Soubrette de Charme 10 – Une rouquine un peu potelée par Hélèna Sévigsky et Boris Vasslan
Bonjour à tous mes fidèles lecteurs, c’est donc moi Farida, la soubrette coquine, qui continue de vous narrer mes croustillantes anecdotes vécues au service de Gabrielle et René, couple de bourgeois aussi dépravés que sympathiques.
Ce qui me gonfle le plus dans ce boulot, ce sont les réceptions. Il en est que je raconterais car l’érotisme y fut présent. Mais la plupart étaient inintéressantes.
Monsieur René de par sa position sociale fréquentait du beau monde, s’il détestait les mondanités, il ne pouvait cependant échapper à certaines, et parmi elles, l’obligation de recevoir en quelques circonstances en était une.
Mais le pompon fut atteint ce jour, où Monsieur René se trouva plus ou moins contraint de fêter dignement sa promotion dans l’ordre du mérite (si toutefois j’ai bien compris). Trente couverts ! Rien que ça ! Certes, nous avions été aidés par un traiteur qui nous a fourni les entrées et les desserts ainsi qu’une aide au service. Mais Gabrielle a aussi ces manies. Elle est aussi passionnée de cuisine que d’érotisme et ne manque pas une occasion de faire déguster ses rares spécialités.
Elle avait donc entrepris ce jour-là de cuisiner du lapin pané à la piémontaise pour tout ce petit monde (c’est d’ailleurs délicieux, recette sur demande sur le mail de l’auteur). Il fallait huit lapins (on ne pane pas les pattes de devant), on s’aperçut vite qu’on manquait de chaudrons, il fallut aller en acheter en catastrophe, puis organiser la cuisson de tout cela sur une plaque aux places insuffisantes. Bref, le bordel… D’autant que certains ignares n’y touchèrent à peine !
Parmi les invités, se trouvaient un couple, des amis de province de mes patrons venus à Paris pour l’occasion. Ils coucheraient ici après le repas, et je devais donc préparer la chambre d’amis. Le mari, Bernard était une espèce de grand machin brun dont le visage respirait la jovialité, mais qui resta à l’instar de sa femme très discret pendant le repas. Eux au moins apprécièrent le lapin ! Son épouse, Danièle était une femme d’une bonne quarantaine d’année, une jolie rousse à la peau blanchâtre et au nez mutin, un petit peu potelée mais sans exagération, chaussée de lunettes, et coiffée assez court.
Ce couple tranchait avec le reste de l’assistance, notamment par sa simplicité et par une gentillesse non feinte à mon égard.
Il est presque minuit, ça commence à partir, je débarrasse ce qui reste sur la grande table que nous avons dressé à cheval entre le salon et la salle à manger. Et tandis que tout ce beau monde se dit au revoir je réalise avec horreur qu’avec toutes ces histoires de lapins, je n’ai pas encore préparé la chambre d’amis, je m’y précipite.
Quand je redescends, la dernière voiture quitte la résidence, et il ne reste plus que mes patrons et leurs amis de province.
– Félicitations, Farida ! Me dit Danielle, le service était très bien et le lapin excellent !
– C’est une recette de Madame !.
Je la remercie néanmoins, ça me fait plaisir, et comme je suis censé ne pas être là le lendemain (je peux toujours décaler mes jours de congé, mais bon…) je me précipite à l’office me demandant comment je vais appréhender cet incroyable tas de vaisselle, que les vicissitudes du service ne m’ont pas permis de faire au fur et à mesure.
Quant au lave-vaisselle, d’une part il est trop petit, et d’une efficacité peu évidente et de toute façon la vaisselle qui a été utilisé y est incompatible.
Allez, c’est parti, je ne suis pas près d’aller me coucher !
C’est alors que surviennent Gabrielle et Danielle :
– Attendez, vous n’allez pas faire ça toute seule on va vous aider. Propose cette dernière.
– C’est gentil, je vous remercie, mais je vais me débrouiller.
– Mais non à trois on ira trois fois plus vite, n’est-ce pas, Gabrielle ?
