Martine se déchaîne par FétichOdeurs

C’était les vacances et avec Véro nous sortions de deux années de boulot
non-stop en prépa bio. Nous avons d’ailleurs été reçues toutes les deux à
l’agro, mais ce fut au prix d’une discipline monacale, ni l’une ni l’autre
n’avons eu de relations sexuelles durant cette période de stress.
Heureusement, nous nous l’apprîmes plus tard, la masturbation nocturne nous
a permis de tenir aussi longtemps.

Donc, nous avions besoin de décompresser et Véro me proposa de partir
randonner en montagne avec la tente.
Il faut que je vous présente Véro : elle est rousse frisée, petite 1,58 m,
assez ronde (enfin je le suis aussi) avec un 105 D de tour de poitrine, les
yeux bleus et toujours souriante. Moi je m’appelle Martine, je suis brune
les cheveux longs jusqu’aux fesses, je mesure 1m76, et pèse 85kg, j’ai une
très forte pilosité, et n’avais pas vu l’esthéticienne depuis un an et
portais donc uniquement des pantalons.
Donc, après une bonne journée de marche, nous sommes arrivées sur le coup
des 20h dans un camping à la ferme et l’agriculteur nous indiqua un
emplacement pour monter la tente igloo à coté d’une caravane.
Cette caravane était habitée par deux femmes de 35-40 ans, Marie et
Françoise, qui nous préparèrent un thé pendant le montage. Elles étaient
très sympathiques, et le thé chaud nous fit du bien. Marie était du genre
maigre très sèche; et Françoise elle était une vraie mama italienne.
J’appris plus tard qu’elle pesait 92kg pour 1m65.
Elle nous questionnèrent sur nos mecs, on avoua en rougissant que cela
faisait 2ans qu’on avait fait une croix dessus, et Marie nous mis sur le cul
en disant  » avec Françoise cela fait 9 ans qu’on s’en passe et je suis
sexuellement comblée »

Voyant notre surprise Françoise ajouta « Vous n’allez pas avoir peur de nous
quand même »

Je balbutiais « Non, mais c’est la première fois que j’entends une femme me
dire qu’elle est … »

– Une lesbienne, faut pas avoir peur de dire les mots nous on est heureuses
et on assume »

Et là c’est Véro qui posa la question :  » Mais excusez-moi de la curiosité,
vous avez jamais connu de mec

– Si dit Françoise, j’ai même été mariée et j’ai un fils en vacances chez
son père, quant à Marie elle n’a eu que 3 mauvaises expériences.

– Et ça te manque pas un homme?

– Non rassure-toi un mec c’est bien s’il y a de l’amour et j’ai eu du
bonheur mais aujourd’hui je suis folle amoureuse de Marie et avec elle c’est
super. Et puis, si tu veux me dire que c’est une queue qui me manque, il
existe de très bons accessoires en latex et Marie les utilisent divinement.
Nous étions crevées et prîmes congés de nos voisines. Sous la tente nous
étions toutes troublées des révélations de nos voisines et après avoir
enfilé un tee-shirt nous nous glissâmes dans nos sacs de couchages
respectifs.

Nous étions trop excitées par ces révélations et ne pouvions trouver le
sommeil. J’avais une main qui glissait doucement vers ma forêt vierge,
lorsque Véro me demanda : tu as déjà eu des relations avec une fille ?
Je répondis : non et toi ?
– Presque
– Raconte (cela m’excitait malgré moi)
– Et bien c’était avec ma cousine, un jour que j’étais en vacances chez elle
elle m’a surprise un soir en train de me caresser sur mon lit
– Et alors ?

– Et bien elle s’est approchée du lit et m’a dit

« Si tu ne veux pas que je dise à tes parents ce que tu fais, continue à te
masturber » je n’osais pas, alors elle s’est mise à l’autre bout du lit a
remonté sa jupe, enlevé sa culotte et m’a dit « Comme ça on est à égalité,
j’ai envie qu’on se masturbe ensemble, et elle a commencé à se caresser le
clito, et j’ai honte mais ça m’a excité et je me suis branlée et au bout de
2 minutes on a joui. J’ai alors vu ma cousine se sucer les doigts avec
délectation et pour la première fois par défi j’ai goutté à ma mouille et
j’ai adoré. Ma cousine m’a fait un bisou sur la bouche et est partie c’est
mon expérience.

