Les aventures craquantes de Tyria par la_belle_jouisseuse

Les aventures craquantes de Tyria
par la belle jouisseuse

Ils étaient trois sur la scène, une femme et deux hommes, qui se livraient à des ébats jouissifs et endiablés. Au milieu, sur le canapé rouge vif, se trouvait la femme, habillée de bas résilles noirs et de chaussure à talons aiguilles, type BCBG, en position de levrette, généreuse et grande ouverte, avec derrière elle, son premier partenaire, debout, concentré dans sa pénétration anale, ses mains appuyées sur ses fesses et devant elle, son autre partenaire, dont elle tenait d’une main experte et assuré, le membre, dur et pointant vers le ciel, et qu’elle gobait de temps à autre, jusqu’au fond de sa bouche et suçait langoureusement. La femme était une grande jolie brunette, aux cheveux longs et au début de ses 20 ans, la peau d’une couleur, légèrement foncée (on devinait dans son visage, les traces d’un magnifique métissage asiatique et européen) tressaillait vivement à chaque secousse que lui envoyait son partenaire et envoyait des petits cris, telle une proie sans défense prise au milieu de ses deux prédateurs. Les deux hommes, les bras, le torse et le ventre, musclés, poussaient eux aussi des râles profonds et allongés en réponse à la jeune fille: ils voulaient un sexe énergique et plein de force, de quoi démontrer leur virilité. Que la jeune fille avait, elle aussi un pénis, ne semblait guère déranger les deux hommes, car en parfaite experte du plaisir sexuel, elle parvenait entièrement à apporter satisfaction à leurs désirs

Assise sur mon canapé et devant ma télé, j’assistais à la scène de cette vidéo porno avec beaucoup de délectation. Maquillée de bâton à lèvres, couleur rouge carmin, de fond de teint et fard à paupière, coiffée d’une perruque cheveux raides, longs et noires, et enfin habillée, d’un robe légère de couleur mauve, qui cachait en dessous des bas faible dénier et très transparent, je me caressais avec envie mon corps et mon sexe (avec mon gode préférée à portée de main, si jamais l’envie me prenait de me faire encore un peu plus de bien). Dans son visage, sur l’écran, l’actrice transexuelle (qui avait tout de la beauté des plus belles femmes) avait quelque chose qui ressemblait à de l’extase et je l’enviais pour toute sa beauté et la féminité, qu’elle dégageait.

Tout d’un coup, le téléphone se met à sonner. Sur le coup, ca m’énerve d’être dérangée, en pleine occupation intime, mais, quand je vois que c’est Gabriella, ma meilleure amie, transexuelle, mes impressions changent et je me réjouis immédiatement de son appel

