Spirales – Troisième circonvolution par Serge Virinoniev

 

SPIRALES
Troisième circonvolution
par
Serge Virinoniev
Récit autobiographique

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J’ai donc passé un premier week-end de rêve chez Christian !

Il est venu m’attendre à l’arrêt des cars près de l’hôpital, la gare routière étant assez loin de chez lui et nous avons cheminé ensemble le cœur en fête.

Je me suis donc retrouvé dans son bel appartement devant sa mère qui me fît la bise et à qui j’ai remis un énorme gâteau au yaourt qu’avait confectionné la mienne à son intention.

Je l’avais transporté dans mon sac de sport avec mon pyjama, mes chaussons, deux ou trois vêtements, ma trousse de toilette et bien sûr un slip de rechange pour le lendemain.

Ne sachant pas si nous allions pouvoir bénéficier d’un moment d’intimité ce samedi ou ce dimanche, avant de quitter Saint-Germain j’avais pris soin de subtiliser un torchon neuf dans l’armoire à linge chez moi, vous avez compris pourquoi bien entendu et je l’ai plié soigneusement avant de le ranger dans la poche de mon pantalon comme s’il s’était agi d’un mouchoir.

La mère de Christian, que je nommerais ici madame Si…ik pour plus de commodité, vêtue d’un élégant tailleur sombre et d’un chemisier blanc m’embrassa à nouveau pour me remercier de lui avoir offert ce gâteau et j’ai passé l’après-midi dans la chambre de mon ami, lequel me fît admirer lui aussi sa collection de voitures miniatures, bien plus conséquente que la mienne et exclusivement composée de voitures en métal Dinky Toys et Solido.

Nous nous sommes également acharnés sur un puzzle et nous avons tué le temps à je ne sais quoi encore, peu concentrés sur ce que nous faisions, ayant tous les deux d’autres idées identiques en tête.

Nous possédions l’un et l’autre le plus magnifique des jouets mais il n’était pas question de jouer avec en présence de la mère de Christian dans l’appartement !

Elle vint rappeler à Christian qu’elle attendait le retour de son époux parti faire du démarchage commercial et qu’ensuite ils s’absenteraient durant toute la soirée étant invités à dîner chez une relation d’affaires de celui-ci.

Elle conclut en lui disant qu’ils se rendraient au club de bridge et qu’ils rentreraient donc très tard dans la nuit.

Je ne me sentais pas très à mon aise dans cet intérieur luxueux auquel je n’étais pas du tout habitué mais Christian et sa mère surent me décrisper, conscients de mon embarras.

Quand monsieur Si…ik arriva il vint nous dire bonjour et nous avons eu droit aux recommandations d’usage comme le fait de ne pas nous coucher trop tard et de ne pas oublier d’éteindre l’éclairage dans toutes les pièces de même que leur imposant téléviseur en noir et blanc et à chaîne unique.

Et oui, nous étions dans les années 60, loin du modernisme et des technologies d’aujourd’hui !

La mère de Christian revint dans la chambre et elle me tendit un oreiller.

Là j’ai compris que j’allais partager le lit de mon ami alors que je pensais dormir sur le grand divan de cuir noir de leur salon ou dans une autre des nombreuses pièces de l’appartement.

Mon cerveau s’est emballé immédiatement à l’idée de me retrouver contre Christian, dans ses draps, pour cette nuit qui s’annonçait comme prometteuse de plaisirs, mais j’ai eu du mal à me contrôler et à ne pas laisser éclater ma joie devant ses parents.

En partant ceux-ci fermèrent la porte d’entrée à clé nous laissant seuls et livrés à nous-mêmes, ce dont nous ne nous plaignîmes point.

Craignant un retour impromptu des parents de Christian pour une raison ou pour une autre, au cas où ils auraient oublié quoi que ce soit, nous ne nous sommes ni déshabillés, ni jetés sur le lit qui nous tendait les bras et nous nous sommes contentés de nous étreindre, bassins soudés, bandant déjà l’un et l’autre tant nous avions envie de nous prodiguer des caresses.

Nous avons grignoté rapidement quelques bouchées du repas froid qui nous avait été préparé par madame Si…ik et voyant que la nuit était tombée à l’extérieur et que nous ne risquions plus un retour intempestif de ses parents, Christian et moi avons pris la décision de nous coucher de très bonne heure comme nous l’avait recommandé son père.

A ma demande Christian m’indiqua où se trouvait la salle de bains et je suis allé faire un peu de toilette intime avant qu’à son tour il n’en fasse autant.

J’ai attendu qu’il ait terminé ses ablutions allongé dans son lit et dans mon affreux pyjama rouge sous lequel je portais un slip car les parents à cette époque nous obligeaient à dormir avec un sous-vêtement.

