Souvenirs de Grèce (Maud la prof – 4) par Bernard_le_photographe

Merci à tous les lecteurs qui apprécient mes récits et tous mes vœux pour
2002, surtout coquins, bien sûr !
Je tiens à préciser que ce sont des histoires vécues réellement, pas des
fantasmes, je n’en sentirais pas l’intérêt.

Je poursuis donc avec Maud, cette sensuelle prof qui par cette mutation nous
a permis de nous voir plus facilement.
Il y eut la longue coupure des vacances, mais en septembre, je me permis
comme convenu de l’appeler un mercredi matin.
Je ne garanti pas l’exactitude des propos mais il y a l’esprit.
Je la rassurais, disant que j’attendais son retour avec impatience et que si
elle était libre cet après midi, je l’étais aussi.
Ce fut spontané :
– Oh ! Je peux m’arranger, je n’ai pas encore trop de boulot
On convint d’un lieu de rendez-vous, non loin de chez elle, on s’y retrouve
vers 15 heures, il faisait très beau, elle monte dans ma voiture et on part
vite pour ne pas trop être vus, vers un coin de colline que j’avais repéré
peu avant. Elle était vêtue d’une robe blanche, ample et boutonnée devant.
On parle de nos vacances et surtout du plaisir qu’on a à se retrouver, on
décide de continuer à se voir et elle me propose même de venir chez elle un
jour !
Elle venait de passer quinze jours en Grèce avec son mari et me dit
– Tu sais, j’ai été très sage, on faisait l’amour normalement, sauf une fois
!
– Sauf, ça veut dire quoi ? Je veux tout savoir !
Et tout en roulant, elle raconte, qu’un jour ils allèrent sur une petite
plage déserte entourée de rocher, plantés verticalement dans le sable…
– Le paradis, quoi, et j’enlevais mon soutien gorge en vérifiant qu’il n’y
avait personne, puis au bout d’un moment je me baignais, mon mari s’était
endormi. J’étais si bien dans cette eau chaude que je fis glisser mon
maillot et je me baignais nue en tenant ma culotte au bras, une sensation
délicieuse que de nager à poil ! Tu l’as déjà fait ?
– Oui, j’adore, on le fera un jour peut-être !
– Je veux bien, oui, donc je nageais et en revenant vers la plage je crois
voir une tête disparaître derrière un rocher !
– Tu le croyais ou tu l’as vue ?
– Je ne savais pas, mais j’ai fais comme si c’était le cas, en l’ignorant,
je nageais un peu vers le large et tournais lentement vers la plage et là,
je vis un homme pas jeune qui disparu à nouveau. Curieusement ça me fit
quelque chose dans le ventre, mon mari dormait sous le parasol, je sortis de
l’eau sans remettre le bas du maillot, puis je le mettais sans regarder
l’homme, puis je vins m’allonger, mais je ne faisais que penser à cet
inconnu, ça m’excitait de savoir qu’il me regardait. Je me tournais dans
l’autre sens, les jambes vers le rocher sans faire de bruit, j’écartais les
genoux et entre mes cils guettait l’homme.
– Vicieuse, va ! Tu t’exhibes devant un inconnu, vite on va arriver, je veux
tout savoir !

– J’étais si excitée que je me caressais les seins, puis le ventre, l’homme
était de moins en moins discret, mais je ne voyais que le visage et le
buste. Je me demandais si je l’excitais, moi en tous cas je l’étais et je
finis par écarter l’entre jambe du maillot et me caressais…
– Et si ton mari s’était réveillé ?
– Oh, il ronflait, je le connais !
– Allez vas-y !
– Je fis un truc fou, je me levais et je marchais vers la plage afin de
contourner le rocher du voyeur et être hors de sa vue, puis très vite je
vins vers ce rocher. J’étais à deux mètres de l’homme, la cinquantaine, pas
mal un paysan sûrement, et il se branlait ! Soudain il me vit et prit peur.
Je le rassurais vite sans dire un mot mais en regardant son sexe, j’avais
une envie folle de l’avoir en moi, ça ne m’était jamais arrivé.
J’approchais, lui pris les mains, les posais sur mes seins, puis branlait
son sexe, et soudain je me tournais en baissant mon maillot
– C’est dingue ! Tu t’es fait prendre par un inconnu comme ça ? Ca m’excite,
et alors ?
– Alors ? Il s’est enfoncé en moi, j’ai joui presque tout de suite et lui
aussi ! J’ai vite remis mon maillot, tu sais que j’aime garder le sperme en
moi ! Je ne l’ai même pas regardé, je vins à côté de mon mari qui bougea et
me vit debout  » tu t’es baignée, elle est bonne ?  »  » Oui, j’y retourne,
elle est très bonne « , je pensais à la queue du gars en fait !
– Quelle cochonne tu es, je bande de t’écouter !

