Réveillon 2002… à 3 par Isa01

Je connais Patricia et Philippe depuis de plusieurs années. Nous sommes très
intimes. Nous partageons tous les trois la même passion pour la lingerie et
les collants. Mercredi 31 décembre, mes amis m’ont invité à passer le soir
du réveillon chez eux.

Comme nous en avons l’agréable habitude, les deux messieurs de la soirée
doivent revêtir leur garde robe féminine préférée. J’arrive à leur maison
vers 21h00, je suis en homme, discrétion oblige, mais j’ai avec moi un sac
qui contient ma tenue de soirée. C’est Patricia qui m’accueille. Elle est
ravissante : elle porte une petite robe noire sans manche, un collier de
perles blanches, des boucles d’oreilles assorties, une paire de bas noirs à
couture et de charmants petits escarpins noirs également. Après m’être mis à
l’aise, elle m’invite à la suivre dans la cuisine où je trouve Philippe
affairé aux fourneaux

Lui est déjà prêt, il est vraiment craquant dans son chemisier de satin
blanc (je distingue dessous, un soutien gorge couleur sable en dentelle du
meilleur goût) Il a mis une petite jupe droite gris souris qui lui arrive à
mi-cuisses avec des chaussures à talons maintenues par des lanières sur la
cheville. Ses longues jambes sont gainées de bas fumés très fins et très
transparents. Comme il est accroupi près du four, j’ai tout le loisir de les
admirer. Nous nous embrassons et sans plus tarder, Patricia m’invite à
passer dans une des chambres pour me changer. Devant le miroir, je me
débarrasse de mes vêtements masculins pour m’habiller comme je le préfère.
J’enfile un body/collants noir transparent avec une ouverture à pression à
l’entrejambe. Il est en lycra et est très agréable à porter comme une
seconde peau. J’ai emmené une robe de couleur prune en tissu fluide qui
m’arrive aux genoux. Mes escarpins de couleur prune complètent parfaitement
ma tenue de soirée. Je me trouve plutôt sexy devant la glace. Le fait de
porter ces dessous très près du corps produit à chaque fois chez moi un
effet des plus troublant…

Je retrouve Patricia et Philippe autour de la table de la salle
à manger. Mon arrivée est saluée par des compliments sur ma tenue qui, paraît-il, me va à ravir. Ce soir, c’est Philippe qui fait le service. Nous dînons d’un excellent repas composé de fruits de mer, de chevreuil et d’un dessert au chocolat blanc nappé de crème anglaise, le tout arrosé d’un champagne de grande marque. Le service de Philippe est impeccable. Pendant
le dîner, nous avons Patricia et moi, plusieurs fois glissé une main sur les
cuisses ou les fesses de son mari qui nous remerciait à chaque fois de
l’attention que nous lui prêtions. Le café est servi et je sens les doigts
de Patricia, qui est assise à ma droite, caresser doucement mes jambes; c’est très agréable. Sa main remonte doucement à mon entrejambe et devine
mon sexe gonflé sous le nylon. Elle me regarde dans les yeux, je rougis.
Elle prend mon membre à pleine main ce qui a la faculté de me faire pousser
des petits gémissements discrets.

Pendant ce temps, Philippe, achève de débarrasser la table en me jetant des
regards envieux. Je m’asseois alors sur le bord de la table, les pieds posés
sur 2 chaises afin de relever ma robe et de bien écarter les jambes devant
Patricia qui est restée assise à sa place. Elle dégrafe doucement
l’entrejambe de mon body/collants pour prendre mon membre à pleine bouche et
se délecter de la liqueur sucrée qui commence à perler. Philippe est passé
sous la table, entre les deux chaises, et s’applique à progresser sous la
robe de sa femme. Il y fait une découverte plutôt agréable : la coquine n’a
mis que des bas ce soir… Son minou, bien épilé, lui est complètement
offert lorsque Patricia lui facilite le passage en ouvrant bien les cuisses.
La scène est singulière et terriblement excitante, Philippe est sous la
table, léchant avec application les lèvres de sa femme. Moi, je suis sur la
table profitant d’un traitement de faveur très agréable. Comme tout cela m’a
mis en appétit, je demande à Philippe de venir s’allonger sur la table du
dîner. Son épouse et moi le carressons avec sensualité à travers ses
vêtements. Il ondule comme une petite femme. Je l’embrasse fougueusement sur
la bouche pendant que Patricia lui relève sa jupe. Sa culotte de dentelle
est complètement tendue par son sexe en formidable érection. Après avoir
ouvert son chemisier, je lui masse les seins dont les tétons deviennent très
durs. Son épouse, face à lui, lui embrasse son gros clito en caressant ses
jambes gainées de nylon. Nous avons de plus en plus chaud. Tout cela m’a mis
en appétit