Quand Christian me rejoignit au bout de quelques minutes il portait sur lui un pyjama bien plus seyant que le mien et la différence de niveau social de nos parents respectifs était même visible sur nos vêtements de nuit, ce qui m’importait peu car lorsque nous étions nus ensemble rien de tout ceci ne transparaissait.

Christian éteignit le plafonnier ne laissant allumée que sa lampe de chevet mais la fenêtre n’ayant pas de volets il faisait très clair dans la chambre le double rideau n’étant pas tiré laissant entrer la lumière d’un lampadaire de la rue qui nous aurait sûrement permis de nous voir sans aucune lampe intérieure.

Il n’y avait pas de vis-à-vis car de la fenêtre de sa chambre on ne voyait que le toit du marché couvert au-delà duquel passait la voie ferrée jouxtant elle-même le petit séminaire. Personne ne pouvait donc nous voir nus ou vêtus de nos pyjamas.

Christian s’introduisit dans le lit près de moi et nous sommes restés quelques instants silencieux tous les deux jusqu’à ce que je me tourne vers lui et que je l’attire contre moi.

Il faisait chaud dans sa chambre et nous avons rejetés le drap de dessus et la couverture au pied du lit avant que je ne tire sur le pantalon de pyjama de mon ami lui enlevant son slip par la même occasion. Avant qu’il n’ait déboutonné la veste de son vêtement de nuit je me suis retrouvé également tout nu comme lui.

Christian allongé à plat sur le dos et son sexe dressé et tendu ne bronchait pas alors que j’aurais voulu que ce soit lui qui se comporte en maître du jeu, qu’il prenne des initiatives nous concernant. Devant son inertie j’ai donc considéré que c’était une fois de plus à moi d’agir dans le cas présent.

Les photos de Color Climax tournoyaient dans ma tête et mon sexe était était encore plus dur et gonflé que le sien alors que défilaient dans mes pensées les clichés d’anus féminins et les pénétrations anales par des hommes avec des bites énormes.

Si le gland de Christian m’ensorcelait, son anus qu’il ne m’avait pas encore exhibé, mais que tentais de me représenter, me rendait tout aussi cinglé !

J’ai pris le membre frémissant de Christian dans ma main et j’ai guidé la sienne vers mes organes génitaux, ce qui débloqua la situation et il se mît à me palper les testicules, les lâchant par intermittence pour empoigner ma virilité érigée avec un sourire de satisfaction.

Nous avions presque toute la nuit devant nous et sans me dessaisir de ce que je serrais dans ma main j’ai attiré Christian contre mon corps avec mon bras resté libre et mon autre main empoigna ses fesses qu’elle commença à pétrir consciencieusement.

Christian gémissait de contentement et je me suis écarté de lui l’allongeant à nouveau sur le dos et je me suis mis à le masturber posément, lentement et il en fît de même avec ma bite.

Quand Christian avait pris possession de la salle de bains pour sa petite toilette localisée, j’en avais profité pour sortir mon torchon neuf de ma poche avant de le dissimuler sous le traversin prévoyant que nous en aurions vite besoin.

Tout en continuant à m’affairer sur le sexe de mon ami, à tâtons j’ai récupéré ce torchon car il n’était pas question que, comme pour ma literie, la moindre tache de sperme ne vienne maculer celle sur laquelle nous nous donnions du plaisir.

J’ai serré progressivement la couronne du gland de Christian et j’ai accéléré mon mouvement de va-et-vient sur celle-ci. Il gémissait et se tordait comme une anguille en oubliant même de me masturber et sentant venir son orgasme j’ai enveloppé le bout de son sexe dans le tissu prévu à cet effet.

Il était grand temps car Christian saisi de soubresauts éjacula dans celui-ci en râlant de contentement. S’étant aperçu qu’il avait cessé de me branler il s’activa à nouveau habilement sur ma bite qu’il n’avait pas lâché.

Prêt à jouir à mon tour j’ai ôté le torchon de son sexe et j’ai emmitouflé le mien avec l’engluant de son sperme qu’il y avait déversé.

Quand je me suis cambré Christian m’a aussitôt décalotté et mon sperme gicla se mélangeant abondamment au sien.

Apaisés nous avons examiné l’intérieur du torchon à la lueur de la lampe de chevet et nous avons été tous les deux étonnés par la quantité de sperme que nous y avions répandu.

Sachant qu’après un orgasme il faut un certain temps de récupération pour que l’homme retrouve sa vigueur et bande à nouveau, nous sommes restés enlacés quelques instants sans nous parler, Christian ayant posé sa tête dans le creux de mon épaule et nos jambes emmêlées.

Quand j’ai vu sa bite gonfler et s’ériger lentement à nouveau la mienne se dressa également et je n’ai pu résister à l’envie de découvrir son gland et posant ma tête sur son bas-ventre de couvrir son gland que j’ai découvert d’une multitude de petits baisers entrecoupés par le titillement de ma langue sur son méat urinaire. J’ai ainsi pu m’enivrer de l’odeur de sa semence encore bien présente sur sa bite.

