Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 18 – Partouze finale par Maud-Anne Amaro

Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 18 – Partouze finale par Maud-Anne Amaro

Les deux femmes prennent le chemin du retour :

– T’en penses quoi de ce qu’on vient de faire ? Demande Florelle
– Un peu déçue, sur le moment c’était plutôt amusant, mais le résultat, c’est quoi ? Est-ce qu’on est vraiment vengé ? Finalement ce mec ce n’est jamais qu’un pauvre con ! Et qu’est-ce que tu veux qu’on fasse avec un pauvre con ? Ma vraie vengeance c’est d’avoir récupéré mon fric !
– Ouais !
– Pas d’accord ?
– Si, un peu ! Et en plus moi je n’ai rien récupéré, on n’efface pas une insulte.

Un silence gêné s’installe quelques minutes.

– On fait quoi ? Finit par demander Florelle !
– T’as faim ?
– Pas des masses, mais on peut grignoter un petit truc.
– J’ai envie de voir du monde, de faire la folle, d’oublier nos conneries ! Réplique Vanessa.
– C’est un peu tôt pour aller en boite.
– Je ne pensais pas à ça !
– Ton client qui te chouchoute, c’est un fêtard ? Demande Florelle.
– Pas vraiment, il a d’autres qualités, mais… oh en revanche il a rencontré un couple de chercheurs, le professeur Martinov, il s’appelle, tu verrais le look, super sympa, pépère…on va lui dire de venir chez lui, on va se faire une super teuf…
– Martinov à Louveciennes ?
– Tu connais ?
– Ben oui…

Du coup chacune raconta à l’autre ce qu’elle ne savait pas.

…et puis j’inviterais bien Framboisert…
– C’est qui, Framboisert ?
– Tu vas voir ! On va se poser cinq minutes dans un, je vais donner quelques coups de fil.

Vanessa téléphona d’abord à Framboisert en l’avisant que Martinov serait aussi invité chez Octave puis à Martinov en l’avisant que Framboisert serait aussi convié. Puis termina par Octave Heurtebise qui pratiquement devant le fait accompli, tomba du placard.

– Mais, si mais si, ça me fera plaisir… Insiste Vanessa. On va faire la fête, tous ce que j’ai obtenu c’est grâce à toi, non ? Martinov et sa copine tu les connais, pas de problème, Framboisert aussi, quant à Florelle, c’est ma copine…
– Framboisert ? Pourquoi Framboisert ?
– Parce qu’il suce des bites !
– Ah ! Mais je n’aurais jamais le temps de préparer…
– Tu téléphones au traiteur, tu demandes un buffet froid pour sept personnes à 20 heures, et aussi du vin et l’apéro. Tu expliqueras que tu n’as pas besoin d’extra, on fera le service nous-même.
– On peut pas faire ça demain ?
– Non, c’est aujourd’hui qu’on a besoin de déstresser.

Les deux filles allèrent ensuite se préparer et se changer dans l’appartement de Florelle.

– Je voulais te prêter un truc un peu sexy, mais on ne fait pas vraiment les mêmes mensurations…

Qu’à cela ne tienne, il y a un magasin de prêt à porter pas bien loin et les filles allèrent y acheter de quoi être les reines de la soirée.

– Ah ! Emporte aussi quelques disques, parce que chez Octave c’est très classique, Wagner, j’aime bien mais pour se trémousser, c’est pas top ! Il nous faudrait aussi quelques sex-toy, j’ai un très beau gode-ceinture mais je ne l’ai pas avec moi.
– Qu’à cela ne tienne on va s’arrêter dans un sex-shop, on va acheter deux ou trois bricoles et on prendra aussi des préservatifs et du gel.

Et à 20 heures 15 tous les invités étaient présents dans le salon d’Octave Heurtebise. On fait les présentations, puisque tout le monde ne se connait pas. Florelle vêtue d’une robe vert amande « colle aux fesses » se paie un joli succès. Vanessa porte une petite robe noire a fine bretelle, bien décolletée devant et portée sans soutien-gorge. Edith portait une jolie robe imprimée laissant découverte ses jolies épaules, quant à Béatrice elle avait un petit haut tout fin et tout blanc sous lequel ou pouvait voir ses gentils tétons darder, quant à la mini petite jupe noire, ben, elle était très mini, justement.

