Alice et le pays des merveilles 2 – Nouveau départ par jimi10

Alice et le pays des merveilles
2 – Nouveau départ
par jimi10

Nouveau départ

La nuit passe.
Le matin se lève, apportant son lot de bonne nouveauté et d’espérance.
J’ouvre les yeux.
Elle est toujours là, serrée contre moi. Je l’entoure de mes bras et lui dépose un discret baiser sur l’épaule.

Je repense à la soirée magique, que j’ai passée. A cette nouvelle jouissance que j’ai expérimentée. J’ai l’impression d’avoir rêvé. De tout avoir inventé. Je descends doucement ma main sur son sexe pour vérifier. Je fais attention de ne pas la réveiller. Elle est bien là. Sa petite différence…

Mes sens s’échauffent de nouveau au contact de son membre. Je commence à la branler. Alice ne bouge pas. Elle continue de dormir profondément. Son sexe lui c’est réveillé et est maintenant entièrement bandé. Je ne peux résister à la tentation de le sucer.

Je descends ma tête vers ce dernier et le prend en bouche. Je sens alors le corps d’Alice remuer. Je lève la tête et l’aperçoit, les yeux grands ouverts qui me regarde.

– Bonjour, lui dis en souriant.
– Bonjour. Tu es en forme à ce que je vois.
– Oui, j’avais envie. Je suis désolé de t’avoir réveillé.
– Ce n’est rien, mais tu me donnes aussi envier de sucer.
– Cela peut sûrement s’arranger.

Je me positionne au dessus d’elle en 69. Sa bouche est toujours aussi sublime et ma queue se durcit très vite. J’ai toujours été très matinale. Nous nous suçons mutuellement jusqu’à ce je sente son sexe durcir.

Je ne bouge pas. Je veux la sentir jouir dans ma bouche. Elle ne pense cependant pas la même chose que moi. Elle se dégage et éloigne son sexe de ma bouche.

– Qu’est ce qu’il y a ?
– Je veux que tu jouisses en même temps que moi. Que tu jouisses sur moi.

Elle descend alors jusqu’à mon membre et reprend sa magnifique fellation. Je me laisse faire, un peu déçue toute de même de n’avoir plus rien à sucer. Ma bouche ayant besoin d’un vide à combler. Sa bouche ne tarde toutefois pas à rattraper son avance et je sens mon sexe prêt à jouir.

Elle s’arrête alors et commence à me branler. Je dirige moi aussi ma main vers son sexe et en fait de même. Nous jouissons simultanément. J’arrose son torse de mon sperme, tandis que le sien vient gicler près du mien. Elle s’amuse alors à mélanger nos semences sur son ventre, comme s’il s’agissait d’une crème de beauté.

– Le sperme est très bon pour la peau tu sais, me dit elle.
– Ah, oui. Vraiment ?

Elle lèche ses doigts plein de sperme sensuellement.

– Tu ne veux pas goûter ?

Comment refuser. Je place ma tête sur son ventre et me met à lécher respectueusement. Il n’y a cependant là rien de nouveau. Tout homme à un moment, où l’autre goûté son propre sperme, ne serait ce que par curiosité. Je finis de la lécher et vient l’embrasser, transférant un peu de nos semences dans sa bouche.

Elle me dit alors qu’elle doit aller se doucher et sort du lit, entièrement nue. Je la suis des yeux jusqu’à la porte de la chambre, toujours aussi excité par l’ambigüité de son corps.
Je décide moi aussi de me lever. Je me demande ce que je vais faire de ma journée.

On est samedi et je n’ai rien de particulier de prévu. Je devais voir ma petite amie, mais cela n’est clairement plus d’actualité. J’ai donc tout mon weekend pour moi. Je sens que je vais glander. Me poser devant la télé, en mangeant tout sauf équilibrer. Mon weekend s’annonce prometteur.

Je m’habille et sort de la chambre. Je n’ai aucune difficulté à marcher. Mon trou est juste un peu irrité. Comme quoi, il ne faut pas toujours croire ce que l’on voit au cinéma. Je me permets de fouiller dans ses placards, cherchant quelque chose à manger. Mon corps à besoin de se régénérer, après la torride nuit de sexe qu’il à passé.