Gabrielle qui m’a l’air fatiguée ne semble pas trop convaincue, mais ne sait trop quoi répondre.
– Ce qu’il faudrait c’est un tablier, ou plutôt non, si vous aviez un grand tee-shirt à me prêter, vous pouvez me dégoter ça, Gabrielle ?
Ma patronne peu motivée, s’en va néanmoins chercher le vêtement demandé. Pendant ce temps Danielle me fait la conversation, elle me parle de tout et de rien.
Gabrielle revient avec non pas un mais deux grands tee-shirts blancs.
– Voilà, je t’en ai apporté un aussi pour toi Farida, tu dois commencer à être un peu serrée dans ton truc !
Puis elle nous indique qu’elle va un peu faire le ménage à côté, manifestement la vaisselle ne l’inspire pas.
Danielle défait alors sa robe « habillée » et s’en va la déposer sur le dossier d’une chaise. La voici donc en culotte et soutien-gorge. C’est une très belle femme, certains diront qu’elle a quelques kilos en trop, mais juste quelques-uns alors, et ils lui vont très bien.
– Allez, j’enlève le soutif aussi, je serais plus à l’aise !
Elle le fait, je ne peux pas m’empêcher de la regarder, incrédule !
– Ça ne vous gêne pas, on est entre femmes ? Commente-t-elle.
Et elle s’empare du tee-shirt afin de l’enfiler, mais ne le fait pas ! Je reste stupéfaite, et alors que je m’apprêtais à m’éloigner pour me changer à mon tour, du coup j’hésite un peu ! Néanmoins, je me retourne et enlève mes habits de soubrette, j’ai l’impression que l’autre derrière est tranquillement en train de me reluquer le cul, mais elle ne verra pas grand-chose, aujourd’hui j’ai mis une culotte et une bien large, puisque le banquet devait être « sage ». J’enfile le tee-shirt, je pivote et constate que Danielle est toujours les seins à l’air.
– Vous n’auriez pas un truc un peu humide, je voudrais me rafraîchir avant ? Demande-t-elle.
– Euh, pourquoi ne pas aller dans la salle de bain ?
– Non, c’est juste pour me donner un petit coup de frais…
J’humecte un petit linge, et le lui tends, et la voici pas gênée pour deux sous qui se mouille les nichons dans la plus grande décontraction. Je ne suis pas complètement insensible à ce spectacle, vous l’aurez deviné !
– Vous devriez faire pareil, ça fait du bien !
Et la voilà qui se n’arrête plus de se passer le machin sur les nénés, pas le petit passage délicat, non je te prends le sein, je te le fais bouger dans tous les sens, une vraie toilette !
– Qu’est-ce que tu en penses ? Toi ? Pour bientôt 50 ans ils ne sont pas mal non ?
Qu’est-ce que vous voulez que je lui dise, d’abord, je veux bien qu’on me tutoie, mais elle ne m’a pas demandé si j’étais d’accord, et pour le reste, il me semble évident que Gabrielle a dû lui expliquer mon statut de soubrette coquine. Mais justement Gabrielle d’habitude me prévient, je ne n’ai rien contre le fait de m’amuser, ni d’amuser les autres, mais il est minuit passé, je suis crevée, et ce n’est pas en batifolant que la vaisselle risque d’avancer…
– Ils sont très beaux !
Il fallait bien que je dise quelque chose
– Merci ça me fait plaisir !
Du coup elle bombe le torse.
– Si tu veux, tu peux les caresser !
Carrément ! Je la trouve bien direct la rouquine !
– Tout à l’heure peut-être, je ne peux pas laisser la vaisselle comme ça !
– Juste une seconde !
Un peu chiante la dame ! Mais je lui passe néanmoins la main sur ses seins, ils sont tout frais et pas tout à fait secs, je me force à éviter le téton, sachant que ça risque de l’exciter davantage.
– Tu devrais faire pareil !
– Je devrais faire quoi ?
– Te les rafraîchir.
– Non ça va !