– C’est pas vraiment une relation sexuelle

– Oui mais ça m’a excité de faire ça avec une fille, et tu vas me trouver
perverse mais je suis toute humide de t’avoir raconté mon histoire, et la
présence des deux voisines m’a troublé tu sais

– Je dois t’avouer que je suis aussi trempée, et que j’ai une furieuse envie
de me donner du plaisir
– Et bien Martine je ne te savais pas si cochonne sous tes airs de sainte
nitouche. Attends écoute…..
– Oui c’est nos voisines qui se font l’amour on dirait
– Viens dehors on va essayer de les voir,
– T’es folle
– Dis Martine je suis sure que tu as envie de voir »
Nous sommes sorties et par chance la lumière était allumée dans la caravane.
Visiblement elles prenaient du plaisir vu leurs gémissements et je reconnus
la voix de Françoise qui disait des obscénités « oui bouffe-moi la cramouille
salope, ou des frotte ta petite moule sur ma gueule de pute, mm oh c’est bon
ton jus de chatte » moi j’avais la mouille qui coulait sur mes cuisses
Martine me fit signe de venir à une fenêtre où les stores à lamelles étaient
mal fermés.
Nos voisines étaient en 69 Marie sur Françoise. Soudain nous les vîmes se
raidir et crier leur jouissance.
Nous sommes vite retournées dans la tente de peur de nous faire surprendre.
Et bien nous en a pris car Marie est sortie de la caravane pour fumer une
clope. Et elle a alors dit : « Françoise j’ai vraiment pris mon pied ce soir,
tu m’as fait super jouir » (en fait elles nous avaient vu les observer, et
c’est exprès que Marie avait parlé à voix haute »
Nous étions sur nos duvets, et lorsque Marie rentra dans la caravane nous
nous mîmes à chuchoter
« Heureusement qu’on est pas restées dehors Véro

– Ouais, mais elles m’ont excitée ces salopes
– Moi aussi je suis trempée si tu savais et en me disant cela elle se
retourna vers moi et son pied toucha le mien.
– Elle ne bougeait plus, j’étais troublée par ce petit contact de peau et ne
retirais pas mon pied, et au contraire je me suis mise aussi sur le coté,
mon visage était à 15 cm de celui de Véro et ma main se posa sur la sienne
– Véro
– Oui martine
– Je, enfin