Elle posa la main sur le pantalon pour constater, alors qu’on arrivait dans
un coin de colline tranquille et ou malgré l’éloignement il y avait un  »
cadavre  » de machine à laver ! C’est triste de voir la nature rouillée par
des imbéciles. Bref, elle trouve le coin bien quand même :
– Alors ? Qu’est ce que tu as inventé depuis la classe ? Tu ne peux pas
savoir combien de fois j’y ai repensé ! Moi, la prof faisant l’amour dans ma
classe, ça ne m’arrivera sûrement jamais plus !
– Mais, dis, j’espère bien, tu garderas mieux le souvenir de moi !

On sort de la voiture. Je prends un sac dans le coffre et le lui tends. Elle
regarde, fouille un peu et sors un bas résille.
– Il fait encore chaud, mais ça me plairait de te photographier avec ça !
– Avec un porte-jarretelles, oui, c’est sexy… des bas noirs en résille,
porte-jarretelles sous une robe virginale, c’est moi ça : bien sage dehors
et pute en dessous
– Pourquoi pute ? Sexy c’est tout !
– Oui tu as raison salope, plutôt car je ne te fais pas payer, je le fais
pour te faire plaisir
– Pour NOUS faire plaisir, non ?
– Oui c’est vrai que ça me plait, je ne serais pas là sinon !

Je prépare mon appareil pendant qu’elle met cette tenue, je vois une jolie
culotte blanche puis elle me dit :
– Avant j’ai envie de faire pipi
– Ah, ça tombe bien, j’ai ma caméra, je vais filmer ça !
– Oh, non quand même !
– Mais, si, ce n’est pas la première fois que je te verrais !
Elle finit par accepter ! Je n’ai pas revu ce film depuis un moment mais je
crois lui avoir dit de le faire en robe en baissant sa culotte, très
naturellement, ce qu’elle fit.
Caméra au poing, je la visais, les cuisses bien ouvertes, mais un peu gênée
quand même :
– Ça ne vient pas, pourtant j’ai envie !
– Pense à autre chose, c’est vrai que tu es salope quand même, tu es
obscène, tu m’excites dans cette position.. Tu vas te vider et moi je vais
te remplir..
Soudain un petit jet coule, puis s’amplifie
– Ouf, ça y est, ça fait du bien !
– Oui, vas-y, c’est beau, pousse !
Le jet épais maintenant s’écrasait par terre et coulait sur le sol en pente
! Je bandais de la voir s’exhiber ainsi et quand elle eut fini, je lui dis
de rester ainsi en posant la caméra. Je m’approche d’elle en sortant mon
sexe et lui tendit à sucer… Elle me suça sans hésitation mais s’arrêta
vite :
– Attends ce n’et pas très confortable pour moi !

Je l’aidais à se redresser, l’embrassais pour la remercier et elle alla
enfiler les bas. J’enlevais mon pantalon et me branlais en la voyant faire,
puis je la caressais en la traitant de coquine.
Elle adorait les caresses et me dit :
– A chaque fois que je dénuderais ma peau, tu m’embrasseras ! Promis ?
– Juré, plutôt !

Et la voilà demandant quelle pose je voulais, quel endroit…
Je commençai à la faire s’appuyer contre un arbre, sa jupe un peu ouverte
laissant voir le bas et un peu de cuisse… J’embrassai sa cuisse, la
léchais. Puis elle ouvrit le haut montrant un soutien gorge blanc presque
transparent, je l’embrassais… Je lui fis sortir un téton que je suçais…
– Tu en as trouvé beaucoup des modèles comme moi ?
– Non, qui veulent cette récompense, jamais !

Je suce l’autre téton, elle soupire de plaisir… puis sa culotte apparaît,
je l’embrasse encore… je lui fais écarter et je pose ma bouche sur ses
poils et d’un coup elle presse mon visage contre son ventre
– Oh ! Suce-moi, suce-moi, j’ai envie, mon mari ne me le fait jamais !