 » Salut Tyria, comment vas-tu ?  » me lança-t-elle avec plein d’énergie.  » Je ne te dérangea pas au moins ? « .
 » Salut Gabriella. Je vais très bien. Merci et toi ? Je suis en train de regarder une vidéo porno, que j’ai achetée hier en sortant du boulot. Deux Apollons aux muscles d’acier et une magnifique actrice transexuelle, en pleine séance de bacchanales  » lui répondis-je
 » Oh, ca ne m’étonne pas de toi ! Nous aimons tous les deux ce type de vidéo. Ah, et je suppose que celui que tu regardes ne te laisse pas de marbre non plus. Petite coquine !  » lança-t-elle, avec une pointe d’ironie.
 » Ce soir, j’ai un invité, un homme, que j’ai rencontré sur le net. Bon dieu, j’aimerais tellement vivre la même chose, que ce que je suis en train de voir en vidéo, un homme, qui déborde d’énergie sexuelle, qui me fasse sursauter, tressaillir, vibrer, jouir….Et moi, de ressentir, sa virilité, dure comme un roc, dressée et bien membrée, au fin fond de ma bouche ou de mes fesses « .
 » Eh bien, je vois que tu as quelque chose de prévu pour ce soir et que la vidéo te fait pas mal d’effet aussi. Jolie programme en perspective. Sinon, j’aurais voulu proposer de te joindre à nous. J’organise une petite soirée, des hommes et des femmes triés tous sur le volet, des travestis, ultra féminins et encore quelques amies transexuelles à moi. Dress Code, ultra court, très déshabillée et hot pour nous, les femmes, et très très classe pour ces messieurs. On verra bien de comment se déroulera la soirée. Qu’en penses-tu ?  »
 » C’est très alléchant. Ecoute, si jamais mon hôte se décommande en dernière minute, je te ferais signe. J’ai vu des photos de lui, de son buste, légèrement poilu et de son membre, et je suis très excitée de voir ce que ca va donner en vrai. Au téléphone, il avait une voie super sexy et grave avec l’assurance d’un homme, qui a l’habitude de prendre des décisions. A propos, tu sais déjà ce que tu vas mettre ce soir ? « .
 » Ce soir ? Je pense venir avec de la lingerie anglaise, style année 50 ans. C’est carrément démodé, mais ca contraste pas mal avec ma jeunesse. J’ai remarqué que cela excitait énormément les hommes : ils croient que je suis à côté de la plaque, une petite sainte-nitouche et pourtant il voit que je m’éclate, quand je me livre à eux en position de missionnaire ou à leur accorder une fellation !! Sinon, ma petite Tyria, pas de problème. Simplement, si jamais tu as un souci, ou si tu crois être tombé sur Jack l’Eventreur, un dangereux psychopathe, tu m’appelles, hein ? On ne sait pas toujours sur qui on tombe  »
 » Gabriella, je t’adore. C’est moi que tu appelles coquine ? Ben, si c’est vrai, c’est que je dois tenir ca de quelqu’un de très proche. Merci bien de te préoccuper de moi. J’aimerais bien aussi éviter de tomber sur un psychopathe, simplement avoir du plaisir, avec un homme, un vrai, Girls just wanna have fun . On en reparle demain, toi et moi, de comment ce sont passées nos soirées respectives, d’accord ? ».
 » D’accord. Bonne soirée Tyria » me disait-elle en guise d’au revoir.
 » Bonne soirée Gabriella, à toi aussi  » lui souriais je au téléphone

Gabriella était devenue au cours des temps ma meilleure amie. C’était une véritable croqueuse d’hommes, profondément femme dans sa nature, dans ses émotions et dans sa manière de considérer les hommes. Elle aimait recevoir du plaisir, mais elle aimait aussi en donner. Surtout, c’était quelqu’un de fortement intègre, qui avait beaucoup de respect pour les autres et ne cherchait pas à les manipuler ou à profiter d’eux.

Mon dieu, il est déjà tard ! Je dois encore me préparer, passer à l’épilation certains parties fines de mon corps, me doucher et me décider de ce que je vais me mettre ce soir : Je veux être belle, resplendissante, sexy, désirable et éveiller les désirs les plus lubriques et enfouis chez mon hôte. Connait-il seulement tout le plaisir, qu’une femme, peut lui apporter ? Il le verra bien ce soir, en espérant qu’on s’entende bien (en effet, je préfère la qualité à la quantité !!! Le mauvais sexe, je le fuis de très loin!!).

Quelques heures plus tard. Dans le four, cuisent petit à petit, les lasagnes bolognaises, dans le frigo, on retrouve plusieurs bouteilles de Médoc, un vin capiteux, aux saveurs bien fortes et épicées, ainsi que du champagne, pétillant, avec sa mouse d’écume blanche et moi, aussi je suis fin prête. Une mini-jupe rouge moulante, avec une bande de stretch au milieu, de quoi souligner mes formes, ma taille et mes fesses. Ma jupe est très courte, tout juste assez de quoi recouvrir les jarretières de mes bas à couture (sans doute que mon invité verra ce que je porte en dessous, de quoi lui inspirer de ce qu’on peut faire ensemble après le repas, au cas, il n’aurait pas compris quelles étaient mes intentions), et mes talons de 10 centimètres, eux contribuent à galber finement mes jambes. Superbe ! Je me regarde dans le miroir et je suis très fière de ce que je vois : mes jambes sont magnifiques (souci du détail, un trait particulièrement féminin, je réajuste la position de ma jarretière), mon décolleté affriolant (les prothèses de sein sont presque plus vrais que nature), mon maquillage parfait (un rouge détonnant sur ma bouche en parfaite adéquation avec la couleur du vernis sur mes doigts) et mes bijoux étincelants. Une véritable déesse du sexe. Cet homme ne me résistera pas !

