Petits pipis dans les bois par Christelle_Baxter

Bonjour à toutes et à tous. Pour ce récit je serais Isabelle, grande fausse blonde de 30 ans. L’action commence dans l’appartement conjugal un dimanche matin de printemps :

– Et si on profitait du beau temps pour allez en pique nique ? Me propose Romuald, mon époux.
– J’avais prévu autre chose…
– Ton « autre chose » tu le feras ce soir… on va pas rester enfermés d’un temps pareil… répondit-il sur ton péremptoire.

Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Autant faire de la bouffe ne me dérange pas, autant préparer un pique nique me gonfle, d’autant qu’il ne va pas m’aider, enfin presque pas. Je tente une dernière carte.

– Ça ne me dit rien !
– Bon, ben dans ce cas je vais faire un tour, je reviendrais ce soir pour le dîner…

Il en est capable, il m’a déjà fait le coup une fois, le problème c’est que quand il est revenu, il était à moitié bourrée, non merci, je cède ! (je suis de plus en plus persuadée que je ne vais pas passer le reste de mes jours avec ce lascar, mais bon…)

Alors on a pique-niqué à 50 mètres de la route, il m’a raconté des choses que je connaissais par cœur, et je l’ai à moitié écouté, par contre il a très bien descendu la bouteille de muscadet. Ça me fous la trouille parce que si il reprend le volant avec tout ça dans le sang… mais heureusement Romuald finit par sombrer dans le sommeil et offrir son ronflement aux petits oiseaux de la forêt qui n’avaient jamais quémandés un tel accompagnement.

Alors que voulez-vous que je fis ? D’abord ranger un peu le bordel, puis mettre tout ce qui est fauchable dans la bagnole, puis aller faire un tour, et en profiter pour pisser un coup.

Je prend un petit chemin, je cherche un endroit, mais il me semble entendre des bruits, j’avance donc, il y a un homme devant moi à 100 mètres, il ne m’a pas vu, et ne risque pas de me gêner, mais allez savoir pourquoi, je continue d’avancer.

Plus je me rapproche de l’endroit où le chemin prend un virage, plus il me semble entendre un drôle de bruit, comme une petite source. J’avance encore et me trouve pratiquement à 5 mètres de l’homme qui est tranquilou en train de pisser. Il ne m’a pas vu, je me cache comme je peux, mais ce n’est pas facile d’être discrète dans ces sous bois, j’ai du écraser une branche, il me voit, gêné il exécute un petit tour de 180° sur lui-même !

– Euh, bonjour. Je suis désolée de vous avoir dérangée ! Dis-je bêtement.
– Euh, vous voulez passer ?
– En fait, je n’en sais rien, je cherchais un endroit pour me soulager moi aussi !
– Je n’en ai pas pour longtemps ! Croit bon de préciser l’homme, puis changeant de ton… Vous venez souvent par ici ?
– Non, c’est mon mari… (je lui explique)
– Faites attention, il y a parfois des mecs bizarres dans ce secteur, des voyeurs, des exhibitionnistes, moi je suis un peu exhibitionniste mais je ne ferai pas de mal à une mouche. Ne vous inquiétez pas..
– Vous avez de l’humour, vous alors ?

Tout en parlant il s’est arrangé pour pivoter à nouveau mais dans le sens opposé, et comme de mon côté j’ai un peu bougé également, je peux maintenant le voir en train de pisser. Je suis extrêmement troublée, mes yeux ne peuvent quitter ce beau membre bien lisse au gland violet, je suis sûre qu’en érection ce doit être une merveille, je suis paralysée, il faut que je me sorte de là, mais comment faire, me voici hypnotisée par un inconnu train de pisser dans un sous bois !

– On dirait que ça vous plait ?
– C’est pas mal, il faut bien l’avouer !

Les dernières gouttes de pipi sont tombés, pas la dernière qui perle coquinement au bout de son méat ! Envie folle de la lui lécher, souvenir furtif de mon ancien amant… bien avant Romuald…. retour à la réalité…

– Je vais vous proposer un truc, j’espère que vous n’allez pas me prendre pour une folle !
– Mais non…
– Je peux la caresser juste un instant, et après je disparais, je ne voudrais pas que vous preniez ce geste pour autre chose, ce n’est absolument une permission de me sauter que je vous donne.
– Touchez donc, mais moi aussi je voudrais vous demander quelque chose !
– Ce sera non !
– Laissez moi d’abord demander ! Vous m’aviez dit que vous aviez envie de faire pipi, je voulais simplement regarder !
– Alors, ça d’accord ! Mais bon je peux toucher d’abord ?
– Allez-y !

