Les urinoirs de la gare 3 – la partie par Estonius

Les lecteurs reliront avec intérêt les chapitres 1 et 2 de cette série d’étranges aventures

J’avais donc un rendez-vous fixe avec Claude et son épouse. Pour le reste je pouvais passer n’importe quand pour voir Pablo au « Barcelone » et il y avait la proposition de Jim. J’avais donc de quoi faire.

C’est comme cela d’un coup, ce lundi que je me décidais à accepter la proposition de Pablo et donc d’aller me faire enculer par ce dernier. Je pensais y aller directement, mais je me persuadais quelque part que le plaisir serait meilleur si je m’excitais un peu avant et je décidais donc d’aller préalablement faire un tour aux urinoirs voir un peu ce qu’il se passait ce jour-là.

Ce jour là justement, beaucoup de monde, des urinoirs très occupés et des tas d’hommes attendant derrière. L’affaire s’éternisait, je me rendis compte que certains n’attendaient pas de façon passive. Des mains traînaient sur les braguettes, des fermetures éclair s’ouvraient, des queues s’en libéraient. Tout cela assez discrètement néanmoins. Quant aux cabines, elles étaient pleines bien évidemment. J’attendais, assez excité par l’ambiance qu’une main se pose sur ma braguette, j’aurais pu faire de même mais je me sentais encore trop nouveau dans ce milieu pour prendre ce genre d’initiative. La main finit par venir raidissant encore un peu plus ma bite toute bandée. Le type se posa carrément devant moi. Et entreprit de me défaire ma braguette. J’étais un peu gêné par le manque de discrétion mais entreprit néanmoins de me laisser faire, après tout, les gens qui venaient ici le faisait en toute connaissance de cause. Bientôt ma bite toute raide surgit de mon pantalon, et l’inconnu se mit à la masturber. Il se mit soudain à genoux et allait commencer à la sucer quand un mouvement de foule fit soudain se vider la salle. Il s’agissait de deux flics en képi. Je me retrouvais donc dehors dans ce grand couloir de correspondance. Le type qui voulait me sucer se retrouva à mes cotés :

– Dommage ! Me dit-il
– Oui, mais on peut se revoir !
– Je te paye un coup !
– O.K !

Je pensais à l’emmener au Barcelone, mais sans trop savoir pourquoi, j’y renonçais. Nous nous dirigeâmes vers un bistrot tout à fait classique
– On se prend une petite conso au bar et on va se finir dans les toilettes ?

J’acquiesçais volontiers, les consommations furent vites… consommées et nous descendîmes l’un après l’autre dans les toilettes de ce café. Il semblait connaître les lieux et sans préambule baissa son pantalon et son slip, j’en fis bien sur autant, il s’accroupit devant moi et introduisit mon sexe à nouveau durci dans sa bouche. Il suçait très bien je sentais sa langue me caresser le gland par petits coups nerveux tandis que ses lèvres développaient un mouvement de succion très efficace. Quand il estima que ma verge fut assez tendue, il se releva, me tendit un préservatif, puis se retournant, me demanda de l’enculer. Préalablement je répétais les gestes appris avec Claude et lui léchais l’entrée de l’anus avec ma langue, regrettant de ne pas lui sucer aussi la bite, mais ce serait peut-être pour plus tard, je m’introduisis facilement dans son petit trou. Excité comme tout, quelques allers et retours suffirent à me faire atteindre l’éjaculation tandis que l’inconnu se pâmait de plaisir. Mon désir disparut aussi vite qu’il était venu et je refusais poliment la réciproque, mais acceptait de le branler afin qu’il jouisse à son tour.

– Tu branles bien, mais j’aimerais autre chose, ça ne t’ennuierait pas de me cravacher les fesses pendant que je m’astique

Non, ça ne me dérangeait pas, je défis la ceinture de mon pantalon, et commençais à le flageller, réalisant en même temps que cette pratique était assez bruyante.