Son gland contre mes lèvres était une invite à le sucer à laquelle j’ai vite succombé mais étant ici parfaitement à notre aise j’ai eu envie qu’il me prenne en même temps lui aussi mon sexe dans sa bouche pour le lécher. J’ai eu envie d’un soixante-neuf avec Christian !

Je l’ai attrapé à bras-le-corps et, étant donné qu’il était plus menu que moi, je l’ai couché sur moi en lui demandant de pivoter de manière à ce que nous nous retrouvions tête-bêche. Christian s’exécuta aussitôt visiblement ravi par mon initiative.

Nous n’avions jamais fait cela auparavant, ni lui, ni moi, et nous avons eu un peu de mal à nous positionner confortablement.

J’avais comme seul horizon le fessier et les testicules de Christian à quelques centimètres de mon visage, une vision des plus tentantes et des plus émoustillantes car je n’avais jamais vu le cul tout lisse et bien potelé de mon ami d’aussi près.

Je sentais son souffle chaud sur mon sexe et j’imaginais son visage lui aussi proche de mes organes génitaux.

Sans que je ne lui demande il me découvrit le gland et engloutit mon membre dans sa bouche qu’il se mît à exciter avec sa langue tout en faisant rouler mes testicules avec les doigts de ses deux mains.

J’ai tiré légèrement ses hanches en arrière tout en le soulevant légèrement afin moi aussi de lui rendre sa politesse et ceci avec gourmandise.

Lassé de me représenter son anus dans mon imagination, là je n’avais qu’à écarter ses fesses douces et lisses, sans le moindre duvet, pour enfin le voir en gros plan, et c’est ce que j’ai fait.

Il était là juste devant mes yeux, un adorable petit trou entre le rose et le brun clair entouré de plissures et qu’il contractait très fort, peut-être gêné par le fait de me l’offrir ainsi, mais ce qui ne l’empêcha nullement de continuer de me sucer avec délicatesse.

Sa rosette, l’endroit le plus secret de son intimité ressemblait au calice d’une fleur et faisait naître en moi les idées les plus folles !

Je me figurais sa mère revenue à l’improviste et silencieuse ouvrir la porte de la chambre éclairée et nous surprendre couchés nus l’un sur l’autre, son fils offrant son anus à ma convoitise, et cela accentua mon degré d’excitation !

Je ne voulais surtout pas jouir maintenant, je ne voulais pas éjaculer aussi rapidement et j’ai suggéré à voix haute à Christian que nous cessions de nous sucer momentanément et de plutôt nous caresser l’anus.

Le sien était trop appétissant et je n’ai pas pu attendre plus longtemps. J’ai appliqué mes lèvres contre lui et je l’ai embrassé avec voracité, comme s’il s’agissait de sa bouche !

Il était doux, très doux, et ma langue le pourléchait, le titillait, mais il demeurait toujours aussi contracté.

Appréciant ce que je lui faisais il entreprit de me remercier en m’octroyant le même plaisir, par contre moi je n’étais pas crispé et toujours à voix haute pour qu’il m’entende je lui ai demandé de me pénétrer avec l’un de ses doigts en lui spécifiant de l’enfoncer complètement.

C’était la première fois qu’un corps étranger allait s’introduire en moi par cette voie, hormis les horribles suppositoires systématiquement prescrits par le médecin lorsque j’étais malade ou le thermomètre qu’il fallait à l’époque impérativement introduire dans l’anus. Mais en ce qui concernait la pénétration pour le plaisir et la curiosité je n’y avais jamais eu recours, même pas avec mes propres doigts ou un objet quelconque.

Quand son index s’est enfoncé en moi ce que j’ai éprouvé fut plus qu’agréable et jamais je n’aurais pensé que cela le serait autant.

Je sentais son doigt bouger dans mon fourreau anal et il se mît à aller et venir en lui sans le sortir pour autant, comme s’il me sodomisait avec son sexe, tout en recommençant à me sucer.

Je comprenais mieux maintenant les femmes dans mes revues qui se laissaient pénétrer l’anus par des bites de toutes tailles et je savais enfin combien il était enivrant de se faire donner du plaisir ainsi.

Le sexe de Christian en érection était plus gros que son index et je me suis posé la question de savoir s’il allait réussir à s’enfoncer dans mon anus sans me faire mal quand j’allais lui proposer de me sodomiser avec, sachant que nous n’avions pas de lubrifiant sous la main.

Je nageais dans un bien-être absolu et enfin l’anus de Christian se relâcha, se détendit et s’ouvrit, aussi immédiatement moi aussi j’ai repris sa bite dans ma bouche et l’index de ma main droite suivit le même chemin que le sien en s’enfonçant jusqu’au fond de son rectum.

Nous étions tous les deux au diapason, nous sodomisant et nous suçant simultanément et il ne m’a pas fallu longtemps pour que mon sperme inonde la bouche de Christian.