Je caresse la hampe, du coup il se met à bander, si je ne retire pas ma main tout de suite un enchaînement infernal va se produire, d’autant qu’il me naît une envie folle de la sucer, j’esquisse quelques mouvements de masturbation, puis je trouve la volonté de m’arracher…

– C’est dommage que vous ne continuiez pas !
– Tsss, tss, ne soyez pas trop gourmant, allez, je vais pisser, je vais me mettre là, dans l’allée.
– Pourquoi pas sur ce petit tronc d’arbre, là, je verrais mieux !
– M’ouais, j’espère que c’est stable !
– Je vois que les jeux de pipi ne vous choquent pas, ça fait partie de vos jeux ? demande ce monsieur bien curieux.
– J’ai eu un copain assez branché là-dessus, il m’a beaucoup appris !
– Et si vous me pissiez dessus !
– Non, c’est trop intime !
– S’il vous plait, je vais calquer mon attitude sur la votre, vous me pissez dessus, et après je vous laisse, je disparais, promis juré… Vous vous mettez sur le tronc et moi je vais mettre mon visage au-dessous, juste quelques gouttes…

Alors on y va, je monte sur le truc, je baisse le bas, je me concentre, ça vient, l’autre s’arrange pour placer sa bouche en pleine trajectoire et se met à tout laper comme un chat. Putain ça m’excite tout ça, j’espère qu’il va tenir parole et qu’il va disparaître sinon je ne me retiens plus !

Ça y est j’ai fini, l’inconnu se relève, ce gros cochon en a plein sa chemise, bof avec le temps qu’il fait ça va sécher rapidement.

Il va pour s’éloigner !

– Merci pour tout et bonne journée !

Isabelle, retiens-toi ! Je n’en peux plus, je mouille comme une machine à laver… Penser à autre chose, Vite. Impossible ! Tant pis !

– Stop !

Il ne le fait pas dire deux fois. Je le rejoins, en courant, je lui met la main sur le sexe et colle ma bouche contre la sienne, on s’embrasse longuement, sa bite grossit dans ma main, j’aime ce contact chaud. Le mec n’en peut plus et commence à me trifouiller les seins… C’est le moment de reprendre l’initiative. Slups, je me baisse au niveau de sa braguette, sort l’engin déjà bien raide, le branlote deux ou trois fois et sans autre forme de procès l’engloutit dans ma petite bouche gourmande. Hum, ça sent encore un peu son pipi de tout à l’heure, j’adore, je lèche, je suce, je me régale et finit par lui faire une vraie pipe. Ça me démange partout, non pas partout d’ailleurs, mais mon entre cuisse est en feu !

– Tu as des préservatifs ?
– Oui !

J’ai demandé ça à tout hasard, sa réponse me surprend un peu.

– Tu rencontres souvent des nanas dans les bois, toi ?
– Non jamais, mais ça m’est arrivé de croiser des couples, c’est rares mais ça arrive… je veux dire des couples il y en a, mais ce qui est rare c’est qu’ils t’invitent à participer
– Je comprends. Alors enfile-le, je veux bien que tu me baises, c’est ton jour de chance
– Tu l’as dis !

On se déshabille à la barbare ! J’ai du mal à le calmer quand je lui dévoile mes seins, il n’arrête pas de les peloter, de les caresser, de les lécher, il va me les user…. on dirait que c’est la première paire qu’il a sa disposition depuis des années… On se sert de ses vêtements et un peu des miens comme d’une couverture et je m’étale dessus, mais décidément je ne suis pas à l’aise, alors le monsieur à la délicatesse de prendre la place, il se couche et moi je le chevauche comme une diablesse. J’espère qu’il ne va pas jouir trop vite parce que j’aimerais bien être perverse jusqu’au bout…

– Et mon petit trou, ça te dirait ?
– Bien sûr !

Je me relève, m’arc-boute sur un tronc d’arbre, et le voilà qui commence à me doigter le troufignon, excitée comme je suis il s’est imprégné de mouille, et le doigt n’a aucun mal à gigoter, puis il approche sa langue, il me fout de la salive partout, j’aime bien, il a carrément le visage collé contre mon anus.

– Tu devrais te reculer, j’ai envie de péter, le préviens-je !

Il ne me croit pas cet andouille et reçoit un pet en plein dans les narines ! Du coup il se recule, se demande une minute s’il doit prendre ça à la rigolade ou pas, finalement il rigole !

– Cochonne !
– Encule-moi donc !

Il le fit, et finit par jouir, je lui demandais d’avoir l’extrême obligeance de me sucer afin que je jouisse à mon tour, il le fit aussi, avec un peu de mal, pas très habitué le mec mais plein de bonne volonté, puis nous échangeâmes (oh, lala le passé simple !) nos numéros de portables…

Romuald m’interpelle :

– Ben alors Isabelle, je te cherche partout ?
– J’ai été pisser et je me suis un peu perdue ?
– Bon on va rentrer, je vais pisser aussi !
– Tu as raison, c’est très agréable de pisser dans les bois après un pique nique !
– Pardon ?

fin

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Cette nouvelle a obtenu le 1er Prix de la meilleure nouvelle uro pour l’année 2005

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7 réponses à Petits pipis dans les bois par Christelle_Baxter

  1. Mattéo dit :

    De l’uro dans la joie !

  2. Nina dit :

    De l’uro rigolo ! J’adore ♥

  3. Dorine dit :

    Adorable récit uro décontractée

  4. Claire dit :

    C’est fort mignon, ma foi !

  5. Messidor dit :

    Voilà de l’uro comme je l’aime, décontracté du gland et rigolard
    Ça nous change de Jean-Michel et Martine !

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