Putain de contrat
par Marie-Paule Perez
Bonjour la compagnie ! Je me prénomme Marie et j’en remercie mes parents, Que n’ais-je entendu derrière mon dos les quolibets les plus stupides : Marie-salope, Marie couche-toi-là ! Mais maintenant je n’entends plus rien, je ne travaille plus, mon époux ayant acquis une confortable situation, il se prénomme Pierre (original !) et travaille chez Zurglob-Export comme cadre commercial.
Description puisque c’est l’usage dans ce genre de récit : Je ne suis certes pas un top-model, mais pas non plus un laideron. Je suis assez grande, assez fine, des seins moyens, un cul moyen, pas de graisse, un visage agréable, des yeux bleus, des cheveux mi-longs teint en blond, un joli petit sourire ! Faut pas que je me plaigne !
Ce soir Pierre tourne en rond, je lui parle, il ne me répond pas, il a envie de me dire quelque chose, je le connais l’animal, mais quelque chose dois le gêner.
– Il m’arrive un drôle de truc !
– C’est grave !
– Noooooon !
– A ben alors tout va bien ! C’est quoi ton truc bizarre alors ?
– Ben, j’ai été au restau avec Kurt Von Schtraffenberg.
– A tes souhaits !
– C’est un allemand de Frankfort Je ne sais pas comment il s’est débrouillé, mais il m’a dit que je devais avoir une femme ravissante, et patati et patata…
– Pourquoi ? C’est pas vrai ?
– Toujours est-il que je lui ai montré ta photo
– Tu parles elle doit dater de dix ans la photo de moi que t’as dans ton portefeuille… Et puis ?
– Et puis, il veut absolument qu’on l’invite chez nous avant de signer un super contrat !
– Bon d’accord, j’ai compris, c’est la corvée, alors d’accord je te le bichonne, ton client, mais tu me récompenseras, j’espère !
– Pas de problème ! Mais ce ne sera peut-être pas une corvée, il est plutôt bel homme !
– Et ben tant mieux !
Je pensais l’affaire empaqueté, mais non, il continuait mon ours de mari à faire le chiffonné comme s’il ne m’avait pas tout dit !
– Je vais t’en demander un tout petit peu plus !
– De quoi tu parles
– De Kurt Von Schtraffenberg
– Oui ?
– Je voudrais que tu t’habille sexy !
– Tu ne veux pas que je fasse la pute non plus ? Il y a des escorts pour ce genre de choses.
– Ben si justement !
La gifle le surprit !
– Je n’ai rien contre les putes, par contre les maquereaux j’ai quelque chose contre ! Je vais me coucher, bonsoir !
Je claquais brutalement la porte.
Le lendemain matin mon mari, dépité me fit des excuses, il fut alors convenu que, certes je m’habillerais sexy, mais que l’affaire n’irait pas plus loin.
Admettons !
Je m’étais donc habillée sexy. Je portais une robe noire très courte qui mettait bien en valeur mes longues jambes que j’avais gainées d’une paire de bas noirs auto-fixants. Le haut, décolleté, laissait voir la naissance de mes seins et j’avais renoncé au soutien-gorge. La culotte ? Quoi la culotte ? J’ai mis ce qui me tombait sous la main, je ne vais pas lui monter ma culotte tout de même !
A l’heure prévue, Kurt Von Truc est arrivé. Charmant, la quarantaine environ, il avait amené un gros bouquet de fleurs ce qui fait toujours plaisir. Pour prendre l’apéritif, nous nous sommes installés au salon. L’allemand et mon mari se sont assis sur le divan. Je me suis retrouvée dans un fauteuil en face d’eux. En m’asseyant, ma robe très courte s’est encore remontée dévoilant nettement le haut de mes bas. Notre invité n’a rien raté du spectacle que je lui offrais involontairement. J’ai surpris son regard et me suis mise à rougir. J’ai ensuite tiré sur le bas de ma robe mais sans grand résultat. J’ai quand même fait attention à garder mes jambes serrées. L’apéritif s’est déroulé normalement, mon mari faisant le service.
Puis nous sommes passés à table. Mon mari s’est placé en face de Kurt Machin-chose et je me suis retrouvée à côté de lui. Au début du repas, je me suis occupée du service pendant que les hommes parlaient entre eux de travail. L’allemand faisait honneur aux plats (en s’empiffrant un peu quand même) et les conversations ont vite dévié sur des sujets plus légers. Arrivés au fromage, mon mari s’est aperçu qu’il n’y avait plus de vin et s’est levé pour aller en chercher à la cave.