Il éjacula lui aussi peu de temps après moi et quelle ne fut pas ma joie de retrouver le goût de sa liqueur séminale qui m’avait tant manqué depuis ma dernière fellation dans les toilettes du lycée.

Nous avons retiré nos doigts de nos rectums respectifs et harassé comme moi Christian s’est affalé sur mon corps en silence.

Mon vœu le plus cher maintenant était que Christian recommence à aller et venir dans mon orifice anal mais non pas avec son index mais avec sa bite et qu’il éjacule en lui.

Il cessa de m’écraser et il s’allongea contre moi, contre mon flanc, le regard aussi vide que le mien car nous venions de vivre des moments inoubliables. C’est à partir de ce plaisir particulier que nous nous sommes octroyés entre nos fesses que Christian devint beaucoup plus loquace et ayant retrouvé ses esprits il ne cessa de me répéter combien il avait lui aussi aimé cette nouvelle pratique sexuelle qu’il n’aurait jamais osé me proposer lui-même.

Notre complicité charnelle était très profonde.

Nous avons examiné la literie et surtout le drap de dessous à la recherche d’une quelconque trace suspecte et heureusement nous n’avons rien trouvé qui aurait permis à sa mère d’avoir des soupçons, voir des certitudes, sur la nature de notre relation.

Je n’ignorais pas que l’on traitait de pédés les gens comme nous, les garçons ayant des rapports sexuels avec d’autres garçons, et je ne comprenais pas pourquoi on nous méprisait ainsi car ce que nous faisions ne gênait personne et de plus c’était tellement excitant et délicieux. Je ne ressentais aucune honte et je n’avais que faire de ce que les autres pensaient et de leurs pratiques sexuelles !

Quand notre désir se manifesta à nouveau sous la forme d’érections respectives j’ai fait part à Christian de ma tentation d’avoir avec lui un autre rapport anal mais en n’utilisant plus nos doigts mais nos sexes pour nous pénétrer à tour de rôle et j’ai été surpris de le voir manifester un tel enthousiasme à cette idée.

Seulement voilà nos différences morphologiques me posaient problème. Mon sexe était plus gros que le sien et je pensais qu’il aurait du mal à s’introduire dans son petit orifice anal. Par contre je ne m’inquiétais pas du tout du fait qu’il me pénètre car j’étais persuadé qu’il ne me ferait pas mal.

J’ai pris le temps de lui expliquer tout ceci et je lui ai proposé de ne pas le sodomiser maintenant mais d’attendre une autre fois afin de me procurer un quelconque lubrifiant dans le commerce adapté à cette pratique, ne sachant pas ce que j’allais bien pouvoir trouver et ne me voyant pas demander à un de mes camarades de classe s’il connaissait une marque bien précise.

J’ai donc dit à Christian,  » fais-le moi toi  » et je me suis tourné à quatre pattes pour lui présenter mes fesses. Il n’attendit pas et aussitôt, penché sur mon dos il me les écarta et j’ai senti son sexe se plaquer à ma rosette. Impatient de le sentir en moi et complètement décrispé, relâché et ouvert je l’ai encouragé à introduire son membre en moi.

Effectivement cela se passa sans aucune difficulté et ce que j’ai ressenti fut encore plus exquis, plus sublime que lorsqu’il s’était agi de son doigt.

Soudés ainsi nous ne formions plus qu’un, qu’une seule entité charnelle, et de sentir ce sexe vivant et frémissant dans mon fondement me remplissait de bonheur.

Il m’offrit ce que j’attendais de lui et après m’avoir donné le torchon sur lequel il ne restait pratiquement plus un seul endroit de sec, il m’offrit un second orgasme en me masturbant ayant ramené son bras droit sur le devant de mon bas-ventre.

Je n’ai pas sodomisé Christian lors de cette première nuit passée chez lui car j’ai vraiment eu peur de lui faire mal, mais je me suis promis de lui faire connaître ce plaisir lors d’une prochaine rencontre nous permettant d’avoir des rapports sexuels et en ayant trouvé d’ici là un moyen de me procurer un lubrifiant adapté pour cette pratique.

A ma demande Christian resta un long moment en moi car je lui ai demandé, bien que son sexe se soit ramolli, de ne pas le ressortir tout de suite de mon anus après avoir éjaculé. De sentir sa présence à l’intérieur de cet endroit le plus secret de mon corps me donnait l’impression que nous ne faisions plus qu’un ainsi solidarisés.

Il se retira alors que je commençais à m’assoupir, tenta de s’essuyer le sexe avec le torchon entièrement maculé de sperme et j’en ai profité pour changer de position et retrouver mon oreiller. Nous sommes restés allongés l’un contre l’autre et j’ai rassuré Christian qui me demanda un peu inquiet si cela n’avait pas été trop douloureux pour moi et si j’avais aimé.

