Les loups-garous de Paris – 7 – La proie des loups-garous par Boris Vasslan

Les loups-garous de Paris – 7 – La proie des loups-garous par Boris Vasslan

Bérault pouvait à présent parler, mais il n’était pas un bon parleur et Elizabeth l’interrompait sans cesse et ne le prenait pas au sérieux. Il renonça donc pour le moment à la convaincre.

Après avoir pris congé, Bérault se dit alors qu’à défaut de persuader Elizabeth, la bonne solution serait peut-être de lui inoculer la potion de transformation par surprise. Oui, mais voilà, il n’avait plus de prélèvement de louve en stock dans son laboratoire.

Au téléphone, Bérault m’expliqua son plan. J’ai failli lui rire au nez, mais m’en suis gardé, étant un garçon poli et coutumier des bonnes manières. Je prévenais néanmoins Andréa qui pour sa part ne trouva pas ce plan si idiot que ça.

Le chimiste s’en fut aller rendre visite au vétérinaire du zoo de Vincennes qui l’envoya carrément paître, lui expliquant avoir eu la visite de la police, qu’il ne voulait pas d’ennuis et patati et patati. L’homme ne se laissa pas amadouer par la belle somme d’argent avec laquelle Bérault tenta de le soudoyer et finit par se faire pousser vers la sortie sans grand management.

Restait donc la morsure. Difficile de mordre quelqu’un contre son gré, bien que la chose puisse se faire pendant un « accident » de partouze par exemple ! Idée farfelue mais nous avons vu que Bérault goûtait les idées farfelues. Sauf que la morsure ne donne pas toujours les résultats escomptés, la dose toxique n’étant pas assez forte pour fonctionner sur tous les groupes sanguins.

Mais Bérault est un malin, il lui suffisait de prélever un peu de sang d’Andréa, puis lui demander de pisser dans un flacon, il pourrait ainsi préparer une dose toxique conséquente, qu’il enfermerait dans une ampoule qu’il suffirait de casser au moment importun.

Sans s’annoncer préalablement Andréa, vient sonner au domicile d’Hélène. Cette dernière lui ouvre, elle n’a pas l’air en forme, pas maquillée, des valises sous les yeux et habillée d’une robe de chambre élimée.

– Entre ! J’espérais que tu viendrais, sinon je serais allé chez toi.
– Je suis vraiment désolé de ce mensonge…
– Et moi je suis désolée te t’avoir giflé, mais maintenant je suis dans la merde.
– Parce que…
– Parce que si l’autre abruti de chimiste ne trouve pas une solution, on va se faire massacrer à la prochaine pleine lune.
– En fait il a une idée, mais il faut que ça se mette en place, il va sans doute falloir l’aider.
– Tu me racontes ?

Elle lui raconte ce qu’elle sait, les grandes lignes…

– Tu es sûre que ça peut marcher ?
– On est jamais sûr de rien, mais si on aide Bérault, ça marchera.
– Admettons, tu veux un café ?
– Pourquoi pas, mais on ne s’est pas fait la bise.

Et très vite la bise se transforme en patin baveux.

– Je te vois venir, toi, mais je ne suis vraiment pas présentable…
– Qu’importe, on tirera les rideaux, ça tamisera la lumière. Répondit Andréa en lui malaxant les seins à travers sa robe de chambre.
– Bon tu veux me sauter, c’est ça ?
– Si tu veux bien !

Et Andréa lui ôte sa robe de chambre qui dégringole sur le parquet., puis se jette lèvres en avant sur sa jolie poitrine qu’elle tète avec gourmandise.

– Tu comptes rester habillée ?
– Pas vraiment, non.

Andréa se déshabille, mais conserve son soutien-gorge.

– Et le soutif ?
– Le soutif, tu me l’enlèves, j’adore qu’on me l’enlève.

Hélène le dégrafe, libérant ainsi la poitrine de la rousse, pour s’en régaler à son tour.

Après quelques embrassades bien mouillés, les deux femmes se sont retrouvées tête-bêche sur le canapé, se léchant et se doigtant la chatte et l’anus avec une frénésie sauvage.