Je passe près de la salle de bain et l’entend siffler. Elle n’a pas fermée la porte. Je ne peux résister, la tentation est trop forte.

Je veux la voir nue encore une fois. J’entre dans la salle de bain. Elle me tourne le dos et ne m’entend pas entrer. Elle n’a pas tiré le rideau de douche et peut la contempler dans toute sa beauté. Elle se retourne et sursaute en me voyant.

– Qu’est ce que tu fais la ?
– Je…
– Tu n’es pas chez toi ! Ce n’est pas parce que nous avons fait l’amour que tu peux te permettre n’importe quoi ! Dégage de là !

Elle est très remontée. Il y a de quoi aussi. Je ne devrais pas être là. Je ne sais pas à quoi j’ai pensé. J’ai complètement merdé. Je suis un vrai con.

– Excuse-moi. Je ne pensais pas que tu le prendrais comme ça… Je voulais juste d’admirer encore un peu.

Je baisse les yeux et me retourne vers la porte. Je m’apprête à sortir, lorsque je sens sa main sur mon bras. Je me retourne. Elle est sortie de sa douche et est complètement trempée.

– Je suis désolé.

Je veux ouvrir la bouche. Lui dire qu’elle n’a pas à être désolée. Que c’est moi l’enfoiré. Que je ne suis qu’un obsédé. Qu’elle n’aurait jamais du coucher avec moi. Que je ne la mérite pas… mais elle me met la main devant la bouche, m’indiquant de me taire.

Elle m’entraine dans la douche avec elle. Je ne me pose pas de question et entre tout habillé. Elle m’enlace langoureusement, ses seins se collant contre mon tee-shirt.

– Je ne voulais pas te faire peur tu sais. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je crois que tu m’as envouté.
– C’est ma bite. Cela fait souvent cet effet.
– Je ne veux pas partir. Je sais qu’on avait dit, une nuit seulement, mais je ne veux pas te quitter.
– Tu es très gentil, mais je ne veux pas me remettre en couple maintenant. Je ne suis pas prête mentalement. J’ai besoin de temps.
– Je comprends. Et…
– Quoi ?
– Non, je délire.
– Quoi ? Qu’est ce que tu veux dire ?
– Si on se voyait… pour le sexe seulement.
– Tu me prends pour une pute ?

Je sens qu’elle s’énerve et la reprend dans mes bras, tout en essayant de la calmer.

– Non, bien sur. Pas du tout. Je pensais juste qu’on pourrait se voir en tant qu’amis simplement et prendre du bon temps ensemble, lorsque l’on le voudrait.
– Compagnon de sauterie en quelque sorte ?
– Oui. Si tu es d’accord ?

Elle réfléchit et me regarde longuement. Elle ne dit rien et se rapproche de moi. Elle colle son sexe contre le mien. Je me mets à bander à travers mon pantalon mouillé. Je me déshabille. Alice pendant se temps s’est retourné et m’offre ses fesses.

– Encule-moi, me murmure-t-elle.

Je ne me le fait pas dire deux fois et entre dans son petit trou. Elle se cambre et s’appuie contre les parois de sa douche, afin de ne pas glisser. Je commence à faire des va-et-vient, son anus se dilatant au fur et à mesure de mes passages. Elle commence à pousser des petits gémissements. Je prends son sexe dans une main et commence à la branler en même temps. Son anus est de plus en plus dilaté. Je n’ai même plus besoin de forcer. Elle pousse maintenant de vrais petits cris.

– Arrête ! Arrête…
– Qu’est ce qu’il y’a ? Je te fais mal ?
– Non, non au contraire. Mais je voudrais essayer quelque chose de nouveau. Quelque chose que j’ai toujours voulu tenter, mais que je n’ai jamais osé.
– Qu’est ce que c’est ?
– Un fist.
– Un fist !