– Tu veux que je te le fasse ?
Elle devient collante, la Danielle, j’essaie une diversion.
– Elle est où ma patronne ? Elle avait l’air fatiguée.
– Elle doit être à côté avec les hommes, depuis le temps que mon mari rêve de la sauter…
Bon, cette fois, ça se confirme, si elle pratique un langage aussi libre c’est que Gabrielle l’a mise au courant, j’en veux un peu à ma patronne de ne pas m’avoir prévenue. Je ne suis pas un objet, je suis un être humain, j’ai le droit de choisir qui, quand et comment. Du coup je me rebiffe et puisqu’elle me tutoie je fais de même.
– Ecoute, je fais la vaisselle, pour le reste on verra quand elle sera finie, si je ne suis pas trop crevée, d’accord ?
A ma grande surprise, Danielle accepte, elle s’enfile enfin son tee-shirt et vient à mes côtés. Je commence par les assiettes, je les lui passe dès qu’elles sont rincées et elle les essuie.
Elle a l’intelligence de ne pas me relancer, mais c’est une vraie pipelette, elle me parle d’un tas de trucs, à ce point que je ne peux pas en placer une, mais de toute façon à quoi bon, elle semble n’avoir cure de mes répliques.
Et voilà que s’amène Trouvé, le labrador que ma patronne a adopté (voir les chapitres 7 et 9). On l’avait laissé à l’extérieur pendant le banquet et le voilà tout heureux de retrouver du monde et vient directement faire la fête à Danielle.
– Oh, le gentil toutou ! On se calme, mais oui t’est beau, mais laisse-nous faire la vaisselle ! Dit-elle
– Il est très affectueux ! Précisais-je sans arrière-pensées.
– Je vois ! Bon tu te calmes un peu le toutou, non par là il n’y a rien pour toi, ! C’est qu’il me lécherait la chatte ce gros coquin.
– Laisse-toi faire, ce n’est pas désagréable !
– T’es sérieuse ?
– Ben oui !
– Il te le fait à toi ?
– Ça lui arrive !
– T’es drôlement cochonne dis donc ! T’as entendu le chien, Farida voudrait que je te laisse me lécher, alors juste un petit peu !
Je ne pense pas qu’on puisse accepter si rapidement de faire ça, elle l’a donc déjà fait, mais je ne pose pas de question. Danielle s’est assise en écartant les jambes afin de faciliter l’action du chien.
– Méfie toi tu vas le faire bander, il est capable de te sauter dessus après !
– Ah, tu crois qu’il bande ?
Et pas gênée pour deux sous Danielle lui passe la main sous le ventre afin de vérifier. Quelques instants plus tard elle tenait en ses mains la bite carminée du quadrupède.
– En voilà un bel engin ! T’as déjà joué avec sa bite ? Me demande-t-elle.
– Ça m’est arrivée
– Tu l’as sucé ?
– Oui !
Je ne sais pas comment tout cela va finir, mais je dois être tombée sur la reine des cochonnes.
– Moi aussi, ça m’est arrivée, on a deux border collie, parfois ça me prend ! Je suis coquine, hein ?
– Et là maintenant, tu vas le sucer ?
– Arrête, si ta patronne arrive…
– Elle s’en fout, ce n’est pas la dernière à faire ce genre de choses.
– On le suce à deux, alors ?
Et voilà le travail, je suis crevée mais cette rouquine m’a excitée, alors nous voilà en train de nous refiler la bite du chien toute dégoulinante.
– Hum, j’adore, me dit-elle au bout d’un moment ! Tu sais chez nous on a aussi un poney, dès fois quand je lui porte à manger je ne peux pas m’empêcher de jouer avec sa bite, tu verrais le morceau, je n’ai jamais mesuré mais ça fait au moins 50 centimètres.
On s’est embrassé profondément avec le gout de la bite du chien dans la bouche et on a repris la vaisselle.
Un quart d’heure plus tard, voici que se ramène Bernard, le mari de Danielle !
– Alors les nanas, en plein boum ?