Nous avons paressé ainsi en nous accordant quelques caresses, quelques attouchements intimes et l’un et l’autre sentant venir le sommeil nous avons enfilés nos slips et nos pyjamas jetés en vrac sur le parquet de la chambre. J’ai également récupéré le torchon me promettant de le jeter dans une poubelle publique quelconque en allant attendre mon car pour revenir chez moi.

Nous n’avons pas entendu madame et monsieur Si…ik rentrer de leur soirée tellement nous dormions d’un sommeil profond, complètement fourbus et c’est la mère de Christian qui vin nous réveiller tard dans la matinée nous trouvant endormis et le dos tourné.

Elle nous tança avec gentillesse, en souriant, nous accusant de nous être couchés très tard pour être aussi fatigués. Christian abonda dans son sens en lui racontant des sornettes à propos du puzzle que nous aurions tenté de terminer d’assembler.

Ce mensonge lui parut parfaitement crédible et mon ami prît possession le premier de la salle de bains tandis que sa mère nous préparait le petit déjeuner. Je suis resté seul dans la chambre à repenser à nos ébats de la nuit, heureux que tout se soit bien passé et louant madame et monsieur Si…ik d’avoir eu la bonne idée de sortir.

L’après-midi s’écoula paisiblement et nous sommes allés faire une promenade au jardin des abbesses, un parc assez grand en plein centre-ville situé non loin d’ici.

Je suis rentré en fin d’après-midi chez moi par le dernier car de la journée et le soir je n’ai pas eu besoin d’avoir recours au plaisir solitaire tant j’étais fatigué.

Nous avons repris dès le lundi nos échappées clandestines vers les toilettes du deuxième étage au lycée et Christian vint à nouveau me rendre visite régulièrement le jeudi à Saint-Germain, mais jamais il ne passa un week-end chez moi.

Mes parents n’étaient que rarement présents en ce jour de semaine et nous pouvions en toute tranquillité nous isoler dans ma chambre où nous donnions libre court à nos pulsions sexuelles.

Pour ce qui concernait nos pratiques anales j’avais résolu le problème dans les jours qui suivirent ma première nuit chez Christian. J’ai fouillé dans les produits pharmaceutiques et les nombreux produits de toilette de ma mère qui collectionnait en plus de ses torchons toutes sortes de crèmes, de baumes, de gels, en tubes, en pots, et j’ai trouvé ce que je cherchais, une crème peu grasse et apaisante contre les irritations mais dont je ne me souviens plus de la marque. Elle en possédait plusieurs pots non entamés et j’en ai subtilisé un que j’ai précautionneusement caché dans la niche de ma table de nuit avec mes Color Climax et mon torchon.

Je l’ai donc expérimentée sur lui et il n’en a fallu que très peu pour que je m’introduise en Christian à mon tour sans la moindre difficulté et sans qu’il n’éprouve la moindre douleur. Une petite toilette intime après et il n’y paraissait plus.

Mon père acheta la première voiture de sa vie à 62 ans, une Simca Aronde bleu ciel avec des pneus à flancs blancs mais peu de temps après il eut hélas un accident. Il fut percuté par une autre voiture lui ayant refusé la priorité mais ne fut pas blessé heureusement, par contre les dégâts matériels étaient très importants et mon père en pleura de dépit tant cette acquisition avait été importante pour lui qui avait travaillé si durement pour se l’offrir, sans avoir recours au crédit.

Il acheta également son premier poste de télévision en noir et blanc dont je me souviens de la marque, un Téléavia qui permit à mes parents de passer des soirées moins monotones, de se distraire et de découvrir le Monde.

Il lui restait encore quatre ans à travailler mais les produits toxiques de l’usine de produits chimiques lui avaient déjà considérablement détérioré les poumons.

Je savais qu’il souffrait mais il ne se plaignait jamais.

Ma mère tomba malade de la diphtérie au mois de février 1962 et elle dut être hospitalisée d’urgence durant quelque temps. C’est donc moi aidé de mon père qui fut contraint de m’occuper de sa basse-cour et qui fut chargé d’aller cueillir de l’herbe pour les lapins.

Et puis le 18 mars 1962 furent signés les accords d’Evian mettant fin à cette abjecte Guerre d’Algérie et moi, comme tous les jeunes de mon âge nous avons poussé un ouf de soulagement, conscients que nous n’irions pas de l’autre côté de la Méditerranée tuer des gens que nous ne considérions pas comme nos ennemis, ni nous faire tuer dans une quelconque embuscade ou un attentat.

C’est au mois de mars également, alors que je venais d’avoir 17 ans que ce produisit ce que je redoutais depuis le début de ma relation avec Christian et cela se passa chez ses parents lors d’un de ces week-ends passé avec lui.

Ce qui aurait pu s’appeler une catastrophe n’en fut pas une même si ce que j’ai vécu tint de l’impensable, de l’inimaginable tant je ne m’attendais pas à vivre de tels événements à peine croyables !