Je ne reste coi. Je ne m’attendais vraiment pas à ça. Le fist. Je sais ce que c’est bien entendu, je ne suis pas née de la dernière pluie, mais cela ne m’a jamais tenté. C’est une pratique assez poussé, souvent réservée aux sadomaso. Je la regarde perplexe. Je ne sais vraiment pas quoi faire.

Un fist est quelque chose à ne pas faire à la légère. Cela peut être très dangereux pour la personne à qui on le fait. Il faut vraiment savoir s’y prendre et je suis un novice dans la matière. Elle lit dans mes yeux et comprend ce que je ressens.

– Ca paraît un peu exagéré, je sais. Je comprendrais tout à fais que tu ne veuilles pas, le tenter.
– Je n’en ai jamais fait. J’ai trop peur de te blesser.
– Non, je ne pense pas. Il suffit d’y aller doucement et de mettre un peu de lubrifiant.
– Enormément de lubrifiant !
– Ne t’inquiète pas. Je sais quand même un peu près ce que je fais. Je n’en suis pas à ma première pénétration. Je me masturbe vraiment avec de gros godes. Mon anus est déjà bien dilaté.
– Mais là il s’agit d’un cran au dessus tout de même.
– Oui… c’est pour ça que je veux tenter. Je n’en ai jamais assez. Je ne sais pas comment ça ce fait, je dois être nymphomane du cul, mais je veux toujours quelque chose de plus gros, de plus large. J’adore la sensation de mon trou, qui se dilate et s’ouvre. C’est tellement bon.

Je lis un désir sans frontières dans ses yeux. Son corps est déjà tout excité rien qu’à l’idée de se faire pénétrer. Je ne peux pas refuser.

Nous nous séchons et sortons de la douche, entièrement nue. Alice s’allonge sur son lit, les jambes relever, me présentant son petit trou.

– Tiens, tu vas en avoir besoin, me dit-elle.

Elle me tend le tube de lubrifiant. Je l’applique soigneusement sur son anus, bien que celui ci soit déjà fortement dilaté. Je préfère ne pas prendre de risque, on ne sait jamais. Je lubrifie aussi ma main, par précaution. Je m’approche ensuite de son trou.

Je glisse un doigt puis deux timidement. Ils rentrent assez facilement. Je passe alors à quatre doigts. Je sens la peau de son anus s’étirer à mon contact, son fondement s’élargir sous ma pression. Je replie alors le pouce et essaye de faire rentrer ma main en entier.

J’entends Alice pousser un petit cri de douleur. Cela ne passe pas. C’est trop gros. Je me retire alors et reprend ma pénétration avec cinq doigts seulement, lui ouvrant à chaque passage un peu plus le fondement.

Lorsque je sens que son anus est prêt, je recommence à faire entrer ma main. C’est juste, mais en forçant un peu j’y arrive. Alice pousse de nouveau un petit cri, mais de plaisir cette fois ci. Je bouge alors lentement ma main dans son anus, le moindre mouvement lui procurant une sensation intense de plaisir. Alice ne tient plus et se met à se masturber frénétiquement.

La scène pour moi me semble assez irréelle : j’ai la main enfoncée entièrement dans le cul d’une transsexuelle, que je ne connaissais à peine la nuit d’avant. Le temps n’est cependant pas vraiment à la réflexion et je me mets à faire de plus grands mouvements avec ma main. Son trou s’élargit encore et toujours, me permettant de bouger plus aisément.

Je me mets alors à faire des va-et-vient avec ma main. J’observe le visage d’Alice et voit qu’elle n’en peut plus. La jouissance est trop forte. Elle se cambre et jouit. Je sens son anus, qui se resserre sur ma main.

Je me retire et vient me poser à côté d’elle sur le lit. Elle me prend dans ses bras et me dépose un baiser sur la joue.

– Merci… mon ami.

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Une réponse à Alice et le pays des merveilles 2 – Nouveau départ par jimi10

  1. Transmonique dit :

    Une trans qui suce et qui se fait sucer mais qui ne veut pas qu’on la regarde quand elle prend sa douche ! Non, mais Allo quoi ?
    Sinon l’illustration est jolie

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