Pipi de réveillon par Jean-Michel_et_Martine

Pour après notre réveillon de Noël passé avec des amis, nous avions réservé
une chambre à l’hôtel afin d’y terminer la nuit et ne pas faire les deux
cents kilomètres d’autoroute du retour immédiatement.

Une fois dans la chambre, le champagne bu une heure plus tôt, eut sur
Martine l’effet diurétique et émoustillant qu’il lui donne d’habitude.
A peine déshabillée, la première dans la salle de bain, elle annonça :

– J’ai une envie de pisser pas possible… mais je suis tellement fatiguée
que je n’ai même plus la force de m’y mettre… dit-elle en baillant.

Connaissant ma Martine, pas besoin de décodeur pour comprendre l’invitation.
Elle me faisait le grand jeu pour continuer le fête après le champagne.

– Veux-tu un petit coup de main ? …demandais-je
– Si tu t’en sens encore la force et que tu veuilles bien me rendre ce petit
service,
j’en serais heureuse… dit-elle, confirmant en riant son souhait de me
provoquer.

En pyjama, j’allais la retrouver dans la salle de bain. Elle était face au
miroir du lavabo. Après avoir dénoué son chignon, elle peignait ses longs
cheveux qui tombaient entre ses épaules. Elle avait revêtu une longue
chemise de nuit légère et rose qui lui descendait aux chevilles, moulant un
peu ses fesse et ses petits seins pointus et agressifs

J’arrivai derrière elle et enserrai sa taille de mes bras.

– Je croyais que tu avais besoin de mes services… lui rappelais-je.
– Oh oui !… je me sens si fatiguée que j’en suis paresseuse et que je n’ai
plus la force de lever ma chemise, de baisser ma culotte et d’aller jusqu’à
la cuvette.
– C’est le champagne qui te fatigue comme cela ?

Elle me fit face et passa aussi ses bras autour de ma taille pour me dire :

– Non… le champagne ne fatigue pas, c’est peut-être d’avoir dansé que je
suis fatiguée. D’ailleurs je n’en ai bu qu’une coupe, et de l’eau
auparavant. Mais il est très diurétique et… il me donne comme des idées…
même des envies… pas à toi ?
– C’est toi qui me donnes des idées quand tu me cherches.
– Je ne te cherche pas… je t’ai demandé de l’aide. Imagines que j’ai les
deux poignets cassés, me laisserais-tu comme cela sans secours, faire pipi
dans ma culotte ?

Je savais qu’elle n’avait rien bu d’autre qu’une coupe de champagne, et
quelqu’un d’autre qui ne la connaîtrait pas en aurait douté en voyant son
petit jeu de la provocation. Visiblement, la connaissant, je savais qu’elle
s’amusait. Je savais où elle voulait aller, que je devais me soumettre à son
jeu, ce que je faisais avec plaisir.

Je savais aussi que la conclusion serait un grand éclatement pour nous deux.
Je savais également que dans ce cas, son besoin de faire pipi était réel et
qu’elle s’abandonnait entièrement à moi sans réserve pour l’assouvir à ma
façon. Je continuais donc la partie qu’elle avait commencée.

– Comment veux-tu le faire ton pipi ?
– Je t’ai dit que j’étais très fatiguée… occupe toi de tout.
– Le verre à dents… ça te va,
– Mon Dieu… pas assez grand. Je sens que c’est une grosse envie.
– On aurait dû prendre dans la valise le petit pot rose… tu sais ?
– Et oui… mais voilà. On ne l’a pas pris. Il faut que tu trouves autre
chose, et vite, ou je vais pisser dans ma culotte, ma chemise, sur ton
pyjama et parterre. Bonjour les dégâts.
– Pour tout dire… j’hésite entre trois choses : la cuvette… la douche…
le lavabo. Assise sur le cuvette ?… Trop facile. Debout au-dessus avec mon
aide ce serait déjà mieux et plus érotique. La douche ?… oui… accroupie
dans le bac… un pipi classique de petite fille quoi… avec la chanson de
ma petite source qui chante ? Pas mal non plus. Ou alors debout, j’écarte la
sortie… et on vise le mur ? Qu’en dis-tu ?
– Le lavabo est bien aussi… la vasque est étroite… elle est à ta
hauteur, tu n’aurais aucun problème.

Pendant que je m’amusais avec le souhait de Martine, la tête un peu
renversée, les yeux mi-clos, elle riait parfois doucement à mes
propositions, visiblement ce petit jeu lui plaisait aussi.

Soudain je pensais à lui demander une chose à laquelle elle ne s’attendait
sans doutes pas, mais qu’elle avait déjà réalisé une fois avec difficulté.
Je savais qu’elle accepterait au moins de la tenter.

– Soit… tu es fatiguée, alors je vais t’aider.

Je pris le bas de sa chemise de nuit et l’en dépouillai. Je descendis le
mini-slip et elle leva un pied puis l’autre sans protester, livrant sa
petite chatte à ma vue. Mon pyjama alla rejoindre sa chemise de nuit et son
slip sur le tabouret.

– Maintenant viens !… Et je l’entraînai vers le bac de douche avec la plus
grande docilité et un sourire complice.

Une fois là, je passais par jeu, ma main sur le bas de son ventre et lui fis
remarquer qu’effectivement, ça devenait urgent, car bien qu’elle se retenait
jusqu’à maintenant, elle avait déjà fait un peu pipi.

– Mais non… ça n’est pas du pipi… c’est déjà de l’envie d’autre chose.

Je la serrai contre moi, ses petits tétons durs contre ma poitrine, ma verge
en érection entre ses jambes et lui dis :

– Je ne peux pas en faire plus pour vous aider Madame. Le reste, ça vous
regarde seule.
– T’es vache Jean-Mich’ ! Toi tu ne sais pas pisser en érection, mais moi,
même quand j’ai envie d’autre chose, je dois y arriver hein ? Mais je sens
que tu ne vas pas être déçu, parce que j’aime te faire plaisir, que j’aime
ton défi, et que j’aime cela moi aussi, et que surtout… j’ai une vraie
envie de pisser maintenant.

Elle serra ses cuisses comme pour m’emprisonner et bien me sentir entre ses
jambes. Elle prit ma tête entre ses mains, me regarda bien en face, laissa
éclater son petit rire et soudain, une grosse vague chaude inonda nos pubis
joints et descendit sur nos jambes pendant sept ou huit secondes. Il y avait
à ce moment là quelque chose de sadique dans son regard plongé dans le mien.
Son plaisir semblait sortir de ses yeux.

Quand le flot s’arrêta, elle s’enquit malgré tout :

– Ca t’a plu ?
– Tu sais bien que j’adore ces petits jeux. J’aime quand tu me cherches
comme cela
– Tu as remarqué que je suis moins coincée ? Avant je n’aurais pas réussi à
pisser ainsi avec toi et surtout de cette façon.

Après la douche devenue nécessaire, séchés, nous nous retrouvons allongés
côte à côte sur le lit.

– Bon, et bien tout à l’heure, je t’ai demandé de l’aide, je t’ai laissé
faire, et tu as abusé de ma confiance petit cochon. Maintenant, imaginons
que c’est toi qui es fatigué et qui demande mon aide, alors je vais aussi
abuser de toi.

Ce disant, elle vint s’installer à califourchon sur le haut de mes cuisses,
releva sa chemise de nuit et pris les initiatives qu’elle souhaitait.

Jean-Michel et Martine

Janmich59@aol.com

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