Les tortures de Sophie 3 – Tortures du soir par Yorski

Les tortures de Sophie
Tortures du soir
par Yorski


Chers lecteurs, j’ai décidé de vous proposer une nouvelle aventure vécue avec ma copine Sophie, au hasard d’une soirée chez moi.

Après un dîner en tête-à-tête de notre habitude, nous nous assîmes sur le canapé devant la télévision, en buvant un café. Le désir mutuel s’exhaussant peu à peu, nous nous rapprochâmes et nous blottîmes l’un contre l’autre. C’est alors que, ayant envie, comme souvent lors de ses visites chez moi, de me soumettre à ses traitements délicieusement cruels, que je lui glissai dans un souffle à l’oreille :

– Chérie, et si tu me torturais ce soir ?

J’imagine qu’elle en avait autant envie que moi, ou alors une excitation subite la saisit. Toujours est-il qu’elle acquiesça avec délectation, me demandant, comme elle aimait à le faire parfois, si j’avais une envie particulière ou si je lui « laissais la main ». Vivement émoustillé, je lui dis alors :

– Je te laisse la main chérie, mais je souhaite vraiment être torturé cruellement.
– Ok me dit-elle, laisse-moi me préparer et file dans la chambre.

J’allai dans la chambre, lui permettant d’effectuer une petite toilette et d’enfiler ses effets usuels : chaussures à talons ouvertes, bas résille parfois, soutien-gorge noir, string noir. Lorsqu’elle entra j’étais nu sur le lit, les ustensiles de torture sortis et étalés à sa disposition, comme elle l’exigeait.

– Chéri, tu vas souffrir ce soir… me glissa-t-elle dans un sourire discret mais ferme. Mets-toi par terre à plat ventre !

Je m’exécutai et me couchai à ses pieds. Elle ne portait pas de résilles. Elle me saisit alors les poignets et les attacha fermement derrière mon dos, puis elle lia mes chevilles entre elles, replia mes jambes et les fixa aux liens de mes poignets, me plaçant ainsi en position très inconfortable et assez humiliante de hogtied, qui pour un homme, comprime violemment la verge entre le sol et le bassin, provoquant une érection solide mais un risque élevé d’éjaculation et un sentiment de frustration assez considérable que de ne pas pouvoir se soulager le moins du monde alors que le sexe est oppressé. Elle s’assit en face de moi, retira sa culotte et écarta ses jambes.

– Tu vas me lécher bien comme il faut, l’anus y compris, m’ordonna-t-elle.

Jamais encore je ne lui avais prodigué une « feuille de rose » : non que je n’en avais pas envie, mais c’était bien plutôt elle qui était rétive. Il faut avouer qu’au début, hors du sexe pour le moins « classique », elle n’y connaissait rien du tout – mais elle assimilait avec un certain talent les pratiques perverses qui pavaient mes fantasmes. Elle approcha son intimité de ma bouche et me fit lécher son sexe, puis, se mettant en arrière, présenta son anus à moi. Mais trop fermement attaché, je ne parvenais guère à relever ma tête afin de lécher quoi que ce soit de manière satisfaisante. Elle se releva, alla chercher un oreiller qu’elle plaça sous le haut de mon torse, ce qui releva ma tête – mais fit tirer plus mes membres sur les liens. Elle se remit en position, et c’est ainsi que je pus enfin faire pénétrer ma langue dans ses lèvres, puis lécher son anus. Ce qui m’excita à un degré assez élevé ! Quel bonheur que de lécher, sucer ces parties si discrètes, au goût et à l’odeur enivrants, au parfum féminin et au suc discret.

Lorsqu’elle en eut assez, elle se retira, se plaça derrière moi et me saisit violement les testicules et le bas du sexe : sachant que la jouissance serait immédiate, elle tint serré mes parties jusqu’à l’éjaculation, qui me fit tressaillir dans mes liens sadiquement entrés dans mes chairs et sur fond d’un râle de plaisir et de frustration de jouir si tôt et dans une position aussi inconfortable. Et, tandis que je jouissais, elle me lança avec une cruauté malicieuse, qui ajouta encore à mon humiliation :

– Ne jouis pas trop chéri, car je tu devras lécher ton sperme…

Après quoi elle me retourna sur le côté, débarrassa l’oreiller et me libéra. Je me redressai assis sur mes genoux, reprenant mes esprit et, elle debout devant moi, m’ordonna de lécher ma semence. Tant mieux pour moi, il y en avait très peu, cette parcimonie devant tout à la position dans laquelle j’avais joui, qui interdisait quasiment toute sortie de liquide. Je léchai donc le sol sans difficulté, pour le plaisir de ma Sophie.