– C’était bien avec Gabrielle ? Lui demande alors Danielle sans se démonter.
– Gabrielle, je crois qu’elle est out pour la soirée, elle a une migraine et je crois que c’est une vraie, elle a commencé à faire le ménage à côté, mais elle a fini par s’allonger sur le canapé.
– Et René ?
– Je crois qu’il est parti raccompagner je ne sais pas qui, il n’est pas encore revenu. Mais vous savez que vous êtes excitantes toutes les deux comme ça…
Je trouve ça touchant, le libertin qui est excité par sa propre épouse. Il vient derrière elle, lui fout la main dans la culotte, lui caresse les fesses, puis se plaque contre elle, et glisse la main dans le tee-shirt à la recherche de ses seins qu’il pelote comme s’il ne les avait jamais vus.
– Arrête, tu m’excites, grand couillon !
– Plains-toi !
– Et puis Farida va être jalouse !
– Jalouse ? Quelle drôle d’idée ! Farida m’autoriserez-vous à vous caresser la peau des fesses. En tout bien tout honneur bien évidemment !
– Demandé comme cela je ne peux refuser, mais soyez prompt, je n’ai point fini mon ouvrage ! Répondis-je choisissant par jeu ce langage ampoulé.
– Mais vous parlez divinement, la soubrette ! Auriez-vous fait du théâtre avant de vous reconvertir dans le nettoyage d’assiette ?
– J’ai toujours eu un faible pour Beaumarchais, et quand je le lisais, ce n’est point à l’héroïne que je m’identifiais mais à la camérière.
Ces joutes orales (orales, pas buccales) avaient le don de m’amuser, mais Bernard muni de mon autorisation avait maintenant introduit sa main dans ma culotte et me tripotait les fesses à tout va !
– On se calme, Monsieur, ce ne sont pas des choses qui se font devant sa dame !
– Détrompez-vous, la dame en question doit mouiller comme une éponge ! N’est-ce pas Dada ?
Le diminutif de Dada me fit éclater de rire.
– Votre visage est magnifique quand vous riez Farida. Qu’il me plairait de le voir quand vous faites l’amour ! Réplique le Bernard.
– Le problème, voyez-vous, c’est que je suis lessivée…
– Dois-je comprendre que si vous aviez été en forme, vous auriez accepté une petite séance à trois ou à quatre ?
Voilà comment on se fait piéger !
– Peut-être ! Répondis-je.
– Donc vous ne dites pas non ?
– Peut-être, c’est peut-être !
– Je vais vous faire une proposition, demain vous nous réveillerez à 9 heures, nous ne serions pas contre un petit déjeuner coquin.
J’acceptais du bout des lèvres, heureuse de pouvoir aller me coucher dès la vaisselle terminée, mais je me promettais de parler de tout ça à ma patronne.
Le lendemain matin, Monsieur René, toujours un peu dans la lune, ne remarqua pas que je n’aurais pas dû être là ce matin, et pris son petit déjeuner rapidement, ayant un rendez-vous au ministère. Je fis part à Gabrielle des intentions libidineuses de Daniele et Bernard.
– Ah ! Je vois, bon on ne va pas les contrarier, ils se disent nos amis, c’est peut-être aller vite en besogne, mais ils sont sympas. Mais surtout ce sont des grosses relations de travail de René.
– Je suis obligée, madame ?
– Nous ne t’avons jamais obligée à quoi que ce soit, mais c’est du biseness, tu es aussi payée pour ça Farida.
– Je sais, je suis une pute !
– Tout de suite les grands mots ! Ne me dis pas que tu n’y trouves pas tes avantages ?
– Certes !
– Tu sais, le Bernard, il rêve de me sauter, et bien je vais te dire un truc, je n’ai pas envie de lui, mais pas du tout, mais ce qui s’appelle pas du tout. Pourtant je vais me laisser faire, parce que c’est une relation de mon mari, et que j’ai envie que mon mari continue à gagner plein d’argent. Alors tout à l’heure je vais me farcir le Bernard et je vais sans doute être même simuler l’orgasme. Tu vois, dans mon genre, je suis aussi pute que toi ! Viens m’embrasser.