Quand tout ce petit monde fut assis autour de la table basse, Vanessa servit les apéritifs avant de prendre la parole :

– C’est ma copine Florelle et moi-même qui avons eu l’idée de cette petite fiesta, on avait envie de se décontracter, de bouffer, de voir des gens sympas, de s’amuser… parce que, explique Florelle…
– Parce que cet après-midi on a fait un peu des bêtises chez Monsieur Savourey…

Stupeur d’Octave

– Oh rassurez-vous, rien d’irréparable, rien d’illégal, on avait juste envie Vanessa et moi, de lui donner une leçon et on lui a flanqué une de ses trouilles.

Alors elles racontent en faisant de grands gestes, le récit plait beaucoup à Octave qui jubile

– Et maintenant, on trinque !

Et alors là ! Question : comment la partouze va-t-elle démarrer ? Tout le monde se doute qu’après quelques verres et quelques grignotages, les choses vont devenir de plus en plus osées. Mais les bonnes manières nous enseignent que c’est aux maîtres de maison de donner le coup d’envoi. Or ce n’est pas le genre d’Octave, éternel timide.

Alors Vanessa propose à Florelle un petit numéro à deux. Elle met dans le lecteur de CD le thème de la Panthère Rose et ces deux demoiselles commencent à se déhancher, d’abord bien sagement en se faisant de petits bisous sur les lèvres. Puis les petits bisous ne deviennent plus sages du tout

Au bout de trois minutes, Florelle fit signe à sa partenaire de descendre la fermeture éclair de sa robe. Celle-ci se retrouva en culotte et en soutien-gorge. Elle s’approcha alors des invités, jeta son dévolu sur Romain Framboisert et lui mit la main à la braguette. L’homme se laissa faire. La belle blackette dézippa sa fermeture éclair et entra sa main dans le pantalon, ne la ressortant qu’avec la bite semi bandée. Elle revint vers Vanessa. Romain, lui se savait trop que faire de son engin inopinément sorti, il ne le rangea pas, mais le cacha de ses mains dans un réflexe de pudeur incongru.

La petite robe noire de Vanessa sous laquelle elle n’avait pas de soutien-gorge fut prestement enlevé par sa complice qui lui rendit la politesse en libérant sa belle poitrine chocolatée. Les deux femmes se sucèrent les tétons l’une après l’autre pendant quelques instants et se chuchotèrent des choses (quoi donc ? mots doux ou instructions pour la suite, allez savoir ?) avant de revenir vers le petit groupe.

Vanessa se poste devant le professeur Martinov, et Florelle devant Octave Heurtebise. Les filles demandent aux hommes de leur descendre leur culotte, tâche que le professeur exécute avec décontraction et Octave en rougissant comme un collégien.

Puis quasi simultanément les deux filles se transforme en exploratrices de braguettes et s’en vont sortir les bites de ces messieurs. Octave n’est plus rouge, il est écarlate.

Du coup, voyant que les choses évoluent en joyeuse gaudriole. Roland Framboisert décide de ne plus cacher son sexe et entame une lente masturbation.

Attiré par cette jolie chose et sentant qu’elle a un ticket avec l’homme, Florelle abandonne Heurtebise pour venir lui prêter sa main.

Octave est un moment désappointé, mais juste un moment parce qu’il a comme voisine Edith Framboisert qui décide d’entrer dans la ronde :

– Permettez-vous que je vous branlasse ?

Il eut été inconvenant qu’Octave relève cette impardonnable faute de français

– Je vous en prie, ce sera un plaisir !

Il s’étonna d’avoir répondu sans rougir !

– Vous pouvez me pelotez, j’adore ça !
– Les seins aussi !
– Tout ce que vous voulez, débraillez-moi, vous allez voir comme je suis cochonne.

Octave s’escrime à tenter de retrousser la robe imprimée, Edith l’aide et retire le soutif dans la foulée. L’homme ne se contient plus et se jette sur les nénés de la belle comme s’il n’en avait pas caressé depuis trois siècles.

– Hum, tu les aimes mes gros nichons ? Hein ?
– Humf, Humf !
– T’as raison, régale-toi.

Et il continue, il n’arrête pas, passant du droit au gauche et du gauche au droit.

– Attends, je vais un peu te sucer la bite ! Oh, mais c’est que tu bandes bien dur, les bites, c’est comme ça que je les aime, tu me la mettras dans le cul tout à l’heure ?

Octave est incapable de répondre, cette orgie va trop vite, ne lui laissant ni le temps de souffler, ni le temps de réfléchir et pour l’instant il ne peut qu’apprécier la langue agile d’Edith Framboisert qui virevolte sur son gland turgescent.