Je me suis retrouvée seule avec notre invité. Il s’est alors mis à me complimenter. Je le remerciais lorsque j’ai sentis sa main se poser sur ma cuisse à la lisière de ma robe.
– Je vous en prie, arrêtez ! Et rasseyez-vous, mon mari va revenir ! M’exclamais-je totalement surprise par ce geste.
– Allons, vous êtes dellement sexy. Laichez-fous faire. J’ai envie de vous carecher. Vous chafez que vous me faites énormément d’effets ? Dit-il avec un accent impossible.
– Non arrêtez ! Enlevez votre main !
Mais il avait déjà glissé sa main jusqu’au-dessus de mes bas et le contact avec ma cuisse me donna le frisson.
A ce moment-là, un bruit dans le couloir lui a fait stopper son geste. C’était mon mari qui revenait, une bouteille à la main. Je me suis alors levée précipitamment pour aller en cuisine. Mon mari m’y a suivi, se doutant de quelque chose. Je lui racontai ce qui venait de se passer. Mais sa réaction ne fut pas celle que j’attendais. Il me dit :
– Ecoute, chérie, il m’avait promis d’être sage… Je ne t’obligé à rien c’était notre accord, je ne reviens pas dessus ! Mais que veux-tu que je fasse, si je le mets à la porte, je perds mon contrat, et ma carrière va en prendre un coup. Par contre si tu es compréhensive, ça ne peut que nous rapporter à tous les deux. !
– Tu veux que je t’en foute une comme l’autre jour !
– Je t’ai dit que je ne t’obligeais à rien !
– Et si je ne le fais pas, tu vas me faire la gueule !
– Je ne vais pas sauter de joie après l’échec d’un contrat, mais si on doit en passer par là, tant pis, tout ce qui arrive c’est de ma faute, je me suis fait manipuler par ce type, il suffisait que je dise que je n’avais pas de photos de toi ou que tu étais devenu obèse ! Bon il faut prendre une décision Marie !
– Tu le vires !
Je suis sûre qu’il n’attendait pas une réponse si définitive. S’il le vire il perd son contrat de façon quasi certaine, il m’en voudra et il nous faudra gérer la suite. S’il ne le vire pas, ils vont se retrouver tous les deux en tête à tête, (moi je serais partie dans la chambre) l’allemand sera de mauvais poil et ne sera pas en bonne disposition pour signer le contrat, de plus on aura droit à une grave crise conjugale dont on ne ressortira pas intacts.
– Je peux peut-être lui demander de te laisser tranquille…
– Je n’ai pas l’impression que c’est-ce qu’il attend…
– Alors ?
– Alors tu le vires !
Pierre réfléchit à toute vitesse, il choisit la solution du moindre mal, pouvait-il faire autrement ?
– Bon d’accord je le vire !
Je reste dans le couloir, curieuse de voir comment les choses vont se passer !
– Monsieur Von Schtraffenberg, je crois que nous allons en rester-là, je vais vous demander de bien vouloir quitter les lieux. Cette invitation était un malentendu.
– Was ? Warum ? (Quoi ? Pourquoi ?)
– Vous le savez bien, foutez-moi le camp ! Kommen Sie heraus ! Schnel l! (Sortez ! Vite !)
L’allemand se lève, regarde autour de lui, se demande ce qu’il se passe, s’essuie la bouche avec sa serviette, enfile sa veste, et s’en va dans le coin de la pièce, récupérer sa sacoche ! C’est alors que ce produisit dans ma tête une sorte d’éclair, et alors qu’un instant plus tôt je m’amusais de la mine déconfite de notre invité, j’apparu dans la salle à manger avec un grand éclat de rire.
– Mais restez donc, Monsieur Von, enfin Monsieur Kurt ! c’est une blague, mon mari voulait vous faire une blague.
L’autre qui me regarde, de plus en plus dépassé par les événements.
– C’est une blague française, c’est très spécial, mais tout va bien, rasseyez vous
– Che ne gombrend pas !
– Ce n’est pas grave, tout va bien, qu’on vous dit.
L’allemand repose sa mallette, mais reste dubitatif.
– Ça va, Marie ? Demande Pierre un peu inquiet !
– Bien sûr que tout va bien !
On s’est tous remis à table, pour finir le fromage et boire un peu de vin, mais une certaine tension était perceptible.
Il me fallait prendre une initiative :
– Venez au salon, on prendra le dessert sur la petite table.
On s’installe et je propose qu’on fasse une petite pause. Je tamise alors légèrement la lumière et passe une musique douce. Puis j’invitais carrément Kurt pour un slow.