Ça sonne à la porte ! Je lui ouvre et je reconnais mon invité. La quarantaine, bien portante, un peu plus âgée que moi (mais je n’ai jamais été opposé aux hommes, qui apportent une certaine expérience de la vie, bien au contraire), mon invité est très beau et très classe, dans son costard cravate. Il est un peu plus grand que moi, 1m85, et de très forte stature (mon excitation redouble, il est tout à fait, comme je me l’étais imaginé). Preuve de sa bonne éducation, Il tient un superbe bouquet de fleurs (j’adore leurs couleurs et leur parfum, sans savoir de quel type de fleurs, il s’agit) dans la main.

 » Bonsoir, vous êtes bien Tyria ? « . C’est la même voix, qui m’a fait fondre au téléphone.  » Oui, c’est bien moi. Vous êtes Yvan ?  » Je lui fais la bise des deux côtés, doucement, avec ma main posé sur son épaule, histoire de lui montrer que je suis en pleine confiance avec un homme de son gabarit.
 » Entrez, ne restez pas sur le pas de ma porte  » répondis je.

Je lui précède le pas dans mon appartement et avec un plaisir malin, je marche en inclinant mon bassin d’un côté à l’autre, tout en faisant claquer vigoureusement mes talons sur le sol. Je devine son regard, qui remonte depuis mes chevilles, en suivant la ligne de couture de mes bas, jusqu’à aboutir à mon fessier. Je le sais et c’est exprès que je me retourne, pour rencontrer son regard et lui lancer un petit sourire complice. Quel homme !

Le repas se passe merveilleusement bien. Il me raconte ses voyages, un peu partout dans le monde, ses goûts pour la peinture, la bonne nourriture et le bon vin, ainsi que de son travail. Il a un sens de l’humour, que je partage complètement. (Ah, à un moment, je pense à Gabriella, qui doit être passée depuis longtemps à l’action, avec une femme, un homme ou une autre fille transexuelle). Je sens qu’il y a énormément de complicité entre nous. Tant mieux, car je jouis d’autant mieux, que je le fais avec quelqu’un avec qui je sens une proximité intellectuelle. Il me complimente agréablement sur le repas et je lui propose d’aller lui chercher le dessert. Je me lève pour me diriger vers la cuisine, et peu après avoir ouvert le frigo, tout d’un coup, je le sens derrière moi. De ses mains, il entoure complètement ma taille, tandis qu’il vient embrasser sensuellement mon cou. Je ne vais pas lui résister, il a très vite compris. En réponse, je lui caresse la joue de son visage, tout en fermant les yeux. Son odeur de cannelle, de gingembre et de sauge dans son cou est divine.

 » Depuis le début de la soirée, je fais une fixation sur tes cuisses et les jarretières, que je voyais ressortir légèrement de ta robe. Ton repas n’a fait qu’aiguiser mon appétit pour toi. En plus, tu es très belle et tu as beaucoup de culture. En ce moment, je suis fou de désir pour toi  »

Il ne s’est pas fait prier. Yvan est un homme, qui sait ce qu’il veut. Avec ses mains, il soulève les pans de ma robe, et caresse frénétiquement le haut de mes cuisses. J’adore sentir le contact de ses mains avec mes fesses et je cambre alors exprès mes reins, pour essayer d’entrer en contact plus intime avec son membre : il est déjà en pleine érection et semble être d’une taille bien au-dessus de la moyenne. Je me retourne pour l’amener vers le canapé du salon. On s’assoie tous les deux, et on recommence là où on s’était arrêté juste avant dans la cuisine. Il en profite pour m’enlever ma robe, pour me laisser découverte, en ensemble, composé d’une guêpière aux dégradés de couleurs rose bonbon et noir encre avec des broderies en or (un peu fin XIXème siècle), et des parties de mousseline au niveau du ventre, un string assorti et un porte-jarretelle.

 » Très joli ! J’aime beaucoup, ce que je voie  » dit-il, non sans pouvoir dissimuler son enthousiasme de découvrir ce qui se cache véritablement sous ma robe.