De son côté le professeur Martinov se fait débrailler par la jolie Vanessa qui a trouvé le moyen de le mettre torse nu et de lui pincer les tétons avec frénésie.

Romain et Florelle tendrement enlacés comme de vrais amoureux n’arrêtent pas de se bécoter en se pelotant compulsivement.

Et Béatrice dans tout ça ? pour l’instant elle est restée habillée, se demande lequel des trois couples elle pourrait rejoindre, et se dit que décidemment cette Florelle lui plairait bien, mais n’aimant pas s’imposer, elle reste à sa place, et attend le moment propice. Au bout d’un moment elle se dit qu’autant être prête quand l’occasion se présentera et entreprend de se déshabiller en se débrouillant pour que Florelle la remarque.

Ça ne rate pas, bref échange de clin d’œil entre les deux jeunes femmes. Florelle dit à Romain qu’elle va revenir, puis part à la rencontre de la jeune chimiste. Mais voilà que Vanessa se pointe à son tour, les deux femmes s’embrassent et Béatrice lui murmure quelque chose à l’oreille, cela à l’air d’amuser l’escort-girl qui s’en va transmettre le message à Octave toujours dans les bras d’Edith Framboisert.

Florelle s’approche de Béatrice et lui roule une pelle d’enfer avant de la faire rouler au sol où elles entament un joli soixante-neuf en black and white

Léger mouvement de chaises musicales, Octave s’en va s’assoir à côté de Romain qui laisse son épouse aux bons soins de Vanessa.

Prenant son courage à deux mains, mais rougissant (Octave rougit souvent) Octave Heurtebise introduit la scène par ces mots magiques :

– Vous avez une bien belle bite cher Monsieur !
– Je vous en prie, disposez-en !
– C’est vrai, je peux ?
– Mais puisque je vous le dis !

Alors Octave prend la bite et la branle. Sa façon de faire est assez moyenne, mais Romain qui a de l’éducation ne va pas lui dire et préfère l’inviter à le sucer. Vous pensez bien que le père Heurtebise qui n’attendait que ça se jette sur la bite, bouche en avant

Le professeur Martinov laissé seul en ce moment présume qu’il va se passer des choses intéressantes entre ces deux messieurs et vient pointer le bout de sa bite.

Il préfère sucer que l’être, mais il faut bien commencer par quelque chose et offre sa queue à Romain qui l’engloutit comme bon amateur de bites qu’il est.

Curieux spectacle en ce moment de cette partouze où un trio d’hommes se suce tandis que ces dames se gamahuchent et se pelotent deux par deux.

– Regarde-moi ces cochons en train de se sucer la bite ! Fais mine de s’offusquer Edith Framboisert.
– Ça t’excite, hein de voir ton mari sucer de la bite ! Lui dit Florelle en lui introduisant un doigt dans le trou du cul !.
– Oh ! Oui ! J’espère qu’il va aussi se faire enculer !

Edith ne croit pas si bien dire ! Romain qui a deviné ce que voulait son fellateur lui demande :

– Tu veux que je t’encule ?
– Oui ! Répond timidement notre retraité de l’aéronautique.
– Quelqu’un a des capotes ? Demande Romain à vive voix !
– Sur la table à côté des rillettes ! Répond Vanessa.
– Ces coquines ont décidemment pensé à tout !
– C’est pour ça qu’on les aime ! Répond Octave dans un grand élan de tendresse.

Octave se met en levrette, Romain vient lui lécher le cul et le doigte un peu afin de le préparer, puis il le tartine de gel et après s’être recouvert de la petite protection obligatoire quémande l’entrée. Ce n’est pas rentré tout de suite, mais c’est rentré. Notre Octave est aux anges.

– C’est trop bon de se faire enculer ! Clame-t-il à qui veut l’entendre.
– C’est bon, hein mon, biquet, on a bien fait d’organiser cette petite fiesta, et la soirée ne fait que commencer ! Répond Vanessa qui est venue à ses côtés.
– T’es un amour !

La belle escort girl s’est emparée du gode ceinture qu’elle a acheté cet après-midi et le passe à Edith.

– Encule donc Martinov avec ça, il va adorer !
– Bonne idée ! Viens là Martinov, tu vas passer à la casserole.

Et tandis qu’Edith s’harnache, on entend un cri fulgurant, c’est la belle Florelle qui vient de jouir sous les coups de langue de Béatrice.