Elle sait y faire la patronne !
– Bon, leur petit déjeuner est prêt ?
– Oui !
– On va aller leur porter ensemble !
– Bien, je vous attends !
– Non, on y va de suite.
– Mais, puis-je faire remarquer à Madame qu’elle ne s’est pas maquillée et qu’elle est en pyjama !
– C’est exprès, Farida, si le fantasme de Bernard est de me prendre au saut du lit, on va faire avec…
On entre dans la chambre d’amis, le couple somnole. Gabrielle ouvre les rideaux en grand en criant.
– Il est l’heure !
Bernard ouvre des grands yeux étonnés, mais ne dit rien. Ma patronne envoie alors valser son haut de pyjama, s’approche de l’homme et lui fourre sa poitrine sous le nez. Du coup, il la pelote, la lèche la suce. Je me dépoitraille à mon tour et me dirige vers Danièle en lui offrant ma poitrine.
– Quel merveilleux réveil ! Réussit-elle à me dire entre deux coups de langues sur mes tétons.
Gabrielle se retire de l’étreinte, redescend du lit et arrache le drap, le Bernard bande comme un cerf !
– Oh ! En voilà une jolie bite ! Dit-elle s’apprêtant à la sucer.
– Attendez, il faut que je fasse pipi ! Proteste-t-il.
– Humm, bien sûr, souhaitez-vous que je vous la tienne, ou encore mieux souhaitez-vous me faire dessus ?
– Mais vous êtes une cochonne, Gabrielle !
– Je sais ! Alors ?
– Oui, pisse-lui dessus, je vais regarder, et après moi je pisserais sur Farida. Propose Daniele.
Ben voyons ! Et si on lui demandait son avis à Farida, ce ne serait pas mieux ? Mais c’est vrai que ce genre de choses m’amusent plus qu’elles ne me dérangent.
On finit tous de se déshabiller et nous voilà tous dans la petite salle de bain attenante à la chambre d’amis. On est un peu tassé là-dedans. Gabrielle s’assoit sur la cuvette. Bernard lui fait face debout, il se concentre, puis le jet doré jaillit de sa bite, arrosant le ventre et les seins se ma patronne. Elle ouvre la bouche réclamant à boire, en avale un peu elle fera alors une curieuse grimace qui me parut bien bizarre car l’uro l’a toujours amusée. Sa miction terminée, Bernard se recule afin que je puisse m’allonger sur le sol. Danielle me chevauche, s’accroupit sur mon visage et se lâche à son tour. Ça descend très vite et très dru, j’en avale un peu et je comprends maintenant la grimace de Gabrielle, c’est que c’est de la première urine, celle du matin et elle est très forte… mais moi, ça ne me gêne pas !
– Faut que je fasse caca ! Dit soudainement Danielle.
– D’accord on va nous laisser ! Répond ma patronne
– A moins que… reprend notre invitée, les trucs scatos ça ne vous branche pas !
– Si de temps à autre.
– Cela vous plairait de me regarder chier.
– Mais bien sûr !
Danielle se positionne de façon à ce que sa défécation soit visible. Je me demande si je dois rester, mais ma patronne me dit de ne pas bouger.
Danielle pousse et commence à extraire un long boudin marron qui s’en va choir au fond de la cuvette.
– Voilà ! Dit-elle, ça fait du bien de chier une bonne merde. Maintenant il faut que je m’essuie !
Elle prend du papier et s’essuie le trou du cul, puis contemple la feuille toute polluée avant de la porter à son nez !
– Hum j’adore cette odeur ? Qu’en pensez-vous Gabrielle
– C’est exquis ! Répond cette dernière avec diplomatie.
Ma patronne et moi nous nous essuyons sommairement des dernières taches d’urine, puis retour dans la chambre, je lèche le minou tout trempée de pisse de Danielle tandis que Gabrielle a mis la bite de Bernard sans sa bouche.