– Oui
– Ca ne te gênerais pas si on faisait comme avec ta cousine
Elle approcha un peu plus son visage et me dit : « Au contraire, je crois que
c’est une urgence médicale
– Oui j’en peux plus
– Alors à trois on enlève nos tee-shirt – Ok : 1. 2. 3″
Nous étions à genou et super excitées. Nous nous sommes allongées l’une à
coté de l’autre nous avions besoin d’un contact charnel et c’est tout
naturellement qu’en écartant les cuisses, nos cuisses se sont collées l’une
à l’autre. Nous nous sommes alors masturbées l’une à coté de l’autre.
– Quand Véro dans un râle dit  » Mmm oh Martine
– Je répondis « Oui Véro
– Mmm je vais jouir
– Mmm moi aussi mmmmm
– Et c’est ensemble que nous eûmes notre première explosion. Et là Véro fit
ce qu’inconsciemment j’attendais, elle se retourna vers moi et osa avec une
infinie douceur ses lèvres charnues et humides sur les miennes. Je l’ai
alors enlacée et c’est un baiser fougueux qui suivit, nos corps humides de
plaisir se frottant l’un contre l’autre. C’était une caresse totale, un
besoin viscéral de se donner de l’amour de la tendresse, deux ans ça frustre
!
Là Véro me dit,
– « Ne le prends pas mal, mais j’ai envie de te caresser »
Et là je ne sais pas pourquoi j’ai dit « Oui vas-y Véro »
Véro a alors fait glisser sa main entre mes cuisses et l’a frottée sur ma
chatte. C’était bon de se sentir caresser, et Véro m’a alors embrassé un
sein et s’est mise à le lécher le sucer tout en enfilant un doigt dans ma
moule. J’ondulais de plaisir sous ses caresses lorsque Véro quitta mon sein
gauche et descendit vers mon épaisse toison brune.
« T’es folle Véro, on s’est pas douchées ce soir, je suis toute sale, ça va
puer
– Non laisse-toi faire j’en ai trop envie
– Arrête c’est sale
– Oh non ça sent bon, ça m’excite » et elle frotta son visage sur ma touffe  »
Oh c’est bon Martine mmm
– Et elle m’aspira le clito tout en me doigtant, moi je ne pouvais plus
résister, et lorsque Martine se mis à dire
– « Oh mm je te bouffe ta grosse moule, mmm j’aime ta jute, oh c’est bon une
chatte
J’eus un orgasme comme jamais.
Je retombai et mis au moins 5 minutes pour émerger. Véro me faisait des
petits bisous dans le cou et je lui dis
« Je ne pensais pas qu’un orgasme pouvait être si fort. J’ai honte en plus tu
dois être écœurée j’étais vraiment sale
– Non il faut pas avoir honte j’ai eu un orgasme à te lécher la moule tu
sais, tu vas me trouver folle, mais j’ai adoré l’odeur de ta chatte
– Tu dis ça pour me rassurer Véro
– Non Martine, je t’assure, c’est aphrodisiaque
– Arrête c’est pas possible,
– Si je dois être malade mais c’était fantastique ces parfums animals; je ne
te demande pas d’aimer ni de venir me lécher
– Je te remercie, mais j’ai quand même envie de te caresser
Je me mis à genou entre ses cuisses et frottai ma main sur une touffe qui
m’était étrangère. Véro écarta ses cuisses au maximum et mes doigts
trouvèrent sans mal sa fente. Il flottait dans l’air un parfum entêtant de
cyprine, de sueur et je dois reconnaître de crevette.
Je lui enfilai deux doigts dans la chatte et avec mon autre main écartai ses
grandes lèvres pour faire sortir son clitoris. Et je me surpris à venir
plaquer mes lèvres sur le bouton d’amour de Véro. J’étais hystérique et je
lui bouffais littéralement la moule, son jus de chatte, je respirais ses
odeurs fortes de rousse et j’en voulais toujours plus. Lorsque je sentis le
corps de Véro se tendre, j’accélérai le mouvement de mes doigts dans sa
fente poisseuse et fut toute surprise de recevoir un jet de cyprine sur la
langue. Je m’écroulai à mon tour le visage sur sa chatte humide et odorante.
– Véro
– Oui
– Tu avais raison
– Quoi
– Et bien l’odeur de sexe c’est excitant
– Oh oui je crois qu’on est des vraies cochonnes dit elle en riant
– Oui et j’ai même pas honte d’avoir aimé ca, Véro on pourra recommencer
demain ?
– Oh ouiiii mais il faut que je te dise quelque chose ,
– Oui
– Et bien j’espère que tu ne le prendras pas mal, mais
– Mais quoi ?
– Comment dire, je t’aime beaucoup, mais ce qui s’est passé entre nous,
enfin pour moi c’était uniquement sexuel, tu comprends
– Merci parce que j’avais peur que tu sois amoureuse, alors ça me rassure,
et je sens qu’on va se faire du bien
– Je peux encore te demander un truc ?
– Tout ce que tu voudras
– Tant pis pour toi ma vieille, alors demain interdit de se doucher je veux
que nos parfums de cette nuit restent sur notre peau
– C’est promis, mais on va cocoter
– Oh on est dehors personne le sentira
– Tu as raison, mais on est des vraies salopes quand même
– Dis, Martine ça te gêne si je m’endors contre toi ?
– Non viens, j’ai pas envie de me retrouver seule dans mon duvet.
Et c’est comme ça que nous nous sommes endormies