On s’embrasse plein d’effusion, et après ses caresses, je me dis que c’est à moi d’entrer en action. Je le regarde fixement, alors que ma main déboutonne son pantalon et plonge directement dans son caleçon. Lui déboutonne sa chemise. Un frisson parcours mon corps au moment je saisis la bête rugissante pour la faire sortir de sa cage, et je m’en mords la lèvre supérieur. Il me sourit en guise de réponse. Instinctivement, je commence à le masturber, tout en reprenant les baisers. Une fois, qu’il sera un peu plus dur et je pourrais commencer avec la fellation (et bien sûr, lui poser aussi un capuchon. Sans préservatif, pas moyen pour moi de faire l’amour sereinement)

Je me rappelle de l’actrice de la vidéo porno. Je suis aux anges, car un peu comme elle, je me sens très près au contact avec un homme et ce qui fait de lui un homme et sa grandeur. Oh là là, déjà j’attends avec impatience le moment où il pénètrera en moi. Ça me rend folle à la seule idée d’y penser, et pour cette raison, je le suce avec beaucoup d’intensité. Sa chemise est ouverte sur son torse musclé et ses abdominaux d’acier, les bras grand ouverts, Yvan jouie de la gâterie que je suis en train de lui faire. Ça, je le sais, à en entendre les cris, qu’il émet. J’ai posé mes genoux au sol, ce qui permettrait à un spectateur de derrière, de voir une jolie croupe, deux jambes ornées de magnifiques bas, et moi, en train de m’appliquer avec soin et effort à ma tâche. Au bout d’un quart d’heure, Yvan m’indique qu’il est prêt à passer à autre chose : je me relève petit à petit, pour pouvoir déposer mes fesses sur ses cuisses. Et chaque fois, que je le regarde dans les yeux, je ne peux m’empêcher de l’embrasser. Je veux m’empaler directement sur cette queue, que je viens de déguster comme un sucre d’orge (cette fois, je lui ai trouvé une délicieuse odeur d’amande) et que vénère tant, ressentir ce frisson incomparable, au moment où ca rentre dans mon garage anal. Yvan l’a bien compris et il me met dans la meilleure position, pour profiter au maximum de la pénétration. Il sait s’y prendre à merveille avec les femmes et la première fois pour me l’enfoncer est la bonne : je ne peux m’empêcher de crier un  » Oh, que c’est bon  »

A moi, la chevauchée fantastique : Yvan a mis ses mains, là juste où je le souhaitais, au niveau de mon fessier et désormais il l’empoigne avec force et vigueur. Je place mes mains, exactement au niveau des siennes, avant de les mettre sur ses épaules Je fais des allers-retours délicieux et énergiques avec ma croupe, et lui, peut voir, mon engin se remuer entre mes jambes. Mes cheveux noirs sautent sur mes épaules, à chaque fois, que je donne une nouvelle secousse. Je dois gémir de plaisir, dans un mouvement effréné et avec cri aigu  » Oh oui, Oh oui !  » et Yvan me caresse désormais tout le corps. Il me dit  » Mon dieu, ca glisse comme dans du beurre !  » Là, je suis comme cette actrice. Je me sens tellement femme dans cet acte. Yvan est formidable, c’est le genre d’hommes, avec qui j’aurais envie de partir en weekend, à Rome, à Florence ou à Madrid, à faire du tourisme toute la journée et passer ensuite des nuits explosives au lit, dans des hôtels de toute première catégorie.

Au bout de 10 minutes d’une cavalcade déchaînée, Yvan me propose de changer de position. Aucun problème. Je m’assoie, en relevant mon bassin. Il vient sur moi, je place mes jambes, pleine de souplesse au dessus de ses épaules. Il vient prendre appui avec ses mains au niveau de mes chevilles. Ainsi, il peut pousser sa queue bien au fond de moi, en utilisant toute la force de ses abdominaux. Je mets ma main gauche, au niveau de son bassin : j’ai envie de ressentir la tension musculaire, qui met tout en action et je veux voir ses yeux. Là, je ne me contrôle plus : je crie comme une truie, qu’on égorge, je ferme mes yeux, pour me concentrer sur l’intensité du moment. Puis, je les ouvre à nouveau et je vois un homme qui met toute sa virilité en branle pour me baiser. Ça dure encore 15 minutes, avant que ses yeux, ne se gonflent et que sa bouche ne se ferme. Yvan est sur le point de jouir et de lâcher toute la sauce. Moi aussi je suis au comble de l’excitation, et je m’agrippe fortement à lui. Un râle prolongé, indique le moment de son orgasme et subitement il s’effondre sur moi. J’ai envie immédiatement de l’embrasser, pour le remercier de tant d’émotions. Son cœur bat encore la chamade, avant qu’il me dise  » Ce n’était que le premier orgasme de ce soir. Je veux continuer

« . Très bien, je ne demande que ca, moi !!

Et j’ai bien envie de faire durer le plaisir toute la nuit. C’est si bon de se sentir femme !