Elle se font jouir, se caressent, s’embrassent, s’épuisent…font une pause.

– J’ai un joujou, je vais te le montrer, il y a longtemps que je ne l’ai pas sorti de sa boite.

Hélène s’en va farfouiller dans un placard et revient avec un chapelet de trois boules de geisha métallisées..

– Tu connais ? Demande-t-elle.
– Je connais, mais je n’ai jamais essayé !
– Fais voir ton cul, je vais te les mettre !

Andréa se met en levrette, le croupion tendu, sa partenaire n’introduit pas les boules de suite et vient de sa langue lui butiner l’œillet.

– J’aime le goût de ton cul !
– Alors profite en, ma grande !

Puis elle introduit la première boule que l’anus d’Andréa semble avaler, puis la seconde, puis la troisième.

– Maintenant remue ton cul comme si tu te trémoussait !

L’effet est fantastique, le fait de bouger les fesses fait interagir les boules qui contiennent en leur seins une seconde boule qui du coup va-et-vient, tout cela résonne sur les parois de l’anus. Andréa gueule comme une damnée, Hélène en profite pour tirer la ficelle d’un coup sec, la rousse crie de nouveau saisi d’un orgasme fulgurant.

– Putain c’est magique ton truc, viens m’embrasser !
– Smack !
– Au fait tu ne devais pas me faire un café ?

La lune montait et déjà mon système pileux commençait à me poser problème.

Nous avons attendu le soir, après que Corinne ait fini son service, pour nous rendre, avec Pierre Bérault chez Elisabeth Chinchard qui nous ouvrit machinalement avant de réaliser que nous étions quatre.

– C’est quoi cette délégation ? C’est pas la maison de Victor Hugo, ici !
– Ce sont des loups-garous, c’est pour te prouver que ce que je t’ai raconté l’autre jour n’était pas bidon ! Commença maladroitement Bérault.
– Bon alors deux choses : Eructa Élisabeth, vous les clowns, vous disparaissez sur le champ sinon j’appelle la police. Quant à toi Pierre on va cesser toute relation à partir de cet instant. Tu es devenu complètement dingue, non seulement tu racontes n’importe quoi mais tu te permets d’introduire toute une tribu chez moi sans me prévenir !

La situation est-elle en train de nous échapper ? Peut-être pas, Hélène dégage soudainement la Manche de son blouson faisant apparaître un bras anormalement poilu.

– Et ça, c’est du chiqué, peut-être ?

Elizabeth y va de sa réplique vacharde en s’adressant à Pierre Bérault :

– Tu te balades avec des phénomènes de foire, maintenant ?
– Comment ça je suis un phénomène de foire ? S’emporte Hélène, courroucée.
– Je ne voulais pas vous vexer…
– Oui mais maintenant c’est fait !
– Eh bien portez plainte !

C’est mal barré, cette affaire-là ! Andréa fait alors diversion en caressant le bras de sa « collègue » :

– Vous devriez caresser, c’est doux, on a l’impression de caresser un chat !
– Mais c’est quoi cette bande de cinglés ? On est au cirque ou quoi ?
– Caressez, juste pour voir et après on s’en va.

Sans doute en raison de la fin de phrase, à moins que ce soit autre chose, Elizabeth pose machinalement sa main sur le bras d’Hélène. Et là il se passe quelque chose, les deux femmes se regardent les yeux dans les yeux, Hélène peut maintenant la dominer psychologiquement.

– Qu’est-ce que tu es en train de me faire, salope poilue ?
– Tu es en train de subir un coup de foudre, mais tu t’en défends, alors arrête de te mentir à toi-même et viens m’embrasser !
– Je ne t’ai pas autorisé à me tutoyer !
– Tu le fais bien, toi ! Alors tu m’embrasses ou t’attends que les martiens débarquent ?
– Tu m’as ensorcelé !
– Non, tu t’es ensorcelé toute seule !

Hélène est surprise de cette résistance inattendue, elle décide donc de précipiter les choses en approchant ses lèvres de celle de la femme d’affaires en la regardant fixement dans les yeux.