– On peut flirter un tout petit peu, mon mari ne dira rien.
Il me tenait serrée contre lui et je sentais ses mains me caresser le bas des reins. Puis ses mains descendirent sous ma robe et remontèrent sur mes fesses. Il me caressa ainsi par-dessus mon slip puis glissa quelques doigts en dessous. Je le laissais faire et sentais son désir grossir contre moi. Je tournais le dos à mon mari mais je suis sûre qu’il ne perdait rien du spectacle et devait apprécier de voir ma robe retroussée.
L’allemand me serra contre lui et plaça ses mains sur mes fesses. Je murmurai un « non » timide mais il commença à me peloter les fesses. Ses mains parcouraient le haut de mes cuisses et se glissaient sous mon slip. Je ne pouvais pas l’empêcher.
– On peut flirter plus ? Demanda-t-il.
– Faites comme chez vous !
Alors il se mit à me peloter les seins. En même temps il me murmurait qu’il avait très envie de moi, qu’il bandait comme jamais. D’un coup il fit glisser les bretelles de ma robe et me dénuda la poitrine.
Il se pencha vers moi et se mit à me lécher les bouts. Ceux-ci étaient déjà durs car j’étais excitée par la situation. Puis il se redressa et dégrafa son pantalon, le baissa avec son slip et je vis surgir sa queue tendue au maximum.
– Che peux fous baiser ?
– Baisez-moi, cher monsieur, baisez-moi.
Me poussant vers un fauteuil, il me fit me courber contre le dossier et releva ma robe sur mes reins. Il baissa brutalement mon slip et je sentis sa queue se frotter contre mes fesses. Puis, d’un coup sec, il me pénétra.
– Halt Kapott ! Criais-je en imitant l’accent allemand
Je me marre parce que des capotes on n’en a pas à la maison !
– Wo, Kondom ? (des capotes, où ça ?).
Et à ce moment-là devant mes yeux étonnés, je vois Pierre prendre une boite de préservatifs sur une planche de la bibliothèque. Il avait tout prévu ce salaud ! Il va m’entendre tout à l’heure !
Le teuton se capuchonne et revient vers moi ! Cette fois j’y ai droit, je m’offre.
Ses mouvements sont puissants et je le sens me labourer profondément. Pas repoussant l’allemand, non, mais un peu bourrin quand même.
Il trouve le moyen d’interpeller mon mari.
– Brofitez du spectacle ! Pranlez-fous la bite !
Je pensais que Pierre accepterait uniquement pour lui faire plaisir, mais quand il sortit sa queue, elle était déjà bien bandée. Quel cochon !
– T’as une cholie queue ! constata l’allemand, je la chusserais bien !
La tronche de mon mari !
– Allez-y, il adore ça ! L’encourageais-je.
Mon mari est coincé, il est blanc comme un linge, se demande comment réagir.
– C’est pas trop mon truc, mais si ça vous fait plai.. plai… plaisir… finit-il par bafouiller
– Ne l’écoutez pas, il adore ça, je vous dis.
L’instant d’après la bite de mon époux allait et venait dans la bouche de l’allemand.
– C’est bon ce qu’il te fait ? Demandais-je pour le provoquer.
Il ne me répond pas, se contentant d’afficher un sourire idiot. Mais il n’a pas l’air d’être traumatisé.
– Faut chafoir s’amucher ! Déclare l’allemand en interrompant sa fellation. Fous n’auriez pas un petit verre, j’ai beaucoup choif ?
Je retourne dans la salle à manger chercher à boire. Il avale son verre de Chevrey-Chambertin comme c’était de la limonade.
– Elle est bonne sa bite, vous ne devez pas vous ennuyer tous les deux ! Déclare-t-il en bavant.
Il va faire quoi maintenant ? J’espère qu’il va reprendre sa fellation et m’oublier un peu.
Ben non !
– Che peux t’enculer ?
Ça ressemble à une question mais il s’avance vers moi comme s’il était certain de ma réponse. Je ne peux pas faire autrement que d’assumer ce que j’ai déclenché, mais inutile de faire ça dans la précipitation, j’ai bien le droit de prendre mes aises.
– Une chegonde !
– Hein ? Dit-il
– Ne faites pas attention, j’essaie de prendre votre accent.
– Ach, encore humour fransouze.
– C’est ça, oui !
Je me débarrasse de ma robe et de ma culotte et me positionne en levrette sur la moquette, le visage tourné vers Pierre afin que je puisse bien le narguer… et allons-y la jeunesse !