Les parents de Christian s’étaient absentés comme à leur habitude et nous en avons bien sûr profité pour assouvir nos désirs sexuels habituels.

Le pot de crème hydratante de ma mère nous avait été fort utile pour les plaisirs que nous nous accordions et je l’ai remis dans mon sac de sport avant, harassés comme toujours, de nous vêtir de nos slips et pyjamas avant de dormir.

Madame Si… ik vint nous réveiller jugeant qu’il était temps pour nous d’émerger des bras de Morphée et Christian se dirigea vers la salle de bains pour prendre une douche et faire un brin de toilette tandis que sa mère m’invita encore quelque peu endormi à la rejoindre dans la cuisine où elle avait commencé à préparer notre petit-déjeuner.

Jusqu’ici rien d’anormal me direz-vous mais ce qui se passa ensuite me laissa groggy et j’ai vécu ce que l’on appelle aujourd’hui, un grand moment de solitude !

Je somnolais debout appuyé au mur et madame Si…ik s’absenta de la pièce durant quelques secondes pour y revenir et se poster devant moi tenant à hauteur de mon regard, quoi donc ? Et bien le torchon que nous avions utilisé cette nuit avec Christian à des fins bien particulières et que j’avais tout bêtement oublié de remettre dans mon sac de sport.

Elle me dit qu’elle l’avait trouvé au pied de la table de chevet d’où il était évidemment tombé et elle le porta à son visage en le humant longuement et l’odeur du sperme qui l’imprégnait ne laissait aucun doute quant à l’usage que nous en avions fait.

Si cela s’était passé chez moi à Saint-Germain ma mère m’aurait agoni d’injures et m’aurait asséné des gifles, même à mon âge. Elle aurait également fustigé Christian avec véhémence et c’eut été terminé de nos visites chez l’un ou chez l’autre.

J’étais là planté devant la mère de Christian fondant comme un morceau de glace au soleil, je me liquéfiais et j’avais le sentiment d’être dans un rêve cauchemardesque dont j’allais me réveiller, ce n’était pas possible, je m’étais toujours montré très prudent.

Ce qui me décontenançait et me mettait encore plus mal à l’aise c’était que madame Si…ik qui s’était tue jusqu’ici ne me fixait pas d’un regard courroucé, non elle me regardait avec mon air de chien battu tout en me souriant.

Son attitude avait de quoi me désarçonner et avec une voix chargée à la fois de gentillesse et de malice elle me dit et ses paroles sont restées à jamais gravées dans ma mémoire,  » alors les vilains garçons, c’est pour ça que vous avez du mal à vous lever ce matin ?  » et elle éclata de rire en portant à nouveau le torchon sous son nez et en l’y maintenant, fermant les yeux tout en lâchant un petit  » mmmhhh  » de contentement.

J’aurais voulu être à des kilomètres d’ici et je m’attendais à tout moment à la voir changer de ton et à me mettre à la porte définitivement.

J’entendais l’eau couler dans la douche de la salle de bains où Christian était loin de se douter de ce qui se passait dans la cuisine au bout du couloir.

Monsieur Si… ik dormait-il encore ? Je n’en savais rien et je craignais sa réaction quand son épouse lui raconterait ce qu’elle avait trouvé dans la chambre de son fils.

Elle déplia le torchon poisseux et me gratifia d’un « et bien dis-donc il y a ce qu’il faut », puis elle le replia et posa longuement son nez dessus encore une fois avant de le ranger dans la poche de sa robe de chambre matelassée ouverte.

J’étais tétanisé comme un lapin devant un cobra et j’étais incapable d’articuler un seul mot quand elle me demanda de lui raconter ce que nous faisions ensemble avec Christian lorsque nous étions seuls.

Je n’ai pas pu lui répondre vous vous en doutez bien tellement j’étais honteux à l’idée de lui faire de telles révélations.

Elle éclata de rire une nouvelle fois, m’ébouriffa mes cheveux qui étaient déjà en désordre et me gratifia d’un  » grand bêta va ! « , puis elle attrapa une chaise qu’elle me tendit et me demanda de m’asseoir avant d’en saisir une pour elle et de s’installer en face de moi.

Elle s’adressa à nouveau à moi avec un ton se voulant rassurant et m’expliqua que finalement nous n’avions rien fait de mal, que ce n’était pas un crime que d’avoir des rapports sexuels entre garçons et qu’elle préférait cela de loin plutôt que de nous savoir lâchés en ville en compagnie de voyous que l’on appelait les blousons noirs à l’époque.

Sous son atroce robe de chambre madame Si…ik portait une courte chemise de nuit de coton blanc et assise devant moi, presque à la toucher, elle me dévoilait largement ses cuisses dont mes yeux ne quittaient pas la blancheur. Je m’étais focalisé sur elles et j’essayais d’oublier ce que je vivais en ces instants en ayant des pensées licencieuses les concernant.