Miracle ! La bouche d’Elizabeth s’ouvre, la langue d’Hélène passe. Le baiser devient fougueux et passionné.

Elizabeth finit par se libérer, elle est tout sourire, elle ne lutte plus, désormais entièrement sous l’emprise psychologique de la louve-garou.

– On baise ? Lui demande Hélène.
– Oui, viens !

A bon, ça se passe comme ça ? C’est de la magie ?

– Mais ces messieurs-dames ? Demande la businesswoman, sans doute dans un flash de lucidité.
– Soit ils attendent ici, soit ils regardent, soit ils participent. C’est comme tu veux !
– Je ne sais pas…
– Alors ils vont regarder et ensuite on verra bien.

Hélène ne perd pas une seconde et déshabille la businesswoman, qui comme tétanisée se laisse faire sans réagir, puis elle se débarrasse à son tour de ses vêtements et sous-vêtements et l’entraîne vers la canapé (il y a décidemment beaucoup de canapés dans ce récit !)

La tactique est la même que celle utilisée au « Guignol bleu », endormir la méfiance de la victime puis la mordre, à ceci près qu’il faudra en plus déverser le contenu de l’ampoule de Bérault dans la morsure. Si Hélène n’y parvient pas seule, Andréa et moi viendrons à la rescousse. Et Bérault ? Non à trois ce sera suffisant !

Elizabeth s’est couchée sur le dos, complètement passive, les cuisses écartées. Hélène s’approche d’elle, hésite sur la position à adopter mais ne peut résister à l’attrait de sa belle poitrine qu’elle vient butiner en se léchant les babines.

Et déjà Elizabeth se pâme, Hélène descend son visage au niveau de sa chatte et combine l’action de ses doigts et celle de sa langue

Bérault s’est assis à l’écart, ce doit être un grand timide, Andréa qui est à ma gauche, sans doute émue par le spectacle en est déjà à me tripoter la braguette

Bien évidemment je me laisse faire, et ma queue grossit rapidement sous ces attouchements et ne tarde pas à bander de façon tout à fait correcte.

André n’a plus qu’à dézipper la fermeture éclair et aller farfouiller dans mon caleçon pour aller toucher la chose. Oh, que j’aime le contact de sa petite mimine sur ma bite !

Elle ne va tout de même pas la sortir de ma braguette ? On est chez des gens tout de même ! Ce sont des choses qui ne se font pas !

Elle en a cure, me sort mon engin, le branlotte un petit peu, puis se penche vers moi avant de me faire turlutte

Je suis resté passif jusqu’à maintenant, mais là je ne tiens plus, mais dans la position où je suis, je ne peux pas faire grand-chose, mais je parviens tout de même à immiscer ma main dans son jeans afin de lui peloter les fesses.

Un raclement de gorge ! C’est le signal ! On se redresse et on observe ce qui se passe côté canapé.

Hélène a retourné Elizabeth désormais sur le ventre et lui doigte le cul. Elle nous fit signe de nous approcher et de la caresser.

On lui met nos mains partout, puis le doigt d’Andréa remplace celui d’Hélène dans le troufignon de notre proie. Celle-ci a maintenant le champ libre.

Elizabeth est encore sur les rivages de l’inconscience. C’est donc le moment, Bérault passe à Hélène l’ampoule qu’il avait préparée, la louve la casse et s’en remplit la bouche sans l’avaler. Il ne lui reste plus qu’à mordre le cou de sa victime et d’y déverser le liquide qu’elle a en bouche.

Après cette action, Hélène s’affale sur le lit en pleine extase, les yeux vitreux, la bave aux commissures des lèvres. Poussée par on ne sait quel démon, ou plutôt envieuse de l’état dans lequel se trouve Hélène, Andréa se précipite sur le cou d’Élisabeth et la mord à son tour avant de tomber en félicité. Et du coup, j’en fais de même, c’est ma deuxième morsure de ma courte vie d’apprenti loup-garou, mais quel pied, c’est encore mieux que la dernière fois, j’ai l’impression de flotter sur un nuage de coton bio entouré d’anges androgynes à la bouche gourmande et aux culs hospitaliers.

Bérault qui n’a jamais été témoin de ce genre de choses n’en revient pas.