Tous les regards se braquent alors vers la belle blackette, le corps dégoulinant de sueur, entrelacée dans celui de Béatrice. Elle souffle un court moment puis se met en devoir de rendre à la jeune chimiste le plaisir qu’elle vient de lui donner à coup de langue dans la chatte et de doigts dans l’anus.

Les deux femmes se relèvent, pantelantes et se dirigent vers la salle de bain afin de s’éponger quelque peu.

Edith qui lorgne depuis tout à l’heure sur la belle blackette sans avoir eu l’occasion de l’approcher, se dit que c’est peut-être le moment.

– Attend-moi, je reviens ! Dit-elle au professeur, qui s’était déjà mis en position. Il va pour se relever, mais Vanessa, bonne fille lui demande de ne pas bouger, elle s’empare d’un godemiché, un tout simple, sans ceinture, mais assez réaliste et engode notre bon Martinov avec une dextérité de professionnelle (forcément !)

Dans la salle de bain, Florelle est entrée dans la baignoire et s’asperge le corps d’eau froide.

– Qu’est-ce que tu fous ? Viens me rejoindre ! Dit-elle à Béatrice.
– Faudrait que je fasse pipi !
– Ben, tu pisseras dans la baignoire !
– Je risque de te pisser dessus !
– Mais ce sera un plaisir, ma chère ! D’autant que si je me souviens bien, je t’ai déjà donné ma pisse mais nous n’avions pas fait le contraire.
– Alors j’arrive, ma gourmande, la dernière fois j’avais gouté à ton pipi, il était délicieux.

Florelle se cale au fond de la baignoire, bouche ouverte, prête à recevoir le jet doré de sa complice. Béatrice parvient à contrôler son jet de façon à ce que sa receveuse puisse boire par rasade, n’empêche qu’une partie de l’urine vient lui arroser le corps.

– Hum, délicieux ! J’en ai plein les nichons ! Tu me les suces ?

Bien sûr, Béatrice ne refusa pas et se régala des jolis tétons de la blackette mouillés de sa propre urine.

– Dis tu ne voudrais pas me faire plaisir ? Demanda alors Florelle
– Tout ce que tu veux !
– Tu sais de quoi j’ai envie, là tout de suite, c’est d’une bite d’homme qui me pisse dans la bouche, une bite que je pourrais sucer après et que je ferais juter… oh là là que ça m’excite.
– Tu m’as l’air ne pleine forme, toi !
– C’est rien de le dire ! Je suis excitée tu peux pas savoir !
– Ben si, je m’en suis aperçue ! Bon, je vais essayer de te trouver une bite qui traine à côté…

Edith qui observait les deux filles, à peine cachée près de la porte, croise donc Béatrice.

– Euh, je ne dérange pas ? Demande-t-elle.
– Non, pourquoi tu dérangerais ? Mais tu vas faire quoi avec ton gode ceinture ?
– Des cochonneries !
– Je me disais aussi !

Très à l’aise Edith entre donc dans la salle de bain, elle a devant elle le spectacle magnifique du corps de Vanessa mouillé de l’urine de Béatrice.

– Hum ! T’es trop belle comme ça ! Lui dit-elle.
– Vas-y ! Fous-toi en plein la vue, c’est gratuit.
– Je peux te caresser ?
– Bien sûr, viens me rejoindre dans la baignoire, ma bibiche, je suis un peu pleine de pisse, ça ne te dérange pas ?
– Non, non, je joue aussi à ces jeux-là !
– Ce doit être à la mode ! Mais dis-moi : ce gode ceinture, c’est pour qui ?
– Pour qui en veux !
– Moi j’en veux bien !
– Qu’à cela ne tienne, mais on peut commencer par quelques douceurs…

Les visages se rencontrent les bouches se collent, la belle blackette et la jolie mature se caressent et se pelotent avec passion.

– T’as la peau douce, c’est incroyable !
– Hi, hi ! T’avais jamais caressé de femmes blacks.
– Y’a bien longtemps !
– Ta bouche a un petit gout de pipi !
– Ça ne te déplaît pas, on dirait ?
– Non, je suis un peu cochonne.
– Tu m’encules avec ton machin ?
– Ici, dans la baignoire ?
– Mais oui, lèche-moi un peu le trou avant…

Edith ne se le fit pas dire deux fois et plongea sa jolie langue dans le troufignard de la blackette.

– Tu le trouves comment ?
– A mon goût ! Penche-toi un peu que je m’introduise !
– Encule moi, bien ma chérie, enfonce-moi ton truc bien profond !