Je passe en cuisine prendre le reste de crème anglaise tiède du dessert.
Patricia m’a comprise, elle enlève la culotte de Philipe. Son pénis est
maintenant fièrement dressé. Je le recouvre alors délicatement de cette
crème qui coule délicatement entre ses cuisses et son bas-ventre. Sa femme
et moi nous régalons alors goulûment de ce dessert improvisé. Patricia et
moi glissons notre langue partout ou la crème a coulé. Cette sucrerie s’est
infiltrée dans les moindres recoins de son intimité, et nous devons nous
attarder longuement sur son bouton de rose et son gland ce qui a la faculté
de mettre Philippe dans un état d’excitation très avancé… Patricia ne peut
plus attendre : elle enlève sa robe et grimpe sur la table pour enfourcher
son mari.

Elle s’enfile sur son sexe dressé et s’active vigoureusement à lui procurer
un maximum de plaisir. Sa chatte est complètement ouverte et luisante. Le
membre de Philippe disparaît et réapparaît entre le vagin brûlant de
Patricia. Elle, les seins nus en mouvements cadencés par ses coups de reins,
s’en donne à cœur joie. Je me suis mis debout, près du bord de la table,
devant la tête de Philipe J’ai également enlevé ma robe pour ne garder que
mes chaussures et mon Body ouvert. Pendant que mon amie s’active sur son
homme, j’offre mon sexe à celui-ci. Compte tenu de l’excitation de mon pénis
à ce moment, Philippe a la bouche pleine et a de la peine à me sucer
consciensement pendant que madame chevauche son membre avec frénésie. Une
fois un peu rassasiée, Patricia vient se mettre à genoux au-dessus de la
bouche de son mari qui se régale de la liqueur qui coule entre les petites
lèvres de sa chatte dilatée. Je me mets à l’autre bout de la table, face à
Philippe et à Patricia qui est offerte sur son visage. Il me reste un peu de
crème anglaise qui fera un excellent lubrifiant pour Philippe. Mes deux
doigts trempés dedans s’introduisent sans peine dans l’anus de mon hôte qui
n’attend que ça. Il écarte largement les cuisses avec ses mains, m’offrant
ainsi son intimité brûlante de désir.

A l’invitation de Patricia, qui le connaît bien, je dilate largement son
petit trou avec mes doigts. Je sens l’intérieur de son ventre chaud et
confortable sous mes doigts agiles. C’est très tentant. Sous le regard
complice de son épouse, je le pénètre enfin doucement avec mon sexe
formidablement excité d’avoir enfin sa part de jouissance. Je le prends bien
à fond. Il pousse des petits cris de plaisirs étouffés par l’entrejambe de
sa femme qui lui recouvre la bouche. Patricia s’est baissée vers le pénis de
Philippe afin de lui procurer un maximum de bonheur pendant que je vais et
viens dans ses petites fesses. J’accélère mes mouvements. Son anus est
complètements dilaté. Philippe est tellement excité que mon membre rentre et
sort aussi facilement que dans la vagin d’une femme. Patricia a pris le sexe
de son homme dans les mains et le branle vigoureusement. Je vais de plus en
plus vite et de plus en plus fort dans ma pénétration. Je sens que la
jouissance arrive. Je me retire et éjacule copieusement sur le sexe de
Philippe que les mains de Patricia enserrent. C’est sublime, quel pied ! Je
me baisse, accompagné de Patricia, pour lécher ma cyprine qui recouvre le
corps de Philippe. Nos langues se mêlent pleines du chaud liquide qui vient
de jaillir. Patricia en garde un peu dans sa bouche et va le laisser couler
dans celle de Philippe qui se régale avec nous.

Nous avons tous les trois, pris de belles couleurs aux joues… et ailleurs.
L’année 2003 sera décidément… très chaude !

Isa (de Haute Normandie)

gwendal76@free.fr

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Une réponse à Réveillon 2002… à 3 par Isa01

  1. Transmonique dit :

    J’ai lu mieux dans le genre, mais ça reste honnête, comme dirait une copine, tant qu’on se suce et qu’on s’encule, ça nous réjouit le bidule

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