

Elle m’amena dans sa chambre et elle sortit de sa commode un corset, avec des jarretelles, serre taille, noir en satin, et qui ne remontait pas sur la poitrine. Elle retira ma nuisette et elle me ceintura puis commença à serrer les lacets. Quand le serrage bloqua, elle me demanda de rentrer mon ventre et elle continua à serrer. Elle utilisait toutes ses forces et prenait appui avec son genou sur le bas de mon dos. Quand, le corset fut totalement serré, elle fit un nœud puis me dit :

– « si tu es d’accord, je te mettrais un corset tous les matins et dans quelques mois, tu auras un taille de femme »
– « je suis d’accord, je ferais tout pour te plaire » lui répondis je.

Je me regardais dans le miroir de la chambre. J’étais toujours nu à l’exception du corset. Je voyais une jeune femme brune avec une verge entre les jambes.

Elle prit le sac plastique de la grande surface et sortit une paire de bas noir avec de très belles jarretières en dentelles et elle me les enfila. J’adore cette sensation des bas qui glissent sur ma peau imberbe. Puis elle attacha les bas aux jarretelles du corset. Elle me passa un string de satin noir. Je l’enfilais et mit mon service trois pièces à l’intérieur du sous-vêtement. Corinne me tendit un soutien gorge, assorti au string, que j’enfilai. Il mettait en valeur mon 95C factice.

Puis, Corinne sortit de son placard une robe longue rouge, sans décolleté et avec des manches courtes. Elle l’ouvrit et me la présenta. Je passai les pieds dans le vêtement, puis ma chérie remonta ce dernier, passa mes bras dans les manches puis remonta la fermeture éclair sur le coté. Je me suis retourné vers le miroir et je voyais une belle femme dans une superbe robe rouge. Mais Corinne rigolait alors je regardais plus en détails et je vis une bosse disgracieuse sur le devant. Ma Chérie remonta alors ma robe, sortit ma verge du string et la glissa dans la jarretière du bas avec les testicules. Elle rabaissa la robe et la bosse avait disparu. (Merci Viviane)

Elle me présenta des escarpins rouges qui étaient à ma taille. Ils avaient un talon de 5 centimètres ce qui est parfait pour débuter me dit Corinne. J’étais désormais une femme, avec un petit plus.

Nous sommes allés à la cuisine où nous avons préparé notre dîner. Pressés de profiter du reste de la soirée, nous avons englouti notre repas. Durant ce dernier, Corinne ne pouvait s’empêcher de me masturber avec son pied. Elle passait ce dernier sous ma robe et excitait ma verge. Le contact du nylon de ses bas sur mon sexe était très excitant ; mais je n’avais pas d’érection, je me sentais femme et une femme ne bande pas.

Après le repas, nous sommes remontés dans la chambre et Corinne me dit :
« Ce soir, tu vas devenir complètement une femme »

Elle se déshabillât et me présenta sa verge. Je m’accroupis et entamais une fellation. Ma Chérie me guidait :

– «Lèches moi la hampe de haut en bas ; voila comme ça ; oui, c’est bon, tu me fais du bien, tu es douée pour une débutante. »

J’exécutais tous ces ordres et elle continuait.

– « Maintenant, avales mes testicules, voila, c’est bien, fais les rouler dans ta bouche, ça accroît la production de sperme. C’est bon, tu me fais du bien… »

J’avais toujours ses testicules dans ma bouche et elle me guidait toujours.

– « Vas y, tu va avaler mon sexe, voila comme ça ; quand il va buter sur ta glotte, tu vas déglutir de façon à le faire passer totalement dans ta bouche ; il est possible que tu n’y arrives pas du premier coup… »

J’exécutais ses ordres et je réussis à avaler complètement sa verge dès le premier coup ; elle me dit :

– « tu es une bonne élève, ce que tu fais s’appelle un gorge profonde, tu as du t’entraîner auparavant »

Avec ce traitement, sa verge commençait à prendre un peu de vigueur, mais ce n’était pas encore un bâton. En réalité, Corinne ne pouvait plus érecter complètement et devais se contenter d’une demi bandaison. Puis, elle me retira de sa bouche et décida de me préparer à ma première sodomie.

Elle me mis à quatre pattes sur le lit, releva ma robe, écarta mon string et me fis une feuille de rose. Je sentais sa langue autour de mon œillet resserré. Elle darda sa langue et commença à me pénétrer le début de l’anus. Puis elle prit un tube de lubrifiant et elle enduit son doigt et ma rosette. Elle me pénétrât d’un doigt et fis des vas et viens dans mon fondement. Ensuite, elle mis un second doigt, puis un troisième et enfin un quatrième. Elle était experte. Elle savait attendre le temps nécessaire à la décontraction de l’anus. Ainsi, elle a pu me mettre quatre doigts et je n’ai pratiquement pas eu mal.

Je me sentais bien. Tout en me pénétrant, elle se masturbait et se secouait les testicules avec sa main libre. Comme je vous l’ai dit, elle ne pouvait avoir une érection convenable pour me pénétrer ; mais elle a trouvé une solution. Elle a sorti le concombre qu’elle avait acheté, l’a revêtu d’un préservatif et l’a enduit de lubrifiant. Puis, elle a posé l’extrémité du légume sur mon anus et elle a poussé. Avec la préparation, le concombre est entré facilement dans mon œillet. Quand elle a eu enfoncé la moitié de la longueur, elle a attendu que mon muscle se dilate, puis elle a commencé une série de vas et viens. J’étais bien, je me sentais femme et je comprenais le plaisir de la sodomie.

Après quelques minutes de ce traitement, elle a mis un préservatif sur l’autre extrémité du légume et elle l’a enduit de gel. Puis, elle s’est mise à quatre pattes, dans le sens opposé du mien. Elle a relevé sa nuisette et écarté son string. Nous étions fesses contre fesses. Ensuite, elle a placé l’autre extrémité du concombre contre sa rosette et elle a reculé. Le légume s’est enfoncé facilement dans son anus et ce, sans préparation. Nous avons collé nos fesses. Nous avions chacun la moitié du légume dans nos entrailles. Puis nous avons établi un ordre de déplacement. Elle avançait, puis reculait et je faisais de même. Nous nous pénétrions mutuellement. Le concombre s’était transformé en double dong.

Nous avons continué ce petit jeu pendant une dizaine de minutes, puis j’étais tellement excité que j’ai joui. Ma semence s’est déversée sur le lit. Ma jouissance a entraîné celle de Corinne qui a eu le temps de mettre sa verge dans ma bouche. J’ai avalé son sperme. Puis, nous nous sommes relevés. La robe est retombée sur mes jambes. Je me suis regardé dans la glace et je me suis découvert un vrai visage de call girl : un maquillage sophistiqué, une robe longue rouge vif et un reste de sperme au bord des lèvres.
Corinne m’a alors retiré la robe et ma lingerie à l’exception du string. Elle m’a redonné la nuisette blanche et nous nous sommes couchés.
Elle m’a alors dit :

– « le blanc n’est plus la bonne couleur puisque tu n’est plus vierge, mais il te va si bien »
– « tu trouves, désormais je ne mettrais plus que ce type de vêtement pour dormir » lui répondis je

Le frottement du satin m’a excité de nouveau. Bientôt ma verge fut de nouveau rigide. Je me suis approché de Corinne, j’ai soulevé sa nuisette, écarté son string et je lui ai pénétré son anus. Elle fut surprise, mais elle n’a rien dit. Nous nous sommes alors endormis, repus de cette fatigante journée où nous avions baisé 5 fois.

La suite bientôt.

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