On sort de notre état second, Elizabeth est, elle aussi, un peu, pas mal même, larguée :

– C’était génial mais pourquoi m’avoir mordue ? Vous êtes un peu tarés sur les bords, non ?
– Ce n’est rien, tu veux un peu d’antiseptique ?
– Plus tard !
– Bon on se prépare et on s’en va !

Andréa entreprit discrètement Bérault :

– Ça a pas été de la tarte, madame ne se laisse pas dominer facilement, mais Hélène a bien fait le boulot et ça prouve que tu as fait le bon choix, c’est elle qu’il nous faut ! On te laisse avec elle, maintenant il faut que tu la prépares psychologiquement, on reviendra ensuite en remettre une couche.

Bérault et Elizabeth restèrent un long moment sans rien dire, l’homme n’ayant nulle envie de parler en premier.

– C’est quoi ce cirque, c’est comme si on m’avait droguée ! Et ces gens, c’est qui ? Finit par demander la femme.
– Des loups-garous !
– Je t’en prie, arrête tes conneries
– Demain quand tu vas te réveiller tu auras autant de poils qu’eux.
– C’est ça oui…
– Écoute chérie, tu n’es pas en état de comprendre. Je repasserai demain matin, les choses seront plus claires.
– Demain matin, j’aurais autre chose à foutre; ce n’est pas un hall de gare chez moi !
– Alors appelle-moi quand tu veux.

Et le lendemain matin quand Elizabeth se mira dans sa salle de bain elle fut horrifiée de se retrouver si poilue. Elle est affolée, n’en croit pas ses yeux.

« Qu’est-ce que ce salaud de Bérault m’a refilé comme saloperie ? »

Elle s’énerve, elle trépigne, elle téléphone à son dermatologue qui à cette heure-ci ne répond pas. En désespoir de cause, elle appelle Bérault qui se fait border d’injures et ne peut en placer une.

– J’arrive et je vais tout t’expliquer ! Parvint-il cependant à lui dire.

Elizabeth s’administre un tranquillisant et s’affale dans son fauteuil.

Quand Bérault arrive, elle s’est un tout petit peu calmée :

– Bon, maintenant je veux des explications, non mais t’as vu mes bras, t’as vu mes jambes ? Et je ne te parle pas du reste, j’en ai même sur les nichons !
– Y a rien de grave, je vais t’expliquer…
– Comment ça, c’est pas grave ? Ça va partir ou pas ?
– Dans une dizaine de jours.
– Mais c’est quoi ?
– Attends-toi à un choc…
– C’est grave ?
– Non, pas du tout mais c’est spécial.
– Comment ça ?
– Je vais t’expliquer mais détend-toi, il n’y a rien de dramatique, si tu nous faisais un café ?

Il est des circonstances où l’on se raccroche à n’importe quoi, les propos quelque peu rassurants de Bérault l’avaient rasséréné, elle s’en alla donc en cuisine et revint avec un café bien chaud.

– Bon alors ?
– T’es devenue une louve-garou…
– S’il te plaît, tu arrêtes avec ça !
– C’était la seule façon de te sauver.
– Attends, me sauver de quoi ?
– Les frères Ladrome projettent de t’éliminer…
– Qui t’as informé d’une pareille chose ?
– Lors de sa dernière visite Gondard m’avait dit avoir reçu des menaces, il m’a laissé la photocopie du papelard, tiens, lit !

Et il lui tend le faux document écrit de la main d’Andréa :

« On va te faire la peau, à toi et à la mère Chinchard, tu auras l’honneur de passer en premier »

Elizabeth devient blanche comme un cachet d’aspirine.

– Et c’est en me faisant pousser des poils, que ça va me sauver ?
– Absolument !
– Je ne comprends plus rien à rien !
– Faut dire que ce n’est pas facile à admettre ! Donc quand Gondard m’a montré son papelard, j’ai cru à un canular ou à une menace gratuite, on connait la suite !
– Mais la police a eu connaissance de ce papier ?
– Je n’en sais rien ! Faut croire que non, sinon les flics m’auraient informé.