C’est ce qu’elle fait, et avec tellement d’ardeur qu’elle n’entend pas l’intrus pénétrer dans la salle de bain.

– Ciel mon mari ! Plaisante Edith. Mais tu viens faire quoi ?

Eh, oui, c’est Romain Framboisert qui fait son apparition, Béatrice ayant accédé à la requête de Florelle en choisissant le seul homme disponible du moment.

– On m’avait dit qu’on pouvait avoir besoin de mes services…
– O.K, mais il faut qu’on s’organise un peu. Edith sort de mon cul pour le moment !
– Déjà ?
– On va se mettre autrement… Assis-toi sur le bord de la baignoire, je vais m’empaler sur toi. Et du coup Romain va pouvoir m’arroser !

Miracle de la technique érotique : Florelle joue au manège de chevaux de bois en montant et en descendant sur le gode-ceinture d’Edith tandis que Romain lui pisse dans la bouche à plein jet.

Quand l’homme eut fini de se soulager, la belle blackette lui goba la bite qui ne tarda pas rebander, et de fort belle façon. Elle le suça tant et si bien qu’il éjacula dans sa bouche en grognant de satisfaction.

– Il est délicieux le foutre de ton mari !
– Hi, hi !

Florelle continua sa « chevauchée fantastique », sa respiration devint saccadée, le sang afflua à son visage, elle tenta de retarder le moment ou son plaisir allait exploser, mais au bout d’un moment n’y parvint plus et jouit dans un râle. Elle se dégagea.

– Oh dis-donc tu m’as bien enculé avec ton machin !
– Le machin, il est pas très propre, t’as fait la cochonne.
– Donne, je vais nettoyer ! Répondit Florelle en ouvrant la bouche.

Il eut été inconvenant qu’Edith refuse le baiser profond que la blackette lui proposa après cette pette fantaisie, d’autant qu’en la matière (c’est le cas de le dire) Madame Framboisert n’était point novice.

Et pas encore rassasiée, elle s’en alla voir Octave et lui tripota la bite !

– Je reviens vous voir. Vous êtes un hôte délicieux, mais pour que le souvenir de cette soirée soit complet, il faudrait que vous m’enculiez.
– Ce sera avec grand plaisir !

Edith se retourna et la bite entra sans son cul comme dans du beurre, Octave fatigué sentit qu’il ne tiendrait pas la distance mais en galant homme s’évertua à donner du plaisir à sa partenaire. Il décula, la femme retira la capote et le finit en bouche.

A côté, Martinov se faisait enculer par Romain à grands coups de bites, tandis que Béatrice et Vanessa se pelotaient et se léchaient frénétiquement. Quant à Florelle momentanément sans partenaire, elle s’était emparée d’un double gode et se ramonait les deux trous en jappant comme une chatte en chaleur.

Derniers râles de jouissances, tout ce petit monde marque une pause, on pisse, on boit, on se rince et on commence à faire honneur au buffet. On reste à poil, on est bien, l’orgie reprendra très certainement tout à l’heure. Dans un coin, les époux Framboisert échangent leurs coordonnées avec Florelle. Une jolie kinésithérapeute peu farouche, ça peut servir dans un carnet d’adresses !

Le lendemain matin, Savourey après une très mauvaise nuit, décide d’aller faire un petit tour. Arrivé dans la partie commerçante de la ville, il va jusqu’au boulanger, change d’avis, revient sur ces pas, hésite encore, stoppe et semble chercher quelque chose. Il reste là un moment, avance d’un mètre, puis recule. Intrigué un quidam bienveillant l’interpelle !

– Vous cherchez quelque chose, monsieur ?
– Oui des extraterrestres !

Fin de l’épisode

(août 2019)

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4 réponses à Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 18 – Partouze finale par Maud-Anne Amaro

  1. Lichtenstein dit :

    Ce site est vraiment un site d’enculé ! Ça tombe bien c’est mon péché mignon et quand ke le fais devant ma copine c’est encore meilleur

  2. Muller dit :

    Encore une grande réussite de l’amie Maud-Anne, mais je vous conseille de lire tous les chapitres

  3. Darrigade dit :

    C’est un peu un fin à la Asterix, sauf qu’au lieu de baffrer, ça baise et que Panoramix n’a pas droit à son bondage

  4. Forestier dit :

    Et voilà, c’est donc la fin de cette excellente histoire, où tous les principaux personnages se retrouvent pour une super tuf ou le sexe est roi. Une très bonne histoire du Professeur Martinov et de Béatrice. Bravo Maud-Anne

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