Tiens, elle était en manque ? Ma langue s’insinue dans son intimité, elle
est encore debout, écarte les cuisses en avançant son pubis et le frotte à
ma bouche
– Oui, ta langue, suce moi vas-y c’est bon !

Je lui descends la culotte, lui enlève, écarte ses lèvres et aspire son
clito… Elle chancelle et glisse lentement contre l’arbre en gémissant et
se retrouve par terre. Je vais vite prendre une grande serviette, l’étale,
elle s’y allonge, je ne sais ce qui se passe, elle qui d’habitude est active
est cette fois alanguie, pâmée juste après quelques coups de langues ! Je
lui sors les seins des bonnets, lui caresse, lui suce en la branlant, elle
est trempée. Je laisse quelques boutons attachés à sa taille, c’est encore
plus excitant…
J’enlève ma chemise, et à genoux à côté de son visage, je promène mon sexe
près de sa bouche… Elle l’ouvre et me suce divinement. Je la branle de
plus belle et elle me supplie de la sucer… Je me déplace, me mets devant
sa chatte blonde, la tripote, glisse un ou deux doigts, puis je la soulève,
tout son bassin, moi à genoux, ses fesses relevées contre mon buste ce qui
fait qu’elle peut me regarder lui sucer la fente. Je maintiens sa chatte
ouverte, je vois son trou béant, j’y enfonce ma langue tandis qu’elle gémit
en disant :
– Mon dieu que c’est bon ce tu fais !
Je titille aussi son anus tout en branlant son clito :
– Regarde-moi, Maud, regarde ma langue de vicieux, dans ta chatte de
salope… ça te plait hein ? Dis le que tu es une salope !
– Oui une salope, une prof salope, j’aime ça tu m’excite, je vais jouir, je
sens ça vient
– Caresse-toi les seins ! Vicieuse !

Elle se les pétrit tandis que son orgasme monte et soudain elle pousse un
cri aigu, sa tête ballote, elle se met à trembler
– Mon dieu, je jouis, je jouis…
Je me calme, la repose au sol, l’embrasse :
– Oh la la, il y a longtemps que je n’ai pas joui comme ça… merci Bernard,
mais je ne t’ai presque rien fait, c’est à moi maintenant
– Oh ! Si tu veux, je me laisse faire !

Aussitôt elle me prodigue plein de caresses, suce mes tétons, me branle, me
malaxe les parties et bien sur sa bouche vient téter mon gland qui y
disparaît bientôt. Un régal car elle le fait très bien et aime ça…
Je la regarde en la caressant et j’arrive à glisser mon pouce dans sa chatte
trempée. Elle avait une manière de sucer très agréable, très douce, et ce
n’est pas le cas de toutes les femmes. Elle faisait ça avec amour,
sensuellement en branlant juste avec deux doigts et parfois lorsqu’elle
était très excitée, elle arrivait à prendre tout le sexe dans sa bouche en  »
gorge profonde « . C’est la première d’ailleurs qui m’a fait connaître ce
plaisir et ce fut ce jour là. C’est inoubliable et je n’avais pas compris
car elle était un peu en travers de moi, j’avais les yeux fermés savourant
cette fellation. Je sentais mon sexe envahit d’une douche chaleur, je
pensais à la salive mais je me redressais et compris qu’elle m’avait
entièrement dans sa bouche ! Jamais je n’avais eu une telle sensation, je
savais que ça existait par un célèbre film (jamais vu d’ailleurs) Je lui dis
:
– Tu arrive à faire ça ? Oh la la c’est fantastique, c’est la première fois
!

Elle se dégage, se tourne vers moi tout en me branlant
– Ça te plait ? C’est nouveau, on a essayé avec mon mari en Grèce, mais il
est plus gros et je n’y arrive pas bien, et ça me donne la nausée ; Avec toi
c’est mieux, tu as vu, j’y arrive !