La mère de Christian était bien plus jeune que ma mère, elle n’avait pas la quarantaine et de plus elle était très belle ce qui ne faisait qu’amplifier mon trouble au point que je me suis surpris à avoir une érection que je ne suis pas parvenu à maîtriser en me raisonnant, surtout dans une telle situation.

On n’entendait plus l’eau couler dans la salle d’eau et Christian n’allait pas tarder à en sortir pour aller s’habiller dans sa chambre.

Sa mère qui se jouait visiblement de mon malaise s’est aperçue que j’avais mes yeux posés sur ses cuisses depuis un moment et comme j’avais croisé mes mains sur la braguette de mon pyjama elle en comprit la raison.

Hilare elle me souleva le menton pour croiser mon regard et me demanda pourquoi je regardais ainsi aussi fixement ses cuisses. C’était loin d’être un reproche si j’en croyais la manière dont elle s’adressait à moi et en l’espace de ces quelques courts instants elle a tout fait pour que s’installe une grande complicité, une certaine familiarité entre nous.

Elle attrapa mes mains et entreprit de les écarter. J’ai résisté quelques secondes, symboliquement, et elle parvint à ses fins sans la moindre difficulté.

La bosse qui déformait le devant de mon pyjama ne laissait aucun doute quant à sa nature et la mère de Christian écarquillant les yeux lâcha un  » oh  » que je peux qualifier ici de contemplatif sans exagération.

 » A quoi tu penses dis donc vilain garçon ?  » me dit-elle en s’esclaffant et en portant la main à mon érection dont elle se saisit à travers le tissu, m’empoignant fermement et me secouant mon sexe gonflé plusieurs fois en tous sens comme s’il s’était agi d’un shaker à cocktails !

La fin du Monde n’aurait pas été pire pour moi que ce que je vivais en ce moment et je mourrais de peur à l’idée que monsieur Si…ik ne surprenne son épouse me secouant le sexe ou que Christian surgisse à l’improviste découvrant ce que sa mère empoignait avec une joie évidente.

Ce ne fît qu’accentuer mon érection et maintenant madame Si…ik riait franchement presque à gorge déployée sans relâcher la pression de ses doigts sur mon membre.

Je ne savais pas ce que je devais faire, devais-je me lever et m’échapper au plus vite de cet appartement devenu pour moi un enfer, ou alors la laisser faire ignorant comment tout ceci allait se terminer ?

Voilà donc ce que j’ai appelé en préambule de mon récit la catastrophe qui se produisit en ce dimanche matin de printemps, sans doute au début du mois avril 1962, et voilà comment j’ai bandé la première fois pour la mère de Christian.

Mais je n’en ai pas encore fini avec cet épisode en compagnie de madame Si…ik !

Je devais avoir le regard affolé car elle me chuchota presque de ne pas avoir peur car elle ne dirait absolument rien à son mari de ce qu’elle avait découvert et j’ai pensé en moi-même, sans doute de ce qu’elle était en train de me faire. Elle me fît promette également de ne jamais en parler à Christian et que ce devait donc rester un secret entre nous.

J’ai tenu ma parole et je n’ai jamais dit à mon ami que sa mère savait que nous avions lui et moi des rapports sexuels, pas plus que je ne lui ai révélé cette relation qui s’installa entre elle et moi ce que je n’avais pas prémédité et qui quand j’ai mis les pieds pour la première fois dans cet appartement m’aurait semblé impensable !

Nous avons entendu la porte de la salle de bains s’ouvrir et madame Si…ik lâcha mon sexe. Elle se leva, rangea sa chaise et referma sa robe de chambre avant de disposer deux bols sur la table.

Mon érection retomba instantanément et elle me suggéra de rapprocher ma chaise de la table et d’attendre son fils bien sagement.

Quand celui-ci vint s’attabler avec moi, innocemment elle lui demanda si nous nous étions couchés très tard et ce que nous avions fait de notre soirée. J’avais envie de rire en entendant les questions de sa mère mais je suis resté de marbre le nez penché sur mon bol de café au lait tout en écoutant Christian lui raconter des balivernes.

Le petit-déjeuner fut vite expédié et avant que je ne me lève pour aller faire ma toilette madame Si…ik demanda à son fils d’aller à la boulangerie acheter du pain car elle avait décidé que je dînerais avec eux ce soir-là.

Mes parents n’en étaient pas informés et ils attendaient mon retour par le dernier car du dimanche soir, ce que je fis remarquer mais elle me rassura en me disant qu’elle me ramènerait en voiture à Saint-Germain et expliquerait à mes parents la raison de mon retard.

J’ignorais qu’elle conduisait.

Elle conclut en informant Christian que son père était absent étant parti laver sa Peugeot le long du canal dans la zone industrielle de la ville et qu’ensuite il passerait à son bureau préparer ses dossiers pour la semaine de prospection clientèle qui l’attendait.