– Bon allez ! Branle moi ! Ca fait trop de bruit !

Mais le désir remontant, c’est dans ma bouche que je le terminais. De retour au bar, il me fit cette étrange proposition :

– T’aime ça aussi les coups sur les fesses ?
– Ca ne me déplait pas !
– J’ai eu l’occasion de rencontrer un grand bourgeois qui organise des parties entièrement masculines, je lui sers un peu de rabatteur, si ça t’intéresse ?
– Et on fait quoi ?
– On se branle, on se suce, on s’encule, un peu de SM aussi, mais c’est lui qui dirige tout. Je t’assure c’est génial

Je lui demandais des précisons.
– Il ne veut pas que je donne l’adresse, mais il y a une partie jeudi prochain…je peux t’emmener

Je lui donnai mon accord. Le jour fixé Charlie était au rendez-vous, j’avais plein de questions à lui poser, ce que j’ignorais c’est qu’il avait appelé un taxi, et que dans ces conditions les questions risquaient fort de demeurer en suspens.
Une fois sur place, nous devions prendre un escalier de service et finalement le maître des lieux nous accueillit d’une chaleureuse poignée de main.

– Voilà, nous attendons encore deux personnes et nous pourront commencer. Je vous laisse conduire notre nouvel invité dans la grande salle, Il y a un petit buffet à votre disposition et quelques films. Vous pouvez vous exciter bien sûr !

Dans la salle, il y avait déjà six hommes, et le spectacle était tout à fait charmant. Deux grandes télés diffusaient des films gays, le premier dans le genre traditionnel avec des gays californiens super musclés ne m’intéressait pas du tout, mais l’autre montrait des jeunes hommes ressemblant davantage au commun des mortels et leurs ébats ne me laissèrent pas longtemps indifférent. Pour faire bonne mesure, je me servis quelques bricoles au buffet, il n’y avait pas d’alcool que des jus de fruits, aussi quelqu’un du voir mon air dépité et me rassura en me précisant que le champagne arriverait plus tard. Mon interlocuteur avait comme tous les autres la bite sortie de la braguette, une fort jolie bite, ma foi ! Je m’empressais de sortir également la mienne, puisque cela semblait être la tradition des lieux, mais je ne pouvais néanmoins pas m’empêcher de reluquer la queue de mon voisin !

– Elle est magnifique !
– Je sais, elle est très douce au toucher, vas-y caresse-là !

Je ne me fis pas prier et commençais quelques mouvements de masturbation. Je l’aurais bien sucé, mais j’étais un peu gêné de ne pas bien connaître les habitudes de la maison… Sur ces entre faits arrivèrent deux autres hommes dont un grand noir à l’air jovial qui tout de go sortit de sa braguette une énorme bite. Le maître des lieux nous avisa :

– On va bientôt commencer, ne restez pas comme cela, mettez-vous à poil ce sera plus cool !
Toute l’assemblée entrepris donc de se déshabiller, Hervé, mon voisin de tout à l’heure avait l’air de se coller à moi, mais cela ne me gênait pas du tout.

– Dis donc, tu en as des gros bouts de seins !
– C’est à force de me les faire pincer !
– Je peux ?
– Bien sûr !

Et pendant qu’il me tripotait les tétons, je continuais à jouer avec sa belle bite, je jetais un coup d’œil circulaire autour de moi et m’aperçut qu’un peu plus loin, un type en suçait un autre. Puisque la pratique semblait autorisé ici, pourquoi me gêner, je me mis donc à genoux devant Hervé et je commençais par lui donner de petits bisous sur la verge, sur les couilles, puis sur le gland. Comme il ne protestait pas j’introduisit son sexe dans ma bouche et commençait une fellation en règle ! Mais je fus vite interrompu par l’arrivée d’Eric le maître des lieux, suivi d’Alain une sorte d’assistant, tous les deux étaient complètements nus, hormis une grande cape noire, ouverte et un peu ridicule.