Chapitre 2

C’est vers 10h du matin que je m’éveillais dans la tente. J’étais en sueur,
tellement le soleil tapait fort sur la tente. Je sentis soudain le corps nu
de Véro contre moi, et me remémorais cette nuit de découverte de l’amour
saphique. Véro était vraiment belle avec son visage souriant, sa peau
laiteuse, et sa poitrine opulente (105d). Mon regard descendit vers sa
grosse touffe rousse et je m’aperçus qu’elle s’était endormie un doigt dans
la chatte. Cette vue m’excita et je fis glisser une main entre mes cuisses
constatant ainsi que ma chatte était déjà ruisselante de désir.

Je portais alors mes doigts à la bouche pour goûter mon propre nectar. Mes
doigts sentaient fort, et je fermai les yeux pour sucer ma cyprine. C’est
alors que je sentis la main de Véro se plaquer sur ma « grosse moule poilue »
comme aime l’appeler Véro.

Je commençais à onduler du bassin lorsque le bruit de cuillères dans les
bols vides nous rappelèrent que nous n’étions pas seules. Frustrée je
m’habillais, et enfilais un jean par honte de mes mollets poilus. Véro elle
mis un short mini et un tee-shirt.
En sortant de la tente, Françoise nous lança un « bonjour les filles, vous
venez prendre le petit dèj avec nous?
– C’est pas de refus répondis-je
– Bien dormi?
– C’est toujours un peu dur la première nuit en plein air répondis-je un peu
faux-cul
– J’espère que c’est pas nous qui vous avons gênées, -dit Marie, mais
Françoise est bruyante quand elle jouit si vous me comprenez.
Et là Véro me surprit en disant :  » J’étais tellement en manque, que je me
suis caressée en vous écoutant, enfin regardez Martine elle est écarlate,
car elle a fait de même.
Marie était en face de nous en nuisette en train de fumer une clope assise
sur les marches de sa caravane. Elle nous regarda et écarta les cuisses ce
qui découvrit son intimité. Elle n’avait pas enfilé de slip et sa toison
brune s’offrait à nos regards ébahis. Marie très sérieuse me dit :
« Martine ne rougit pas ma grande, la masturbation ça fait partie de
l’hygiène de vie. Bon je vous laisse je vais m’habiller.
– C’est la première fois que je parle de pratiques sexuelles dis-je à
Françoise
– Oh vous savez, nous on adore en parler, on est plutôt exhibitionnistes, et
on aime parler avec des mots crus de nos pratiques ça nous excite.
D’ailleurs vous avez vu Marie, c’est exprès qu’elle vient de vous montrer sa
chatte.
– Je m’en doutais un peu dit Véro.
A la fin du petit déjeuner, je demandais à Marie si elle ne savait pas où se
trouvait une esthéticienne.
« Pourquoi ?
– Parce que cela fait un an qu’elle ne s’est pas faite épiler les jambes et
elle ressemble à une ourse dit Véro en éclatant de rire
– Salope
– Oh vous battez pas, Françoise a été esthéticienne, elle va s’occuper de
toi. Quant à toi Véro si tu veux je vais à la ville je t’emmène faire des
courses.
Je dis que non je ne voulais pas abuser
« T’as pas le choix ma fille, en plus du verra Françoise va te masser les
jambes, elle est géniaaaaale »
Véro se dirigea vers la 205 bleue et se retourna vers moi en rigolant « Tu
verras elle est Géniaaaaale » imitant Marie.
Françoise ne me laissa pas de répit, « Rentre dans la Caravane et enlève ton
jeans. Je pénétrai dans l’antre de nos voisines lesbiennes. Françoise avait
étendu une serviette sur le lit et m’attendait en slip et tee shirt.
Effectivement elle avait des doigts de fée et me fit un massage des mollets
et des cuisses qui me détendit. Je lui dis de se limiter aux mi-jambes et
Françoise me dit  » Tu as raison sur tes cuisses c’est encore du duvet extra
doux, ce serait une erreur ma jolie.  »
Je vais te masser les cuisses tu verras ça détend complètement. Et là,
Françoise monta sur le lit et se mit à 4 pattes à cheval au-dessus de mon
ventre pour me masser.
J’avais en gros plan ses larges cuisses molles et son gros cul dans une
culotte blanche d’où dépassait une épaisse toison. Je remarquai des auréoles
humides ce qui me troubla.
Lorsqu’elle eut fini, elle se redressa et colla son cul à 2 cm de mon nez et
je sentis une forte odeur d’urine, et compris que cette culotte n’était pas
du matin. Autant vous dire que je me sentis mon intimité se liquéfier.
Françoise posa la cire et me rendit les jambes lisses et ceci sans douleur,
c’était vraiment une pro.
« Maintenant il faut que je te mette une crème apaisante. Ferme les yeux »
Je fis semblant de les fermer et découvris Françoise la main dans sa chatte.
Elle la ressortit et m’étala de la cyprine sur les mollets. C’était en effet
apaisant, mais surtout très excitant.
Quant elle eut fini, je lui dis merci et collai mon visage contre sa petite
culotte. Françoise retira son tee shirt découvrant deux énormes mamelles
tombantes (du bonnet F!!!!) J’avais jamais vu ça. Elle me repoussa sur le
lit, enleva sa culotte et s’installa en position de 69 sa grosse moule
au-dessus de mon visage.