– Si Farida pouvait aussi me sucer ! Quémande Bernard
– Tu ne vois pas qu’elle est occupée, non ? Proteste Danielle.
– Elle s’occupera de toi après ! Répond-il
– Non !
Ils vont s’engueuler à cause de moi ! Je rêve !
– Alors je fais quoi ? Demandé-je
– Honneur aux dames, Danielle à la priorité, n’est-ce pas Bernard ?
Il n’insiste pas, Gabrielle reprend sa fellation mais en même temps, elle commence à lui doigter le trou du cul.
– Oh, c’est bon !
– T’aimes qu’on s’occupe de ton cul ?
– Oui, j’adore ça !
– J’ai un gode si tu veux, mais faut que j’aille le chercher.
– Oui, j’aimerais bien !
Et pendant l’absence de Gabrielle, Bernard me malaxe les fesses, ça ne me dérange pas j’aime bien qu’on me tripote les fesses ! D’ailleurs il se contente pas de me les tripoter, il m’en écarte les globes et entreprend me lécher le troufignon avec application.
Ma patronne revient et nargue Bernard en lui exhibant le gode :
– Ça va être pour qui, ça ? Qui c’est qui va l’avoir dans le cul ?
– C’est moi ! Répond Bernard, rentrant dans le jeu.
Non seulement il entre dans le jeu mais il se positionne spontanément en levrette, les cuisses écartées et le trou du cul offert.
– En voilà une tenue ? Plaisante Gabrielle.
– Vas-y fous moi le gode !
– Et si je te le faisais sucer avant ?
– Euh…
– Quoi euh ! Tu veux le sucer ou pas !
– Juste pour rire, alors !
J’ai du mal à suivre, ça veut dire quoi sucer un gode « pour rire » ?
Gabrielle lui fait donc sucer le machin, et je dois dire que l’homme s’y prend très bien, à mon avis, il ne doit pas sucer que pour rire et cet homme-là a dû sucer bien plus qu’une seule vraie bite dans sa vie ! Gabrielle a dû parvenir à la même conclusion que moi et le vanne gentiment.
– Humm ! tu m’as l’air d’un bon petit suceur de bites, toi !
– Non, non, pas du tout, je m’amuse, c’est tout ! Répond-il en redonnant le gode à Gaby.
Il a l’air gêné, le Bernard, mais gêné, d’autant que Danielle vient de lui jeter un regard courroucé. A mon avis, ces deux-là quand ils vont se retrouver seuls, ils vont nous la jouer « scène de ménage » !
Gabrielle s’est également aperçue qu’elle avait gaffé, mais dans ce contexte qui ne l’aurait pas fait ? Et elle essaie de se rattraper aux branches, de façon peu adroite à mon avis.
– Je te le mets dans le cul, maintenant ?
– Bien sûr !
Ben, oui, il ne peut pas se dédire.
– Ce truc-là, explique Gabrielle, tous les hommes apprécient, du moins ceux qui ont essayé, certains croient que c’est un truc d’homo alors que c’est complètement faux.
– Je suis bien d’accord ! Répond Bernard, ravi qu’on vienne à son secours.
Il ne m’apparait pas que Danielle soit convaincue de l’hétérosexualité pure et dure de son conjoint, mais après tout ce sont là des choses qui ne me regardent pas ! Je suis là pour lécher Danielle, alors je lèche Danielle, et je dois dire que je me régale et que je m’excite. Cette belle rouquine a la chatte juteuse et gouteuse. A l’action de ma langue, j’y ajoute celle de mon doigt que je plonge dans cette délicieuse caverne humide, tandis que l’autre main tendue s’en va attraper un téton et le tortille avec vigueur.
A ce régime, la Danielle, ne résiste pas longtemps et finit par hurler de plaisir.
Temps calme, on se fait des bisous, on se caresse gentiment, tandis qu’à côté ma patronne continue de pilonner le trou du cul de Bernard en s’excitant joyeusement
Mais le plaisir que prend l’homme à se faire ainsi sodomiser avec la bite en plastique finit par paraître suspect aux yeux de Danielle qui sort peu à peu de sa torpeur.