Mes craintes de le voir nous surprendre dans une situation sans équivoque étaient donc infondées.

Tous ces souvenirs sont bien ancrés en moi et je les revis au détail près en vous narrant tout ce qui s’est passé d’inouï en ce jour que je ne peux oublier, de même que durant les semaines et les mois qui suivirent.

Christian s’absenta et quant à moi j’ai récupéré mes affaires de toilette dans ma chambre et je me suis retrouvé dans la salle de bains l’esprit en ébullition.

Ici je pouvais prendre une douche car dans notre petite maison de Saint-Germain nous faisions notre toilette devant l’évier de la cuisine en faisant chauffer de l’eau dans une bassine sur la cuisinière à charbon. Nous n’avions pas l’eau chaude au robinet.

Après m’être lavé les dents je me suis installé dans le bac à douche et j’ai tiré le rideau de plastique rose avant d’ouvrir les robinets sachant que les mélangeurs n’existaient pas en ce temps-là.

De pouvoir m’asperger me fit du bien et me permit d’évacuer partiellement mes émotions de ces derniers instants.

Voulant m’essuyer j’ai ouvert le rideau et dans la salle de bain remplie de vapeur et je me suis aperçu de la présence de madame Si…ik se tenant devant moi en chemise de nuit sans son affreuse robe de chambre.

La porte n’avait pas de verrou et elle était donc entrée sans que je ne l’entende.

J’étais entièrement nu devant elle mais je ne bandais pas ou du moins pas encore !

Elle avait fouillé dans mon sac de sport et avait posé sur le bord du lavabo le pot de crème hydratante que j’avais dissimulé. Me le montrant du doigt elle me dit que pour le week-end suivant elle nous achèterait un autre produit plus adapté à l’usage que nous en faisions.

J’ai dû rougir comme un coquelicot et elle éclata de rire devant mon embarras avant d’ajouter qu’il était inutile que j’amène des torchons car elle avait de vieux draps dans lesquels elle découperait des carrés qui nous feraient le même usage.

J’étais sur le point d’agoniser tellement tout ce qui m’arrivait était insensé et gênant.

J’étais incapable de lui demander de me laisser terminer ma toilette seul et je suis resté devant elle les bras ballants ne sachant que faire. Mon subconscient travaillant à la vitesse du son me disait que nous n’allions peut-être pas en rester là tous les deux et qu’il allait se passer quelque chose.

Il ne se passa rien de plus mais la mère de Christian ayant baissé volontairement les yeux vers mon sexe que je n’avais même pas eu la présence d’esprit de dissimuler de mes mains, celui-ci ayant grossi et commencé à se tendre, explosa d’un de ses rires coutumiers.

Maintenant je bandais vraiment et ses cuisses blanches que sa courte chemise de nuit ne dissimulait qu’à moitié étaient devenues mon obsession.

Jamais, paralysé comme je l’étais, je n’aurais osé la toucher mais par contre je n’avais qu’une idée qui me courait en tête, me masturber, me branler en pensant à elle, au plus vite !

Je n’étais plus soucieux en ce qui concernait son mari mais je craignais le retour de Christian parti acheter du pain. Cela n’inquiétait visiblement pas sa mère et j’ai donc pensé que la boulangerie devait être assez éloignée.

Je me laissais faire, emporté par ce tourbillon que je ne maîtrisais pas et me voyant tétanisé par ma timidité, elle me déposa un baiser sur la joue sans s’occuper de mon bas-ventre et prendre mon sexe dans sa main.

Non, elle ne me masturba pas.

Elle récupéra le pot de crème sur le bord du lavabo et me demanda de me rhabiller, les yeux brillant de malice et avec un sourire laissant deviner la nature de ses pensées en ce moment.

lorsque j’étais en train de me chausser dans la chambre elle revint me voir et me refît la promesse que son mari ne saurait rien concernant ma relation avec son fils, qu’elle ne lui dirait rien et elle me demanda de lui promettre également de ne pas révéler à Christian qu’elle était au courant de mes rapports sexuels avec lui, pas plus que ce qui s’était passé entre elle et moi dans la cuisine ou dans la salle de bains.

J’ai acquiescé et nous avons elle et moi toujours tenu parole.

Aujourd’hui monsieur et madame Si… ik, cinquante ans après sont sans doute décédés ou s’ils ne le sont pas ils sont nonagénaires et quant à Christian il doit avoir à peu près mon âge et il ne lira pas ce récit, aussi je peux maintenant parler librement de tout ceci, il y a prescription en ce qui concerne ma promesse.

Comment se termina cette journée de dimanche, qu’advint-il ensuite entre madame Si…ik et moi, entre Christian et moi et comment tout ceci se termina-t-il ?

Pour connaître la fin de mon récit rendez-vous dans la 4ème et dernière circonvolution de mes Spirales.

Serge Virinoviev

 

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