Elle était toute fière, je la félicitais, puis elle ajoute :
– Mais on n’est pas bien ici, si quelqu’un vient, on n’est pas caché du
tout, on va dans la voiture.
En plus, on n’était à quelques kilomètres de chez elle, on ne sait jamais,
des promeneurs… On va vers la voiture, on s’enlace, je la remercie pour
cette sublime découverte et je lui dis que je voudrais lui faire une jolie
série de photos de ça, elle fut d’accord : Puis je me retrouvais assis au
bord du siège arrière, tandis qu’elle enlevait ses derniers vêtements en
faisant un simulacre de strip-tease en me demandant de ME BRANLER car elle
aimait me voir faire ça ! J’en profitais un peu en lui disant de se caresser
les seins, la minette puis de se tourner pour montrer son superbe cul.
Elle fit mieux : Penchée en avant elle s’écarte les fesses, les bouge, je
pensais qu’un jour il faudra essayer son petit trou, je la vois venir à
reculons vers mon sexe… sa fente est superbe, peu de poils et blonds, son
trou est ouvert, elle s’approche à me toucher, j’y frotte mon gland et…
elle s’empale dessus en poussant un gémissement de plaisir ! Elle est hors
de la voiture, moi dedans allongé… Elle commence à faire de va-et-vient
sublimes. Je l’entends dire encore :
– Comme c’est bon dans la nature, tu as bien fait de m’appeler, tu sais !
– Et toi d’accepter, merci, c’est un délice de te voir t’ouvrir, tu as un
cul magnifique, continue…

Puis comme ce n’est pas très commode, elle se dégage, se tourne, s’allonge
sur moi, se frotte langoureusement, m’embrasse. Je me dis que la photo ça a
du bon quand même, qui aurait dit en voyant cette femme au hasard de mes
déplacements qu’elle me ferait tout cela ?
Puis elle se relève un peu, sa main passe entre nous, elle saisit mon sexe
et le guide dans sa fente trempée et je suis au fond tout de suite ! Elle
pousse comme un grognement de plaisir :
– Que c’est bon d’être remplie comme ça, j’adore cette position, tu sais ?
– Je ne suis pas gros, mais je te remplis quand même, hein ?
– Oui… Tu sens quand je serre ?
– Un régal ! Tu es vraiment une salope !
– Oui, une salope pour toi, parce que tu es un vicieux toi aussi, tu as
deviné, tu as senti sûrement que j’aimais ça, j’ai trompé mon mari
quelquefois, mais juste en passant, ça n’a pas duré, Avec toi, j’ai envie de
faire plein de trucs et d’être encore plus salope… Je me laisse filmer,
photographier dans des tenues de putes et ça me plait !

Soudain, on entendit des bruits sourds comme des vibrations qui
s’amplifièrent, des bruits de branches agitées
– Mon dieu qu’est-ce qui se passe ?

Un vacarme incroyable, on resta pétrifié, j’arrivais à me redresser un peu
pour voir défiler des chevaux ! Cinq ou six cavaliers et cavalières qui
passèrent – en quelques secondes, heureusement – ! Je réalisais qu’en bas il
y avait un ranch, la frayeur passée, on en rit.
– Tu te rends compte, tout le monde a vu ton beau cul et ils n’ont même pas
eu la politesse de regarder en prenant leur temps !
– Ils ont vu ton sexe aussi !

Je bouge un peu en elle, elle se dégage.
– Oh ! Non, j’ai peur qu’ils reviennent !
Je tente de la rassurer, elle s’assied à côté de moi.
– On ne va pas rester comme ça, il faut qu’on se finisse !
Elle ferme la porte.
– Je préfère arrêter, mais j’ai envie que tu me masturbe, après je te ferais
ma gâterie.
Je fais contre mauvaise fortune bon cœur… je la fais allonger en travers
de moi, sa tête vers la portière.. On était donc caché. Je lui ouvre les
cuisses en grand ; sa chatte est ouverte, au moins deux centimètres de
diamètre. Je le lui dis tout en mouillant deux doigts qui y disparaissent !
Encore ce grognement, puis :
– Caresse mon clito, vas-y j’ai envie !
– C’est fou comme ta chatte de salope est ouverte, J’y mets trois doigts
– Oh vite, vite continue, je pars, je pars !

Secouée de spasmes, elle reste pâmée quelques secondes puis d’un coup :
– A toi, maintenant ! J’ai envie de te sucer, c’est fou !

Elle se retourne, s’allonge, me prends dans sa bouche, la tête sur ma
cuisse, la vision est sublime. Je lui dis que je vais vite venir, que ça
monte, pour qu’elle se dégage, mais non, elle maintient la  » pression  » et
je pars dans sa bouche. Je suis au paradis et je la contemple déglutissant
ma semence.

(provisoirement) FIN

Bernard

(c) Bernard photographe 01/02.

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