« Merde on n’avait pas pensé à ça ! »

– T’as raison, je vais à aller les voir ! Mentit-il
– Mais ces poils…
– Je pourrais te parler des loups-garous mais tu ne vas pas m’écouter, c’est dommage parce que je t’aurais expliqué que les loups-garous sont quasiment immortels et que c’est pour ça que tu ne risques plus rien !
– N’importe quoi !
– Quand j’ai su que tu étais en danger j’ai essayé de te parler des loups-garous, mais tu t’es foutu de ma gueule, alors je t’ai fait mordre par ruse.
– Pauvre malade, fous-moi le camp d’ici et n’oublie pas d’aller aux flics.

« Merde, je vais être obligé d’y aller sinon ça ne va pas le faire ! »

L’Inspecteur Bourdalou est stupéfait :

– Vous ne pouviez pas le dire pendant votre garde à vue ?
– Je pensais que vous aviez l’original, j’ai compris que vous ne l’aviez pas en discutant avec madame Chinchard.
– Bon, vous avez d’autres lapins dans le même genre dans votre chapeau ?
– Non.
– Eh bien merci du tuyau, n’hésitez pas à m’appeler si la mémoire vous revient !
– Oui m’sieu !

Bourdalou n’en revient pas de ce coup de théâtre qui réoriente l’enquête sur les dirigeants des laboratoires Ladrome. Le travail de fourmi va donc recommencer en commençant par le circuit des indics.

« On n’est pas sortie de l’auberge ! »

Elizabeth a pris rendez-vous avec son dermato qui ne comprend rien :

– Jamais vu un cas pareil, sans doute une maladie orpheline…

C’est effectivement ce que les toubibs disent quand ils ne s’y retrouvent plus.

Elle sort du cabinet avec un paquet d’analyses de sang dont les résultats ne décèleront rien de particulier.
.
En quasi-dépression Elizabeth chercha la consolation dans l’alcool et les petits gâteaux à la crème de son boulanger préféré. Tous les matins elle se badigeonne avec la crème dépilatoire que lui avait prescrit le toubib. Elle en usait une quantité considérable ce qui lui valut une réflexion de sa pharmacienne :

– Faut pas en mettre autant, ma petite dame…

Bérault l’appela plusieurs fois, lui proposant de venir la voir soit seul soit accompagné des loups-garous. A chaque fois, elle l’envoyant promener.

En fait elle attendait que ça se passe. Bérault lui avait parlé d’une dizaine de jours. On était déjà le onzième !

Je m’inquiétais auprès de Bérault de ce qui allait se passer la nuit de la pleine lune :

– Si Sandy et ses acolytes décident de nous attaquer, on va être mal…
– J’y avais pensé ! J’ai préparé un truc, ça ressemble grosso-modo aux phéromones émis par les grands mannifères dominants, J’ai préparé trois flacons, vous allez toi et tes copines vous aspergez avec, ça vous protégera, aucun loup ne vous approchera.
– Vous êtes certain que ça marche ?
– Bien sûr, ce n’est pas si difficile que ça à fabriquer, j’ai fait un essai sur un chat de gouttière, je l’ai aspergé, et même les gros chiens n’osaient plus l’approcher.
– Bon, je suppose qu’on a pas d’autres solutions que de vous faire confiance !
– Soyez rassuré, tout se passera bien, le souci c’est Elizabeth, je ne peux plus la voir, elle me refuse l’entrée…
– Alors ?
– Théoriquement, elle ne risque rien, je ne vois pas comment on pourrait faire le rapprochement entre elle et vous trois. Ceci dit deux précautions valent mieux qu’une, voilà ce que vous allez faire…

à suivre

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4 réponses à Les loups-garous de Paris – 7 – La proie des loups-garous par Boris Vasslan

  1. bureau dit :

    Ces loups-garous partouzard vont me rendre fou !

  2. Voisin dit :

    J’aime « beau cou » comme disait Nosfératu !

  3. Marylu dit :

    Bon sang ne saurait mentir… quoi que…

  4. Forestier dit :

    Je ne pense pas que le vampirisme soit une sexualité alternative mais cette saga est passionnante

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