– Bien, nous vous laisserons terminer cette soirée comme vous l’entendez, mais auparavant nous allons nous livrer à quelques attractions. Tout le monde est d’accord ?

Il n’y eut bien sûr aucune objection

– Vous allez tous vous mettre en ligne ici, et Alain et moi nous allons désigner la plus belle bite de l’assemblée, le vainqueur commencera par recevoir un prix de *** euros.

Puis se tournant vers Alain :

– Ca ne devrait pas être trop difficile de trouver le vainqueur ce soir ?
– Ah ! Ce n’est pas dit, il faut goûter, dès fois on a des surprises !
– Alors on y va !

Eric se plaça à l’extrémité gauche de la file, Alain à l’extrémité droite, et les deux personnages entreprirent de nous sucer brièvement les uns après les autres. Je trouvais la situation extrêmement excitante. Etant pratiquement au milieu de la file je subis les assauts d’Eric et d’Alain pratiquement dans la foulée, me laissant dans un état de pré jouissance fort trouble.

– Alors ce vainqueur ?
– Pour moi, c’est William ! Répondit Alain en désignant le grand noir !
– On est d’accord, William est vainqueur

En disant cela Eric sortit de sa cape deux billets de *** euros qu’il tendit à William, qui ne sachant pas trop quoi en faire alla finalement les ranger dans la poche de sa veste accrochée un peu plus loin…

– Et maintenant tout le monde se tourne, nous allons désigner le plus beau cul de la soirée.

Chacun des deux larrons commença comme tout à l’heure à une extrémité, à peloter nos culs, à les embrasser, à y faire pénétrer un doigt. Bientôt ce fut mon tour.

– Regarde-moi cette merveille ! Un vrai cul de gonzesse, un chef d’œuvre. Quelle cambrure, et c’est tout doux !

Je ne m’attendais pas vraiment à ce genre de remarque et n’en éprouvais d’ailleurs aucune fierté. Ils étaient deux à m’ausculter les fesses à présent.

– Un petit peu étroit, peut-être ?
– Ca ne fait rien c’est le plus beau !

Puis s’adressant à l’assemblée :

– Le vainqueur est donc Pascal

Je reçus aussi mes 2 billets, et à l’instar de William alla les ranger.

– Je vous propose d’unir la plus belle bite avec le plus beau cul. William va donc enculer Pascal.

Je bredouillais quelques mots de protestation, précisant que je n’avais rien contre William, ni contre sa bite, mais quelque chose contre la grosseur de cette dernière, parce que relativement nouveau dans ce milieu… la situation amusa Eric qui se tourna cers Charlie.

– Dis donc, Charlie, tu aurais pu nous prévenir que tu nous amenais un puceau ?

Charlie essaya en vain de bredouiller quelques mots d’excuses.

– Non ça mérite une punition ! Viens ici on va t’attacher à cette croix et te punir comme il faut

Cette perspective n’avait pas l’air de contrarier l’ami Charlie qui se prêta de bonne grâce à cette petite comédie. On l’attacha à une croix de Saint-André, face contre croix, puis Eric qui s’était saisi d’un martinet commença à lui frapper les fesses. Les coups furent d’abord moyens, mais Charlie supportait bien, alors ils devinrent plus fort et atterrirent non seulement sur le cul, mais aussi sur le dos et sur les cuisses. Quand on le détacha sa bite était toute raide !

– Tu vas lui ouvrir le chemin, ça t’apprendra, et après William prendra le relais.

Je m’arc-boutais à une espèce de barre et écartais les jambes. Eric m’enduit le cul d’une sorte de gel et laissa la place à Charlie qui pénétra mon anus avec facilité. Il enculait très bien, pour une punition, il s’en sortait plutôt bien, mais Eric ne lui permit pas d’aller jusqu’au bout et William prit ensuite le relais

– Tu ne jouis pas dans son cul ! Tu te réserves pour le mien ! Quand tu sentiras que ça vient tu le laisses tomber et tu t’occupes de moi !