Kurt après avoir retiré son pantalon et son caleçon me pilonne le trou du cul en débitant des choses dans sa langue natale, je n’y comprends rien mais à mon avis ce ni du Goethe ni du Schiller !
J’ai connu des sodomies plus subtiles, mais je parviens néanmoins à y trouver quelque plaisir.
Pierre est là devant moi, la queue demi-molle, la mine aussi réjouie que celle de Droopy.
– Ben branle-toi, reste pas comme ça !
Les allers et retours de notre invité teuton durèrent bien dix minutes aux termes desquelles, il finit par jouir en soupirant.
Il se retire.
– Merci, cha fait du bien ! Fous j’êtes charmante.
– Ce fut un plaisir ! Répondis-je poliment en me relevant.
Kurt se sert à boire, je tente de récupérer ma culotte, mais il veut absolument la garder en souvenir. Si ça peut lui faire plaisir, je ne suis pas à une culotte près !
– Che foudrais picher !
– Pardon ?
Il mime l’action de faire pipi, là je comprends mieux.
– Au fond du couloir à droite…
– Fous pouvez me la denir, ché rigolo !
Effectivement, c’est d’un comique irrésistible.
On arrive devant la toilette, je lui tiens la bite.
– Baichez-fous c’est mieux !
– Que je me baisse ?
– Ché plus rigolo !
S’il le dit !
Sa bite est à présent à quelques centimètres de mon visage. Je ne comprends pas les détails mais en gros, il cherche à s’exciter pour remettre le couvert.
Je me fais une raison, on baisera une seconde fois et après ce sera fini, tout à une fin.
Pour lui montrer ma bonne volonté, je me passe la langue sur les lèvres, puis un doigt que je mouille avant de le porter à sa bite.
Je m’apprête à le prendre en bouche, mais il comprend tout de travers.
– Ach ! Fous aimez les cheux humides, alors ?
– Pardon ?
– Les golden showers.
Voilà qu’il parle anglais à présent ! Mais je ne suis pas plus avancé. Je finis par comprendre quand je le vois en train se préparer à pisser en visant non pas la cuvette, mais mon visage. J’ai déjà joué à ce genre de choses deux ou trois fois sans que cela m’offusque. Alors soyons fou. J’ouvre une large bouche et avale le pipi du monsieur.
Evidemment je m’en fous partout. Pas bien grave, j’avais l’intention de prendre une douche, une vraie.
Quand il eut fini, il m’invita à prendre sa bite en bouche que je suçais quelques instants afin de lui redonner une vigueur optimale.
– On va retrouver fotre mari ! Me proposa-t-il
– Je crains que ce ne soit pas une bonne idée…
– Mais chi !
On revient, Pierre a remis de l’ordre dans sa tenue et fume un petit cigare en sirotant un verre de vin.
– Je lui fais une petite pipe et on passe au dessert ! Annonçais-je.
L’allemand s’affale dans un fauteuil et je viens entre ses cuisses.
– Tu me chuche en même temps qu’elle ? Propose l’allemand à Pierre.
Oh, la la ! Ça se complique !
– Cela aurait été avec plaisir, mais j’ai une gingivite, c’est contagieux !
– Ach ! Che comprend !
Ouf !
– Tu feux que je te chuce pendant qu’elle me chuche.
Là, c’est plus facile à gérer.
– Bonne idée, viens Pierre !
– Je suis un peu fatigué…
– Mais non ! Ché la fête ! Objecte l’allemand.
– Après le gâteau.
– Après le gâteau, tu fas m’enculer avec ta belle bite !
Il est sérieux ou pas ?
Je fais signe à Pierre qu’il vaut mieux qu’il vienne maintenant afin de calmer ses ardeurs. Il me semble en effet que quand il aura joui deux fois, il nous foutera la paix.
Pierre se lève, retire son pantalon et son caleçon !
Etait-ce bien nécessaire ?
Il vient à la hauteur du visage de Kurt Von Machichose et se fait sucer.
– Quand elle sera bien raide, je te la fouterais dans le cul ! Lui-dit-il
– Jawohl !.
J’ai alors usé de tout mon savoir-faire, pour faire décharger l’allemand dans ma bouche.
– On rebrendra tout à l’heure ! Propose-t-il.
On reste tous à moitié à poil pour manger le gâteau. Je m’arrange pour que l’allemand ait constamment à boire. Puis j’ai servi le café, le pousse café, les cigares. Le temps a passé et manifestement la libido de notre teuton est descendue à la cave.