– J’ai cru comprendre, Gabrielle que vous aviez un chien très complice ! Dit-elle à brule-pourpoint
– Qu’entendez-vous par là ?
– Ben…
– Il ne faut pas croire tout ce que l’on raconte…
– Il est pourtant venu me lécher.
– La main ?
– Non, la chatte !
– Et vous avez aimé ?
– Beaucoup, mais ce n’était pas une première, vous savez, nous à la campagne on aime beaucoup les bêtes.
– Je vois ! Voudriez vous qu’il vous baise ?
– Si ça ne vous dérange pas…
– Pas du tout ! Farida va nous chercher Trouvé !
Je ramène donc le clébard en laisse. La bestiole doit sentir l’odeur de stupre qui se dégage de la chambre et frétille de la queue comme un métronome.
– Prépare-le, Farida !
Ben voyons ! A moi d’aller chercher la bite du chien qui ne tarde pas à sorti de son fourreau. Il bande joliment et c’est quasiment instinctivement que je porte cet organe dans ma petite bouche vicieuse. Hum c’es bon, j’y ai pris goût !
– Mettez-vous en position, Danièle.
Elle le fait exhibant son joli cul bien charnu.
– Vous avez vraiment un cul d’enfer ! La félicite Gabrielle.
– Un cul de salope ! Rectifie Danièle
– Ce n’est pas incompatible.
Gabrielle dirige le chien vers la rouquine, il cherche à la pénétrer.
– Dans mon cul, dans mon cul ! Crie Daniele.
Qu’à cela ne tienne, il suffit de rectifier la cible. Et voilà que Trouvé se met à enculer Danièle qui pousse des mugissements de plaisir et finit par s’écrouler. On dégage le chien afin qu’il ne reste pas collé.
– T’es vraiment une morue ! Dit Bernard à sa femme.
– Mais c’est pour ça que tu m’aimes !
– Gabrielle, j’ai une dernière sollicitation..
– Sollicitez, mon ami, sollicitez.
– Il me plairait de vos enculer !
La proposition est hardi, mais ma patronne est chaude du cul, surtout en ce moment, elle se met donc en levrette, les fesses relevées, les cuisses écartées et les trous béants, attendant que l’impertinent personnage lui pénètre le trouffignon après s’être encapoté.
Et ça va très vite ! Je ne sais pas si le Bernard est un éjaculateur précoce ou si cela est le résultat d’un trop plein d’excitation trop longtemps retenue, mais toujours est-il que deux minutes plus tard l’affaire était pliée.
Bernard décule, murmure un vague merci et s’en va se rincer le zigouigoui. Danielle va le rejoindre, non sans m’avoir fait un nouveau bisou. Danielle est décidemment très affectueuse.
– On vous laisse vous préparer ! Leur lance Gabrielle.
– Il est quelle heure ?
– 8 h 30
– Vous pouvez nous appelez un taxi pour dans une heure, on a un train à Montparnasse vers 11 heures.
– Je peux vous raccompagner ! Je vais sur Paris après !
– Ah, c’est gentil, on accepte volontiers.
Je me rend subrepticement dans la salle de bain pour chercher une brosse et surprend une étrange conversation :
– Tu ne m’avais jamais dit que t’avais sucé des bites ?
– Bof ! Juste une ou deux, c’était pour pas mourir idiot…
– Tu te fouterais pas un peu de ma gueule ?
– Bon, tu ne vas pas m’en faire un mélodrame ?
– Non, mais il faudra que tu me racontes !
– Oui, ma chérie !
– Avec tous les détails !
– Oui, ma chérie !
Je me marre.
– C’était fabuleux ! Me confie ironiquement Gabrielle quand nous fumes seules
– Fabuleux ?
– Oui, je n’ai rien senti ! M’expliqua-t-elle en rigolant Et puis comme une conne je leur ai proposé par politesse de les accompagner jusqu’à Montparnasse, je ne pensais pas qu’ils accepteraient….