Elle décida ensuite de passer à la deuxième phase de la soirée : elle s’assit sur le bord de mon lit et m’appela auprès d’elle. Je me plaçai donc devant elle à genoux les fesses relevées – ma position ordinaire en début de soumission. Mes mains étaient parfois à garder dans le dos, parfois à poser derrière la tête, souvent menottées dans le dos, et surtout j’avais l’interdiction formelle d’asseoir mes fesses sur mes chevilles ainsi que de parler ou me plaindre. C’est là qu’elle posa un poids par téton, me provoquant une douleur vive immédiate et un petit gémissement. Elle joua un instant avec, guettant mes grimaces et mes tortillements avec amusement, puis m’ordonna de la suivre à quatre pattes. Je la suivais donc malgré les tiraillements inhumains des poids provoqués lors de chaque mouvement jusqu’au vestibule, où elle me gratifia d’une boule geisha pénétrée sans ménagement dans mon anus. Elle s’assit alors sur une chaise et me tendit ses pieds : toujours à quatre pattes, je m’appliquai donc à lécher ses pieds, ses chaussures, sucer ses orteils, baiser et lécher ses jambes – une récompense pour moi.

Pendant ce temps-là, elle profita de jouer avec les boules geisha, dont une était dehors et une à l’intérieur de mon fondement. Je tentai de réprimer les gémissements qui s’invitaient en moi, et me remis rapidement en érection. Lorsque ses pieds et chaussures furent suffisamment trempés, elle se leva et m’ordonna de me promener à quatre pattes dans l’appartement, ce que je fis. Elle demeurait derrière moi à me regarder misérablement avancer avec ces poids qui me mordaient de plus en plus insupportablement les seins et les grosses boules geisha qui vibraient en s’entrechoquant à chaque fois que je posais une main ou un genoux au sol, rendant très difficile le frottement nécessaire des fesses entre elles pour avancer dans cette position. De fait je n’avançais pas : je me trainais comme une larve et j’avoue avoir ressenti un sentiment d’humiliation assez poussé à ce moment – moment qu’elle me dira plus tard avoir adoré. Je me rappelle qu’elle eut même la cruauté de jouer avec le poids de mon sein droit en le faisant se balancer, ce qui me fit crier et me stoppa dans mon chemin de supplicié pendant quelques secondes. Puis elle me demanda de me déplacer jusqu’au lit, où elle désirait passer au dernier stade de mon traitement. Arrivé, je fus délivré des poids dans un lourd gémissement de soulagement et débarrassé des boules geisha. Elle me fit grimper sur le lit et m’attacha en « X », soit les bras et les jambes en croix, couché sur le dos. Elle prenait un plaisir particulier à faire l’amour dans cette position, contrôlant les va-et-vient des bassins, me dominant, décidant si je dois porter bâillon ou bandeau ou les deux, si je dois souffrir de pinces, bref : diriger l’entier de l’acte d’amour et l’étendue de ma soumission tandis qu’elle se réservait toujours le plaisir physique pur ainsi que celui, plus complexe, de la domination.

Elle m’enfila ce soir-là le bâillon-boule et le bandeau, ôta ses talons que j’entendis tomber au bas du lit et me chevaucha en s’embrochant sur ma verge sans ménagement. Elle prit son pied à son rythme, alternant la vitesse, jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un long soupir. Elle se retira, mes saisit le sexe et me masturba. Comme je ne jouissais pas assez vite pour elle (j’avais déjà joui au début de ma torture), elle me posa une pince par sein dans un cri de douleur assez prononcé – les pauvres étaient déjà détruits par la séance poussée de poids. La douleur m’envahit profondément sans accélérer l’avènement final, ce qui eut le don de l’agacer. Elle me retira dès lors le bâillon et posa son pied gauche sur mon visage : le talon écrasant le bâillon déjà bien enfoncé, la plante du pied aplatissant mon nez et ses orteils sur les yeux. Humilié et excité à la fois, je me déchargeai enfin en gémissant et tirant au maximum sur mes liens, à la grande satisfaction de mon amante-maîtresse.

– Tu y as été fort ce soir chérie, lui dis-je après avoir été délivré.
– Oui, mais tu aimes ça, me dit-elle dans un rire. En tous cas j’ai adoré te voir à mes pieds à quatre pattes avec les boules geisha mon amour, c’était très excitant….

Voilà chers lecteurs, j’espère que vous avez eu du plaisir à me lire et surtout n’hésitez pas à me faire part de vos impressions et autres messages !

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Une réponse à Les tortures de Sophie 3 – Tortures du soir par Yorski

  1. Chanette dit :

    Je n’avais jamais lu cette belle histoire. Je vous invite à la découvrir, on s’y croirait et l’auteur sait très bien ce quoi il parle !

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