Il nous informe qu’il faut qu’il rentre à son hôtel, parce qu’il commence à avoir sommeil, et donne rendez-vous le lendemain à Pierre pour signer les contrats à 11 h 30 dans les salons de l’hôtel Galata.
– Nous irons au rechtaurant après, Madame est infitée auchi, nadurellment.
– Cela aurait été avec plaisir, mais demain je ne pourrais pas me dégager de mes obligations professionnelles
– Ah ! Tommage !
Une fois l’olibrius parti, je demandais à Pierre s’il aurait vraiment été jusqu’au bout.
– Avec ce qu’il y a à la clé, ça aide à se débarrasser de ses préjugés, je n’en serais pas mort, et de toute façon il ne faut pas mourir idiot… et toi ce brusque changement d’attitude, tu m’expliques
– Moi aussi j’ai compris ce qu’il y avait au bout.
– On des putes !
– Et toi en plus t’es un pédé !
– Et on n’a même pas honte !
– Pourquoi avoir honte, on a fait du mal à qui ?
– J’avais mis du champagne au frais, on ne l’a même pas débouchée, on le fait ?
On a trinqué, Pierre m’a pris dans ses bras et nous nous sommes embrassés tendrement. Quand je pense que tout à l’heure, je projetais de lui faire la gueule…
Le contrat a permis à mon mari d’avoir une grosse promotion, on a changé de voiture et on va déménager. Pierre m’a offert un manteau en fourrure et une croisière autour du monde ! J’aurais été idiote de refuser tout cela, et ça n’a même pas été une corvée
Le sexe n’est que le sexe, et si certains lui donne une importance démesurée, et bien j’ai appris ce soir-là qu’en en banalisant le rôle on pouvait en tirer des avantages et sans faire de mal qui que ce soit ! Drôle de morale diront d’aucuns, mais l’exclusivité sexuelle participe- t-elle à la morale ?
Et sur ce sujet de méditation philosophique, je vous remercie de votre attention
Marie-Paule Perez – juillet 2016
Le retournement de situation est un peu brutal mais sinon c’est un bon récit, mais qui ne plaira peut-être pas à tout le monde
Je relis toujours cette histoire avec beaucoup de plaisir.
J’adore le retournement de situation. Et puis, voyons, Madame a été ravie sur tous les plans : la gifle d’abord, l’excitation ensuite certainement pas feinte, et le plaisir enfin : un bel aboutissement qu’elle assume avec beaucoup de fierté et pas une once de honte …et pourquoi en aurait-elle eue! Quant au mari bravo, il s’est fait prendre au piège mais il n’a pas trop mal géré son affaire….dommage qu’il ait refusé un petit truc en plus….Bravo Marie-Paule joli reflet du caractère de la femme et d’un homme.
Délicieusement pervers. Ne sommes nous pas tous un peu « putes » ?
Très bon récit qui tord le cou au politiquement correct
Un récit antiféministe dans le bon sens du terme, je m’explique avant de me faire écharper. Je n’encourage personne à coucher pour obtenir des avantages, mais je ne vois pourquoi celles qui ont envie de le faire ne le feraient pas. Cela participe aussi à la liberté de faire ce que l’on veut de son propre corps et ni le législateur, ni les moralistes ni les ultra féministes n’ont à la ramener. Bravo Marie-Paule d’avoir eu le courage de publier ça !
Les « féministes » vont hurler ! Hi hi hi
Formidable récit ! Quel pied de nez au politiquement correct. Bravo à l’auteure
C’est une fable, puisque ce texte est postfacé d’une morale ou plutôt d’une réflexion philosophique que je trouve fort interessante, n’en déplaise aux moralistes de droite et de gauche
Excellent et jouissif ! Une leçon de vie en quelque sorte !
J’ai adorais ce récit. Le retournement de situation est jouissif en fait.
Enfin, tout se passe bien si tous y prennent du plaisir sans que cela en soit une corvée.
Bravo Marie.
Bravo, Madame a bien menée sa barque avec humour et détermination. Excellent récit
Oui, excitant et délicieusement anti politiquement correct, j’aodre
Texte agréable et léger (dans tous les sens du terme). Jolis retours de situations. Madame a bien géré les circonstances. Dommage qu’elle ait empêché son mari de se faire enculer, après tout il le méritait bien pour un si beau contrat ! Bravo…la vie n’est-elle pas chouette quand on sait la prendre du bon côté ! et non pas sans un agréable petit jeu de mots !
excellent récit , très excitant avec beaucoup d’humour