Et ce fut le départ, Danielle et Bernard me gratifièrent d’un gros bisous. Ce sont des gens simples et gentils, mais j’aurais malgré tout pas refusé un petit pourboire….
C’est dans la soirée, après que Monsieur René soit rentré que je surpris une étrange conversation.
– Qui c’est au juste c’est deux zigotos, Danielle et Bernard ? Tu m’avais dit qu’ils étaient déjà venus ici, mais je ne me les remets pas ! Demanda Gaby à son époux.
– Bernard Rochambolle, un entrepreneur bordelais qui fait dans les cartons d’emballages, j’avais eu un bon contact avec lui, il y a une dizaine années, on était sortis faire les cons en boite avant de signer un gros contrat, et dernièrement j’ai dû reprendre contact au téléphone avec lui, comme il était toujours aussi sympa, j’ai pensé à l’inviter.
– Pendant le repas, on ne l’a pas entendu…
– Oui c’est bizarre, mais ce qui est encore plus bizarre, c’est que je ne l’ai pas reconnu, je sais bien qu’en dix ans les gens changent, mais quand même…
– Je me suis farci le Bernard, j’espère simplement que ce n’est pas pour des prunes.
– Mais non, mais non…
Je n’ai su la suite que quelques jours plus tard, Gabrielle me l’ayant racontée, elle aime bien me raconter des trucs, ma patronne !
Le récit de Gabrielle
Ce jour-là René qui est à son travail doit téléphoner à Bernard Rochambolle, assez curieusement ce dernier par ailleurs fort jovial n’évoque pas la soirée passé chez nous, cela trouble mon mari qui quand le vif du sujet fut épuisé lui lance, l’air de rien :
– Sinon, tout va bien, vous êtes bien rentré l’autre jour ?
– Le vol a eu une heure de retard, mais bon, on a l’habitude !
– Ah ? Vous avez pris l’avion finalement ?
– Ben oui, pour revenir du Canada, c’est plus pratique ! Rigole Rochambolle.
– Attendez, je suis en train de confondre, le 21 vous étiez donc au Canada ?
– Oui, c’est un beau pays, vous savez… Mais j’y pense ces contrats nous pourrions les signer à Bordeaux, je vous ferais visiter mon domaine, venez donc avec madame…
Quand nous sommes venus à Bordeaux, les Rochambolle n’étaient pas les mêmes que ceux qui avaient couché à la maison après le banquet. Le mystère restait entier, jusqu’à ce que nous croisions d’un peu loin sans qu’ils ne nous reconnaissent le couple de régisseurs du domaine, nous n’avons pas bien vu l’homme, mais la femme était une jolie rousse légèrement potelée !
Ils avaient dû subtiliser l’invitation et étaient donc venus s’empiffrer à l’œil au lieu et place de leurs maîtres, et en plus ce conard m’a baisé ! Mais nous n’avons rien dit, après tout c’était de bonne guerre !
Fin
Novembre 2018
Moi, j’aime bien les rouquines un peu potelée
Non seulement c’est croustillant mais le final est à tomber !
sur la 1ère photo on dirait Isabelle Carré
Super vaudeville érotique !
Et pourquoi vaudeville ?
Parce que faut tout lire jusqu’à la fin 😉
Encore une belle histoire très décontractée, c’est la moins que l’on puisse dire, quelques belles scènes, des vrais personnages et un twist final pas piqué des hannetons !
Une bonne histoire telle qu’on les aimes, coquine, grivoise et excitante avec des personnages attachants.
Une très belle histoire, très excitante et bien écrite avec tous les petits fantasmes qui vont bien et une chute inattendue. On en redemande !
Sympa la reprise des aventures coquines de notre petite soubrette toujours aussi dévouée au service de ses charmants patrons et au plaisir de leurs invités. C’est cru, décontracté, délicieusement raconté de façon primesautière. Peut être authentique entre gens agréables qui ne se formalisent pas…et le « après tout c’était de bonne guerre » convient très bien au final de cette bonne histoire.