« Allez bouffe-moi la connasse salope, ça fait une heure que tu mouilles
comme une petite pute, vas-y c’est bien lèche-moi mon jus de chatte, mmmm
continue je te retire ton slip oh il est tout poisseux cochonne. T’aime ça
être prisonnière de mes grosses cuisses et de ma chatte poisseuse hein?.
« Oh oui dis-je c’est bon fais-moi jouir aussi, mmm j’adore le goût de ta
chatte et son odeur forte mmm  »
« Pour une hétéro, t’aimes ça la moule, vas-y déguste-moi ohhouiiiiii je
jouiiii !
Françoise en jouissant écrasa son cul sur mon visage et je sentis un petit
jet de liquide couler, je le bus pensant que c’était de la cyprine. Mais il
s’agissait d’un petit jet de pisse, je compris tout de suite et pourtant
j’avalai. C’était bizarre comme goût mais j’ai apprécié cette gorgée.
Françoise affolée se retourna « excuse-moi je ne t’ai pas prévenu quand je
jouis j’ai des petites fuites. Marie aime ça, mais..;
– Je me suis léché les lèvres, et lui ai déclaré, « C’est l’odeur de pisse de
ta culotte tout à l’heure qui m’a fait chavirer, je suis excitée par les
odeurs, Véro aussi, et je crois que je suis une énorme cochonne en manque
– Oh pardon tu n’as pas joui, tient attrape ma culotte et respire-la puisque
ça t’excite, »
Elle sortit un petit gode d’un tiroir et le suça devant moi puis me pénétra
en aspirant mon bouton. Moi j’avais le nez dans sa petite culotte de
pisseuse. Il ne me fallut pas longtemps pour éclater sous ses caresses.
Et Françoise me dit « j’adore ta motte baveuse, tu sais que tu sens fort de
la chatte
– Ouiii dis-je, d’ailleurs avec Véro on s’est donné du plaisir toute la nuit
et elle m’a fait promettre de ne pas me laver.

– Et bien on va faire de même avec Marie, 4 vraies cochonnes…

signé fetich.odeurs@caramail.com
marc.marc15@voila.fr

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à Martine se déchaîne par FétichOdeurs

  1. Tanneur dit :

    Un fantasme qui m’interpelle

  2. Darrigade dit :

    bonne ambiance et excitation garantie.

  3. Claire dit :

    Elles m’émoustillent ces cochonnes

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *