Odette 2 – Serviettes trempées par Bernard_le_photographe

Ayant commencé une relation avec cette Odette, et de quelle manière, je
craignais que cela ne soit sans suite. J’ai vécu plusieurs fois ce genre de
situation où le moment de surprise passé, la folie des sens apaisée, le
rendez-vous d’après était oublié.

Or, il n’en fut rien, même si j’étais inquiet au pied de Notre Dame de la
Garde où nous avions rendez-vous, elle arriva un peu en retard, mais n’avait
pas oublié. Après avoir un peu discuté sur notre rencontre, je voulus
profiter du jour finissant pour faire quelques photos devant ce bel édifice.
Il faisait très bon bien que ce fut fin octobre, je crois, et elle avait
anticipé sur la tenue que je souhaitais, une jupe ample pas très courte pour
la discrétion, mais légère et surtout des bas tenus par un
porte-jarretelles.

Elle se prêta très volontiers à différentes poses comme : accroupie, genoux
un peu ouverts faisant semblant de fouiller dans son sac ou penché en avant
regardant la ville en bas avec une manière très gracieuse autant que
révélatrice… ou encore dans les escaliers, moi tout en bas, elle
s’arrêtant parfois, se penchant, un don rare que j’aime beaucoup. Elle me
demandait si je voyais bien, si j’en voulais plus… on fit ça discrètement,
il y a toujours du monde, c’est très excitant. Je fis la dernière devant un
projecteur venant de s’allumer, toute retroussée.

La nuit tombait, on rejoignit sa voiture où elle me dit que vraiment ça
l’excitait beaucoup de faire ça, de savoir qu’on nous avait vu sans doute.
On fit vraiment connaissance, j’appris qu’elle était mariée avec un mari
sans fantaisie et qu’elle voulait vivre, connaître autre chose. Moi, je lui
dis que je l’appréciais beaucoup, qu’elle avait le don de mettre son corps
en valeur sans excès et que j’avais vécu dans le studio des moments
inoubliables surtout le fait qu’elle m’ait  » inondé  » Je lui demandais si
elle était  » femme fontaine  » depuis toujours, elle répondit que c’était
depuis Cédric. C’est lui qui avait tout déclenché cela chez elle parce
qu’elle en était folle et depuis ses jouissances par elle ou d’autres la
faisait  » éjaculer « . Je lui dis combien j’aimais ça et que j’avais eu
quelques expériences avec des femmes mouillant abondamment. Tout en parlant,
je commençais à la caresser : le cou, les épaules, son sein droit et
aussitôt elle respira plus fort, me disant de continuer.

L’intimité de sa voiture, les faibles lumières, m’incitèrent à relever son
tricot sur un beau soutien-gorge noir, je finis par en sortir son sein et me
penchais pour le lécher. Elle m’arrêta :

– Attends Bernard, je prends mes précautions !

Elle pivota vers l’arrière, prit une serviette, se souleva pour la glisser
sous ses fesses, jupe relevée derrière…

– Je vais mouiller le siège sinon…

C’est fou d’entendre ça ! Je me mis de plus belle à la caresser, à sucer ses
tétons, et elle me caressait le pantalon. Je sortis mon sexe et caressais sa
culotte déjà mouillée, humide plutôt. Elle se cabra dès que j’animais un
doigt sur sa fente qui fut aussitôt arrosée de sa mouille. Incroyable !

– Tu sens comme je coule, si je ne mettais pas la serviette, je tacherais
tout mon siège

Et elle dit ça avec un calme qui dura peu quand même : on commença à
s’embrasser et se caresser de plus en plus chaudement. Sa voiture, une 205
très simple n’avait rien qui puisse gêner pour être très proche, à part le
levier de vitesse dont je parlerais une autre fois…

Elle était au bout d’un moment très  » ouverte  » sans culotte, haletant sous
mes doigts qui fouillaient son intimité. Je me penchais pour y poser ma
bouche et retrouvais cette chatte aux lèvres développées comme je les aime.
Elle ne fut pas longue à jouir en pressant ma tête contre elle à m’en faire
mal. A peine remise de ses émotions, elle me rendit la politesse et sa
bouche vint s’emparer de mon sexe… un régal de douceur et elle faisait
visiblement ça avec grand plaisir. Je fis un peu durer cette merveilleuse
sensation en regardant ailleurs et bien m’en prit : Je lui demandais
d’arrêter et de se relever en reculant vers son siège discrètement car à
quatre ou cinq mètres il y avait une voiture de police municipale !

J’ignore depuis combien de temps ils nous observaient, il étaient quatre en
plus, je les vis lorsque l’on fut plus décents. On resta encore un peu à
discuter entre autre du prochain rendez-vous et comme ils ne partaient pas,
je restais sur ma  » faim  » et on se sépara. Ils y avaient quelques autres
voitures encore, mais ces salauds nous avaient repérés.

Le rendez-vous suivant fut plus calme : garé au bord de mer, je
voulus lui faire des photos sur une petite jetée faite de gros blocs de
rochers, après lui avoir dit ce que je voulais : la voir uriner ! Elle ne
s’offusqua pas du tout de l’idée mais il fallu attendre qu’un pécheur s’en
aille et là aussi le soir arrivant vite, c’est avec les tous derniers rayons
du soleil qu’on alla tout au bout, faisant semblant de nous promener. Je
trouvai un endroit propice, où elle serait stable, pas trop visible du
parking et Odette se plaça accroupie pour se soulager (sans la culotte)
Après quelques secondes d’attente, elle me dit que  » ça venait  » J’étais
prêt et dès les premières gouttes, je mitraillais ça ! Il y eut quelques
belles giclées dorées qui ressortirent très bien sur le fond sombre des
rochers. On ne fut pas dérangé, ce fut donc excellent et là encore Odette me
dit combien ça lui plaisait d’être photographiée et que ça l’excitait de
savoir que je la verrais en photo avant elle, que je me masturberais sans
doute…

Il ne faisait pas tout à fait nuit, on décida d’aller boire un verre à côté.
On convint encore d’un autre rendez-vous mais elle me supplia de parler pour
elle à Cédric qu’elle avait du mal à joindre… et pour cause… il
l’évitait Elle me donna même une lettre pour lui remettre. Puis on regagna
nos voitures pour flirter dans la sienne bien que le parking ne fût pas tout
à fait désert.

On fut en fait très excité de voir de temps en temps quelqu’un passer à
proximité. Cette fois encore, elle plaça une serviette sous elle pour
recueillir ses  » épanchements  » provoqués par mes doigts. Je ne la léchais
pas car une femme seule dans la voiture, cela aurait pu intriguer ou attirer
un curieux, mais par contre on fit l’inverse : après m’avoir bien caressé
sur mon pantalon, elle se pencha vers mon sexe.

La chaleur de sa bouche sur mon gland fut un régal surtout qu’elle était
douée et aimait ça. Pas de flic en vue cette fois, et j’étais très excité de
voir passer des gens pas très loin qui ne se doutaient de rien !

Là aussi, je fis durer le plaisir, puis je lui annonçais que j’avais envie
de jouir. Elle prit du papier  » essuie-tout  » dans la boite à gants, me suça
encore un peu, puis je l’avertis que j’allais partir. Elle se releva à
peine, mais se mit à me branler fortement de la main droite, l’autre devant
avec deux feuilles de papier. Je me vidais enfin en longues saccades en lui
embrassant le cou. Quel plaisir divin ! Je la remerciais, elle aussi disant
que Cédric avait bien fait de nous présenter. Et l’on se sépara encore. Bien
sûr le lendemain je voyais Cédric pour la lettre et lui proposais de venir
au prochain rendez-vous car elle était très malheureuse de ne plus le voir.
J’avais un copain qui me prêtait un appartement de temps en temps et
j’organisais la rencontre.

Cédric finit par accepter pour me faire plaisir, en fait, il était d’accord
bien sûr pour que je les prenne en photos ou que je les filme. On se mit
d’accord pour un midi, lui ouvrant à 15 heures, je prévoyais un petit encas,
il faut bien avoir la forme, non ?

Le jour dit, tout était prêt, j’allais chercher Odette à la sortie
d’autoroute de Bandol et on alla d’abord boire un café sur le port. La
journée commença très bien : beau temps, belle Odette en robe noire à
mi-cuisse sur des bas couleur chair et jarretelles que je photographiais à
la terrasse discrètement.

Un bon début et une suite pas tout à fait comme prévu…

A suivre, donc.

Bernard, le photographe. Février 2004

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