La bite de William ne passa pas sans douleur, mais il savait y faire. Après m’avoir pénétré, il accomplit des mouvements les plus lents possibles, puis accéléra insensiblement. La sensation était délicieuse. Soudain le rythme s’accéléra, il stoppa, attendit, puis décula, il changea alors de préservatif puis très vite pénétra Eric et déchargea !

– Messieurs je vous laisse, profitez du buffet et faites ce que vous voulez ! A minuit Alain viendra fermer, jusque là la soirée est à vous ! Il y a ici une petite caméra, n’y touchez pas je crois que j’aurais un beau film à visionner demain, et rassurez-vous après je l’efface…

Puis se tournant vers moi en me donnant un petit carton.

– J’aimerais bien vous revoir, téléphonez-moi sur ce numéro de portable !

Il disparut avec son comparse, je ne cherchais pas trop à comprendre la raison d’une attitude aussi étrange. Hervé était à nouveau a côté de moi, sa bite toujours dressée. Je repris donc ma fellation interrompue. C’était vraiment un grand plaisir que de sucer une aussi bonne bite ! Le plus agréable quand on suce un sexe est quand la langue rencontre l’endroit ou se termine le gland. Si l’homme est bien excité sa queue va sécréter quelques gouttes de liqueur séminale qui vont rendre le goût de la queue encore plus excitant. C’est justement ce qui était en train de se passer avec Hervé.

– Je t’enculerais bien pour finir !

Faut pas pousser, deux dans la soirée c’est déjà énorme, alors trois, mais j’acceptais quand même et je lui tendis mon cul dans lequel il jouit fort rapidement. Lui aussi me tendit un carton avec un numéro de téléphone, (A ce stade il faudra bientôt que je me rachète un carnet d’adresses) et disparu. Je n’avais pas joui et avais très envie. Mais comment ? Enculer quelqu’un n’est pas mon truc, me faire sucer ou branler, pourquoi pas ? Dans un coin un type suçait alternativement deux queues, je me plaçais en troisième position, mais manifestement cela n’intéressait pas le suceur.

Je résolus donc de me masturber moi-même en regardant la vidéo qui n’avait pas cessé. Une main secourable vint remplacer la mienne, je la laissais faire, puis l’homme s’accroupit devant moi et me suça, il suçait très bien, donnant des petits coups de langue nerveux, je ne tardais pas à jouir dans sa bouche. Il tint à m’embrasser sur la bouche alors qu’il n’avait pas encore avalé mon sperme, je le laissais faire, par politesse, mais je reconnus que cela n’avait rien de désagréable. Je bus un dernier verre, ce qui me permit de constater qu’on avait effectivement apporté du champagne !

Avant de partir, je me rendit aux toilettes, un des participants avait eu la même idée que moi au même moment, je le laissais donc entrer avant moi et me mit en devoir d’attendre mon tour.

– Non rentre ! on va quand même pas se gêner maintenant

Le type se mit à pisser, et tout en le faisant, il se badigeonna la queue et les testicules avec son urine. Un certain trouble se manifesta au niveau de ma queue qui se remit à bander légèrement. Je pensais qu’il allait me proposer quelque chose, mais il resta muet. Je me mit à pisser à mon tour, et histoire de voir jusqu’où irait mon voisin j’imitais ses gestes, me barbouillant également la verge et les couilles d’urine. Cette fois sa timidité fut vaincue, il se pencha vers mon sexe pour me le lécher, mais ne parvint cependant pas à me faire bander correctement. Sur cette dernière scène fort trouble, je quittais les lieux à mon tour.

Estonius © 2000

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2 réponses à Les urinoirs de la gare 3 – la partie par Estonius

  1. Rollin dit :

    C’est malheureusement du grand n’importe quoi, cette suite !

  2. Orlando dit :

    Un peu confus et très mécanique. Estonius fera beaucoup mieux par la suite.

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